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Le Pérou garde la tête froide devant les pressions du lobby LGBT...

Sur le blog de Jeanne Smits du 8 juillet 2013:

 

 

(Les couleurs du drapeau péruvien)

 

 

La réunion plénière du Congrès du Pérou a rejeté, le 4 juillet, la proposition d’un de ses membres d’inclure les discriminations en raison de l’« orientation sexuelle » et de « l’identité de genre » parmi les circonstances aggravantes du délit de « discrimination », en soulignant au passage que le Pérou n’a jamais signé aucun traité international qui l’impose et que la Constitution péruvienne ne les reconnaît pas davantage.
 
La défaite du lobby gay est non seulement réelle, elle est importante puisque 56 membres contre 27 ont rejeté la proposition du congressiste Carlos Bruce, promoteur du texte.
 
Celui-ci avait passé outre à la décision de la commission de la justice qui avait déjà, dans un premier temps, écarté les termes « orientation sexuelle » et « identité de genre » de son texte : Bruce l’a présenté quand même tel quel, avec le soutien de quelques autres membres du Congrès. (...)
 
Carlos Bruce a voulu faire adopter son texte au motif que même ceux qui « n’apprécient pas » le style de vie des personnes ne peuvent manquer de condamner les attaques « quotidiennes » dont sont victimes les LGBT – attaques qui vont jusqu’aux « assassinats ».
 
Notez qu’on n’a pas besoin d’une loi interdisant n’importe quelle « discrimination » à l’égard de ces personnes pour dénoncer, poursuivre et punir les crimes dont elles peuvent être victimes – mais voilà, il se trouve qu’on a les chiffres du Rapport annuel sur les droits humains des personnes trans, lesbiennes, gays et bisexuelles au Pérou en 2012. Ils font état de 7 assassinats au cours de l’année dernière.
 
Sept ? Oui, dont trois au moins commis par le partenaire homosexuel de la victime. Sur les quatre restants, l’un a été commis par un ami du défunt, un autre dans le cadre d’un vol d’ordinateur, un troisième était un règlement de comptes : seul le motif du dernier reste inconnu. Il s’agit d’une attaque à l’arme blanche causant une blessure à la jambe de la victime à l’intérieur de son local commercial. Discrimination anti-gay ? Personne n’en sait rien… (...)
 
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