M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Offensive pour imposer la GPA aussi en Italie

Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info) — Photo : capture d'écran sur PxHere

De l’un et l’autre côté des Alpes, les propagandistes de la GPA se sont donnés le mot pour obtenir la légalisation de cette pratique qui marchandise le corps des femmes et l’enfant à naître.

En France, les médias du système et les plateaux télé du service public se font les relais complaisants du mal d’enfants des duos d’invertis, stériles par nature par leur propre faute, faute dont ils refusent la paternité pour devenir, contre-nature, père sans mère.

En Italie, cette même opération de prosélytisme en faveur de la GPA fait monter au créneau les associations pro-Vie qui ont placardé dans les rues de la capitale italienne et d‘autres grandes villes de la péninsule des affiches chocs. On y voit deux hommes nommés Parent 1 et Parent 2 poussant un cadi de supermarché dans lequel se trouve un enfant en pleurs, un code-barre imprimé sur le ventre. Et un slogan percutant : « deux hommes ne font pas une maman ».

Laissez un commentaire Lire la suite

Une censure généralisée se met en place sur Internet

Par Patrice Hans-Perrier (Le Peuple) — Voici la ou les sources de cet article : Le Monde, WSWS n°1, n°2, La Presse et Atlantic Council / Photo trouvée sur LifeSiteNews

Facebook et d’autres médias sociaux américains tentent de liquider les sites jugés non-conformes à l’idéologie dominante.

Le couperet de la censure vient de s’abattre sur de nombreux sites américains qui semblent déranger l’« État profond » américain. C’est ainsi que Facebook, leader des médias sociaux, a reçu des ordres qui proviennent des centres de pouvoir qui régentent l’ordre « médiatique » afin de contrer une « désinformation » qui serait susceptible d’induire les internautes en erreur.

Détruire la page Facebook des médias récalcitrants

Certains analystes estiment qu’il s’agit, surtout, de restreindre l’espace dévolu à la liberté d’expression, qu’elle provienne de la gauche ou de la droite, afin de chasser les sites qui ont le malheur de remettre en cause les diktats d’une pensée unique mise en orbite par une poignée de centres de pouvoir mondialistes. Des médias alternatifs tels qu’Anti-Media, un site de gauche avec 2,1 millions d’abonnés, ou Right Wing News, une locomotive de droite, ont perdu leur page sur Facebook en l’espace d’un claquement de doigts.

Laissez un commentaire Lire la suite

Scoutisme : deux cheftaines guides exclues pour avoir interdit la douche des filles aux transgenres

Par Pauline Mille (Réinformation.TV)

La barbarie à visage de clown, la subversion ridicule, sont les plus dangereuses, étant les mieux insinuées. Elles visent le scoutisme parce que c’est un précieux instrument de formation des jeunes: deux cheftaines guides sont exclues pour vouloir interdire aux transgenres d’utiliser la douche des filles.

J’ai consulté Wikipedia pour vérifier certains articles de la loi scoute qui m’étaient sortis de la tête. Je n’ai pas été déçue du voyage. Le pauvre Baden Powell s’en retournerait dans sa tombe. Les maçons à l’œuvre aujourd’hui dans le scoutisme mondial et français (si l’on excepte les mouvements traditionnels) ne sont pas du même atelier que lui. Madoué ! Les choses ont bien changé depuis que j’usais mes bottines par les halliers et les bois.

Le Sunday Times raconte l’histoire des cheftaines exclues

Le Sunday Times publiait en avril dernier une lettre manifeste signée par 224 cheftaines guides, anciennes guides et parents de guides. Elle déplorait notamment que « les règles d’inclusion trans (renforçaient) les stéréotypes de genre », tout en ne donnant pas droit « au consentement des parents au préalable informés », et en menaçant la sécurité et l’intimité des filles. Elle dénonçait en particulier l’interdiction faites aux cheftaines de dire aux parents que leurs filles doivent partager leur dortoir, la salle de douches et les toilettes avec des individus « physiquement mâles », même s’ils se déclarent filles, en clair avec des transgenres, sincères ou non, ce qui est imposé par le scoutisme d’aujourd’hui aux guides, dont les troupes sont tenues d’accepter en leur sein des garçons qui « s’identifient en tant que filles ».

Laissez un commentaire Lire la suite

Un juge demande à la Cour suprême d'annuler l'arrêt Roe c. Wade et de protéger l'enfant à naître


Tom Parker.

Blog d'Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo trouvée sur LiveActionNews

C'est un juge de la Cour suprême d'Alabama, Tom Parker, qui a demandé, dans sa conclusion particulière rédigée lors d'un procès sur le meurtre d'une femme enceinte et de son enfant à naître, que la Cour suprême des États-Unis renverse le jugement Roe c. Wade. La Cour suprême d'Alabama a, par ailleurs, unanimement déclaré que l'enfant à naître est une personne humaine.

Extrait de LiveActionNews :

... la Cour suprême d'Alabama déclare :

« La valeur de la vie d'un enfant à naître n'est pas inférieure à celle de la vie d'une autre personne. Le commentaire complémentaire du tribunal de première instance selon lequel ce pays est bâti sur une protection égale et l'application régulière de la loi pour toutes ses personnes est également fondé sur le droit constitutionnel. Ainsi, notre Cour conclut que la déclaration du tribunal de première instance, indiquant qu'il n'attribuerait pas un poids moindre à la circonstance aggravante parce que Baby Doe était une personne non encore née au moment du meurtre, n'était pas erronée. »

Le juge Henry Blackmun de la Cour suprême des États-Unis qui a rédigé l'opinion majoritaire dans Roe c. Wade, a déclaré : « Si la suggestion que l'humanité [du fœtus] est établie, le cas [du droit à l'avortement] tombe, bien sûr, car le droit à la vie du fœtus est alors spécifiquement garanti par le [14e] Amendement. »

Le juge Tom Parker a écrit dans sa conclusion particulière (extrait) :

« J'écris spécialement pour expliquer les principes présentés dans le jugement principal et pour noter l'anomalie juridique et le raisonnement fallacieux qu'est Roe c. Wade. J'exhorte la Cour suprême des États-Unis à rejeter cette exception, de plus en plus isolée, aux droits de l'enfant à naître. »

Laissez un commentaire

Le gouvernement américain envisage de définir l'identité sexuelle d'après la biologie


Donald Trump, président des États-Unis.

Par Pierre-Alain Depauw (Medias-Presse.info) — Photo : Gage Skidmore/Flickr

Etats-Unis — L’administration de Donald Trump envisage de définir très strictement l’identité sexuelle comme étant liée aux organes sexuels à la naissance, a rapporté le New York Times dimanche, ce qui aurait de facto pour conséquence de ne plus permettre aux transgenres d’obtenir une reconnaissance administrative sous un autre sexe que celui de leur naissance.

Le ministère américain de la Santé propose, dans une note interne obtenue par le journal, d’établir une définition légale de l’identité sexuelle pour accompagner les lois fédérales interdisant la discrimination dans les programmes éducatifs financés par le gouvernement.

« Le sexe recouvre le statut d’un individu étant masculin ou féminin, selon des traits biologiques immuables identifiables à la naissance ou avant », écrit le ministère dans sa proposition de définition rapportée par le New York Times.

« Le sexe indiqué sur le certificat de naissance d’origine d’un individu doit constituer la preuve définitive du sexe d’une personne, à moins qu’il ait été infirmé par des preuves génétiques fiables », ajoute le texte.

Le ministère de la Santé a également appelé les ministères de l’Éducation, de la Justice et du Travail à adopter sa définition afin d’harmoniser les directives du gouvernement et de renforcer les chances que les tribunaux acceptent cette définition.

Depuis son arrivée à la Maison Blanche en janvier 2017, Donald Trump est revenu sur plusieurs mesures prises par son prédécesseur très attentif à satisfaire le lobby LGBT. Dès l’été 2017, Trump avait ainsi annoncé qu’il comptait interdire les transgenres dans l’armée.

Laissez un commentaire

Maurice Allais : un économiste à faire connaître, pour une culture de vie

Par Jean-Claude Dupuis, Ph. D. 

Maurice Allais (1911-2010) a remporté le Prix Nobel de Sciences économiques (1988) pour des travaux très techniques sur la dynamique monétaire. Il se fera ensuite connaître du grand public en osant critiquer les « dogmes » du régime capitaliste : la spéculation boursière, le libre-échange et la création de monnaie par les banques privées. Il fut alors ostracisé par les milieux universitaires et médiatiques. Ses idées dérangeaient le « système ». En 1999, il a publié aux obscures éditions Clément Juglar un ouvrage sur La crise mondiale d’aujourd’hui : pour une réforme des institutions financières et monétaires. « Ce livre, écrit-il, est dédié aux innombrables victimes dans le monde entier de l’idéologie libre-échangiste mondialiste, idéologie aussi funeste qu’erronée. »

D’après lui, le fameux krach de 1929 fut causé par un déséquilibre entre une hausse artificielle des cours de la bourse de New York (+ 215 % entre 1925 et 1929) et la croissance réelle du produit national brut (PNB) des États-Unis (+ 13 % durant la même période). Mais un krach boursier ne devrait affecter que les spéculateurs. Comment expliquer que le « Jeudi noir » du 24 octobre 1929 ait entraîné une chute du PNB de 30 % et un taux de chômage de 25 % ? À cause d’une contraction de la masse monétaire voulut par les banques privées, et ce malgré l’opposition du gouvernement américain.

La crise économique des années 1930 aurait donc été provoquée volontairement par la haute finance. Les économistes catholiques le disaient déjà à l’époque. L’étude historique de Maurice Allais tend à confirmer cette thèse.

Laissez un commentaire Lire la suite

Nouvelles de la semaine (22 octobre 2018)


Troisième témoignage de Carlo Maria Viganò : une réponse aux accusations du cardinal Ouellet


L'Archevêque Carlo Maria Viganò prend la parole au Forum de la vie à Rome en mai 2018. Photo : Don Elvir Tabaković, Can.Reg

Traduit par Jeanne Smits

Ce vendredi 19 octobre, Mgr Carlo Maria Viganò a rendu public son troisième témoignage, qui prend la forme d'une réponse au cardinal Ouellet. Il maintient ses accusations relatives à l'affaire McCarrick et accuse clairement le « fléau » qui selon lui est à la racine des scandales qui secouent l'Eglise. Je vous en propose ici la traduction complète, par mes soins, d'après le texte anglais publié par LifeSiteNews. – J.S.

Troisième témoignage de Carlo Maria Viganò :

une réponse aux accusations du cardinal Ouellet


En la fête des martyrs nord-américains

Le fait de porter témoignage de la corruption au sein de la hiérarchie de l’Église catholique a été pour moi une décision douloureuse, et elle le demeure. Mais je suis un homme âgé, un homme qui sait devoir bientôt rendre compte devant le Juge de ses actions et omissions, un homme qui craint Celui qui peut jeter corps et âme en enfer. Un juge qui, même dans son infinie miséricorde, accordera à chacun salut ou damnation selon ses mérites. Anticipant la question terrible de ce Juge — « Comment as-tu, toi qui avais connaissance de la vérité, pu garder le silence au milieu du mensonge et de la dépravation ? » — quelle réponse pouvais-je donner ?

J’ai témoigné avec la pleine conscience de l’inquiétude et du désarroi que mon témoignage allait provoquer chez beaucoup de personnes éminentes : des hommes d’Église, des frères évêques, des collègues avec qui j’avais travaillé et prié. Je savais que beaucoup d’entre eux se sentiraient blessés et trahis. Je m’attendais à ce que certains m’assaillent à leur tour, moi et mes motivations. Plus douloureux que tout, je savais qu’un grand nombre de fidèles innocents seraient troublés et déconcertés par le spectacle d’un évêque accusant des collègues et des supérieurs de méfaits, de péchés sexuels et d’une grave négligence à l’égard de leur devoir. Mais je crois que la persistance de mon silence eût mis beaucoup d’âmes en péril, et damnerait certainement la mienne. Ayant rapporté à de nombreuses reprises à mes supérieurs et même au pape le comportement aberrant de Theodore McCarrick, j’aurais pu dénoncer publiquement plus tôt les vérités dont j’avais connaissance. Si j’ai quelque responsabilité par rapport à ce retard, je m’en repens. Ce retard a été dû à la gravité de la décision que j’allais prendre, et au long travail de ma conscience.

Laissez un commentaire Lire la suite

Euthanasie des mineurs : Noir désirs

Par Paul-André Deschesnes

Notre société carbure de plus en plus aux supposés bienfaits du MAL tous azimuts, que l’on nous présente comme le BIEN.

Un article du Journal de Montréal (19 octobre 2018) ose dénoncer ce mal chronique. Dans un premier temps, Nathalie Elgrably-Levy nous parle de la populaire émission de télévision « Tout le monde en parle » du 14 octobre 2018, où une vedette du monde des artistes a vanté sur le plateau ses idées suicidaires.

Notre chroniqueuse n’a pas eu peur également de dénoncer l’euthanasie, « qui est maintenant très bien acceptée socialement et qui est devenue le geste suprême de compassion » dans notre monde déboussolé.

De plus, Mme Levy se dit profondément choquée par des groupes de médecins ontariens qui soignent les enfants. Tous ces « bons » docteurs viennent de demander au Parlement canadien et à Justin Trudeau de modifier la loi sur l’euthanasie. Pour eux, « c’est maintenant nécessaire de permettre aux mineurs de se faire euthanasier, et ce, sans même en avertir leurs parents » ; ça ressemble beaucoup à l’avortement !

Laissez un commentaire Lire la suite

L’hôpital Sick Kids de Toronto envisage d’euthanasier des enfants avec ou sans le consentement de leurs parents



Par Alex Schadenberg (Coalition pour la prévention de l'euthanasie) — Traduit par Campagne Québec-Vie

Un rapport récent de l’hôpital Sick Kids (traduction littérale : « hôpital pour enfants malades ») de Toronto indique qu’ils sont non seulement prêts à pratiquer l’euthanasie des enfants, mais que leur politique stipule qu’un enfant devrait pouvoir mourir par euthanasie sans le consentement ou la connaissance des parents. 

Selon un article de Sharon Kirkey pour Sun Media, l’hôpital Sick Kids de Toronto a publié sa politique sur l’euthanasie et l’assistance au suicide dans un article paru récemment dans le Journal of Medical Ethics. Selon Kirkey : 

Le groupe de travail de Sick Kids a déclaré que l’hôpital comptait des médecins disposés à effectuer l’euthanasie chez les jeunes de 18 ans et plus en phase terminale qui remplissaient les critères énoncés dans la loi fédérale, et qu’il serait contraire à son éthique de soins de devoir transférer ces jeunes dans un autre hôpital pour adultes qui leur était inconnu. Mais c’était la suggestion que l’euthanasie pourrait un jour avoir lieu sans la participation des parents qui a provoqué une nouvelle controverse dans le débat sur l’aide à la mort.

Pour qui l’hôpital Sick Kids croit-il que l’euthanasie peut être efficace et sans danger ?

Laissez un commentaire Lire la suite