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À voir, une analyse rigoureuse de l'histoire et des fondements de la théorie du genre et du féminisme

De la théorie du genre au féminisme en passant pas le spécisme, des intellectuels ont complètement perdu le contact avec la réalité et tentent d'imposer leur construction virtuelle délirante... Une excellente analyse du docteur en psychologie Yann Carrière :

//www.youtube.com/embed/7VcolCsgUrY

Un féminisme et une théorie du genre imposés aux Québécois sans discussion, ni même droit de critiquer... On ne discute pas, on se contente d'enseigner, de l'école primaire à l'université...

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Plusieurs États européens tentent d'empêcher la transmission de la foi des parents aux enfants, dont l'Allemagne, la Suède...

Sur le site de ecole-libre.com, une pétition qui illustre le combat des parents français devant l'arrogance d'États qui veulent empêcher la transmission de la foi :

(Drapeau allemand : des parents mis en prison pour avoir  refusé que l'on enseigne la théorie du genre à leurs enfants)

(photo : wikipedia sans copyright)

1.    Non, nos enfants n’appartiennent pas à l’Etat
2.    Non, nous refusons l’interdiction de l’éducation à domicile
3.    Non, nous refusons la fermeture, demain, des écoles hors contrat
4.    Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par la théorie du genre


1.    Non, nos enfants n’appartiennent pas à l’Etat
Le 5 avril 2013, Laurence Rossignol, sénateur (PS), déclarait à la télévision (émission Ce soir ou jamais) : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents »

Dans un entretien au Figaro (2 septembre 2012), Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, déclarait : « Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel ». Dans une lettre (4 janvier 2013) adressée aux recteurs, le même ministre précisait sa volonté de « changer les mentalités (…) notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles ».
En 2010 déjà, Vincent Peillon écrivait (Vincent Peillon, Une religion pour la République, Seuil, 2010) : « La laïcité française, son ancrage premier dans l’école, est l’effet, d’un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église : ce sera l’école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé : ce seront les hussards noirs de la République » (ndlr : surnom donné aux enseignants).

De son côté, Christiane Taubira déclarait à l’Assemblée nationale (3 février 2013) : « Dans nos valeurs, l’Education vise à arracher les enfants aux déterminismes sociaux et religieux (…) ».

Toutes ces déclarations démontrent la volonté de leurs auteurs de nous voler nos enfants pour les endoctriner.

Nous refusons de nous laisser déposséder ainsi de nos enfants par des idéologues totalitaires.

2.    Non, nous refusons l’interdiction de l’école à domicile
Le 18 décembre 2013, huit sénateurs UMP ont déposé  une proposition de loi visant à interdire l’éducation à domicile, « sauf situation exceptionnelle liée à l’état de santé ou l’incapacité permanente ou temporaire de l’enfant ».

Le motif évoqué est notamment d’éviter que l’enfant soit soumis à un conditionnement « religieux ».
Nous refusons que les parents soient privés de leur liberté d’éduquer leurs enfants à domicile.

3.    Non, nous refusons la fermeture, demain, des écoles « hors contrat »
Accepter aujourd’hui l’interdiction de l’éducation à domicile, c’est se préparer à voir demain déposer une nouvelle proposition de loi visant cette fois à interdire les écoles « hors contrat ».

La Suède est une inquiétante illustration de ce processus. En juin 2010, au nom d’une « lutte nécessaire » contre l’éducation religieuse privée, la scolarisation à domicile et l’école libre ont été interdites à la suite du vote par le parlement suédois d’un plan draconien intitulé « The new Education Act – for knowledge, choice and security ».
Par ailleurs, en 2009, dans une affaire opposant des parents allemands à l’Etat allemand, la Cour européenne des droits de l’homme a donné raison à l’Etat allemand dans le but « d’éviter la formation de « sociétés parallèles » motivées par la religion ».

Nous refusons que les parents soient privés de leur liberté d’inscrire leurs enfants dans des écoles « hors contrat » et de les élever dans la fidélité à leur foi.

4.    Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par la théorie du genre
Depuis la rentrée scolaire de septembre 2013, dans le cadre des « ABCD de l’égalité », 500 écoles de dix académies servent déjà de lieux « d’expérimentation » d’une idéologie du genre qui s’adresse à plusieurs milliers d’élèves de la grande section  de maternelle au CM2, ainsi qu’à leurs professeurs. Selon les mots du ministre Najat Vallaud-Belkacem, l’objectif est de déconstruire les « stéréotypes de genre » et de forcer la nouvelle génération à s’interroger sur son « orientation sexuelle » ainsi que sur son « identité sexuelle ».
De son côté, le SNUipp-FSU, principal syndicat enseignant, a publié un dossier intitulé « Eduquer contre l’homophobie dès l’école primaire » préfacé par Michel Teychenné, chargé de mission de Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale. Ce dossier préconise aux enseignants en CE1 de consacrer chaque semaine un temps à un programme intitulé « Se construire comme fille ou garçon » tandis qu’en CM1 CM2 les enseignants organiseront une réflexion autour de : « tu te décides entre fille et garçon ».
Dans ce cadre, les lectures pédagogiques proposées s’intitulent notamment « J’ai deux papas qui s’aiment », « Papa porte une robe » ou encore « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille ».
Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par des idéologues voulant imposer la théorie du genre.
 

Rappelons que des parents en Allemagne ont été mis en prison pour avoir refusé que leurs enfants reçoivent l'enseignement pervers de la théorie du genre,et qu'au Québec, la député Fatima Houda-Pépin demande l'interdiction de retirer un enfant d'un cours qui va à l'encontre des valeurs et de la foi des parents :

//www.youtube.com/embed/zDsWKapF4kg

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L’euthanasie ou le miracle économique du Parti Québécois

par Paul-André Deschesnes | revue Égards / Le siècle, les hommes, les idées | Mise en ligne de La rédaction, le 16 février 2014 [EXTRAITS DU NUMÉRO 42 / HIVER 2013-2014]

(Pauline Marois : une promesse n'est qu'une promesse...)

(Photo : Bouchecl sur wikimedia.org, licence creative commons)

À lire, un plus grand extrait de l'article paru dans la revue Égards

À voir, la pyramide des âges 2013 du Québec.

(...) Dans nos établissements de santé, le personnel soignant (médecins, spécialistes, infirmières, préposés) vit l’enfer au quotidien dans un climat angoissant. Le gouvernement québécois, au bord de la faillite, n’arrête pas de couper à tous les niveaux. Le système est à bout de souffle. L’anarchie et le chaos le guettent. Chaque jour les journaux et la télévision nous informent de toutes sortes d’histoires d’horreur (erreurs médicales, patients maltraités et même empoisonnés, malades qui meurent sur une civière à l’urgence après vingt-quatre heures d’attente ou qui crèvent chez eux en attendant d’être opérés, etc.). Le gouvernement rassure la population en faisant jouer sa cassette : « C’est un incident isolé ». Un peu partout, on fait maintenant appel à des bénévoles pour prendre soin des malades devant l’incapacité et le manque de volonté chroniques de l’État.

Depuis deux ans, le gouvernement annonce avec tambours et trompettes que la solution serait le maintien à domicile des malades. Mais pour réussir cet exploit, il faut des ressources et de l’aide concrète afin de leur permettre de rester chez eux en toute sécurité. Or le gouvernement de Pauline Marois, oubliant ses belles promesses, a coupé même dans les services à domicile ! Une incroyable contradiction ! Après avoir déposé son projet de loi sur l’euthanasie, le gouvernement péquiste a bien préparé la population en répétant que le budget consacré aux soins de santé était trop élevé et que ce sont surtout les personnes âgées qui en sont responsables

Depuis un an, j’ai rencontré de nombreux aînés qui ont finalement accepté l’idée de se faire euthanasier quand ils seront assez malades. J’ai compris que tous ces gens sont maintenant très résignés devant le marasme qui fait rage dans le système de santé. La peur de souffrir, d’être un poids pour la société et d’être maltraités en tombant dans les griffes d’un système aussi inhumain les rend encore plus malades. En voyant les horreurs dans les hôpitaux et les centres d’accueil, ils s’écrient : « Je ne veux pas vivre cela ! ». La perspective d’une fin de vie épouvantable les terrifie. Et ils acquiescent au projet de loi sur l’euthanasie, au grand plaisir du gouvernement.

(...)

Le Québec est parmi les populations dont le vieillissement de la population se fera le plus rapidement. Le Japon nous précède de peu dans cette expérience et leur ministre des finances ne se gêne pas d'appeler les personnes âgées à se faire euthanasier pour sauver les finances publiques!

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Lettres sur l'euthanasie

 
D'abord cette réflexion :

(photo : AlerteRose sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

 

La Belgique, soit notre « MODÈLE », vient d’adopter une loi, le 13 février, permettant l'euthanasie des enfants. Et on encense déjà le tout dans la presse québécoise…

Pensez-y une seule seconde : Comment pensez-vous se sentira un jeune enfant devant la détresse DE SES PARENTS à propos de sa souffrance à lui, souffrance que ses parents doivent supporter À CAUSE DE LUI ?

Il est tout à fait irréaliste de penser qu’un enfant demandera d’être euthanasié sans être influencé par ce facteur hyper lourd pour lui : le sentiment d’être un fardeau pour sa famille et pour la société. C’est ce même sentiment qui poussera les personnes âgées et les autres personnes en perte d’autonomie à « demander » l’euthanasie : ce sentiment d’être COUPABLES de vivre alors que tant d’autres personnes non-autonomes et donc « indignes » auront eu la « DÉCENCE » et la « DIGNITÉ » de choisir d’être mises à mort par euthanasie.

Ces pressions sociales de « choisir » l’euthanasie conduiront forcément à l’évanouissement, à court terme, à moyen terme ou à long terme, de tout autre choix possible pour les personnes qui souffrent. Ce sera un monde dont l’humanité, le courage et la persévérance auront été évacués. Et c’est nous qui l’auront créé, ce monde, en faisant l’autruche, en tentant de s’autosuggestionner qu’il est possible de « baliser » et de « restreindre » les forces homicidaires, en les maquillant de toutes sortes de « beaux mots ». Investissons dans les soins palliatifs et nous récolterons les fruits de vie et de santé correspondants pour l’ensemble de le société. Pour l’instant, la plupart des médecins ont ZÉRO formation en soins palliatifs. Ils se sentent désemparés devant la souffrance, et à vrai dire, ILS LE SONT. Ce n’est pas normal et ÇA DOIT ÊTRE CORRIGÉ. L’institution du meurtre n’est pas nécessaire pour apporter cette correction. Mais l’institution du meurtre par euthanasie ENLÈVERA TOUTE MOTIVATION d'apporter les RÉELS CORRECTIFS qui s’imposent. L’euthanasie et les soins palliatifs sont contraires et incompatibles. Ils ne peuvent coexister.

Isabelle et Ward O’Connor
 

Ensuite, deux lettres sont parues dans le Journal de Montréal, le 14 (cliquez ici) et le 17 février

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Rappel: point de presse et lancement de la campagne de définancement de l'avortement ce matin

Aujourd'hui, le 17 février à 11h00, date qui coïncide avec le début de la saison des impôts, Campagne Québec-Vie lancera sa campagne pour le définancement de l’avortement au Québec. Nous tiendrons une conférence de presse à l’extérieur du CSSS Jeanne-Mance sur la rue Sanguinet à Montréal (1250 rue Sanguinet), lieu où sont pratiqués des avortements tardifs.

Moi-même et d’autres activistes de Campagne Québec-Vie serons sur les lieux pour déclarer que nous ne voulons plus, par nos impôts, nous rendre complices de meutre. La grossesse n’étant pas une maladie et des spécialistes en la matière ayant maintes fois déclaré que la santé physique de la femme n’exige jamais l’avortement direct, nous allons exprimer notre désaccord avec la politique courante de financement public de l’avortement sur demande. Le bar ouvert, c’est fini !

À la suite de cette conférence de presse, nous espérons que tous nos membres, et vous les premiers, feront connaître leur opinion à nos élus. Vous trouverez ci-joint un modèle de lettre que vous pourrez utiliser pour écrire au ministre des Finances du Québec déclarant que vous êtes tanné de payer pour les crimes des autres et demandant qu’il abolisse, dès maintenant, le financement public de l’avortement.

Notre campagne se clôturera avec plusieurs mini-manifs, le jeudi 10 avril à 12h00, devant divers bureau de députés provinciaux sur l’île de Montréal et dans le reste du Québec.

Nous avons besoin de chefs d’équipe pour organiser ces « mini-manifs ». Si vous êtes intéressé, appelez-nous dès maintenant aux coordonnées indiquées au haut de cette page.

J’espère vous voir participer en grand nombre à une manifestation. Mais vous pouvez tous envoyer un message clair à votre député par téléphone, par courriel ou même par une bonne vieille lettre livrée par un facteur : « Oui à la vie, non au gaspillage des fonds publics, non au financement public de l’avortement ! »

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Dernier rassemblement avant le vote sur le projet de loi 52 légalisant l’euthanasie au Québec

Mardi 18 février à 17 h 30

Le Rassemblement québécois contre l’euthanasie (le groupe ayant organisé La Marche printanière) nous convie à une vigile devant l’Assemblée nationale du Québec de 17 h 30 à 18 h 15 le mardi 18 février.

Le projet de loi 52 légalisant l’euthanasie au Québec sera probablement voté avant le budget présenté le 20 février : c’est notre dernière occasion de se lever concrètement pour rappeler la dignité de toute vie humaine avant ce vote. Soyons nombreux et nombreuses en solidarité avec nos frères et nos sœurs sombrant dans le désespoir. Lançons leur un message clair : les personnes souffrantes en fin de vie ont besoin de soins palliatifs, d’accompagnement et de surtout, beaucoup d’amour.

Mises à jour sur www.facebook.com/LaMarchePrintaniere

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Deux lettres qui font réfléchir sur la santé au Québec : le gouvernement se prépare vraiment à euthanasier...

Sur le site du Journal de Québec du 13 février 2014, cette lettre sur le fait que le gouvernement aimerait restreindre l'accès aux hôpitaux spécialisés selon la provenance géographique du patient :

(Photo : Halfafah sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

(...)En voulant nous enlever maintenant le droit de choisir par qui et où nous voulons être traités(es), le P.Q. nous met tous et toutes en danger de mort. Les hôpitaux régionaux n’ont pas l’expertise, ni les experts, ni les instruments de fine pointe pour soigner nos maladies et nous remettre sur pied. (...)

Ah oui, le Parti Québécois parle d'un jour où il y aura des soins palliatifs de qualité dans toutes les régions du Québec, pour tous les Québécois... Il y aura des lendemains qui chantent...

De même, pourquoi s'inquiéter devant le témoignage suivant ? Une expérience qui amène à se poser les questions suivantes. Sur le site de tvndy.ca du 12 février 2014 :

(...)Je me demandais comment un système de santé qui est surchargé, avec du personnel qui est accablé, dans des établissements qui sont surpeuplés, peut mettre en œuvre les garanties nécessaires pour protéger les personnes contre les abus de l’euthanasie. (...)

Je me suis demandé ce qui se passe pour les gens qui n’ont pas quelqu’un avec eux, pour s’assurer qu’ils obtiennent leurs médicaments contre la douleur, de l’eau, une marchette, etc.
Je me demande comment l’ambiance d’usine à l’hôpital affecte le moral du personnel et l’estime de soi des patients.  Peut-on vraiment être sûr que le système de santé et de services sociaux ne rend pas la vie insupportable pour les personnes, puis les tue parce qu’ils souffrent?

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Bolivie : la cour constitutionnelle rejette la demande de féministes de permettre l'élimination des enfants à naître

Sur le site du journal La Presse du 13 février 2014 :

(Drapeau de la Bolivie)

(Photo : benontherun.com sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

La Cour constitutionnelle de la Bolivie a rejeté la dépénalisation de l'avortement réclamée par des groupes féministes, et a reconnu le droit à la vie dès la conception, a annoncé jeudi un des magistrats de ce tribunal.

«L'avortement est un crime» et «cette décision de la Cour constitutionnelle est une reconnaissance du droit à la vie», a déclaré le juge Gualberto Cusi à la presse dans la ville de Sucre (sud-est), siège du pouvoir judiciaire.

Il ne faut pas désespérer d'avoir un jour, des magistrats de cette qualité au Canada...

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La pharmacie Uniprix conseille l'avortement par la pilule du lendemain ou par un stérilet en cas d'échec contraceptif

Sur le site d'Uniprix.com

(Stérilet, photo : ceridwen sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

Votre pharmacien de famille peut également vous conseiller quant à la contraception orale d’urgence, également connue sous le nom de pilule du lendemain, offerte gratuitement. Plus elle est prise rapidement, plus elle sera efficace. Elle doit être prise à l’intérieur d’un délai maximal de 5 jours (120 heures) après la relation sexuelle non protégée ou à la suite d’un bris de condom.

Selon la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC), la contraception d’urgence n’est pas une méthode qui entraîne l’avortement puisqu’elle agit avant l’implantation de l’ovule.

Cela fait plus de 5 jours? L’insertion d’un stérilet en cuivre constitue une méthode de contraception d’urgence efficace jusqu’à 7 jours après la relation non protégée. Ce dispositif peut ensuite être conservé comme contraceptif continu. Consultez votre médecin pour plus de renseignements.

L'avortement est l'élimination d'un nouvel être humain créé dès la fécondation de l'ovule par le spermatozoïde. Il ne s'agit absolument pas d'une question de réussite de nidation... La pilule du lendemain comme le stérilet élimine de nouveaux êtres humains. Ils sont vecteurs d'avortements et dans le cas du stérilet, de très nombreux avortements...

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Le Parlement belge a adopté la loi permettant l'euthanasie des mineurs

Sur le site du journal Le Figaro du 13 février 2014 :

(Toute la violence d'une question : « Veux-tu être euthanasiée? »)

(Photo : D. Sharon Pruitt sur flickr.com, licence creative commons)

 

Le Parlement fédéral belge a adopté jeudi une loi étendant aux mineurs celle de 2002 dépénalisant l'euthanasie. Le texte a été approuvé à la Chambre des représentants par 86 voix pour, 44 contre et 12 abstentions. Pour entrer en vigueur, la loi devra désormais être promulguée par le roi Philippe.

(...)

Évoquant un vote «précipité», près de 200 pédiatres (sur les 1200 reconnus en Belgique) ont envoyé une lettre ouverte en ce sens au président de la Chambre, le PS André Flahaut. «Cela ne répond pas à une demande, témoigne ainsi le Dr Christiane Vermylen, pédiatre hémato-oncologue à Louvain. En 30 ans, je n'ai jamais été confrontée à une demande d'euthanasie d'enfant. (...) »

Aucun enfant n'a jamais demandé le privilège d'être tué en Belgique à ce jour. Par contre, les partisans du « Mourir dans la dignité » l'ont demandé pour eux...

Des experts en soins palliatifs réunis pour un congrès en Inde, interviennent dans le débat. Sur le site de genethique.org du 13 février 2014 :

(...)le premier Congrès international de soins palliatifs pédiatriques se réunit à Mumbai (Inde), du 10 au 12 février 2014, rassemblant 250 experts en soins palliatifs venus de 35 pays. Ils ont, à cette occasion, adressé une déclaration au monde entier appelant "urgemment le gouvernement belge à reconsidérer sa récente décision". En conclusion de leur sommet, ils ont réclamé "pour tous les enfants en fin de vie  l’accès aux moyens appropriés pour contrôler la douleur et les symptômes, ainsi que des soins palliatifs de haute qualité pour rencontrer leurs besoins particuliers", précisant que "l’euthanasie ne fait pas partie de la thérapie palliative pédiatrique et ne constitue pas une alternative". (...)

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