Planned Parenthood a fourni des bébés avortés de 23 semaines à l’Université de Californie à San Diego
Par Kurt Mahlburg (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hourick/Wikimedia Commons
Autre jour, autre scandale de trafic d’êtres humains à Planned Parenthood.
Si vous vous sentez courageux, lisez cet article du New York Post :
Des courriels qui donnent la chair de poule montrent que Planned Parenthood négocie les conditions du don de fœtus avortés pour la recherche médicale.
Les courriels traitent des tissus fœtaux comme de n’importe quelle autre marchandise telle que le sucre ou le riz, négociant nonchalamment pour des fœtus dont l’âge gestationnel sera de 23 semaines maximum et issus d’avortements volontaires.
Un soi-disant « plan de recherche » lourdement expurgé, soumis au Conseil d’examen institutionnel de l’Université de Californie à San Diego (UCSD) et approuvé en 2018, indique que les scientifiques voulaient, à des fins d’expérimentation, 2 500 fœtus de presque six mois d’âge gestationnel.
Les courriels ont été révélés par David Daleiden, du Center for Medical Progress, qui se débat encore aujourd’hui dans les méandres de la législation des années 2010, lancée par l’ancien procureur général de Californie, Kamala Harris.
Lire la suite« Arracher une jambe ou deux » : une vidéo d’infiltration révèle comment Planned Parenthood prélève les organes des bébés
Un centre de Planned Parenthood à Houston au Texas.
Par Calvin Freiburger — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Hourick/Wikimedia Commons
8 août 2024 (LifeSiteNews) — Les enquêteurs pro-vie du Center for Medical Progress (CMP) ont publié des séquences inédites de leur enquête initiale de 2015 dans lesquelles les responsables de Planned Parenthood révèlent comment ils mutilent les corps des bébés avortés pour dissimuler les méthodes d’avortement illégales employées pour les tuer.
Mardi, CMP a publié une vidéo — que Planned Parenthood s’était efforcée de bloquer au cours des huit dernières années — de deux conversations lors du salon commercial 2015 de la National Abortion Federation (NAF) entre le Dr Ann Schutt-Aine, médecin en chef de Planned Parenthood Gulf Coast (Texas), le vice-président de l’accès à l’avortement Tram Nguyen, RN, et des journalistes infiltrés de CMP que les initiés de l’avortement pensaient être des grossistes de laboratoire.
La séquence contient d’autres exemples de fonctionnaires qui se moquent de la nature barbare de leur activité, comme Nguyen qui dit à un moment donné : « Je suis comme, “Ouais, j’ai comme une jambe pour vous ! ” Je me suis dit, oh m****, si d’autres personnes m’entendaient, elles diraient “vous êtes vraiment diabolique” ».
Mais la révélation la plus importante est la discussion de Schutt-Aine sur le fait qu’elle doive parfois faire plusieurs « essais » pour démembrer un bébé dans l’utérus « pour éviter l’avortement par naissance partielle », qui est illégal en vertu de la loi fédérale depuis 2003.
« Si je fais une intervention et que je crains que [la sortie du] bébé n’atteigne l’ombilic, je peux demander un deuxième jeu de pinces pour maintenir le corps au niveau du col de l’utérus et arracher une jambe ou deux, afin d’éviter l’avortement par naissance partielle », explique-t-elle.
Lire la suiteÊtre ou ne pas être... une personne : telle est la question
Par une lectrice de Campagne Québec-Vie
« Le mot “personne”, tel qu’il est utilisé dans le quatorzième amendement, n’inclut pas les enfants à naître ». Voilà ce qu’a écrit le juge Harry Blackmun dans son opinion de la fameuse décision de Roe v. Wade de 1978 [1]. À travers cette décision, la plus haute instance judiciaire des États-Unis a déclaré que le bébé dans le ventre n’était pas une « personne ». Le point central du débat repose sur le statut légal du bébé dans le ventre. En effet, il est impossible de parler de l’avortement sans être confronté à cette question. L’opinion du juge Blackmun est désormais très répandue aujourd’hui, mais l’impact de cette idée est-il tout aussi connu ? Comme la Cour Suprême la comprit, si le statut de personne ne s’étend pas aux bébés dans le ventre, il faut nécessairement conclure que ces derniers n’ont aucun droit incluant l’un des droits les plus fondamentaux, soit le droit à la vie. Il s’agit du droit sur lequel plusieurs autres reposent, mais qu’arrive-t-il quand certains individus en sont privés ? Malheureusement, cela ouvre la porte à l’exploitation des bébés qu’ils soient au stade d’embryon ou de fœtus. Depuis plusieurs années maintenant, la communauté scientifique a un intérêt grandissant à utiliser des embryons à des fins de recherches. Les avancées scientifiques et technologiques font en sorte que c’est possible, mais est-ce moralement acceptable ? Si le fœtus n’est pas une « personne » dont le droit à la vie mérite d’être protégé, qu’est-ce qui empêche de traiter l’embryon ou le fœtus comme un rat de laboratoire ou encore de le vendre et l’acheter comme une marchandise ? Lorsque le bébé dans le ventre n’est pas une personne, la seule réponse logique est que ce genre de pratiques ne sont pas moralement répréhensibles. Il ne serait pas cohérent de soudainement changer le statut légal du bébé dans le ventre en fonction des différentes circonstances qui nous sont présentées. Le statut du bébé dans le ventre doit demeurer le même ; soit ce dernier est une personne soit il ne l’est pas. Examinons maintenant deux cas illustrant comment le refus de reconnaître que le bébé dans le ventre est une personne revient à le réduire à un objet inanimé qui peut être utilisé comme bon nous semble.
En 2015, le FDA (Food and Drug Administration), une institution gouvernementale a été accusée d’acheter de la compagnie ABR des tissus de fœtus avortés [2]. Ces tissus provenaient directement d’un centre Planned Parenthood, soit un centre où la grande majorité des avortements ont lieu. Une investigation a confirmé que le FDA avait signé huit contrats avec ABR entre 2012 et 2018 où l’institution gouvernementale aurait payé 96 370 $ pour obtenir des « tissus fœtaux humains frais et jamais congelés » à des fins de recherches. Une loi fédérale interdit la vente et l’achat de tissu fœtal humain, mais permet certaines compensations afin de couvrir des frais [3]. Ici, le lien entre l’avortement et le trafic de tissus fœtaux est indéniable. De plus, pourquoi ne pas également légaliser le trafic de tissus fœtaux ? Après tout, il n’existe aucun droit pour ceux qui ne sont pas des personnes. Par conséquent, il ne serait pas improbable que le trafic des fœtus avortés soit éventuellement décriminalisé. Par ailleurs, il serait erroné de croire qu’il s’agit d’un cas rare. Certes, le Center for Medical Progress, un organisme antiavortement qui a exposé des médecins en train de négocier le prix de certaines parties du corps des fœtus avortés, affirme que « le trafic de parties de bébés avortés est un problème national qui dépasse les frontières des États et des pays et implique [...] plusieurs niveaux d’organisation de Planned Parenthood, de la National Abortion Federation et de nombreuses sociétés intermédiaires. » [4]. Theresa Deisher, une titulaire d’un doctorat en physiologie moléculaire et cellulaire ayant travaillé plus de 20 ans dans l’industrie biomédicale commerciale affirme que « l’expérimentation sur du matériel provenant de bébés avortés est très répandue dans ce domaine » [5]. Voilà où notre indifférence à l’égard du bébé dans le ventre nous a menés. Non seulement ces bébés avortés sont trafiqués, mais ils deviennent également des cobayes.
Lire la suiteLa FDA dénoncée en tant que cartel criminel dans le prélèvement de routine d’organes sur des fœtus humains VIVANTS
Par Guy Boulianne — Photo : par Guy Boulianne
Une vidéo choquante — publiée un jour avant une audience législative par le Pa House Health Committee sur l’expérimentation fœtale — a révélé les détails troublants de la recherche sur les bébés avortés qui se déroule à l’Université de Pittsburgh en Pennsylvanie et qui est financée par l’argent des contribuables. La vidéo, publiée par le Center for Medical Progress et disponible sur PittExposed.com, met en évidence « seulement trois des exemples horribles les plus récents d’expérimentation fœtale parrainée par le gouvernement à Pitt ». Après avoir appris que la Food and Drug Administration a acheté des parties du corps de bébés avortés et les a demandé « frais et jamais congelés », vient une autre histoire qui ressemble à celle d’un film d’horreur ou de l’un des chapitres les plus sombres de l’histoire humaine.
En effet, nous apprenons que l’année dernière, des étudiants-chercheurs de Pitt ont publié des détails sur des expériences où des cuirs chevelus et « de la peau humaine sur toute l’épaisseur » de bébés avortés (de 18 à 20 semaines de gestation) ont été greffés sur des rats de laboratoire. Les images montrent des cheveux humains – de ces bébés avortés – cultivés sur le dos de ces rongeurs. De plus, le tissu lymphoïde, le foie et la rate des mêmes bébés avortés ont été co-greffés dans les mêmes modèles de rongeurs. Cette recherche inhumaine à Pitt n’est pas un incident isolé. Les scientifiques de Pitt ont également récolté des foies de fœtus livrés entiers par induction du travail. Pitt a également été impliqué dans le commerce et la distribution de centaines de reins fœtaux et d’autres organes provenant de bébés avortés. Ces deux pratiques sont mises en évidence dans la nouvelle vidéo.
Lire la suiteMgr Schneider : Le sang des enfants à naître crie vers Dieu depuis les vaccins et les médicaments liés à l’avortement
Mgr Athanasius Schneider.
Par Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire de l’archidiocèse de Sainte-Marie à Astana (Gloria.tv) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Les vaccins contaminés par l’avortement et la culture de la mort
Les puissances mondiales antichrétiennes qui font la promotion de la culture de mort cherchent à imposer à la population mondiale une collaboration implicite — bien que lointaine et passive — avec l’avortement. Cette collaboration éloignée, en soi, est également un mal en raison des circonstances historiques extraordinaires dans lesquelles ces mêmes puissances mondiales encouragent le meurtre d’enfants à naître et l’exploitation de leurs restes. Lorsque nous utilisons des vaccins ou des médicaments qui utilisent des lignées cellulaires provenant de bébés avortés, nous bénéficions physiquement des « fruits » de l’un des plus grands maux de l’humanité — le cruel génocide des enfants à naître. Car si un enfant innocent n’avait pas été cruellement assassiné, nous n’aurions pas ces vaccins ou médicaments concrets. Nous ne devrions pas être naïfs au point de ne pas voir que ces vaccins et médicaments n’offrent pas seulement un avantage pour la santé, mais qu’ils promettent également de promouvoir la culture de mort. Bien sûr, certains affirment que même si les gens ne prennent pas ces vaccins, l’industrie de l’avortement continuera à exister. Il se peut que nous ne réduisions pas le nombre d’avortements si nous cessons de prendre ces vaccins ou ces médicaments, mais là n’est pas la question. Le problème réside dans l’affaiblissement moral de notre résistance au crime de l’avortement, et au crime du trafic, de l’exploitation et de la commercialisation des parties du corps des enfants à naître assassinés. L’utilisation de ces vaccins et médicaments soutient d’une certaine manière moralement — bien qu’indirectement — cette horrible situation. En observant la réponse de l’Église catholique, les avorteurs et les responsables de la recherche biomédicale concluront que la hiérarchie a donné son accord à cette situation, qui comprend toute une chaîne de crimes contre la vie et peut être décrite à juste titre comme une « chaîne de mort ». Nous devons nous éveiller aux dangers réels, aux conséquences et aux circonstances de la situation actuelle.
Théories justifiant l’utilisation de vaccins contaminés par l’avortement
Les documents du Saint-Siège (de 2005, 2008 et 2020) qui traitent des vaccins développés à partir de lignées cellulaires provenant d’enfants à naître assassinés ne sont pas des décisions infaillibles du Magistère. Les arguments avancés dans les documents susmentionnés concernant la licéité morale de l’utilisation de vaccins contaminés par l’avortement sont finalement trop abstraits. Nous devons aborder ce problème de manière plus profonde, et ne pas rester dans un positivisme juridique et un formalisme de théories abstraites de coopération avec le mal, de bénéfice des mauvaises actions d’autrui, de double effet ou de tout ce que l’on veut appeler de telles théories justificatives.
Lire la suiteÉtats-Unis : vente et trafic d’organes de bébés, le nouveau scandale de l’avortement
Par Francesca de Villasmundo (Médias Presse Info)
La crise du covid-19 a révélé au commun des mortels que Big Pharma se sert de cellules de fœtus volontairement avortés pour le développement de ses vaccins ou injections géniques anti-coronavirus. Des scientifiques comme l’Américaine Pamela Hacker soutiennent que le trafic d’organes et de cellules de fœtus avortés fait partie intégrante de la recherche actuelle dans certains grands laboratoires et que ces cellules sont prélevées sur des fœtus vivants. Des documents publiés récemment par la fondation américaine Judicial Watch épaulée par le Center for Medical Progress viennent confirmer ces trafics sur des fœtus encore vivants.
Quelques années auparavant, c’était la machine à avorter Planned Parenthood qui se retrouvait au centre d’un scandale de vente et trafic d’organes de bébés avortés.
Aujourd’hui, c’est l’université de Pittsburgh et le département pour la santé humaine des Etats-Unis qui sont sur le banc des accusés grâce au travail d’investigation et de recueil de données mené par l’association américaine Judicial Watch et le Center for Medical Progress, peut-on lire sur le site Blondet and Friends.
Début août, ces deux organismes ont annoncé avoir reçu 252 pages de nouveaux documents du département américain de la Santé et des Services humains révélant que près de 3 millions de dollars de financement fédéral ont été dépensés pour la recherche de l’Université de Pittsburgh pour devenir un « pôle tissulaire » pour les tissus fœtaux humains allant de 6 à 42 semaines de gestation.
Le Center for Medical Progress a publié un communiqué intitulé La racialiste université de Pittsburgh met en avant dans sa demande de subvention au NIH que les enfants avortés aient encore le sang qui circule avec le sous-titre suivant :
Lire la suite« Les dossiers publics FOIA récemment publiés obtenus par le Center for Medical Progress indiquent que le prélèvement d’organes se fait sur des nourrissons avortés livrés vivants, et ciblés par race ».
L’Université de Pittsburgh prélève les reins sur des bébés avortés dont le cœur palpite probablement encore
Par Micaiah Bilger (LifeNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie
Selon le Center for Medical Progress, l’Université de Pittsburgh a peut-être fourni cette semaine, par inadvertance, de nouvelles preuves que des bébés avortés sont mis au monde vivants afin que leurs organes puissent être prélevés pour la recherche scientifique, ce dont ils meurent ensuite.
Comme LifeNews.com l’a largement rapporté, en début de semaine l’organisme Judicial Watch et le Center for Medical Progress ont exposé des preuves de bébés nés potentiellement vivants lors d’avortements et d’autres pratiques inquiétantes ; ces preuves se trouvent dans des documents qu’ils ont obtenus suite à une demande en vertu de la Loi sur la liberté d’information auprès du ministère de la Santé et des Services sociaux des États-Unis.
Les documents montrent que le gouvernement fédéral a versé à l’Université de Pittsburgh au moins 2,7 millions de dollars provenant des impôts fédéraux au cours des cinq dernières années, afin qu’elle devienne un « Centre de tissus », c’est-à-dire d’organes — et autres morceaux — de bébés avortés destinées à la recherche scientifique.
Dans une entrevue accordée à Fox News, un porte-parole de l’université de Pittsburgh a défendu ses pratiques. Toutefois, le Center for Medical Progress a fait observer que les déclarations de l’université confirment que le cœur des bébés avortés bat toujours alors que leurs reins sont prélevés pour la recherche scientifique.
« Pitt [c’est-à-dire l’Université de Pittsburgh] admet maintenant aux médias que les bébés avortés sont encore vivants au moment où leurs reins sont prélevés, afin de bénéficier des subventions [des Instituts nationaux de la santé] », a déclaré David Daleiden, fondateur et président du Center for Medical Progress.
Daleiden poursuit : « Dans sa demande de subvention pour le GUDMAP, Pitt annonçait au gouvernement fédéral que des avortements par induction du travail, où le bébé est expulsé entier de la mère, seraient “utilisés pour obtenir les tissus”. Le sens évident de la demande de subvention GUDMAP, et de la déclaration de l’Université de Pittsburgh l’expliquant, est que Pitt et les prestataires d’avortement de Planned Parenthood responsables de ses avortements “de recherche” font en sorte que des bébés, dont certains ont atteint l’âge de la viabilité, soient mis au monde vivants, et ils les tuent ensuite en leur coupant les reins. »
Lire la suiteLes lignées cellulaires issues de bébés avortés… employées pour les vaccins covid-19 actuels
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Infos) — Photo : Freepik
En quoi les vaccins contre la Covid 19 sont-ils liés à l’avortement ?
(Docteur Eva-Maria Hobiger)
Source : Fraternité Saint Pie X, district d’Autriche. Avril 2021.
Aux États-Unis d’Amérique, l’utilisation de cellules fœtales humaines dans le domaine pharmaceutique, mais aussi dans les cosmétiques et autres secteurs industriels est, depuis des décennies, l’objet de débat et de dénonciation publique par les mouvements pro-vie. En revanche dans la zone germanophone, ce sujet est peu connu, même parmi les professionnels de santé, et peu de gens savent dans quelles circonstances sont obtenues les lignées de cellules fœtales nécessaires à la production de vaccins.
Beaucoup pensent que si l’avortement est un mal on peut toutefois, dans le cas où il est déjà survenu, utiliser le fœtus mort pour la recherche. Mais peu de gens savent qu’afin de produire des cellules aptes à des mises en culture, les avortements nécessaires doivent être ciblés et planifiés ; que la grossesse doit déjà avoir atteint une certaine durée ; que l’interruption de cette grossesse se fait souvent par césarienne et que bien souvent le cœur bat encore lorsque l’embryon arrive au laboratoire pour le prélèvement de ses organes. Des informations comme celles-ci ne sont pas relayées par les médias et vous ne pouvez pas les trouver sur Google ; ces faits dérangeants, vous préférez les tenir éloignés du grand public.
Il serait également souhaitable que le débat actuel sur la vaccination contre la Covid-19 nous éclaire sur les raisons de la récupération d’organes fœtaux, en particulier pour le motif que dans TOUS les vaccins actuellement disponibles, des lignées cellulaires fœtales ont été utilisées à un certain moment, dans la recherche, le développement, la production ou l’expérimentation.
Cela a commencé voici 85 ans.
Dès le XXème siècle, dans les années 30, des expériences ont commencé par des mises en culture à partir de tissus fœtaux. À l’époque, le mobile était la recherche d’un vaccin contre la poliomyélite, qui finalement fut mis sur le marché à la fin des années 50. Dans un article médical de 1936, nous lisons : « Une nouvelle approche a été obtenue grâce à l’utilisation d’embryons humains âgés de 3 à 4 mois, obtenus stérilement par césarienne. » [i]
En 1952, nous lisons dans un journal médical au sujet de la production de cultures tissulaires : « Les embryons humains de 2,5 à 5 mois de grossesse ont été admis dans les services gynécologiques des hôpitaux. Ils ont été placés dans un récipient stérile et immédiatement transportés dans le laboratoire de virologie de l’hôpital pour enfants voisin. Les échantillons morts n’ont pas été utilisés, et pour certains des embryons, le cœur battait encore au moment où ils sont arrivés au laboratoire de virologie. » [ii] Et dans un autre travail de la même année, il est écrit : « Tissu embryonnaire humain : ce matériel a été utilisé dans la plupart des expériences. Il a été obtenu dans des conditions stériles par césarienne. Des embryons de 12 à 18 semaines de grossesse ont été utilisés. » [iii]
Lire la suiteLes lignées cellulaires issues de bébés avortés… employées pour les vaccins covid-19 actuels
Par Pierre-Alain Depauw (Médias Presse Infos) — Photo : Freepik
En quoi les vaccins contre la Covid 19 sont-ils liés à l’avortement ?
(Docteur Eva-Maria Hobiger)
Source : Fraternité Saint Pie X, district d’Autriche. Avril 2021.
Aux États-Unis d’Amérique, l’utilisation de cellules fœtales humaines dans le domaine pharmaceutique, mais aussi dans les cosmétiques et autres secteurs industriels est, depuis des décennies, l’objet de débat et de dénonciation publique par les mouvements pro-vie. En revanche dans la zone germanophone, ce sujet est peu connu, même parmi les professionnels de santé, et peu de gens savent dans quelles circonstances sont obtenues les lignées de cellules fœtales nécessaires à la production de vaccins.
Beaucoup pensent que si l’avortement est un mal on peut toutefois, dans le cas où il est déjà survenu, utiliser le fœtus mort pour la recherche. Mais peu de gens savent qu’afin de produire des cellules aptes à des mises en culture, les avortements nécessaires doivent être ciblés et planifiés ; que la grossesse doit déjà avoir atteint une certaine durée ; que l’interruption de cette grossesse se fait souvent par césarienne et que bien souvent le cœur bat encore lorsque l’embryon arrive au laboratoire pour le prélèvement de ses organes. Des informations comme celles-ci ne sont pas relayées par les médias et vous ne pouvez pas les trouver sur Google ; ces faits dérangeants, vous préférez les tenir éloignés du grand public.
Il serait également souhaitable que le débat actuel sur la vaccination contre la Covid-19 nous éclaire sur les raisons de la récupération d’organes fœtaux, en particulier pour le motif que dans TOUS les vaccins actuellement disponibles, des lignées cellulaires fœtales ont été utilisées à un certain moment, dans la recherche, le développement, la production ou l’expérimentation.
Cela a commencé voici 85 ans.
Dès le XXème siècle, dans les années 30, des expériences ont commencé par des mises en culture à partir de tissus fœtaux. À l’époque, le mobile était la recherche d’un vaccin contre la poliomyélite, qui finalement fut mis sur le marché à la fin des années 50. Dans un article médical de 1936, nous lisons : « Une nouvelle approche a été obtenue grâce à l’utilisation d’embryons humains âgés de 3 à 4 mois, obtenus stérilement par césarienne. » [i]
En 1952, nous lisons dans un journal médical au sujet de la production de cultures tissulaires : « Les embryons humains de 2,5 à 5 mois de grossesse ont été admis dans les services gynécologiques des hôpitaux. Ils ont été placés dans un récipient stérile et immédiatement transportés dans le laboratoire de virologie de l’hôpital pour enfants voisin. Les échantillons morts n’ont pas été utilisés, et pour certains des embryons, le cœur battait encore au moment où ils sont arrivés au laboratoire de virologie. » [ii] Et dans un autre travail de la même année, il est écrit : « Tissu embryonnaire humain : ce matériel a été utilisé dans la plupart des expériences. Il a été obtenu dans des conditions stériles par césarienne. Des embryons de 12 à 18 semaines de grossesse ont été utilisés. » [iii]
Lire la suiteDans le monde de la recherche, on greffe de la peau de bébés avortés sur des rongeurs…
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie
5 janvier 2021 (LifeSiteNews) — Cela fait cinq ans que David Daleiden et le Center for Medical Progress ont révélé que des parties de corps prélevées sur des bébés avortés étaient utilisées pour la recherche médicale, dans ce qui semble être une histoire moderne de Frankenstein fœticide. Il a été révélé que les avorteurs modifiaient les procédures chirurgicales pour s’assurer que certaines parties du corps n’étaient pas écrasées, afin qu’elles soient encore utilisables par les chercheurs. StemExpress envoyait par FedEx des parties de corps de bébés provenant de Planned Parenthood pour qu’elles restent fraîches. Chaque cycle de nouvelles a engendré de nouvelles horreurs.
David Daleiden et les héroïques journalistes infiltrés qui ont passé des années à dénoncer cette barbarie cachée sont toujours embourbés dans un enchevêtrement de batailles judiciaires avec l’industrie de l’avortement, mais de nouvelles révélations qui confirment leurs exposés continuent d’émerger. Stacy Trasancos, experte en chimie, a par exemple récemment publié une enquête sur les pratiques de laboratoire de l’Université de Pittsburgh, où les parties de corps de bébés avortés, tués au cours du deuxième trimestre, sont utilisées pour des expériences.
Selon Trasancos, les expériences utilisant des parties de bébés avortés comprennent la greffe du cuir chevelu de bébés avortés sur des souris pour créer des « souris humanisées ». Une fois cette opération terminée, les chercheurs ont ensuite enregistré l’impact de l’intégration des cheveux de bébé sur l’immunité des souris à divers agents pathogènes. Des photographies montrent de petites touffes de cheveux d’enfant poussant sur le flanc des rongeurs où les chercheurs les ont replantés après les avoir prélevés sur le crâne d’enfants tués dans le ventre de leur mère.
Selon le Dr Trasancos, l’étude de l’Université de Pittsburgh a utilisé un certain nombre de bébés avortés entre 18 et 20 semaines, avec le soutien du National Institute of Allergy and Infectious Diseases, pour examiner la « peau humaine pleine épaisseur » sur les souris et les rats humanisés :
Cette peau humaine provenant de fœtus a été greffée sur des rongeurs tout en greffant simultanément les tissus lymphoïdes du même fœtus et les cellules souches hématopoïétiques du foie, de sorte que les modèles de rongeurs ont été humanisés avec des organes et de la peau provenant du même enfant. La peau humaine a été prélevée sur le cuir chevelu et le dos des fœtus afin que les greffes avec et sans poils puissent être comparées dans le modèle de rongeur. Les tissus graisseux excédentaires attachés à la couche sous-cutanée de la peau ont été coupés, puis la peau du fœtus a été greffée sur la cage thoracique du rongeur, où sa propre peau avait été enlevée. Des cheveux humains sont apparus à l’âge de 12 semaines, mais uniquement dans les greffons prélevés sur le cuir chevelu des fœtus. Dans les greffes de cuir chevelu, on peut voir de fins cheveux humains, longs et foncés, entourés des courts poils blancs de la souris. Les images montrent littéralement une plaque de cheveux de bébé poussant sur le dos d’une souris.
Il n’y a pas que l’Université de Pittsburgh. L’Université de Californie-San Francisco a utilisé les corps de 249 enfants du deuxième trimestre pour la recherche, prélevant leurs foies pour divers tests. L’Université de Yale a utilisé quinze bébés tués au deuxième trimestre pour dissection, utilisant leur moelle osseuse, leur rate et leur foie pour des recherches sur les niveaux immunitaires. À l’UCSF, les appareils reproducteurs et les intestins fœtaux ont été prélevés sur des bébés avortés et transplantés sur des rats. Le scalpage des bébés opéré par l’Université de Pittsburgh n’est pas une atrocité ponctuelle. C’est une pratique courante.
C’est aussi la conséquence inévitable de la vision du monde pro-choix : les enfants in utero ne sont pas suffisamment humains pour bénéficier de la protection de la loi, mais ils le sont suffisamment pour que leurs corps soient pillés pour la recherche médicale. Ceux d’entre nous qui comprennent que ce sont des enfants qui sont tués et que ce sont des cheveux d’enfants qui poussent sur des rats — doux, délicats et grotesquement mal placés — sont écœurés par tout cela. Mais ceux qui nient, face à tant de preuves, que ces enfants sont humains n’ont aucune raison solide de s’opposer à ces expériences, si ce n’est le cri de leur propre conscience. Pourquoi jeter un corps en parfait état quand on peut le recycler ?
Les crimes mêmes que nous commettons contre ces petites personnes confirment leur humanité, car s’ils n’étaient pas humains, ils ne seraient pas utiles à la recherche humaine. Ces expériences confirment leur humanité — et le fait que nous sommes en train de perdre la nôtre.