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Plusieurs États européens tentent d'empêcher la transmission de la foi des parents aux enfants, dont l'Allemagne, la Suède...

Sur le site de ecole-libre.com, une pétition qui illustre le combat des parents français devant l'arrogance d'États qui veulent empêcher la transmission de la foi :

(Drapeau allemand : des parents mis en prison pour avoir  refusé que l'on enseigne la théorie du genre à leurs enfants)

(photo : wikipedia sans copyright)

1.    Non, nos enfants n’appartiennent pas à l’Etat
2.    Non, nous refusons l’interdiction de l’éducation à domicile
3.    Non, nous refusons la fermeture, demain, des écoles hors contrat
4.    Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par la théorie du genre


1.    Non, nos enfants n’appartiennent pas à l’Etat
Le 5 avril 2013, Laurence Rossignol, sénateur (PS), déclarait à la télévision (émission Ce soir ou jamais) : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents »

Dans un entretien au Figaro (2 septembre 2012), Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, déclarait : « Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel ». Dans une lettre (4 janvier 2013) adressée aux recteurs, le même ministre précisait sa volonté de « changer les mentalités (…) notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles ».
En 2010 déjà, Vincent Peillon écrivait (Vincent Peillon, Une religion pour la République, Seuil, 2010) : « La laïcité française, son ancrage premier dans l’école, est l’effet, d’un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église : ce sera l’école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé : ce seront les hussards noirs de la République » (ndlr : surnom donné aux enseignants).

De son côté, Christiane Taubira déclarait à l’Assemblée nationale (3 février 2013) : « Dans nos valeurs, l’Education vise à arracher les enfants aux déterminismes sociaux et religieux (…) ».

Toutes ces déclarations démontrent la volonté de leurs auteurs de nous voler nos enfants pour les endoctriner.

Nous refusons de nous laisser déposséder ainsi de nos enfants par des idéologues totalitaires.

2.    Non, nous refusons l’interdiction de l’école à domicile
Le 18 décembre 2013, huit sénateurs UMP ont déposé  une proposition de loi visant à interdire l’éducation à domicile, « sauf situation exceptionnelle liée à l’état de santé ou l’incapacité permanente ou temporaire de l’enfant ».

Le motif évoqué est notamment d’éviter que l’enfant soit soumis à un conditionnement « religieux ».
Nous refusons que les parents soient privés de leur liberté d’éduquer leurs enfants à domicile.

3.    Non, nous refusons la fermeture, demain, des écoles « hors contrat »
Accepter aujourd’hui l’interdiction de l’éducation à domicile, c’est se préparer à voir demain déposer une nouvelle proposition de loi visant cette fois à interdire les écoles « hors contrat ».

La Suède est une inquiétante illustration de ce processus. En juin 2010, au nom d’une « lutte nécessaire » contre l’éducation religieuse privée, la scolarisation à domicile et l’école libre ont été interdites à la suite du vote par le parlement suédois d’un plan draconien intitulé « The new Education Act – for knowledge, choice and security ».
Par ailleurs, en 2009, dans une affaire opposant des parents allemands à l’Etat allemand, la Cour européenne des droits de l’homme a donné raison à l’Etat allemand dans le but « d’éviter la formation de « sociétés parallèles » motivées par la religion ».

Nous refusons que les parents soient privés de leur liberté d’inscrire leurs enfants dans des écoles « hors contrat » et de les élever dans la fidélité à leur foi.

4.    Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par la théorie du genre
Depuis la rentrée scolaire de septembre 2013, dans le cadre des « ABCD de l’égalité », 500 écoles de dix académies servent déjà de lieux « d’expérimentation » d’une idéologie du genre qui s’adresse à plusieurs milliers d’élèves de la grande section  de maternelle au CM2, ainsi qu’à leurs professeurs. Selon les mots du ministre Najat Vallaud-Belkacem, l’objectif est de déconstruire les « stéréotypes de genre » et de forcer la nouvelle génération à s’interroger sur son « orientation sexuelle » ainsi que sur son « identité sexuelle ».
De son côté, le SNUipp-FSU, principal syndicat enseignant, a publié un dossier intitulé « Eduquer contre l’homophobie dès l’école primaire » préfacé par Michel Teychenné, chargé de mission de Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale. Ce dossier préconise aux enseignants en CE1 de consacrer chaque semaine un temps à un programme intitulé « Se construire comme fille ou garçon » tandis qu’en CM1 CM2 les enseignants organiseront une réflexion autour de : « tu te décides entre fille et garçon ».
Dans ce cadre, les lectures pédagogiques proposées s’intitulent notamment « J’ai deux papas qui s’aiment », « Papa porte une robe » ou encore « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille ».
Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par des idéologues voulant imposer la théorie du genre.
 

Rappelons que des parents en Allemagne ont été mis en prison pour avoir refusé que leurs enfants reçoivent l'enseignement pervers de la théorie du genre,et qu'au Québec, la député Fatima Houda-Pépin demande l'interdiction de retirer un enfant d'un cours qui va à l'encontre des valeurs et de la foi des parents :

//www.youtube.com/embed/zDsWKapF4kg

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