Provient de Reinformation.tv
Au Royaume-Uni, plus de la moitié des femmes recourant à l’avortement étaient sous contraception au moment de tomber enceintes, alors que le Royaume-Uni compte plus de 200.000 avortements par an. C’est une tendance que l’on retrouve de manière fréquente dans les pays où la « couverture contraceptive » est importante – preuve que la contraception n’empêche pas l’avortement.
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Les statistiques du British Pregnancy Advisory Service – le BPAS est lui-même fournisseur d’avortement – montrent qu’un peu moins de 25 % des femmes ayant avorté était sous contraception hormonale ou de longue durée. En tenant compte de celles utilisant préservatifs ou diaphragmes, la proportion monte à plus de la moitié.
Détail particulièrement horrible : de nombreuses femmes qui ont eu recours à des avortements tardifs – au-delà de 20 semaines – étaient sous contraception de longue durée, ce qui les avait rendus moins attentives à leurs symptômes de grossesse.
Le BPAS en tire argument pour dire que l’avortement est nécessaire parce qu’aucun contraceptif n’est efficace à 100 %. Où le refus de l’enfant devient un absolu.