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L'ouverture d'esprit n'est pas racolage... réflexion sur les réactions aux paroles de François sur les personnes homosexuelles

Changement de ton dans l’Église? Changement de personnalité plutôt…

 

Il est particulièrement lassant de lire les commentaires des principaux médias ces jours-ci, où même, d’entendre certains membres de l’Église encourager ces médias en se réjouissant de cette « ouverture » du pape envers les personnes homosexuelles, comme si Benoit XVI et Jean-Paul II n’avaient pas toujours eu, exactement la même attitude, exprimée selon leur personnalité plus réservée de prélats européens.

 

Comment des chrétiens peuvent-ils entrer dans ce jeu de racolage qui consiste à laisser entendre que ce « changement de ton », qui n’en est pas un, pourrait être le garant de changement, d’adaptation, tel que le souhaite et le laisse entendre des journalistes qui ont tout autant à cœur les enseignements du Christ que l’auteur de ces lignes tient à répandre les enseignements du Marxisme aux personnes qui n’auraient pas encore été contaminées par sa bêtise…

 

Je reprendrai deux commentaires parus sur le site du Journal de Québec du 30 juillet 2013, courts et qui ont le mérite de bien exprimer ce que doit être une authentique charité :

Le Pape a dit qu'on devait accueillir un homosexuel qui cherche Dieu... comme il faut accueillir un alcoolique, un batteur de femme, une prostituée, et tout pécheur... dans la conversion à Dieu. Comme disait le Christ : 1) Il n'est pas venu pour le juste mais pour le pécheur; 2) Nul n'entre au Royaume du Père qui n'obéit pas à ses commandements; 3) Donc, convertissons-nous : “Va et ne pèche plus.”

Il faut vraiment se boucher les oreilles, se fermer l'intelligence et se geler le coeur pour comprendre autre chose de celui que le Christ nous a laissé comme assise de l'Église dans le temps qui passe. »

À un commentaire qui lui reprochait de comparer la pratique homosexuelle avec l’alcoolisme ou le batteur de femme, M. Allaire répondait très justement :

Que nous soyons tous des pécheurs, que nos péchés soient populaires ou impopulaires à une époque, n'est pas un amalgame mais une observation élémentaire qui rend compte de la nécessité d'un Sauveur. Pour cela, nous devons être tous reconnaissants envers le Seigneur et ouverts à toutes les personnes affligées par le péché, qu'il s'agisse de la pratique de l'homosexualité ou de l'ivresse... Et cette ouverture n'a de sens que celui de devenir parfait comme notre Père est parfait, car aucun péché n'entre au Paradis. C'est la raison pour laquelle l'amour du prochain est proportionnel au combat contre le péché qui les afflige. La solidarité avec le malade passe par sa libération de sa maladie. La solidarité envers sa maladie est une attaque contre ce prochain.

La fraîcheur de l'amour que le Pape offre est celle du Christ qui mangeait et s'assoyait avec les pécheurs... pour les mener sur le Chemin de la Vie et de la Vérité.

Quand on saisit cette nuance, on ne parle pas de changement de ton mais d'approfondissement de la mission. Et on ne risque pas la confusion d'autrui, en notre époque, entre le pécheur appelé à la conversion et le péché qui cherche cruellement à l'en retenir.

Si l’Église du Québec veut tomber dans le racolage et l’hypocrisie, elle ne s’attirera qu’une estime d’apparence des médias, heureux de trouver des idiots utiles qu’ils mépriseront sincèrement, et utiliseront, le temps que ces amis de circonstance voudront bien jouer le rôle du chrétien « ouvert », chrétien qui confond "ouverture" avec une parole véritablement ouverte à l’amour du prochain et prêt à lui donner ce qu’il y a de meilleur : la vérité dans un écrin d’amour. Ce que fait le pape François.

 

Trop de chrétiens choisissent une apparence de communion avec l’esprit du monde. Nous aimerions les voir, sans hésiter prendre exemple sur cet homme humble qui ne joue pas avec la vérité, qui a répété sans hésitation la fermeture à l’hominisation des femmes par une caricature d’ordination, et fermé la porte à tout débat sur l’avortement en affirmant aux médias qu’ils connaissent déjà la position de l’Église sur le sujet.

 

Cette attitude d’humilité vraie est la même que celle de Benoît rencontrant les victimes de pédophilie dans l’Église, que celle de Jean-Paul II pardonnant à celui qui avait tenté de le tuer et demandant pardon pour les crimes commis dans l’Église et en son nom.

Non, il n’y a pas eu de changement de ton, mais bien plutôt, un changement de personnalité, qui peut plaire davantage aux médias. Ne tombons pas dans ce jeu malhonnête de la flatterie sur l’ouverture d’esprit, qui n’apportera aucun fruit, mais qui laisse espérer aux ennemis du Christ une trahison de son enseignement qui les cautionnerait dans leurs erreurs. Ce qui n’arrivera pas.

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Une mère lesbienne doit reconnaître les droits d'un donneur de sperme voulant assumer sa paternité

Sur le site du journal Le Figaro du 31 juillet 2013 (via le Salon beige) :

(Des situations inhumaines pour les enfants confrontés au délire des adultes)

 

C'est l'histoire d'un petit garçon conçu «de manière artisanale par trois apprentis sorciers», explique crûment l'avocate du «géniteur». «Meilleur ami» d'un couple de femmes, raconte Me Magali Castelli-Maurice, Sébastien accepte de leur donner son sperme, et de renoncer à tous ses droits sur l'enfant. Mais, sept mois après la naissance, en septembre 2011, à Orléans, ce jeune barman se découvre des instincts paternels… et décide de reconnaître le bébé.
 
Une «espèce de tremblement de terre» dans la vie de Magali et Flavie, qui, jurent-elles, «voulaient que l'enfant connaisse ses origines, mais pas tout de suite, seulement quand il aurait posé des questions»… Les deux femmes ont beau déménager, en catimini, à Nantes, elles reçoivent, en mai dernier, une assignation devant le juge aux affaires familiales.
 
Dès lors, «c'est l'intérêt de l'enfant qui doit primer!», proclament en chœur les deux parties. «Peut-être que les gens auront du mal à comprendre, avance Magali, mais, pour nous, l'intérêt de notre fils, c'est d'être avec ses deux mamans et sa petite sœur», née le mois dernier d'un père «plus mûr, très sûr et qui a déjà des enfants». En face, Me Castelli-Maurice s'étrangle: «Ah bon, l'intérêt de l'enfant, c'est de vivre sans père?»
 
«J'ai peur pour son équilibre!»
 
Le juge a finalement tranché, mardi, et «organisé les droits du père de manière progressive, se félicite Me Anne Bouillon, avocate de Magali. Il verra d'abord l'enfant en présence de sa mère une fois par mois, puis sans sa mère. Puis aura un droit de visite et d'hébergement, et, enfin, la moitié des vacances scolaires».
 
En pleins préparatifs pour son mariage, le 17 août, Magali
avoue son désarroi: «Quand vous faites un don de sang, vous venez pas le récupérer après!, lâche-t-elle. Je n'en dors plus, je n'arrive plus à être une mère à 100 %. C'était pas prévu qu'il ait plus de droits que ma compagne, qui a vu naître l'enfant et qui l'élève! Aujourd'hui, cet enfant a une vie stable… J'ai peur pour son équilibre!». Certes, admet Me Bouillon, «cela va changer leur vie». «Il y avait un projet parental construit, des places imaginées, rappelle-t-elle, et tout d'un coup les cartes sont redistribuées, il faut imaginer cette coparentalité à trois, composer avec ce monsieur. Et pour la compagne de Magali, l'adoption plénière n'est plus possible.»
 
La situation de ce petit garçon, souligne Me Bouillon, n'est pas unique. «Internet a été un accélérateur de rencontres incroyable. Sur les forums, on voit des couples d'hommes qui cherchent une femme, on voit aussi l'inverse, indique l'avocate, qui a en charge d'autres dossiers similaires. Ce genre de cas sera de plus en plus fréquent. Il y a des femmes qui acceptent d'aider des hommes puis refusent d'accoucher sous X. Il y a des couples qui bâtissent des projets et, finalement, tout bascule…»
 
(...)
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Un tribunal britannique refuse l'euthanasie de personnes handicapées mais renvoie la balle au parlement...

Sur le site du Huffington Post du 31 juillet 2013 :

 

 

:

LONDRES - Un tribunal britannique a maintenu une loi qui interdit l'euthanasie en rejetant l'appel logé par deux hommes lourdement handicapés qui réclamaient que les médecins puissent les aider à mourir en toute légalité.

Les deux hommes prétendaient que leur droit à une vie familiale et privée, tel que garanti par la Convention européenne sur les droits de la personne, était brimé puisqu'on ne leur permettait pas de choisir l'endroit et la manière de leur mort.
 
Dans un jugement rendu mercredi, la Cour d'appel a reconnu que la loi interfère actuellement avec ce droit, tout en maintenant que l'interdit qui pèse sur l'euthanasie est justifié. L'an dernier, un tribunal inférieur avait statué que tout changement dans ce dossier devrait être effectué par les politiciens et non par les juges.
 
La Cour d'appel a abondé dans le même sens en affirmant que le Parlement représente la conscience de la nation et que le tribunal n'a pas de juridiction pour remettre en question l'interdit légal sur l'euthanasie.
 
Un des deux plaignants, un homme qui a été paralysé lors d'un accident de la route, s'est déclaré catastrophé par la décision. Ses avocats et lui pourraient maintenant s'adresser à la Cour suprême.
 
(...)
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Une école américaine forcée d'accepter les personnes « transgenres » dans le dortoir du sexe opposé...

Sur le site de Riposte catholique du 31 juillet 2013:

 

 

 

 

Le département de la Justice fédérale a tant fait pression sur les autorités d’un district scolaire de Californie qu’une jeune élève faisant son entrée dans une « High school » locale – l’équivalent du lycée – pourra utiliser les toilettes et les vestiaires des garçons, parce qu’elle s’identifie comme tel. Son sexe biologique, précise-t-on, est féminin.
 
Les responsables de l’école ont reçu une lettre de l’administration Obama précisant que s’ils refusaient de respecter l’identité choisie de la jeune fille, ils se rendraient coupables de discrimination en raison du sexe à l’égard d’« élèves qui ne se conforment pas aux stéréotypes sexuels ».
 
Un nouvel accord a donc été signé au niveau du district scolaire ouvre désormais à chaque élève transgenre la possibilité de profiter des toilettes et vestiaire du sexe opposé, et, mieux, de partager les dortoirs du sexe opposé au sien pendant les voyages scolaires. Ce qui, soit dit en passant, pourrait bien faire naître des vocations « transgenres » chez quelques garçons un peu plus entreprenants que les autres…
 
(...)
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Dossier du Journal de Montréal sur les dérives coûteuses de la procréation assistée au Québec

Sur le site du Journal de Montréal du  31 juillet 2013 :

(Photo résumant dans le  Journal de Montréal la situation au Québec et les coûts de la procréation assistée en 2012-2013 de 59,8 millions de dollars.

 

 

Couples gais, immigrants sans emploi, célibataires: le manque d’encadrement du programme de procréation assistée mène à une «dérive» dans la sélection des personnes admissibles, selon le CHUM.
 
(...)
 
Actuellement, toute femme en âge de procréer qui a une carte d’assurance maladie du Québec valide y a droit (voir encadré).
 
Or, dans le quotidien, les médecins sont confrontés à toutes sortes de scénarios pour lesquels ils n’ont pas de directive claire.
 
Couples gais, immigrants, célibataires: les exemples qui soulèvent des questions éthiques, juridiques et déontologiques sont fréquents, lit-on dans le mémoire déposé dans le cadre de la consultation publique sur le PPA par la Commission à la santé et au bien-être.
 
«Infertilité sociale»
 
«Nous constatons une apparente dérive des cas d’infertilité médicale vers une sorte d’infertilité sociale», ajoutent les auteurs.
 
Par exemple, le CHUM cite le cas d’une immigrante provenant d’Afrique, sans emploi et au statut précaire, qui veut avoir un enfant par don de sperme. Cette dernière a même deux enfants qui vivent toujours en Afrique.
 
D’autres cas posent aussi des questions, dont les célibataires dans la jeune vingtaine et les femmes plutôt âgées.
 
«En général, ces personnes n’ont toutefois pas de condition médicale d’infertilité, ce qui nous amène à questionner l’application du programme québécois de procréation assistée à ces dernières», souligne le CHUM.
 
(...)
 
Pas de limite d’âge
 
Il n’y a d’ailleurs pas de limite d’âge pour profiter du PPA. En mai dernier, la Fédération des médecins spécialistes du Québec avait aussi fait une sortie publique en faveur d’un resserrement des critères d’admissibilité.
 
(...)

 

Voici quelques exemples parmi la série que l'article mentionne comme étant problématiques :

• Femme fin trentaine présentant un tableau d’épilepsie, de dépression et de troubles psychiatriques. Déficits cognitifs importants démontrés par évaluation neuro-psychologique. Historique de troubles conjugaux, de troubles d’adhérence aux traitements et de manque de collaboration avec les équipes cliniques.

• Femme qui a déjà des enfants placés en foyers d’accueil.

• Célibataire début vingtaine désire avoir accès à la procréation assistée comme femme seule avec don de sperme.

• Couple fin trentaine ne présentant pas de tableau clair d’infertilité. Le couple désire une fécondation in vitro avec don de sperme parce que l’homme accepte d’être le père de l’enfant, mais pas son géniteur.

• Couple gai masculin: nécessité de recours à une mère porteuse alors que le statut de ces dernières est incertain d’un point de vue juridique. De plus, une femme a droit à trois cycles, ce qui fait qu’en changeant de mère porteuse, le couple pourrait théoriquement obtenir un nombre illimité de cycles.

• Femme handicapée des membres inférieurs dans la vingtaine désirant avoir accès à la procréation assistée comme femme seule avec don de sperme. Le projet parental envisagé était avec sa mère qui pourrait s’occuper de l’enfant.

• Plusieurs cas de femmes âgées: quel âge maximum ?

(...)

Il manque à cette série le cas de cet enfant fabriqué et envoyé peu après sa naissance, directement à la DPJ.

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Avortement aux États-Unis : des changements pour 2015?

Sur le site de Nouvelles de France du 30 juillet 2013 :

 

(Karen O'Connor, professeur en science politique)

 

 

Karen O’Connor, professeur en science politique à l’American University de Washington, D.C., a estimé sur ABC que la jurisprudence de la Cour suprême (Roe vs Wade en 1973 a permis l’avortement au niveau fédéral jusqu’à 28 semaines, Planned Parenthood vs Carey en 1992 a autorisé les États à restreindre l’accès à l’avortement, interdit au niveau fédéral après 24 semaines) pourrait subir un revirement dès 2015.
 
En effet, de très nombreuses procédures judiciaires opposant « pro-vie » et « pro-choix » sont en cours, suite à des législations d’États de plus en plus restrictives (en mars dernier, le Dakota du Nord a été jusqu’à interdire l’avortement dès la détection du premier battement du cœur du bébé, c’est-à-dire après six semaines de grossesse, et proposera par référendum en 2014 une interdiction totale). De plus, une majorité d’Américains souhaite que ne soit plus pratiqué l’avortement après 20 semaines (13 États dont, récemment, le Texas, ont d’ailleurs pris les devants), date à partir de laquelle il est scientifiquement vérifié que l’enfant ressent de la douleur. Certains scandales et abus comme la sinistre affaire Gosnell auront contribué à cette évolution de l’opinion.
 
Or, selon Peter Hoffa, professeur d’histoire américaine à l’Université de Géorgie, quatre juges (sur neuf) de la Cour suprême sont opposés à la jurisprudence actuelle et Anthony Kennedy (un modéré qui penche plutôt à droite) pourrait les rejoindre sur ce point. (...)
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Quasi disparition des cliniques d'avortement en Caroline du Nord

Sur le site de 98,5 Fm du 29 juillet 2013:

 

(La Caroline du Nord)

 

 

RALEIGH, États-Unis - Le gouverneur de la Caroline du Nord Pat McCrory a confirmé lundi une loi obligeant les responsables de l'État de réglementer les cliniques d'avortement selon les mêmes normes que les centres pour chirurgies ambulatoires.
 
(...)
 
M. McCrory a toutefois affirmé qu'il ne limitait pas l'accès à la procédure d'interruption de grossesse, mais qu'il adoptait plutôt une mesure qui «entraînera des conditions plus sécuritaires pour les femmes de la Caroline du Nord».
 
La mesure a été votée par la législature à majorité républicaine. Les détracteurs prévoient que la majorité des 16 cliniques d'avortement seront poussées à la fermeture, puisqu'une seule d'entre elles répond actuellement aux normes des cliniques de chirurgie d'un jour.
 

 

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Politicien britannique: Les enfants handicapés devraient être tués « comme les agneaux difformes... »

Un signe qui montre que l'Apocalypse est à nos portes

par Rebekah Maxwell, traduction de Campagne Québec-Vie

Vous constatez que l'humanité a vraiment «évolué» lorsque la nation qui a autrefois dépensé des trillions de dollars et des millions de vies pour arrêter les génocides d'Hitler, élit maintenant ses propres demi-Hitlers.

Vous voyez, les choses sont devenues un petit peu chères au pays des soins de santé socialisés. Il n'y a tout simplement pas assez d'argent des taxes, de lits d'hôpitaux et de médicaments pour tout le monde. La solution d'un leader?

Tuer les enfants handicapés. Comme des animaux.

Colin Brewer (photo à gauche) est un politicien britannique. Il avait démissionné, complètement discrédité, après avoir dit publiquement que « les enfants handicapés coûtent trop d'argent au Conseil et devraient être euthanasiés. »

Or, il a été réélu au mois de mai.

Il a été réélu.

Et quel a été son premier geste après avoir obtenu une fois de plus le soutien du public et une charge publique? De détailler, en des termes explicites, comment les enfants handicapés devraient être tués.

Dans une interview avec Disability News Service, le conseiller Brewer a dit que nous devrions peut-être éliminer sélectivement les enfants handicapés comme on supprime les agneaux difformes ; or ceux-ci sont souvent fracassés contre le mur.

« S'ils ont un agneau difforme, ils se débarrassent de lui », a-t-il dit. « Ils l’éliminent. Bang ».

Bang. Les personnes handicapées coûtent tout simplement trop cher à entretenir, donc elles doivent disparaître.

« Nous sommes seulement des animaux », a poursuivi Brewer. « Vous ne laissez pas courir des agneaux à cinq pattes et deux têtes. Ils sont tués, écrasés contre le mur, éliminés. »

Lorsqu'on lui a demandé s'il y avait une différence entre tuer un agneau ou un être humain, il a simplement dit, selon Disability News, « Je pense que le coût doit être évalué. »

« Ce n'est pas quelque chose que je voudrais faire, mais il y a une quantité limitée dans le seau », aurait-il dit. « Il faut trouver un équilibre entre donner des services à la communauté ou des services à la personne. »

Quel héros progressiste.

Au lieu de s'accrocher à la notion démodée que tous les êtres humains sont créés égaux, à l'image de Dieu, avec une valeur intrinsèque et une dignité inestimables, il est prêt à dire ce que tout homme moderne et évolué sait: nous ne sommes que des animaux. Loin d'être des individus inestimables, nous sommes les rouages de la machine collective. Nous ne valons que le service que nous pouvons offrir à l'ensemble.

Et les plus faibles, les moins aptes, les indésirables? Débarrassez-vous d'eux. Ils ne valent pas l'argent qu'il faut dépenser pour les garder. Ils nous entraînent vers le bas en tant qu'espèce. Nous devons sauvegarder le bien utilitaire. « Il faut établir un équilibre », vous savez.

Prônant ouvertement le génocide brutal des enfants handicapés afin d’économiser de l'argent, le Conseiller Brewer est un véritable visionnaire.

Joseph Staline serait fier.

Mao Zedong serait fier.

Adolf Hitler serait fier.

Margaret Sanger serait fière.

Kermit Gosnell se porterait volontaire pour aider.

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Les risques dans les « progrès » de la biomédecine

Sur le site de genethique.org du 30 juillet 2013:

 

 

 

 

Lors de sa 20ème session qui s'est tenue du 19 au 21 juin 2013 à Séoul, le Comité international de bioéthique (CIB) (1) de l'UNESCO s'est intéressé aux "nouveaux risques de discrimination et [aux] nouvelles responsabilités engendrés par les progrès en biomédecine". Plus d'une centaine de participants issus de 33 pays se sont réunis. 
 
Parmi les éléments de réflexion approfondis, le CIB a notamment décidé de "réitérer le potentiel discriminatoire et les conséquences stigmatisantes engendrées par la mauvaise utilisation de l'information génétique contenue dans les biobanques" ou encore "de se focaliser sur les effets discriminatoires et stigmatisants subis par les donneurs et les bénéficaires de la transplantation d'organes". En outre le CIB s'est penché sur les préoccupations bioéthiques en Asie abordant les thèmes de la médecine personnalisée (pour l'Asie-Pacifique) favorisée par la baisse du coût du séquençage et dont les biobanques sont les outils principaux, les thèmes de l'avortement, la transplantation d'organes et les essais cliniques sur l'homme (pour la République de Corée), et les thèmes de la recherche sur les cellules souches et ses applications cliniques, la discrimination des gènes et la faiblesse des infrastructures bioéthiques (pour la Chine). L'ensemble de ces travaux feront l'objet d'un rapport qui sera présenté les 5 et 6 septembre 2013 au siège de l'UNESCO à Paris.
 
(...)
 
(1) Seule instance de réflexion de portée mondiale en matière de bioéthique, le CIB, créé en 1993, est composé de 36 experts indépendants désignés à titre personnel par la Directrice générale de l’UNESCO pour un mandat de 4 ans. Ces spécialistes des sciences de la vie et des sciences sociales et humaines produisent des avis et recommandations sur des questions spécifiques liées aux applications des avancées scientifiques en veillant au respect des principes de dignité et de liberté de la personne humaine.
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Témoignage d'un ancien homosexuel, sur la violence contre les ex-gais par la communauté LGBT

Tiré du site LifeSiteNews, traduit par CQV.

par Kirsten Andersen

DALLAS, TX, Juillet 22, 2013 (LifeSiteNews) - Douglas McIntyre (photo ci-dessous) est «furieux» et dit qu'il « ne va pas en supporter davantage ».

C’est par ces mots que Douglas McIntire annonce le périple de dix jours qu’il entreprend, de Dallas à Washington DC, pour faire pression sur le Congrès. Cet ancien homosexuel, maintenant marié à une femme et père de trois enfants, fera escale dans dix villes pour réclamer tolérance et protection contre ce qu'il décrit comme une campagne de « menaces et de harcèlement contre les anciens homosexuels »

En chemin, il s’arrêtera à Dallas, Little Rock, Memphis, Nashville, Chattanooga, Atlanta, Charlotte, Raleigh et Richmond pour rallier des partisans et « attirer l'attention sur l'homo-fascisme dans ce pays : l'intimidation par des militants homosexuels qui ne tolèrent qu’un seul point de vue sur l'homosexualité ».

McIntyre a été poussé à l'action par l’annulation d’un événement prévu pour le 31 Juillet au Centre de recherche sur la famille à Washington, DC : le lancement du mois de la fierté Ex-Gay, le premier jamais organisé... Après avoir reçu des menaces, les organisateurs, inquiets pour la sécurité de leurs conférenciers et invités, ont reporté l’évènement au mois de septembre et dans un lieu tenu secret.

"Lorsque nous avons annoncé que cet événement allait se produire au CRF il y a environ deux semaines, nous avons reçu – ainsi que le CRF- beaucoup d'attention, ce qui était bon, mais nous avons aussi reçu beaucoup d'attention négative », a commenté le parrain de l'événement Christopher Doyle, de la Voix des sans voix (VOV) au Christian Post.

« Il a commencé à y avoir beaucoup de bavardage en ligne sur comment essayer de perturber cet événement, de manifester, de protester contre celui-ci. Au fond, après avoir fait l’expérience de tant de haine et de harcèlement en ligne à notre égard et également contre le CRF, nous avons commencé à réexaminer cet événement. »

Doyle a déclaré que le choix du siège du CRF comme lieu a mis en colère les militants homosexuels, qui classent l'organisation comme « groupe de haine » à cause de son soutien au mariage traditionnel. En 2012, au plus fort de la controverse Chick-fil-A , le siège du CRF a été la cible d'une attaque terroriste au cours de laquelle un activiste homosexuel est entré dans le bâtiment, a déclaré: « Je n'aime pas vos opinions politiques », et a ouvert le feu sur un garde de sécurité. Malgré une balle dans le bras, le gardien a réussi à arracher le pistolet avant que quelqu'un d'autre ne soit blessé. Le tireur a ensuite été trouvé en possession de munitions et de 15 sandwiches Chick-Fil-A dans son sac à dos. Dans une confession enregistrée sur bande vidéo, l’activiste homosexuel de 28 ans disait qu'il voulait « tuer le plus de gens possible et étaler les sandwiches Chick-Fil-A sur le visage des victimes, et tuer le garde. » Il espérait que l’atrocité de son geste « constituerait une déclaration à l’encontre des gens qui travaillent dans ce bâtiment, et de leur position contre les droits des homosexuels et pour Chick-fil-A. »

McIntyre est l’un des fondateurs des Homosexuels Anonymes, qu'il décrit comme le plus ancien organisme au monde pour aider les personnes atteintes d’une attirance non désirée pour le même sexe à quitter l'homosexualité. Il a déclaré que la campagne d'intimidation par des homosexuels contre ceux qui ont choisi de quitter ce mode de vie doit s'arrêter. "Comment osent-ils essayer de perturber notre événement du 31 Juillet, nous intimider et nous menacer", a déclaré McIntyre. «Je ne vais pas en supporter davantage.»

McIntyre a ajouté : «Pendant trop longtemps, les militants homosexuels nous ont étouffés, ont marginalisé nos voix et nous ont exclus de la discussion. Bien qu'ils prêchent la tolérance pour les gays, ils pratiquent couramment la discrimination envers les anciens homosexuels comme moi qui ont pris un chemin différent. »

McIntyre a nommé son périple « Grand-papa va à Washington», car il est maintenant grand-père de quatre enfants. Il dit qu'une part du but de son voyage est de plaider pour la prochaine génération de jeunes car il est inquiet de voir qu’ils sont endoctrinés par une culture qui glorifie la sexualité désordonnée.

« Cette absurdité doit cesser! » dit McIntyre. Il pointe du doigt un spectacle pour enfants intitulé « SheZow » comme un excellent exemple d’émission de télévision militante visant les très jeunes. Le dessin animé met en vedette un petit garçon avec un anneau secret qui le transforme en un super-héros féminin appelé SheZow. L’émission fait rire, mais McIntyre dit que c'est juste une autre façon de normaliser la sexualité anormale.

Des spectacles comme "SheZow", a déclaré McIntyre, enseignent aux enfants « qu’être transgenre est cool, mais que conseiller pour surmonter des attirances envers le même sexe ou changer d’orientation sexuelle est nuisible." Il dit que lorsqu’il il atteindra Washington, il fera pression sur le Congrès pour « la surveillance et la responsabilité des médias » afin de protéger les enfants des programmes transgenres comme « SheZow » qui « violent leur innocence ».

McIntyre fera également pression en faveur de la liberté de choix pour les adolescents aux prises avec des attirances envers le même sexe afin qu’ils puissent avoir accès à des soins et recevoir des conseils, y compris la thérapie réparatrice que certains États ont commencé à interdire sous la pression des activistes homosexuels.

McIntyre souhaiterait également voir les ex-gays protégés en vertu des lois fédérales sur les crimes motivés par la haine.

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Un exemple de violence de la part d'activistes pro-homosexualité:

//www.youtube.com/embed/V3YIIDgSkiA?rel=0

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