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Alberta : Victoire en justice d’un groupe d’étudiants pro-vie

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)

L’University of Alberta avait imposé 17 500 $ en frais de sécurité au préalable à un club pro-vie, pour la tenue d’un événement pacifique et stationnaire sur le campus de l’université, et ce, à la place de réprimander les étudiants d’ailleurs connus qui avaient perturbé un événement pro-vie semblable, ou d’envoyer la facture aux fauteurs de troubles, selon LifeSiteNews :

Voici une autre victoire pour l’apologétique pro-vie sur les campus d’Alberta, la Cour d’appel d’Alberta a rejeté le six janvier l’imposition faite par l’University of Alberta de frais de sécurité de 17 500 $ à UAlberta Pro-Life. Exigés par l’université en 2016, ces frais de sécurité avaient empêché le petit club d’étudiant d’organiser des présentations didactiques sur le campus.

L’affaire s’est produite en mars 2015, lorsque L’University of Alberta a toléré le comportement d’un groupe qui a physiquement entravé sur le campus une manifestation pro-vie pacifique et stationnaire, qui avait été autorisée et approuvée par l’université. Le groupe avait employé des draps, des serviettes, des bannières et des mégaphones, rendant impossible aux passants de voir les affiches. La bande a efficacement fait taire les discussions intellectuelles et la recherche (de la vérité), violant ainsi le Code de conduite des étudiants. Avant la perturbation de cet événement approuvé par l’université, le président de l’université avait publiquement déclaré que le groupe pro-vie avait le droit d’exprimer ses opinions sur le campus. La présidente à l’époque, Indira Samarasekera, avait déclaré que l’université devait faciliter et protéger l’expression pacifique de toutes les opinions, quelle que soit leur popularité.

La déclaration du Dr Samarasekera n’a pas été traduite en actes concrets par la sécurité du campus ni prise au sérieux par les étudiants qui ont enfreint le Code de conduite des étudiants. La sécurité du campus a déclaré à plusieurs reprises aux membres de la foule obstructive qu’ils violaient le Code de conduite des étudiants, qui interdit expressément d’interrompre et d’entraver les activités et les événements reliés à l’université. Pourtant, la sécurité du campus n’a pris aucune mesure pour mettre fin à l’obstruction ou pour discipliner les étudiants qui s’étaient publiquement identifiés et qui se sont vantés dans les médias sociaux d’avoir réussi à empêcher un message avec lequel ils n’étaient pas d’accord.

En 2016, UAlberta Pro-Life a demandé à nouveau la permission d’organiser un événement de deux jours sur le campus avec affichage fixe. L’université a alors exigé des frais de sécurité de 17 500 $ au préalable pour la tenue cet événement sur le campus.

Dans un courriel, l’université a exigé que les étudiants pro-vie payassent les salaires des agents de sécurité et des policiers, ainsi que les coûts de clôturage du site, et qu’ils assumassent les coûts de la potentielle inconduite des personnes enfreignant le Code de conduite des étudiants de l’université, en faisant de l’obstruction et en perturbant le présentoir. Plutôt que de remettre une facture aux contrevenants qui se sont identifiés et qui ont avoué avoir enfreint les règles, l’université a plutôt indiqué au petit club pro-vie qu’il ne pouvait plus installer de présentoir sur le campus à moins de payer d’abord 17 500 $ en frais de sécurité. Incapable de payer les 17 500 $, UAlberta Pro-Life a été forcé d’annuler l’événement prévu pour février 2016.

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