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Robert Latimer n'aurait plus besoin de suivi psychologique...

Mais il ne semblait pas avoir un problème psychologique, mais plutôt un problème de reconnaissance de ce qui est bien et mal, et, de ce côté, il ne semble pas s'être amélioré... Sur le site de Radio-Canada du 9 juillet 2013:

(Tracy Latimer, tuée par son père à l'âge de 12 ans, qui n'a jamais jusqu'à ce jour manifesté de remords...)

 

La Commission des libérations conditionnelles du Canada (CNLC) a déclaré lundi que Robert Latimer, qui a tué sa fille lourdement handicapée en 1993, n'a plus besoin de suivi psychologique individualisé.
 
(...) 
La CNLC n'accorde cependant pas à M. Latimer le droit de donner des soins ni de prendre des décisions pour des personnes souffrant d'infirmités importantes, comme le souhaitaient ses gestionnaires de cas.
 
La Commission précise qu'un cas de récidive pourrait se produire si l'homme de 60 ans obtenait de telles responsabilités.
 
(...)
 
L'année dernière, la Commission avait autorisé M. Latimer à se rendre au Royaume-Uni pour participer à un débat sur l'euthanasie, mais sa demande de visa avait été refusée par les autorités britanniques.
 
Robert Latimer a tué sa fille Tracy, âgée de 12 ans, par empoisonnement à l'oxyde de carbone. Lourdement handicapée par une paralysie cérébrale, elle ne pouvait pas marcher, ni parler, ni s'alimenter seule.
 
Après de nombreux soubresauts judiciaires, il a été emprisonné à la William Head Institution de Victoria, en Colombie-Britannique, avant d'obtenir une libération conditionnelle complète en décembre 2010.
 
M. Latimer a avoué son crime en alléguant qu'il voulait arrêter la souffrance de sa fille. Il a toujours affirmé n'avoir rien fait de mal, et son procès a soulevé un débat important sur l'euthanasie au Canada.

Comment le Canada a-t-il pu donner un visa à un homme pour aller parler d'euthanasie, un homme qu'il croit capable de récidiver s'il se trouvait en compagne d'une personne handicapée? Un homme qui croit toujours avoir bien agi en tuant sa fille? Du moins, il n'aura plus accès aux personnes vulnérables.

Une dernière question... Tracy avait-elle donné son consentement à être tuée? Une question que les partisans de l'euthanasie «balisée» ne posent pas, remplis de compassion pour la souffrance du père...

Si on ne peut juger du coeur de Robert Latimer, le fait qu'il ne soit pas capable de reconnaître que son geste de tuer sa fille était un mal devrait indiquer aux autorités qu'il nécessite toujours une surveillance serrée...

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