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Le Texas en voie d'adopter une législation plus restrictive sur l'avortement

Wendy Davis  a perdu son temps. La législation restreignant l'avortement est presque en place. Sur le site du journal La Presse du  10 juillet 2013:

(Le Texas est le plus vaste État américain)

 

La Chambre des représentants du Texas a adopté de nouvelles restrictions à l'avortement, mercredi, lors d'une deuxième séance extraordinaire.
 
Il y a un peu moins de deux semaines, les républicains au Sénat n'avaient pu compléter l'étude du projet de loi avant l'expiration de la première séance extraordinaire, en raison de l'obstruction législative et de vives protestations.
 
Un vote final pourrait se tenir dès vendredi au Sénat.

Toutes nos félicitations au gouverneur Rick Perry pour avoir tenu une séance extraordinaire.

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Correspondance d'une électrice et de la CAQ sur l'euthanasie

Un extrait d'une lettre de réponse de la CAQ à une électrice :

 

 

Dans sa plateforme électorale, la Coalition Avenir Québec s’est engagée à permettre le droit de mourir dans la dignité. En effet, nous sommes en accord avec l’ensemble des recommandations du rapport de la Commission spéciale Mourir dans la dignité, publié en mars 2012.

Cette Commission spéciale « reconnaît que les soins palliatifs ont leurs limites et que des mesures permettant le recours à l’aide médicale à mourir, dans des cas exceptionnels, bien balisés, dans le respect de la volonté des personnes malades, sont légitimes ».

La Coalition est donc en faveur de l’aide médicale à mourir, mais de manière encadrée et ayant des limites clairement définies. D’emblée, nous sommes en accord avec les grandes lignes et les principes qui guident le projet de loi no52, mais nous insistons sur le fait que le passage des idées à la pratique sur le terrain mérite que l’on se penche sérieusement sur son application concrète, notamment quant à la responsabilité des médecins.

En aucun cas dérapages et abus ne seraient acceptables, c’est pourquoi nous ferons un travail rigoureux et non partisan en commission parlementaire, afin que les inquiétudes soulevées soient prises en compte. Nous voulons rassurer la population sur le fait que nous ne voulons pas ouvrir la porte à des dérives et que nous serons très vigilants à cet égard.

 Et la réplique de l'électeur :

C’est ce mettre la tête dans le sable de dire qu’il n’y aura pas de dérapage.  Regardez seulement ce qui est arrivé avec l’avortement.  Au début c’était seulement pour les cas de viols et de problèmes graves.  Aujourd’hui, c’est un peuple qui meurt!  Près de 30,000 avortements au Québec seulement.  Venez pas me dire que ce sont tous des cas  d’exception! Ce n’est pas assez pour voir ce qui va arrivé avec l’euthanasie?  
 
Et à cause des problèmes financier dans la santé au Québec, pensez-vous que nous pourrons nous payer les soins palliatifs?  Ce sera beaucoup plus facile et surtout beaucoup moins cher de tuer les gens par euthanasie et ce, en faisant des médecins des tueurs.  C’est vraiment plus facile de se mettre la tête dans le sable que de voir la réalité.
 
     La CAQ n’aura plus jamais mon vote soyez-en certain et ce n’est pas moi qui va vous faire de la pub!  SVP dites-le à votre patron, Sylvie Roy.  Merci!
 
     Bonne journée!

À nous d'écrire et de faire connaître notre opposition à nos députés.

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La petite Chilienne de 11 ans, violée et enceinte, veut garder son bébé : déception des pro-avortements mondiaux

Sur le site du Salon Beige du 10 juillet 2013:

(Le président chilien Sébastien Pinera s'est dit touché par les déclarations de l'enfant)

 

 

 

(...) 
Le sujet revient sur le devant de la scène avec comme d'habitude la mise en exergue d'un cas douloureux : le viol d'une fillette chilienne de 11 ans, par son beau-père. La fillette a néanmoins affirmé qu'elle était prête à avoir le bébé :
 
"Ce sera comme une poupée que je tiendrai dans mes bras. Je vais l'aimer beaucoup même si elle est de cet homme qui m'a fait du mal, cela ne fait rien, je vais l'aimer".
 
Mais les militants pro-avortements, qui veulent ajouter un mal au mal, estiment que, comme cette grossesse pourrait mettre la santé de la jeune fille en danger, il faudrait mieux supprimer l'enfant. Une déclaration du président Pinera est utilisée dans ce sens. Il a en effet déclaré :
 
"Après 22 semaines de grossesse, s'il était nécessaire de provoquer une naissance prématurée, il faudra suivre cette thérapie, parce que dans notre pays la vie de la mère arrive en premier".
 
Or, provoquer une naissance prématurée, ce n'est pas tuer l'enfant. L'acte thérapeutique peut avoir comme cause seconde le décès de l'enfant, mais ce n'est pas ce qui est recherché. Si cette solution est retenue, il ne s'agit donc pas d'un avortement. Attention à la propagande du lobby pro-mort.
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Nicolas, prisonnier politique français pour son opposition au « mariage » gai est libéré

Sur le site du journal Le Figaro du 9 juillet 2013:

(Le prisonnier politique Nicolas Bernard-Buss a été libéré ce soir du 9 juillet 2013)

 

Nicolas Bernard-Buss ne retournera pas en prison. Incarcéré depuis le 19 juin à Fleury-Mérogis après une condamnation en première instance à 4 mois d'emprisonnement dont 2 mois ferme assortis d'un mandat de dépôt, le jeune militant de la Manif pour tous a vu sa peine muée en amende lors de son procès en appel mardi après-midi devant la cour d'appel de Paris.
 
La cour n'a donc pas suivi les réquisitions de l'avocat général qui demandait 5 mois de prison avec sursis et 1000 euros d'amende. Nicolas Bernard-Buss a été condamné à 3000 euros dont 1500 avec sursis. Un désaveu pour les juges de première instance, une victoire pour le jeune homme et ses avocats qui, après avoir plaidé la relaxe, ont chaleureusement remercié la cour. «Une grande confusion a régné dans la procédure, aucune infraction n'a été constituée dans ce dossier qui est un véritable château de cartes, un acharnement, un prétexte à la condamnation», avait dénoncé Me Pierre-Philippe Boutron-Marmion, avocat de Nicolas. Pour des questions administratives, le jeune homme de 23 ans devait repasser par la case prison mardi soir. La levée d'écrous des prévenus qui ne comparaissent pas libres nécessite en effet des formalités auprès du greffe de l'établissement pénitentiaire. «Il devra sortir avant minuit sinon la procédure tombe», indiquait, sourcilleuse, une avocate présente à l'audience, proche du collectif de la Manif pour tous.
(...)
 
Une défense précise et soucieuse du détail
 
Par contraste avec le détail et la précision de la défense, prompte à caractériser l'absence de «rébellion», de violence ou d'«entrave à la circulation» dont était accusé Nicolas, les faits et les infractions légales ont eu bien du mal à apparaître clairement dans les débats. L'avocat général elle-même semblait avoir eu recours à des contorsions intellectuelles et rhétoriques épuisantes pour fonder sa détermination. Quant au commissaire de police de la BAC, seul témoin à la barre, et seule partie civile, personne n'a compris son dépôt de plainte pour «rébellion», d'autant qu'il avoue n'avoir pas été blessé par l'interpellé.
 
Le débat politique sur le mariage homosexuel et les convictions personnelles de Nicolas ont été absents des débats. Seulement a-t-il dit, en conclusion de l'audience, que «le droit de l'enfant à disposer d'un père et d'une mère est une préoccupation universelle». Des propos qui venaient «attester» de «l'indignation générale et internationale» des citoyens qui, «par milliers» et «du monde entier», lui ont adressé des courriers de soutien dans sa cellule.
 
Demande de réparation
 
«Que serait-il advenu de lui si des députés n'étaient pas venus le visiter en prison (occasionnant le changement de ses conditions de détention déplorables, NDLR), si la population ne s'était pas indignée, si des “veilleurs” ne s'étaient pas mobilisés?, a interrogé Me Pierre-Philippe Boutron-Marmion. Nicolas Bernard-Buss, pour avoir usé de sa liberté d'expression, a été un numéro d'écrou: 404247, voilà la réalité du dossier, un traitement inadmissible, enfermé dans une cellule de cinq personnes avec deux transsexuels ayant un rapport anal, des plateaux-repas renversés et jetés comme à des chiens.»
Les trois avocats de Nicolas ont déjà fait savoir qu'ils demanderaient réparation pour les vingt jours de détention de leur client et «le traitement qui lui a été infligé». Ils vont étudier «les mille hypothèses juridiques», promet l'un deux.
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Robert Latimer n'aurait plus besoin de suivi psychologique...

Mais il ne semblait pas avoir un problème psychologique, mais plutôt un problème de reconnaissance de ce qui est bien et mal, et, de ce côté, il ne semble pas s'être amélioré... Sur le site de Radio-Canada du 9 juillet 2013:

(Tracy Latimer, tuée par son père à l'âge de 12 ans, qui n'a jamais jusqu'à ce jour manifesté de remords...)

 

La Commission des libérations conditionnelles du Canada (CNLC) a déclaré lundi que Robert Latimer, qui a tué sa fille lourdement handicapée en 1993, n'a plus besoin de suivi psychologique individualisé.
 
(...) 
La CNLC n'accorde cependant pas à M. Latimer le droit de donner des soins ni de prendre des décisions pour des personnes souffrant d'infirmités importantes, comme le souhaitaient ses gestionnaires de cas.
 
La Commission précise qu'un cas de récidive pourrait se produire si l'homme de 60 ans obtenait de telles responsabilités.
 
(...)
 
L'année dernière, la Commission avait autorisé M. Latimer à se rendre au Royaume-Uni pour participer à un débat sur l'euthanasie, mais sa demande de visa avait été refusée par les autorités britanniques.
 
Robert Latimer a tué sa fille Tracy, âgée de 12 ans, par empoisonnement à l'oxyde de carbone. Lourdement handicapée par une paralysie cérébrale, elle ne pouvait pas marcher, ni parler, ni s'alimenter seule.
 
Après de nombreux soubresauts judiciaires, il a été emprisonné à la William Head Institution de Victoria, en Colombie-Britannique, avant d'obtenir une libération conditionnelle complète en décembre 2010.
 
M. Latimer a avoué son crime en alléguant qu'il voulait arrêter la souffrance de sa fille. Il a toujours affirmé n'avoir rien fait de mal, et son procès a soulevé un débat important sur l'euthanasie au Canada.

Comment le Canada a-t-il pu donner un visa à un homme pour aller parler d'euthanasie, un homme qu'il croit capable de récidiver s'il se trouvait en compagne d'une personne handicapée? Un homme qui croit toujours avoir bien agi en tuant sa fille? Du moins, il n'aura plus accès aux personnes vulnérables.

Une dernière question... Tracy avait-elle donné son consentement à être tuée? Une question que les partisans de l'euthanasie «balisée» ne posent pas, remplis de compassion pour la souffrance du père...

Si on ne peut juger du coeur de Robert Latimer, le fait qu'il ne soit pas capable de reconnaître que son geste de tuer sa fille était un mal devrait indiquer aux autorités qu'il nécessite toujours une surveillance serrée...

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« ...cela ne rendrait ce combat que plus noble et nécessaire » : magnifique lettre d'un pasteur pour la défense de la famille

Un texte d'un pasteur, Mgr Aillet, sur le site du diocèse de Bayonne de juillet 2013 (via le Salon Beige):

(Les Français manifestent pacifiquement en demeurant debout, silencieux, devant les palais de justice en France, pour réclamer le retrait de la loi Taubira pour la légalisation du mariage gai, et pour la libération de Nicolas, prisonnier politique français)

 

Comment cet été pourrait-il être calme et serein, après le vaste mouvement d’opposition pacifique à la loi Taubira qui n’a cessé de s’amplifier et qui se heurte à une répression policière et judiciaire des plus inquiétantes pour la démocratie, devant le chaos économique et social dans lequel la France s’enfonce doucement sans propositions de solutions sérieuses et crédibles à même de rassurer les français, et face aux menaces qui pèsent lourdement sur la vie humaine – avec le projet de loi sur les embryons – et sur l’éducation des enfants dans nos écoles – avec l’enseignement du gender, dès l’âge de six ans ?
 
S’il n’est pas dans le rôle de l’Église de se lancer dans la bataille politique, c’est sa mission de prendre toujours la défense des plus faibles et des plus petits. De ceux qui sont laissés pour compte sur le bord de la route par la crise économique et sociale, de ceux qui sont entretenus dans une précarité morale et spirituelle par une société politico-médiatique qui a rejeté Dieu : « Combien de pauvretés morales et matérielles viennent aujourd’hui du refus de Dieu et du fait de mettre à sa place tant d’idoles » (pape François).
Plus encore, de ceux qui sont sans défense et sans voix : je pense aux embryons humains dont les papes Benoît XVI et François ont demandé la protection juridique, en soutenant officiellement l’Initiative Citoyenne Européenne « Un de nous » (http://www.oneofus.eu/). Je pense au sort réservé aux enfants par la loi Taubira, qui enregistre un grave déni de filiation – un enfant qui naît toujours d’un homme et d’une femme a besoin pour se construire, non seulement de l’affection des personnes qui l’élèvent, mais de pouvoir se référer le mieux possible à son père et à sa mère – porte ouverte sur la Procréation médicalement assistée (PMA) pour tous, voire la gestation pour autrui (GPA), qui priveraient ainsi légalement un enfant de son père ou de sa mère.
 
Comment pourrions-nous rester les bras croisés devant de telles injustices ? Sans doute, notre première attitude sera celle de la cohérence. « Nous ne donnons à personne aucun sujet de scandale, pour que le ministère ne soit pas décrié », dit saint Paul aux Corinthiens, en donnant son comportement en exemple : « par une grande constance dans les tribulations, dans les détresses, dans les angoisses, sous les coups, dans les prisons, dans les désordres, dans les fatigues, dans les veilles, dans les jeûnes ; par la pureté, par la science, par la patience, par la bonté, par un esprit saint, par une charité sans feinte, par la parole de vérité, par la puissance de Dieu ; par les armes offensives et défensives de la justice » (2 Co 6, 3-7).
« Une charité sans feinte » dit saint Paul, qui nécessite l’accompagnement concret des personnes, la prise en compte de leurs souffrances, quelles qu’elles soient, la proposition d’un vrai chemin de croissance, à l’instar du bon Samaritain qui prend en charge jusqu’au bout l’homme laissé à demi-mort sur le bord du chemin, malgré la distance culturelle, religieuse, voire ethnique, qui le sépare de lui ; et qui comporte encore la condamnation de toute forme de rejet des personnes, d’agression verbale ou physique envers quiconque.
 
Mais aussi la parole de vérité : « Ne diminuer en rien la salutaire doctrine du Christ est une forme éminente de charité envers les âmes. Mais cela doit toujours être accompagné de la patience et de la bonté dont le Seigneur lui-même a donné l’exemple en traitant avec les hommes » (Paul VI). Pourvu que l’on fasse preuve d’une charité sans feinte envers les personnes, la mission prophétique de l’Église est hautement souhaitable pour éclairer, voire réveiller les consciences anesthésiées dans une société marquée par l’individualisme et le relativisme. Si le dialogue est toujours nécessaire au sein de nos groupes, de nos communautés humaines et chrétiennes, nous ne saurions faire l’économie de la Vérité sur l’homme que le Christ nous a révélée et qui ne peut jamais « faire l’objet d’une sorte de négociation dialogique » (Bienheureux Jean-Paul II). Nous ne pouvons poursuivre le dialogue sur les questions sociétales qui agitent la société française aujourd’hui qu’à partir d’une conscience claire de notre identité de chrétien, attachée à une Vérité qui n’est pas purement confessionnelle, mais appartient à l’humanité tout entière. Force est de constater que les malentendus entretenus dans nos communautés proviennent d’un déficit d’adhésion à la Vérité révélée et transmise par l’Église depuis deux mille ans. Sans compter que dialoguer avec des lobbies, voire des Institutions, qui démontrent depuis des mois leur refus du dialogue, en diabolisant systématiquement leurs opposants et en usant même de manière arbitraire de la force, policière ou judiciaire, pour tuer dans l’oeuf toute forme d’expression populaire contraire, est une véritable gageure.
 
Si pour défendre le droit à l’objection de conscience face à des lois injustes, ou faire entendre sa voix sur la place publique au nom de la liberté d’expression, de réunion et de manifestation garantie par la Constitution pour promouvoir la dignité de la vie humaine, du mariage et de la famille, on devait risquer l’interpellation sans sommations, la condamnation, voire l’incarcération immédiate, ce qui n’est plus une fiction, alors cela ne rendrait ce combat que plus noble et plus nécessaire. Comme Jésus l’annonçait à ses disciples : « Méfiez-vous des hommes : ils vous livreront aux sanhédrins et vous flagelleront dans leurs synagogues ; vous serez traduits devant des gouverneurs et des rois, à cause de moi, pour rendre témoignage en face d’eux et des païens » (Mt 10, 17-18). La proclamation de la Vérité, pourvu que ce soit sans violence et dans une charité sans feinte, est un devoir dont aucun chrétien ne saurait s’exonérer. Comme le Christ, nous sommes appelés à être « un signe en bute à la contradiction …afin que se révèlent les pensées intimes de bien des coeurs » (Lc 2, 35). Autrement dit : chacun est appelé à se positionner pour ou contre la Vérité ! Nous ne pouvons faire l’économie de cette division apparente à laquelle nous répugnons tant : il en va de « la connaissance de la Vérité » (1 Tm 2, 3) qui seule « nous rendra libres » (Jn 8, 32). Oui au dialogue, pour une meilleure compréhension réciproque, mais sans ambiguïtés et en vue de se rapprocher de la Vérité.
 
N’ayez pas peur ! Ce fut le mot d’ordre du pontificat du bienheureux Jean- Paul II. Comme on l’a dit : « Les peureux disent aux courageux : vous êtes téméraires  ». Soyons de ceux qui ne transigent pas sur la Vérité et qui appliquent l’exhortation de l’apôtre Pierre : « Soyez toujours prêts à la défense contre quiconque vous demande raison de l’espérance qui est en vous. Mais que ce soit avec douceur et respect, en possession d’une bonne conscience » (1 P 3, 15-16).
 
+ Mgr Marc AILLET,
Évêque de Bayonne, Lescar et Oloron.
 
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Le Pérou garde la tête froide devant les pressions du lobby LGBT...

Sur le blog de Jeanne Smits du 8 juillet 2013:

 

 

(Les couleurs du drapeau péruvien)

 

 

La réunion plénière du Congrès du Pérou a rejeté, le 4 juillet, la proposition d’un de ses membres d’inclure les discriminations en raison de l’« orientation sexuelle » et de « l’identité de genre » parmi les circonstances aggravantes du délit de « discrimination », en soulignant au passage que le Pérou n’a jamais signé aucun traité international qui l’impose et que la Constitution péruvienne ne les reconnaît pas davantage.
 
La défaite du lobby gay est non seulement réelle, elle est importante puisque 56 membres contre 27 ont rejeté la proposition du congressiste Carlos Bruce, promoteur du texte.
 
Celui-ci avait passé outre à la décision de la commission de la justice qui avait déjà, dans un premier temps, écarté les termes « orientation sexuelle » et « identité de genre » de son texte : Bruce l’a présenté quand même tel quel, avec le soutien de quelques autres membres du Congrès. (...)
 
Carlos Bruce a voulu faire adopter son texte au motif que même ceux qui « n’apprécient pas » le style de vie des personnes ne peuvent manquer de condamner les attaques « quotidiennes » dont sont victimes les LGBT – attaques qui vont jusqu’aux « assassinats ».
 
Notez qu’on n’a pas besoin d’une loi interdisant n’importe quelle « discrimination » à l’égard de ces personnes pour dénoncer, poursuivre et punir les crimes dont elles peuvent être victimes – mais voilà, il se trouve qu’on a les chiffres du Rapport annuel sur les droits humains des personnes trans, lesbiennes, gays et bisexuelles au Pérou en 2012. Ils font état de 7 assassinats au cours de l’année dernière.
 
Sept ? Oui, dont trois au moins commis par le partenaire homosexuel de la victime. Sur les quatre restants, l’un a été commis par un ami du défunt, un autre dans le cadre d’un vol d’ordinateur, un troisième était un règlement de comptes : seul le motif du dernier reste inconnu. Il s’agit d’une attaque à l’arme blanche causant une blessure à la jambe de la victime à l’intérieur de son local commercial. Discrimination anti-gay ? Personne n’en sait rien… (...)
 
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Des députés qui ont voté contre le projet de loi légalisant l'avortement en Irlande ont été expulsés de leur parti

Sur le blog de Jeanne Smits du 8 juillet 2013:

 

 

(Brian Walsh, l'un des quatres députés expulsé pour avoir suivi sa conscience...)

 

 

Au lendemain du premier vote très favorable (138 voix contre 24 dans la chambre basse) à la loi mettant fin au principe de l’interdiction de l’avortement en Irlande – et même dans les 24 heures – quatre membres du parti au pouvoir, Fine Gael, ont été aussitôt exclus de leur mouvement pour avoir osé refuser de soutenir cette loi de mort.
 
Terence Flanagan, Peter Matthews, Billy Timmins et Brian Walsh ont été radiés sans préavis jeudi et aussitôt leurs fiches de contact ont été effacées du site du parti, comme s’ils avaient commis un crime abominable méritant une forme de mort civile. Ils ont également été invités à libérer leurs bureaux, et le Fine Gael a fait savoir que lors de la prochaine élection générale, ils ne seront plus investis. On trouvera, pour les remplacer, des candidats mieux soumis à la culture de mort.
 
Le Premier ministre Enda Kenny (Fine Gael), malgré les pressions de membres sans portefeuille, avait clairement refusé à ses troupes la liberté de vote sur le texte qui autorise l’avortement pendant les neuf mois de grossesse en cas de « danger pour la vie de la mère » (un concept paradoxal en Irlande, où malgré – ou à cause de – l’interdiction de l’avortement on peut se vanter d’avoir le plus bas taux de mortalité maternelle au monde !), y compris lorsque la femme enceinte menace de se suicider si elle n’y a pas accès.
 
Les quatre élus récalcitrants avaient été dûment avertis qu’ils perdraient le soutien et l’accès aux infrastructures du parti si jamais ils osaient quand même voter contre l’avortement. Mais ils ont tenu bon. Ils n’ont jamais fait mystère de leur intention de voter « non ».
 
Leur courage paraît d’autant plus grand lorsqu’on voit de quelle manière leur carrière politique a été brisée, immédiatement et sans appel.
 
(...) 
On peut regretter d’avoir à se battre aujourd’hui sur le terrain de l’objection de conscience. Mais l’affaire devient de plus en plus urgente pour empêcher que la persécution active des défenseurs de la vie et de la famille ne devienne de plus en plus généralisée.
 
 
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Le Comité consultatif national d'éthique français rejette l'euthanasie et le suicide assisté

Sur le site de Pour une école Libre du 1er juillet 2013, cette nouvelle à transmettre à votre député... :

 

C'est en France. Le Parti socialiste français veut faire accepter l'euthanasie comme son pendant socialiste d'ici, le Parti québécois.
 
Mais, en France, il existe des contre-pouvoirs et moins d'unanimisme (« la culture du consensus québécoise »).
 
C'est pourquoi le Comité consultatif national d'éthique français vient de se prononcer majoritairement contre l'euthanasie et le suicide assisté. Un avis très attendu, sollicité par le président de la République. Le comité souhaite que la loi Leonetti soit mieux appliquée. La Loi Leonetti a pour objet d'éviter les pratiques d'euthanasie, et d'empêcher également l'acharnement thérapeutique (qualifié d'« obstination déraisonnable » dans le traitement des malades en fin de vie). Il permet ainsi au patient de demander, dans un cadre défini, l'arrêt d'un traitement médical trop lourd.
 
Le président socialiste français François Hollande avait posé trois questions au Comité consultatif national d'éthique (le CCNE).
- Comment rendre dignes les derniers moments d'un patient dont les traitements ont été interrompus ?
 
- Comment appliquer les directives anticipées qu'a pu rédiger ce patient ?
 
- Quelles pourraient être les modalités strictes qui accompagneraient un patient conscient, autonome, et souhaitant mettre un terme à sa vie ?
 
Légaliser l'euthanasie ?
 
Sans en employer les mots, il posait donc la question : faut-il à l'instar d'autres pays comme la Belgique, les Pays-Bas et bientôt semble-t-il le Québec, légaliser l'euthanasie ? Permettre à des médecins de donner la mort ? (...)
 
 Aujourd'hui, en majorité, les membres du comité ont souhaité ne pas modifier la loi Leonetti adoptée en 2005. Une minorité a émis un avis contraire.
 
L'interdit maintenu
 
L'actuelle loi refuse avant tout l'acharnement thérapeutique, quand le patient, à bout de traitements, est manifestement au terme de sa vie. Alors les médecins, en accord avec le patient lui-même s'il est conscient, avec ses proches, acceptent de le « laisser mourir ».
 
Mais « laisser mourir » n'est pas « faire mourir ». L'interdit est maintenu. De même que l'assistance au suicide n'est pas légalisée.
 
En revanche, le Comité d'éthique émet six recommandations pour que la loi soit réellement appliquée. Trop de patients sont encore abandonnés à leurs souffrances physiques et morales. « Il faut cesser cette indignité », écrit son président Jean-Claude Ameisen. Les soins palliatifs pour les patients en phase terminale, y compris à domicile, doivent être accessibles à tous. Avec notamment « la sédation profonde », qui plonge le malade dans une sorte de coma.
 
(...)
 
Rappelons que les opposants à l'euthanasie considèrent que ce qui est digne c'est la personne humaine, même chez un très grand malade, pas son euthanasie. Comme le documentaire ci-dessous le montre, c'est de moins en moins la souffrance qui est insupportable et indigne, alors que la gestion de la douleur physique est de plus en plus perfectionnée, mais c'est la sénescence, le fait de vieillir, de ne plus avoir d'avenir qui devient une douleur psychique et morale de plus en plus « indigne ». On risque alors de glisser de plus en plus au suicide assisté qui contraint des tiers, des médecins, de participer à ce suicide.
 
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