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La communauté évangélique canadienne demande l'ouverture du débat sur l'avortement

Les leaders évangéliques canadiens soutiennent les récents appels de membres du parlement canadien pour ouvrir le débat sur le statut légal de l’enfant à naître.
 
Ils soutiennent les efforts du député conservateur Stephen Woodworth (Kitchener Centre) et Jeff Watson (Essex) demandant au parlement de réexaminer la définition canadienne du commencement de la vie humaine.
 
La question n’est pas « Qu’est-ce qui est humain », mais « quand y a-t-il un être humain? » affirme Faye Sonier, la conseillère juridique de la communauté EFC.
 
La médecine reconnaît à un certain stade la viabilité de l’enfant à naître, mais le Code criminel canadien statue que l’enfant à naître n’est pas humain explique Faye Sonier.

(source: Lifesitenews)

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À force de tuer, la sensibilité s'émousse chez certains médecins...

En Angleterre, certains médecins s’étaient prononcés pour le droit d’éliminer les enfants jusqu’à l’âge de deux ans. Ils affirmaient, avec raison, qu’ils ne voyaient pas de différences avec l’avortement d’enfants à naître. C’est également le cas pour les enfants à naître français. Le site gènéthique.org apporte cette information :
 
« … des divergences éthiques sont apparues pour les cas d'enfants rendus viables et autonomes, chez qui des lésions neurologiques sévères persistaient. En effet, certains praticiens ont alors défendu que pour ces derniers, l’“euthanasie néonatale d'exception par injection létale” doive pouvoir être choisie par les médecins souhaitant “transgresser l'interdit de donner la mort”, lorsque celle-ci se présenterait comme “une issue préférable à la survie” pour l'enfant et ses proches.
 
Plus tard en 2000, une étude européenne révélait des chiffres inquiétants, montrant qu'une importante majorité des néonatalogistes français disaient estimer que “des gestes dont le but avéré est de mettre un terme à la vie du nouveau-né [...] sont acceptables du point de vue de leur éthique professionnelle”. Selon Pierre-Olivier Arduin, la pratique de l'avortement ou “euthanasie prénatale” du fœtus handicapé, couramment tolérée en France, aura conduit à un “climat idéologique incitatif dans la période qui suit la naissance”. Si l'on peut supprimer légalement un enfant jusqu'à la veille de l'accouchement, pour quelles raisons ne pourrait-on pas le faire juste après la naissance? Au fond, certains bébés prématurés sont d'ailleurs plus jeunes que des fœtus que l'on peut légalement avorter.
 
À travers ces évolutions d'opinion, un réel changement de mentalité s'est opéré chez les spécialistes. De nos jours, le principe du “droit à la vie”, attribut essentiel de tout enfant né vivant et dont la violation est punie en droit pénal, se voit supplanté par une appréciation subjective de la valeur de son existence à venir. Le critère utilitariste de la qualité de la vie détrône le droit à la vie. “Autrement dit, la vie d'un enfant viable pourrait être stoppée si on la juge non vivable”.
 
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Facebook publie un article expliquant les procédures d'auto-avortement

Un article sur le site Riposte Catholique révèle que Facebook publie un procédé d'auto-avortement! Bien qu'il ait d'abord censuré cette information, le désaveu du groupe "Women on Waves" qui procure des avortements malgré les lois l'interdisant dans certains pays européens, l'a fait plier.

Une plainte, un appel, une prise de parole produit un effet certain.

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Les artisans de paix ne sont pas doucereux...

Au Québec, nous avons souvent travaillé à limiter les dégâts, à nous opposer à des tentatives gouvernementales d'imposer l'euthanasie par exemple, avec succès jusqu'à maintenant. Mais pour vraiment mettre un frein aux dérives mortifères, il ne suffit pas de restreindre la culture de la mort, il faut aussi la remplacer par la civilisation de l’amour.
 
Les partisans d'une culture de mort au Québec ont marché d'étape en étape, de la contraception à l'avortement, de l'avortement à l'euthanasie, de l'euthanasie au suicide assisté, du suicide assisté au devoir de mourir pour les personnes à charge...
 
Si l'euthanasie est toujours illégale et que plusieurs mènent heureusement le combat pour faire connaître et développer le réseau de soins palliatifs, il nous faut aussi travailler à la prochaine étape : changer l'opinion publique au sujet de l'avortement. Et la première étape est d'ouvrir le débat et de faire connaître que beaucoup de Québécois s'opposent à la mise à mort des enfants à naître. Les manifestations publiques comme les 40 jours, où comme la marche pour la vie à Ottawa, que les médias boycottent justement parce qu'ils ne veulent pas véhiculer ce message d'une grande contestation du vide juridique actuel, doivent non seulement se poursuivre, mais grandir pour les obliger à tenir compte de cette présence pour la défense de la vie humaine. Le site le Salon Beige nous offre une excellente réflexion à ce sujet.
 
L'une des techniques d'intimidation est de fabriquer l'illusion que nous sommes très peu nombreux, voire seuls dans l'univers médiatique à refuser le droit de tuer les enfants par avortement. C'est par notre témoignage que nous redonnerons courage à tous ceux qui se croient seuls et désespèrent de changer les choses. Aux États-Unis, une majorité de la population demande des restrictions au « droit » d'avorter. Les défenseurs de la Vie ont accepté de témoigner, de prendre les coups sans répliquer ce qui a causé de forts débats, une véritable bataille de paroles et d'actions judiciaires, une bataille à tous les niveaux. On dit parfois que c'est différent pour le Québec...
 
On peut se poser la question, est-ce notre sensibilité pacifique qui fait qu’il n’y ait pas de conflits au Québec sur le sujet, ou bien plutôt que l’une des parties a baissé les bras et concédé le terrain?
 
Pense-t-on vraiment que si les Québécois s’opposaient en masse aux avortements, comme on l’a fait aux États-Unis, que cette question ne serait pas à la une des journaux comme elle devrait l’être quotidiennement, comme l’exige l’urgence de la situation?
 
« Je ne suis pas venu apporter la paix, mais le glaive… » Ça aussi, c’est dans l’Évangile.
 
Il y a des guerres nécessaires, des causes justes. 30 000 enfants torturés et tués annuellement au Québec, cela demande d’utiliser tous les moyens moraux pour empêcher ce massacre. Cela demande de parler, de témoigner, de manifester, de servir dans les maisons d’aide aux femmes enceintes en difficultés, dans les maisons de soins palliatifs, et surtout de beaucoup prier et jeûner si possible…
 
« Seul le respect de la vie peut fonder et garantir les biens les plus précieux et les plus nécessaires de la société, comme la démocratie et la paix. En effet, il ne peut y avoir de vraie démocratie si l’on ne reconnaît pas la dignité de toute personne et si l’on n’en respecte pas les droits. Il ne peut y avoir non plus une vraie paix si l’on ne défend pas et si l’on ne soutient pas la vie,... » (Jean-Paul II, Evangelium Vitae, no 101)
 
Pour l’année 2012, souhaitons-nous d’avoir le courage et l’obéissance d’être de véritables artisans de paix.

Bonne Année 2012

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Chaque jour, trois personnes sont infectées par le VIH au Québec

Un article dans la Presse du 3 janvier 2012 rappelle que le VIH frappe toujours et ce, malgré toutes les campagnes de prévention et le matraquage idéologique fait dans les écoles. Les solutions préconisées par nos bouilles dénuées d'imaginations? Encore des cours de tuyauterie sexuelle et encore des campagnes d'apprentissages sexuels précoces appelées campagnes de prévention. L'organisme Ruban parcourt les écoles depuis 17 ans, avec les résultats que l'on connaît. 

Autant d'obstinations à utiliser des moyens qui font preuves de façon permanente de leur inutilité manifeste un préjugé idéologique bloquant toute action de l'intelligence.

Une petite anecdote

Un seul pays africain, l'Ouganda,  a réussi à faire diminuer de façon significative l'infection au VIH. C'est aussi le seul pays où l'on enseigne la chasteté dans les écoles.

La chasteté? Cela ne fait pas partie du programme d'essais sexuels préconisés par nos fonctionnaires. Ils ont un mode de vie à protéger, le libertinage, quitte à ce que le prix à payer soit la santé sexuelle et affective de nos enfants.

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Chaque jour, trois personnes sont infectées par le VIH au Québec

Un article dans la Presse du 3 janvier 2012 rappelle que le VIH frappe toujours et ce, malgré toutes les campagnes de prévention et le matraquage idéologique fait dans les écoles. Les solutions préconisées par nos bouilles dénuées d'imaginations? Encore des cours de tuyauterie sexuelle et encore des campagnes d'apprentissages sexuels précoces appelées campagnes de prévention. L'organisme Ruban parcourt les écoles depuis 17 ans, avec les résultats que l'on connaît. 

Autant d'obstinations à utiliser des moyens qui font preuves de façon permanente de leur inutilité manifeste un préjugé idéologique bloquant toute action de l'intelligence.

Une petite anecdote

Un seul pays africain, l'Ouganda,  a réussi à faire diminuer de façon significative l'infection au VIH. C'est aussi le seul pays où l'on enseigne la chasteté dans les écoles.

La chasteté? Cela ne fait pas partie du programme d'essais sexuels préconisés par nos fonctionnaires. Ils ont un mode de vie à protéger, le libertinage, quitte à ce que le prix à payer soit la santé sexuelle et affective de nos enfants.

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Un site internet français qui combat la théorie du genre

Le site anfe.eu est un site d'informations sur la théorie du genre et d'actions pour combattre cette folie. Sur le site, vous trouverez un excellent résumé de la théorie du genre/queer.

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Bienvenue à Mgr Noël Simard, nouvel évêque de Valleyfield

Mgr Simard est l'actuel président du Conseil d'administration de l'Organisme Catholique pour la Vie et la Famille ainsi que l'aumônier d'état pour les Chevaliers de Colomb. Il était également professeur de théologie morale et de bioéthique à l'Université Laval de Québec et St-Paul d'Ottawa.

Conscient de la première importance de la cause de la vie, il sera certainement une aide et un guide précieux dans le combat pour le droit de l'enfant à naître, ainsi que pour la protection des personnes malades en fin de vie.

Bienvenue Mgr Simard, que Dieu vous garde!

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Les saints innocents ont annoncé la gloire de Dieu -- comme les enfants avortés le font aujourd'hui

C'est aujourd'hui la fête des saints innocents

Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu 2,13-18.

« Après la visite des mages à Bethléem, l'ange du Seigneur apparaît en songe à Joseph et lui dit : « Lève-toi ; prends l'enfant et sa mère, et fuis en Égypte. Reste là-bas jusqu'à ce que je t'avertisse, car Hérode va rechercher l'enfant pour le faire périr. » Joseph se leva ; dans la nuit, il prit l'enfant et sa mère, et se retira en Égypte où il resta jusqu'à la mort d'Hérode. Ainsi s'accomplit ce que le Seigneur avait dit par le prophète : D'Égypte, j'ai appelé mon fils. Alors Hérode, voyant que les mages l'avaient trompé, entra dans une violente fureur. Il envoya tuer tous les enfants de moins de deux ans à Bethléem et dans toute la région, d'après la date qu'il s'était fait préciser par les mages. Alors s'accomplit ce que le Seigneur avait dit par le prophète Jérémie : Un cri s'élève dans Rama, des pleurs et une longue plainte : c'est Rachel qui pleure ses enfants et ne veut pas qu'on la console, car ils ne sont plus. »

« En ce jour, Seigneur, les saints Innocents ont annoncé ta gloire, non point par la parole, mais par leur seule mort » (Collecte)

Où mène la jalousie ? …Le crime commis aujourd'hui nous le montre : la peur d'un rival pour son royaume terrestre remplit Hérode d'angoisse ; il complote de supprimer « le Roi qui vient de naître » (Mt 2,2), le Roi éternel ; il combat son Créateur et met à mort des innocents… Ces enfants, quelle faute avaient-ils commise ? Leurs langues étaient muettes, leurs yeux n'avaient rien vu, leurs oreilles rien entendu, leurs mains n'avaient rien fait. Ils ont reçu la mort, eux qui ne connaissaient pas la vie… Le Christ lit dans l'avenir et connaît les secrets des cœurs, il juge les pensées et scrute les intentions (Ps 138) : pourquoi les a-t-il abandonnés ? …Le Roi du ciel qui venait de naître, pourquoi a-t-il négligé ces compagnons de son innocence, oublié les sentinelles en poste autour de son berceau, au point que l'ennemi qui a voulu atteindre le Roi a ravagé toute son armée ? [comme l’actuel génocide dû à l’avortement légalisé !]

Mes frères, le Christ n'a pas abandonné ses soldats, mais il les a comblés d'honneur en leur donnant de triompher avant de vivre, et de remporter la victoire sans avoir à combattre… Il a voulu qu'ils possèdent le ciel de préférence à la terre… il les a envoyés devant lui comme des hérauts. Il ne les a pas abandonnés : il a sauvé son avant-garde, il ne l'a pas oubliée… Bienheureux ceux qui ont échangé les travaux pour le repos, les douleurs pour le soulagement, les souffrances pour la joie. Ils sont vivants, ils sont vivants, ils vivent vraiment, ceux qui ont subi la mort pour le Christ… Heureuses les larmes que leurs mères ont répandues pour ces enfants : elles leur ont valu la grâce du baptême [aujourd'hui c'est des larmes de parents spirituels de ces enfants avortés que nous versons lors de nos vigiles de prière pour les enfants à naître]… Que celui qui a daigné reposer dans notre étable veuille nous conduire nous aussi aux pâturages du ciel.

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La théorie du genre : un délire mondial

La théorie du genre nous en entendons parler, comme une revendication absurde, mais encore éloignée et n’ayant pas vraiment de conséquences pour l’instant sur nos vies. Elle est la revendication des transsexuels. On en parlera dans nos écoles et il faudra préparer nos enfants à entendre ces sornettes.

 

Mais si cela allait beaucoup plus loin que cela? Si la théorie du genre était la nouvelle pierre de fondation d’une conception anthropologique totalement nouvelle et irréconciliable avec la conception réaliste acceptée depuis les débuts de l’humanité? Si elle était le cheval de Troie de la plus forte et la plus grande attaque contre la famille, dans le but non seulement de la déconstruire, mais littéralement de la faire disparaître? Apocalyptique?

Étonné, sceptique? La lecture du modeste livre « Gender, la controverse » en surprendra plus d’un. Recueil d’études de plusieurs spécialistes, il apporte une vue d’ensemble de la question qui stupéfie par son ampleur et… ses conséquences. Des racines marxistes et féministes de la théorie, de l’attaque de l’identité sexuelle de chacun, de la volonté de faire disparaître la notion même de famille, c’est une véritable guerre qui est décrite ici dans ses préparatifs, dans ses tactiques et dans ses armes. Pour vous donner une idée de l’importance de cette question, je cite maintenant un extrait de la préface de Tony Anatrella, Psychanalyste et spécialiste en Psychiatrie sociale, enseignant à l’Institut de Philosophie Comparée et au Collège des Bernardins, Consulteur du Conseil pontifical pour la Famille et du Conseil pontifical pour la Santé.

 

« La théorie du genre comme un cheval de Troie

La théorie du genre est la nouvelle idéologie qui sert ouvertement de référence à l’ONU et à ses diverses agences, en particulier à l’OMS, à l’UNESCO et à la Commission de la Population et du Développement. Elle est également devenue le cadre de la pensée de la Commission de Bruxelles, du Parlement européen et de différents pays membres de l’Union européenne en inspirant les législateurs de ces pays qui créent de très nombreuses lois concernant la redéfinition du couple, du mariage, de la filiation et des relations entre les hommes et les femmes en particulier au nom de la notion de parité et des orientations sexuelles. Elle succède ainsi à l’idéologie marxiste, tout en étant plus oppressive et plus pernicieuse, car elle se présente sous le thème de la libération subjective de contraintes injustes, de la reconnaissance de la liberté de chacun et de l’égalité de tous devant la loi. Autant de valeurs pour lesquelles il serait difficile de manifester un désaccord. Il est désormais nécessaire de savoir si ces termes recouvrent la même signification que celle que nous connaissons déjà ou, au contraire, s’ils ne servent pas à masquer une autre conception que l’on va imposer à la population sans que les citoyens n’aient conscience de ce qu’elle représente.

Que dit la théorie du genre?

Cette idéologie prétend qu’il convient de dissocier le sexe biologique de sa dimension culturelle, c’est-à-dire de l’identité de genre, qui se décline au masculin ou au féminin, voire dans un genre neutre, dans lequel on fait entrer toutes sortes d’orientations sexuelles – afin de mieux établir l’égalité entre les hommes et les femmes et de promouvoir les diverses “identités” sexuelles. Ainsi, le genre masculin ou féminin ne s’inscrirait plus dans la continuité du sexe biologique puisqu’elle ne lui est pas intrinsèque, mais serait simplement la conséquence d’une construction culturelle et sociale. » (p.3-4)

Oscar Alzamora Revoredo explique :

« Le genre est une construction culturelle; par conséquent, il n’est pas le résultat du sexe et il n’est apparemment pas non plus déterminé comme le sexe… Si on construit une théorie selon laquelle le genre est une construction radicalement indépendante du sexe, le genre lui-même devient un artifice libre d’attaches; en conséquence homme et masculin pourraient désigner aussi bien un corps féminin qu’un corps masculin; femme et féminin, autant un corps masculin qu’un corps féminin. » (p.46)

Mais pourquoi cette nouvelle théorie? L’une des raisons est le combat du nouveau féminisme :

« Le premier antagonisme de classes dans l’histoire coïncide avec le développement de l’antagonisme entre l’homme et la femme unis dans un mariage monogame, et la première oppression d’une classe par l’autre, avec celle du sexe féminin par le masculin. » (p.54)

« Assurer l’élimination des classes sexuelles requiert que la classe soumise (les femmes) fasse la révolution et prenne le contrôle de la reproduction;  la femme doit retrouver la propriété sur son propre corps, ainsi que le contrôle féminin de la fécondité humaine, en dominant aussi bien les nouvelles technologies que toutes les institutions sociales qui touchent à la naissance et au soin des enfants. De même que l’objectif final de la révolution socialiste était non seulement d’en finir avec les privilèges de la classe économique, mais encore avec la distinction même qui existait entre les différentes classes économiques, le but définitif de la révolution féministe doit être également, à la différence du premier mouvement féministe, non simplement d’en finir avec le privilège masculin, mais encore avec la distinction même des sexes : les différences génitales entre les êtres humains ne doivent plus avoir d’importance culturellement parlant. »

L’une de ces conséquences?

« L’égalité féministe radicale signifie non seulement égalité devant la loi ou même satisfaction égale de nécessités de base, mais encore que les femmes, comme les hommes, n’aient pas à donner le jour (…) La destruction de la famille biologique que Freud n’a jamais imaginée permettra l’émergence d’hommes et de femmes nouveaux, différents de tous ceux qui ont existé auparavant. »

Un vrai délire mondial...

CONSEIL PONTIFICAL POUR LA FAMILLE. Gender, la controverse, éd. Pierre Téqui, Paris, 2011, 190 p. 

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