Soyons fiers de fêter… le Canada français!
(Photo : Archives de la Ville de Montréal sur flickr.com, licence creative commons)
Nous sommes arrivés ici depuis bientôt 500 ans. Nous avons défriché et habité une terre parcourue par des populations souvent nomades, avec lesquelles nous avons partagé une descendance (les métis) et une amitié à renouveler. Nous avons résisté au joug d’un envahisseur qui a tenté à maintes reprises de nous faire disparaître.
Nous sommes toujours là.
Nous sommes les Canadiens-Français, du Manitoba, de l’Ontario, de l’Acadie, de la Nouvelle-Angleterre, du Québec.
Nous avons le droit de vivre et d’exister. Nous avons le droit d’être chez nous, ici au Canada. Nous avons le droit de choisir de continuer le pacte de la confédération entre les peuples fondateurs, de continuer à nous battre pour qu’un jour les droits égaux du peuple canadien-français soient reconnus.
Nous avons le droit de choisir aussi une souveraineté nationale sous la forme d’un pays.
Nous sommes les Canadiens-Français!
Et nous sommes là pour rester.
Par amour de la Vie!
Nous vous invitons à célébrer la fête de notre glorieux saint patron : Jean le baptiste. Celui qui ne s’est pas tu, au prix de sa vie.
Si notre peuple à mal à l’âme, si notre peuple se meurt dans un goût de la décadence qui engendre une misère et une souffrance généralisée, si plusieurs de nos familles sont dissoutes et en ruines, ce sont toujours nos familles, c’est toujours notre peuple dont nous devons être solidaire, pour élever notre prière pour lui, pour intercéder pour lui.
Pour qu’un jour ce peuple renouvelle son alliance avec le Seigneur. Qu’il retrouve le goût à la Vie!
Et alors, les immigrants seront heureux de s’intégrer à ce peuple qui a construit ce pays.
Mais si nous demeurons dans la décadence, nous disparaîtrons et serons remplacés par des peuples aux valeurs plus humaines et à la foi en Dieu plus solide.
Nous avons le choix. Choisirons-nous la Vie?
Laissez un commentaireLes sages-femmes pour sauver des vies, un article dans le journal le Devoir
Sur le site du journal Le Devoir du 23 juin 2014 :
(Photo : Ji-Elle sur wikimédia.org, sans copyright)
Tandis que la majorité des naissances sont à faible risque, on observe dans le monde une utilisation de plus en plus fréquente d’interventions obstétricales.
Le journal médical The Lancet livre, preuves scientifiques à l’appui, un plaidoyer sans précédent pour la pratique de sage-femme. Tant dans les pays riches que pauvres, elle permettrait de sauver des milliers de vies, mais aussi d’améliorer considérablement la qualité des soins offerts aux femmes et à leurs enfants. (...)
Si 95 % des femmes avaient accès à ces soins, la mortalité maternelle, mais aussi des bébés, reculerait de 82 %, selon les estimations.
Mais, les associations féministes occidentales préfèrent l'avortement au financement de sages-femmes...
Laissez un commentaireUn manuel de l'euthanasie à consulter!
Sur le site de la fondationlejeune.org, un magnifique manuel qui fait un survol rapide des questions principales sur l'euthanasie, avec des témoignages et de l'humour!
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L'Église presbytérienne américaine vote pour les « mariages » gay à l'église... alors que le mouvement contre prend de l'ampleur
Sur le site du journal Le Monde du 20 juin 2014 :
(Plus que jamais, il faut parler car même des chrétiens peuvent tomber dans la confusion...)
Dans les Etats américains autorisant le mariage homosexuel, les pasteurs presbytériens pourront – s'ils le souhaitent – présider à des unions entre personnes de même sexe. En assemblée générale, l'Eglise presbytérienne a choisi à 61 % d'autoriser ses pasteurs à unir des couples homosexuels.
C'est ce qui peut arriver quand l'on croit que la doctrine du Christ est sujette à un vote démocratique...
Pendant ce temps, une manifestation de 2000 personnes contre le « mariage » gay à Washington. Sur le site Le Salon Beige du 20 juin 2014 :
Les manifestants ont défilé jusqu'à la Cour suprême des Etats-Unis pour la deuxième "Marche pour le mariage", organisée par l'association non partisane National Organization for Marriage. "Un homme et une femme sont unis pour la vie", "chaque enfant mérite un père et une mère" ou encore "protéger le mariage, c'est essentiel pour construire la vie", pouvait-on lire sur les pancartes des manifestants. Brian Brown, président de l'association, a déclaré :
"Nous n'accepterons aucun jugement qui redéfinit ce qui est évident, à savoir qu'un mariage, c'est un homme et une femme". "Nous voulons un amendement qui inscrive dans la Constitution que le mariage est l'union d'un homme et d'une femme". "Ce n'est qu'un début, nous serons là chaque année".
Un reportage (en anglais) de l'événement
//www.youtube.com/embed/gKqhClu0sHE
Laissez un commentairePape François : « Légaliser, même partiellement, les soi disant drogues légères n'est pas une solution. »
Sur le site de visnews-fr du 20 juin 2014. (via le Salon Beige)
(Photo : Abode of Chaos sur flickr.com, licence creativecommons)
Cité du Vatican, 20 juin 2014 (VIS). Le Saint-Père a reçu ce midi les participants à la XXXI Conférence internationale contre le trafic de drogue (Rome 17 - 19 juin), qu'il a remerciés de leur action face à l'un des problèmes les plus graves et complexes de notre temps:
Laissez un commentaire"Puissiez vous atteindre les buts fixés de la coordination des politiques contre la drogue, du regroupement de l'information, du développement d'une stratégie contre le trafic. Il est probable que les bénéfices du trafic de drogue sont les plus importants du marché. Le fléau de la drogue, qui revêt des dimensions impressionnantes, alimente un marché illégal sans nulles frontières. Ainsi s'accroît un danger pour la jeunesse, ce qui ne manque pas de me préoccuper au plus haut point. Que ce soit clair: On ne vaincra pas la drogue par la drogue! Elle est un mal et devant un mal il ne peut y avoir concessions ou compromis. Penser pouvoir en réduire les effets en permettant l'usage de certains produits aux drogués est une erreur. Légaliser, même partiellement, les soi disant drogues légères n'est pas une solution. Sans compter que ce serait discutable au plan législatif, cela ne produirait pas les effets annoncés. Quant aux produits substitutifs ils ne constituent pas une thérapie suffisante, mais une manière voilée de céder au phénomène. J'entends redire non à tout type de drogue, et redire oui à la vie, à l'amour, aux autres et à l'éducation, au sport, au travail et à l'emploi. Si ces oui sont atteints, il n'y a plus place pour la drogue, l'alcool et autres abus provoquant dépendances.
(...)
Mais ce travail de réhabilitation est encore insuffisant et il faut développer la prévention. L'exemple de tant de jeunes qui veulent sortir de la dépendance et s'engager à rebâtir leur existence, nous encourage à aller de l'avant avec confiance. Je vous encourage donc à poursuivre votre action, pleine d'espérance.
Vos enfants parlent-ils de Gaïa? Réflexion de Jacques Brassard sur la nouvelle religion enseignée à l'école
Sur le site du Journal de Montréal du 19 juin 201, un article à lire en entier, dont voici un extrait :
(Photo : Merrill College of Journalism Press Releases sur flickr.com, licence creative commons)
Je sais que certains se demandent souvent pourquoi je suis tellement hostile à l’idéologie des Verdoyants, tellement allergique à la religion écolo, à ses dogmes et à son culte central, celui de Gaïa, cette déesse antique personnifiant mère Nature.
Je vous dirais que c’est parce que je suis en profonde divergence (on pourrait dire philosophique) avec cette nouvelle religion (enseignée dans nos écoles en lieu et place du christianisme) sur la conception, la place et le rôle de l’humanité sur cette planète. (...)
Trop souvent pour les extrémistes écologistes, l'homme est un cancer à éliminer, pour le bien... « Gaïa »!
Laissez un commentaireLe ministre Bolduc menace de retirer les enfants des familles qui ne suivent pas la doctrine du ministère de l'éducation
Sur le site du Journal de Montréal du 20 juin 2014 :
(Photo : St. Paul's Indian Industrial School, Middlechurch, Manitoba, 1901)
(Photo : Library and Archives Canada sur wikimédia sans copyright)
«On doit se donner les outils légaux pour s’assurer que tous les enfants aient accès à l’école. L’enfant pourrait être retiré du milieu familial et être obligé d’aller à une école conforme aux normes», a expliqué M. Bolduc.
Le ministre de l’Éducation n’écarte pas la possibilité de modifier la Loi sur l’instruction publique. Une telle modification pourrait inclure l’obligation de fréquenter une école conforme à la loi du lundi au vendredi aux heures normales de classe.
Nous avons reçu cette excellente réplique :
Laissez un commentaireDémission du Ministre de l’Éducation, Yves Bolduc
Avec la récente déclaration que nous pourrions qualifier de du ministre de l’éducation, Yves Bolduc, qui a déclaré récemment qu’il allait arracher à leurs parents les enfants qui vont dans des écoles considérées comme illégales au Québec, cela est une démonstration de l’incompétence et du total manque de jugement de la part de M. Bolduc.
Cette déclaration n’est pas sans rappeler l’affaire des pensionnats Autochtones où les enfants ont été retirés de force à leur parents par le gouvernement pour être envoyés de force dans des pensionnats pour y recevoir une éducation forcée, les arrachant à leur racines, leur milieu et à leurs traditions, ce qui a coûté très cher au gouvernement. C’est ici l’histoire qui se répète.
Les parents sont les premiers responsables de leurs enfants et de l’éducation de leurs enfants. Apprendre à lire et à compter et à se comporter en société, oui, mais pour le bourrage de crâne des enfants du Québec, par des cours obligatoires qui ne répondent aucunement aux attentes ni aux valeurs profondes des parents, plusieurs parents ne sont pas du tout d’accord et cela va bien au-delà des parents insatisfaits du système scolaire, leur nombre est incalculable.
Les enfants ne sont pas la propriété de l’État, Monsieur Bolduc. Faut-il vous le rappeler et l’école n’est pas une prison et on doit tenir compte des valeurs religieuses ou traditionnelles de leurs familles et de leur milieu dans le choix de l’éducation dispensée aux élèves ?
L’opposition devrait exiger la démission de M. Bolduc pour de telles menaces proférées à l’endroit des parents du Québec de leur enlever leurs enfants à cause de leurs valeurs et de leurs traditions.
Jocelyne Dumont
Trois actrices américaines qui ont regretté leur avortement et l'ont témoigné...
Dans l'excellent livre Guérir des blessures de l'avortement, on trouve ces témoignages de grandes actrices américaines :
- Gloria Swanson
(Photo : thefoxling sur flickr.com, licence creative commons)
Mon plus grand regret a toujours d'avoir interrompu cette grossesse... Rien au monde n'a plus de prix qu'un enfant. Je n'en ai pris conscience que lorsqu'il était trop tard. Depuis, je n'ai jamais cessé de me le reprocher. (SWANSON, Gloria. Swanson on Swanson, éd. Random House, New York, 1980, p. 519.)
- Shelley Winters
(Photo : Movie-Fan sur flickr.com, licence creative commons)
Il y a quelques années, l'actrice Shelley Winters, invitée sur le plateau de télévision de l'émission de télé The Donahue Show, était en train d'évoquer quelques-unes de ses aventures amoureuses, quand elle fit soudain cette réflexion : « Vous savez, je suis d'accord avec l'Église catholique sur certains points. Vous ne m'aimerez sans doute pas si je vous dis que ... » Elle a alors raconté l'histoire de ses deux avortements. « Je suis une femme très seule. Je donnerais tout - mon argent - mes oscars, ma carrière - pour pouvoir être avec ces enfants aujourd'hui. » Et tout en exprimant de vive voix sa douleur et ses remords, Mme Winters ne pouvait retenir ses sanglots.
- Patricia Neal
(Photo : Twentieth Century Fox sur wikimédia sans copyright)
Dans une autobiographie intitulée As I am, Patricia Neal écrit à propos d'un avortement pratiqué il y a plusieurs années : « Pendant plus de trente ans, seule, la nuit, je pleurais... Si je ne devais refaire qu'une seule chose dans ma vie, ce serait bien d'avoir cet enfant. » (NEAL, Patricia. As I Am, éd. Simon & Shuster, 1988, p.134)
Ces témoignages sont réunis dans le livre : DILLON, John J. Guérir des blessures de l'avortement, éd. MédiasPaul, Montréal, 2007, p.15-16.
Laissez un commentaireLe leader du NPD du Nouveau-Brunswick choqué que le gouvernement de la province ne veuille pas nuire aux femmes enceintes
D'abord la nouvelle sur le site de Radio-Canada du 19 juin 2014 :
Des femmes, qui ont contacté l'organisme Télé-soins pour obtenir des informations sur les services d'avortement offerts au Nouveau-Brunswick, soutiennent qu'elles ont été dirigées vers des cliniques pro-vie.
Télé-soins est une ligne d'information et de conseils sur la santé qui relève du ministère de la Santé du Nouveau-Brunswick.
Et la réaction incompréhensible du chef du NPD du Nouveau-Brunswick fut d'envoyer un tweet affirmant : « inacceptable ».
Ce qu'il y a d'inacceptable, c'est que des gens tiennent mordicus à ce qu'un enfant soit brûlé ou démembrer, et, à la place de louanger les services d'aide aux femmes enceintes en difficultés, voudraient qu'on règle la question en tuant les enfants à naître...
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Le suicide de l'actrice indienne Jiah Khan lié à son avortement
Sur le site de chretienslibre.over-blog du 20 juin 2013 :
(Photo : Bollywood Hungama sur wikimédia.org, licence creative commons)
L'actrice anglo-indienne Jiah Khan, qui avait tourné dans d'importantes productions de Bollywood, s'est suicidée à Mumbai aux environs du 2 juin, faute d'avoir pu surmonter la dépression causée par son avortement ainsi que par des abus présumés de son conjoint, d'après les informations d'Aciprensa.
La défunte a laissé une lettre, trouvée par sa soeur, dans laquelle elle expliquait à son partenaire les raisons de son geste. "J'ai avorté notre bébé", dit cette jeune femme de 25 ans, "et cela m'a profondément meurtrie. J'avais peur de continuer cette grossesse, et je me suis entièrement confiée à toi", dit l'actrice à son ami, Suraj Pancholi, et elle l'assure que "ce que tu m'as fait souffrir tous les jours a détruit chaque parcelle de moi-même, a détruit mon âme."
Un témoignage tragique parmi tant d'autres...
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