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Lettres sur l'euthanasie

 
D'abord cette réflexion :

(photo : AlerteRose sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

 

La Belgique, soit notre « MODÈLE », vient d’adopter une loi, le 13 février, permettant l'euthanasie des enfants. Et on encense déjà le tout dans la presse québécoise…

Pensez-y une seule seconde : Comment pensez-vous se sentira un jeune enfant devant la détresse DE SES PARENTS à propos de sa souffrance à lui, souffrance que ses parents doivent supporter À CAUSE DE LUI ?

Il est tout à fait irréaliste de penser qu’un enfant demandera d’être euthanasié sans être influencé par ce facteur hyper lourd pour lui : le sentiment d’être un fardeau pour sa famille et pour la société. C’est ce même sentiment qui poussera les personnes âgées et les autres personnes en perte d’autonomie à « demander » l’euthanasie : ce sentiment d’être COUPABLES de vivre alors que tant d’autres personnes non-autonomes et donc « indignes » auront eu la « DÉCENCE » et la « DIGNITÉ » de choisir d’être mises à mort par euthanasie.

Ces pressions sociales de « choisir » l’euthanasie conduiront forcément à l’évanouissement, à court terme, à moyen terme ou à long terme, de tout autre choix possible pour les personnes qui souffrent. Ce sera un monde dont l’humanité, le courage et la persévérance auront été évacués. Et c’est nous qui l’auront créé, ce monde, en faisant l’autruche, en tentant de s’autosuggestionner qu’il est possible de « baliser » et de « restreindre » les forces homicidaires, en les maquillant de toutes sortes de « beaux mots ». Investissons dans les soins palliatifs et nous récolterons les fruits de vie et de santé correspondants pour l’ensemble de le société. Pour l’instant, la plupart des médecins ont ZÉRO formation en soins palliatifs. Ils se sentent désemparés devant la souffrance, et à vrai dire, ILS LE SONT. Ce n’est pas normal et ÇA DOIT ÊTRE CORRIGÉ. L’institution du meurtre n’est pas nécessaire pour apporter cette correction. Mais l’institution du meurtre par euthanasie ENLÈVERA TOUTE MOTIVATION d'apporter les RÉELS CORRECTIFS qui s’imposent. L’euthanasie et les soins palliatifs sont contraires et incompatibles. Ils ne peuvent coexister.

Isabelle et Ward O’Connor
 

Ensuite, deux lettres sont parues dans le Journal de Montréal, le 14 (cliquez ici) et le 17 février

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