Votez pro-vie - Campagne Québec-Vie
M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Votez pro-vie


Photo : ishmael n daro/Flickr

Comment voter est une question importante, surtout en ce qui concerne les questions cruciales de l'avortement, de l'euthanasie, de la famille, de l'éducation, du mariage et bien d'autres encore. Nous avons rassemblé plusieurs informations essentielles relatives à ces enjeux afin de vous offrir ci-dessous un guide pour voter de façon pro-vie.

Nous mettrons à jour régulièrement cette page durant les élections fédérales 2025.

Ce guide contient :

  1. Une liste des candidats pro-vie du Québec.
  2. Une revue des politiques de parti (inspiré de celle de CNV).
L'article continue ci-dessous...

Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !

Candidats pro-vie du Québec

Voici les candidats pro-vie dont nous avons la connaissance au Québec, nous en rajouterons éventuellement d'autres. Venez régulièrement pour les mises à jour. Si vous connaissez des candidats pro-vie, n'hésitez pas à nous les faire connaître en envoyant un courriel à l'adresse suivante : [email protected]

Nicolas Guérin, candidat du Parti populaire du Canada dans Châteauguay–Les Jardins-de-Napierville.
Contact : Bureau de circonscription, Québec, J6J 2R4.
Courriel : [email protected]
Dossier : M. Guérin a correctement répondu au questionnaire de la CNV en 2025 pour les candidats et est donc considéré comme pro-vie.

William Trottier, candidat du Parti populaire du Canada dans Drummond.
Contact : Bureau de circonscription, Québec, J2C 1M3.
Courriel : [email protected]
Dossier : M. Trottier a correctement répondu au questionnaire de la CNV en 2025 pour les candidats et est donc considéré comme pro-vie.

Mathieu Saint-Jean, candidat du Parti populaire du Canada dans Gatineau.
Contact : Bureau de circonscription, Québec, J8T 8J1.
Tél. : 819 414-1386
Courriel : [email protected]
Dossier : M. Saint-Jean a correctement répondu au questionnaire de la CNV en 2025 pour les candidats et est donc considéré comme pro-vie.

Yves Gilbert, candidat du Parti de l'héritage chrétien du Canada dans Mégantic–L'Érable–Lotbinière.
Contact : Bureau de circonscription, 670 rue Croteau, Val-Alain, Québec, G0S 3H0
Tél. : 418 446 5610 (cellulaire)
Courriel : [email protected]
Dossier : M. Gilbert a correctement répondu au questionnaire de la CNV pour les candidats et est donc considéré comme pro-vie.

Ruth Fontaine, candidate du Parti populaire du Canada dans La Prairie–Atateken.
Contact : Bureau de circonscription, Québec, J5A 0G1.
Courriel : [email protected]
Dossier : lors d'un entretien avec un représentant de la CNV, Mme Fontaine a été estimée comme étant pro-vie et pro-famille.

Manon Chevalier, candidate du Parti populaire du Canada dans Saint-Laurent.
Contact : Bureau de circonscription, Québec, H4K 1S9.
Courriel : [email protected]
Dossier : sur la base d'une discussion avec un responsable de la CNV, Mme Chevalier a été estimée comme étant pro-vie.

Jean Boily, candidat du Parti populaire du Canada dans Vaudreuil.
Contact : Bureau de circonscription, Québec, J0P 1H0
Tél. : 514-444-9734
Courriel : [email protected]
Dossier : M. Boily a correctement répondu au questionnaire de la CNV pour les candidats et est donc considéré comme pro-vie.

Susanne Lefebvre, candidate du Parti populaire du Canada dans Shefford.
Courriel : [email protected]
Dossier : Mme Lefebvre n'est pas entièrement pro-vie, elle admet une exception pour l'avortement en cas de viol.

Si vous vous demandez pour qui voter s'il n'y a pas de candidat pro-vie dans votre circonscription, ou si vous voulez quelques conseils généraux sur la façon de voter afin de favoriser une Culture de Vie, cliquez ici.

Politiques de plusieurs partis fédéraux

Parti libéral du Canada

Avortement :

  • Soutient l’avortement sur demande tout au long des neuf mois de la grossesse, jusqu’à la naissance, pour quelque raison que ce soit ou sans raison du tout.

Financement de l’avortement à l’étranger :

  • Les libéraux ont consacré entre 650 et 750 millions de dollars par an de l’argent des contribuables au financement de l’avortement, de la promotion de l’avortement, de la contraception et de la stérilisation dans les pays étrangers.
  • Depuis des années, les libéraux de Trudeau se vantent que « le droit à l’avortement est au cœur de notre politique étrangère ».

Euthanasie :

  • Soutient le fait de donner aux médecins le pouvoir d’administrer des injections létales à leurs patients.
  • Le gouvernement libéral a légalisé cette forme d’homicide en 2016 et n’a cessé d’assouplir les critères d’admissibilité au point qu’aujourd’hui, des Canadiens sont autorisés à recevoir l’euthanasie en raison de leur pauvreté, de leur incapacité à payer un loyer, de leurs allergies chroniques et d’autres scénarios « en pente glissante » que les libéraux niaient voir se produire un jour.
  • Le gouvernement libéral a même ordonné une étude parlementaire visant à examiner la légalisation l’euthanasie des enfants au Canada.

Idéologie transgenre :

  • Soutient les théories anti-scientifiques de l’identité et de l’expression de genre.
  • En 2017, le gouvernement libéral a inscrit la théorie de l’identité de genre dans la loi, l’intégrant dans le Code criminel du Canada et dans la Loi canadienne sur les droits de la personne.
  • Les libéraux ont adopté la Loi C-4, dite « prohibition des thérapies de conversion », qui peut conduire les parents en prison jusqu’à cinq ans pour avoir simplement affirmé que leur fils ou leur fille souffrant d’un trouble du genre a le sexe biologique avec lequel il est né.
  • Ces dernières années, les libéraux de Trudeau ont canalisé des centaines de millions de dollars du contribuable pour promouvoir l’idéologie transgenre au Canada et dans le monde entier.

Mariage :

  • S’oppose officiellement à la définition naturelle du mariage entre un homme et une femme.
  • C’est un gouvernement libéral qui a légalisé le prétendu « mariage » homosexuel et qui a déversé un flot de LGBTyrannie sur les Canadiens croyants, tout en endoctrinant sans relâche leurs enfants.

Droits parentaux :

  • Les libéraux veulent criminaliser les parents qui utilisent une force raisonnable pour éduquer et corriger leurs enfants. Lors d’une session parlementaire, les sénateurs libéraux ont présenté le projet de loi S-206 visant à interdire la discipline corporelle par les parents. Selon ce projet de loi, les parents qui disciplinent leurs enfants en leur donnant la fessée pourraient être accusés de « voies de fait ».

Persécution antichrétienne :

  • En 2021, à la suite d’allégations, depuis démentie, de fosses communes dans les pensionnats autochtones, les libéraux de Justin Trudeau ont exacerbé les divisions au sein du Canada et ont fomenté la haine contre l’Église catholique. Leurs insinuations infondées et irresponsables ont déclenché une vague de crimes alimentés par la haine contre les églises chrétiennes. Depuis juin 2021, près de 100 églises ont été incendiées ou réduites en cendres dans tout le pays, et 100 autres ont été vandalisées.
  • Les médias ont presque totalement ignoré la vague d’incendies d’églises, mais lorsqu’ils ont finalement interrogé Trudeau à ce sujet, il a justifié les incendies criminels en les qualifiant de « compréhensibles ».
  • En décembre 2024, la commission des finances de la Chambre des communes, dominée par les libéraux et les néo-démocrates, a publié un rapport recommandant au gouvernement de priver les églises, les organisations caritatives chrétiennes et les organisations pro-vie de leur statut d’organisme de bienfaisance dans son prochain budget. Ce rapport s’attaque directement aux églises en recommandant une modification de la Loi de l’impôt sur le revenu « afin de définir la notion d’organisme de bienfaisance de manière à supprimer le statut privilégié de “promotion de la religion” en tant que fin de bienfaisance ».

Droits de conscience :

  • S’oppose aux droits de conscience des travailleurs du secteur de la santé.
  • A demandé aux employeurs candidats au programme fédéral d’Emplois d’été Canada de signer un serment de loyauté en faveur de l’avortement.

Liberté d’expression :

  • S’oppose à la liberté d’expression.
  • Le gouvernement libéral a adopté et introduit de nombreuses lois visant à censurer la parole et à punir les gens pour « crimes de haine » pour avoir exprimé pacifiquement leurs opinions (C-63), et à censurer l’internet et les plateformes de médias sociaux (C-11, C-18).
  • Soutient les déclarations forcées.
  • Croit qu’il faut forcer les Canadiens à prononcer des mots auxquels ils ne croient pas, au mépris de leur conscience. Par exemple, les libéraux ont adopté le projet de Loi C-16, qui oblige les Canadiens à désigner les transgenres et les travestis par des pronoms personnels inventés auxquels ils ne croient pas, comme « Zhe » et « Zhir ». La loi C-16 oblige également les Canadiens à parler d’hommes biologiques comme s’ils étaient des femmes, sous peine de plaintes potentielles pour violation des droits de l’homme ou de poursuites au criminel pour « incitation à la haine » en cas de non-respect de cette loi.

Liberté de vote :

  • Les députés libéraux ne sont pas autorisés à voter selon leur conscience. Ils doivent voter selon la ligne du parti, en faveur de l’avortement et de l’idéologie LGBT.

Légalisation de la drogue :

  • Lors de leur congrès politique de 2018, les membres du parti libéral ont adopté une résolution visant à décriminaliser la possession et la consommation de TOUTES les drogues illégales, y compris la cocaïne, l’héroïne, le crack, le fentanyl, etc.
  • Les libéraux ont adopté le projet de loi 45 qui légalise la marijuana, la drogue dangereuse et hautement addictive qui ouvre la voie aux stupéfiants plus durs. Elle permet aux jeunes de 12 ans de posséder jusqu’à 10 joints.
  • Sous les libéraux, toutes les drogues ont été décriminalisées en Colombie-Britannique, y compris le crack, la cocaïne, l’héroïne et le fentanyl. La consommation de drogues en public était également autorisée. Les décès par overdose en Colombie-Britannique ont augmenté de 338 % depuis l’arrivée au pouvoir des libéraux. La criminalité a explosé.
  • Le gouvernement Trudeau a ouvert cinquante « sites d’injection sûrs » dans tout le pays, où les drogues dures peuvent être consommées, fournissant même des drogues gratuites aux toxicomanes dans certains établissements.

Prostitution :

  • Soutient la dépénalisation de l’achat et de la vente des femmes à des fins sexuelles.

Parti conservateur

Avortement :

  • La déclaration politique officielle du parti condamne explicitement les avortements sélectifs en fonction du sexe.
  • La déclaration politique du parti soutient une loi sur la protection des enfants nés vivants qui exigerait que les bébés qui survivent à l’avortement reçoivent des soins médicaux vitaux.
  • Il existe un conflit entre la plateforme politique et la Constitution du parti, en ce qui concerne une loi sur l’avortement. La Constitution (bonne) décrit comme un principe directeur du parti : « Une croyance dans la valeur et la dignité de toute vie humaine », alors que la déclaration de politique générale (mauvaise) affirme qu’« un gouvernement conservateur ne soutiendra aucune législation visant à réglementer l’avortement ».
  • La déclaration de politique générale du parti s’engage à mettre en œuvre une « stratégie nationale en matière d’adoption, y compris une campagne de sensibilisation visant à promouvoir l’adoption ». Il s’agit d’une excellente politique qui, si elle était mise en œuvre, permettrait de réduire le nombre d’avortements au Canada.

Financement de l’avortement à l’étranger :

  • La politique officielle est que « l’avortement devrait être explicitement exclu du programme canadien de santé maternelle et infantile dans les pays où l’aide canadienne est fournie ».

Euthanasie :

  • Opposé à la légalisation de l’euthanasie
  • S’oppose à l’extension de l’euthanasie aux enfants mineurs, aux personnes dépressives et à celles qui ne jouissent pas de leurs facultés mentales.

Idéologie transgenre :

  • La politique officielle du parti s’oppose à l’invasion des hommes biologiques dans les sports et les espaces intimes féminins :
    « Le Parti conservateur du Canada estime que les femmes ont droit à la sécurité, à la dignité et à l’intimité des espaces non mixtes (par exemple, les prisons, les refuges, les vestiaires, les toilettes) et aux avantages des catégories réservées aux femmes (par exemple, les sports, les prix, les subventions, les bourses d’études). »
  • La politique officielle du parti soutient l’interdiction du changement de sexe chez les enfants :
    « Un gouvernement conservateur protégera les enfants en interdisant les interventions médicales ou chirurgicales qui modifient la vie des mineurs de moins de 18 ans pour traiter la confusion ou la dysphorie de genre ».

Mariage :

  • La déclaration de politique générale des conservateurs est officiellement neutre sur la définition du mariage.

Droits parentaux :

  • Aucune politique officielle pour ou contre le précédent projet de loi libéral contre la fessée, S-206, qui visait à criminaliser les parents qui utilisent la fessée ou la contrainte physique comme technique pour discipliner leurs enfants.

Persécution antichrétienne :

  • De nombreux députés conservateurs ont condamné la vague de crimes haineux perpétrés contre les églises chrétiennes. Depuis 2021, près de 100 églises ont été incendiées ou réduites en cendres dans tout le pays, et 100 autres églises ont été vandalisées au cours de la même période.
  • Le Parti conservateur s’est également prononcé, quoique tardivement, contre un rapport publié en décembre 2024 par la commission des finances de la Chambre des communes, dominée par les libéraux, qui recommandait au gouvernement de priver les églises, les organisations caritatives chrétiennes et les organisations pro-vie de leur statut d’organisme de bienfaisance. Le rapport s’attaque directement aux églises en recommandant une modification de la loi de l’impôt sur le revenu « afin de fournir une définition de l’organisme de bienfaisance qui supprimerait le statut privilégié de “l’avancement de la religion” en tant qu’objectif de bienfaisance ».

Droits de conscience :

  • Soutient « les droits de conscience des médecins, des infirmières et d’autres personnes qui refusent de participer à l’avortement, au suicide assisté ou à l’euthanasie ou d’y orienter leurs patients ».

Liberté d’expression :

  • La politique officielle du parti est de « promouvoir une législation destinée à protéger la liberté de parole et la liberté d’expression au Canada ».
  • La déclaration officielle de politique générale s’oppose à ce que l’État oblige les citoyens à prononcer des mots auxquels ils ne croient pas. Dans une allusion voilée au projet de loi libéral C-16, qui oblige les Canadiens à prononcer des pronoms « transgenres » inventés, la déclaration de politique générale se lit comme suit : « Le discours forcé, sous quelque forme que ce soit, est une violation de la Charte des droits et libertés. Les libertés individuelles de pensée, de croyance, d’opinion et d’expression prévalent sur tout discours contraint ».

Liberté de vote] Permet aux députés et ministres conservateurs de voter selon leur conscience sur l’avortement, l’euthanasie et la définition du mariage.

Légalisation de la drogue :

  • Le parti n’a pas de politique officielle, mais en 2017, les députés conservateurs ont voté à la quasi-unanimité contre la légalisation de la marijuana. En outre, il n’y a pas de politique officielle sur la décriminalisation de toutes les drogues, ni sur les soi-disant « sites d’injection sûrs », bien que le chef du parti se soit prononcé contre la catastrophe de la décriminalisation des drogues par les libéraux en Colombie-Britannique.

Prostitution :

  • Rejette la légalisation de la prostitution, en expliquant : « Nous déclarons que les êtres humains ne sont pas des objets que l’on peut asservir, acheter ou vendre ».
  • A une politique ferme promettant une législation pénale sévère contre les trafiquants d’êtres humains, les pédophiles et les « groomers » (séducteurs sexuels ciblant les enfants).

Parti populaire du Canada

Avortement :

  • Le programme de campagne promet qu’un gouvernement du Parti populaire fera deux choses :
    N° 1) « Favoriser un débat national sur l’avortement » et « mettre au défi les autres partis politiques d’expliquer pourquoi ils pensent que tuer un enfant à naître sain et viable est moralement acceptable et devrait rester légal ».
    N° 2) Introduire une « Loi sur la protection des enfants à naître... où l’avortement est progressivement limité après le premier trimestre et où les avortements tardifs sont interdits, sauf dans des circonstances exceptionnelles ».
  • Le parti est ouvert aux candidats pro-vie et s’est engagé à autoriser la présentation de propositions de loi pro-vie par les députés.

Le financement d’avortements à l’étranger :

  • Le parti s’est engagé à « abolir l’aide au développement international » du Canada, à l’exception des actions humanitaires d’urgence dans les cas de conflits et de catastrophes naturelles. Cela mettrait indirectement fin au financement par les contribuables des avortements pratiqués à l’étranger, ce qui serait une très bonne chose.

Euthanasie :

  • Pas de politique officielle concernant l’euthanasie.

Idéologie du genre :

  • La loi « interdit la mutilation des mineurs » en modifiant le Code criminel pour « interdire l’utilisation de bloqueurs de puberté, d’hormones de sexe opposé et toute forme de mutilation corporelle sur des mineurs dans le but de les faire passer à un autre sexe ». En outre, toute personne « encourageant des mineurs à “changer de sexe” sera tenue pour pénalement responsable d’avoir tenté de leur causer du tort ».
  • Abrogerait la loi C-4, dite « interdiction des thérapies de conversion », qui vise à emprisonner les parents, les thérapeutes et les pasteurs qui aident les mineurs souffrants de dysphorie de genre à accepter leur réalité corporelle.

Droits parentaux :

  • Pas de politique officielle pour ou contre l’ancien projet de loi libéral contre la fessée, S-206, qui visait à criminaliser les parents qui utilisent la fessée ou la contrainte physique comme technique pour discipliner leurs enfants.

Persécution antichrétienne :

  • Le chef du CPP, Maxime Bernier, a publié une déclaration en 2021 pour condamner la vague de crimes haineux perpétrés contre les églises chrétiennes. Depuis 2021, près de 100 églises ont été incendiées ou réduites en cendres dans tout le pays, et 100 autres églises ont été vandalisées au cours de la même période.
  • Ni Bernier ni le CPP n’ont commenté la recommandation du Comité des finances libéral-néo-démocrate visant à priver toutes les églises de leur statut d’organisme de bienfaisance en supprimant « l’avancement de la religion » de la Loi de l’impôt sur le revenu en tant qu’objectif de bienfaisance.

Droits de conscience :

  • Aucune déclaration politique officielle sur la protection des droits de conscience des professionnels de la santé afin qu’ils ne soient pas contraints de participer à l’avortement, à l’euthanasie, à l’administration de bloqueurs de puberté ou à des opérations chirurgicales mutilantes de changement de sexe.

Liberté d’expression :

  • Réduire la définition du discours de haine pour ne retenir que les discours qui « préconisent l’usage de la force contre des groupes ou des personnes identifiables sur la base de critères protégés tels que la religion, la race, l’appartenance ethnique, le sexe ou l’orientation sexuelle ».
  • Abroger toute législation existante restreignant la liberté d’expression.
  • Bloquer la « disposition de censure » de l’article 13 que les libéraux prévoient de rétablir.
  • Abroger le projet de loi C-11, qui pourrait être utilisé pour réglementer le contenu des utilisateurs sur les plateformes de diffusion en continu.
  • Le programme électoral du CPP pour 2025 prévoit l’abrogation de la loi totalitaire C-16, qui oblige les Canadiens à prononcer des pronoms transgenres inventés tels que « zhe », « zhir » et « they ».

Liberté de vote :

  • Permet des votes libres sur les questions morales et les questions de conscience.

Légalisation de la drogue :

  • Il n’existe pas de politique officielle. Cependant, le chef de file, Maxime Bernier, soutient la décriminalisation de la marijuana, une dangereuse drogue d’introduction aux drogues plus dures comme le crack, la cocaïne et la méthamphétamine cristallisée.

Prostitution :

  • Pas de politique officielle concernant l’achat et la vente de femmes à des fins sexuelles.

NPD

Avortement :

  • Soutient l’avortement sur demande tout au long des neuf mois de la grossesse, jusqu’à la naissance.
  • Interdit aux Canadiens pro-vie de se présenter comme candidats du NPD.
  • Refuserait le financement fédéral des soins de santé à toute province qui oserait mettre en place un quelconque obstacle réglementaire à l’avortement.

Financement de l’avortement à l’étranger :

  • Soutient le financement avec l’argent du contribuable des avortements internationaux.

Euthanasie :

  • Soutient le fait de donner aux médecins le pouvoir d’administrer des injections létales à leurs patients.

Idéologie transgenre :

  • Soutient les théories anti-scientifiques de l’identité et de l’expression de genre.
  • Les députés néo-démocrates ont présenté deux projets de loi différents sur l’identité de genre au fil des ans.
  • Le NPD a soutenu le projet de loi C-4, dit « prohibition des thérapies de conversion », qui peut conduire des parents en prison pour une durée maximale de cinq ans pour avoir simplement affirmé que leur fils ou leur fille avait le sexe biologique avec lequel il est né.

Mariage :

  • S’oppose officiellement à la définition naturelle du mariage entre un homme et une femme.

Droits parentaux :

  • Le NPD soutient la criminalisation des parents qui utilisent une force raisonnable pour éduquer et corriger leurs enfants.

Persécution antichrétienne :

  • Le NPD et son chef, Jagmeet Singh, négligent grandement la vague d’incendies criminels qui a consumé près de 100 églises chrétiennes (et ce n’est pas fini) depuis 2021. Singh n’a fait qu’une seule déclaration en juillet 2021, lorsque les incendies criminels ont eu lieu, affirmant de façon plutôt modérée qu’il est mal de brûler des églises, mais critiquant ensuite les institutions ecclésiastiques dans le même souffle, atténuant du coup sa condamnation des incendies.
  • Ni le NPD ni son chef, Jagmeet Singh, n’ont fait de déclaration pour défendre les églises et les organisations caritatives contre le rapport de la commission des finances de la Chambre des communes de décembre 2024, qui recommande au gouvernement libéral, entre autres, de priver les églises de leur statut d’organisation caritative en supprimant « l’avancement de la religion » de la Loi de l’impôt sur le revenu en tant qu’objectif de bienfaisance. En fait, la commission qui a formulé ces recommandations était dominée par des députés libéraux et néo-démocrates.

Droits de conscience :

  • S’oppose aux droits de conscience des travailleurs du secteur de la santé.

Liberté d’expression :

  • S’oppose à la liberté d’expression et souhaite rétablir la « disposition de censure » de l’article 13 de la très controversée Loi canadienne sur les droits de la personne, qui a été abrogée.
  • Croit en la déclaration forcée, c’est-à-dire obliger les Canadiens à prononcer des mots auxquels ils ne croient pas, en violation de leur conscience. Par exemple, forcer les gens à prononcer les « pronoms personnels préférés » des personnes souffrant d’un trouble du genre sur commande, sous la menace de plainte pour violation des droits de l’homme ou d’inculpation pour incitation à la haine, si vous ne vous y conformez pas.

Liberté de vote :

  • Les députés du NPD ne sont pas autorisés à voter selon leur conscience. Ils doivent voter selon la ligne du parti en faveur de l’avortement et de l’idéologie LGBT.

Légalisation de la drogue :

  • La politique officielle du NPD est de décriminaliser toutes les drogues, y compris la cocaïne, le crack, l’héroïne, la méthamphétamine cristallisée et le fentanyl. Les membres du parti ont adopté cette politique lors de la convention nationale de 2018, conformément au plaidoyer personnel de Jagmeet Singh en faveur de la décriminalisation.
  • En 2022, un député néo-démocrate a même déposé un projet de loi d’initiative parlementaire (soutenu par Singh) visant à décriminaliser toutes les drogues.

Prostitution :

  • Soutient la dépénalisation de l’achat et de la vente des femmes à des fins sexuelles.

Parti de l’héritage chrétien du Canada

Avortement :

  • La politique officielle est de « défendre la vie humaine innocente de la conception à la mort naturelle ».
  • S’oppose à l’avortement en toutes circonstances.

Financement de l’avortement :

  • Supprimerait le financement de l’avortement ou sa promotion au Canada et à l’étranger.

Euthanasie :

  • S’oppose à l’euthanasie et au suicide assisté en toutes circonstances.

Idéologie transgenre :

  • Soutient la vision biblique du monde selon laquelle il n’y a que deux sexes : masculin et féminin.
  • S’oppose à ce que des hommes biologiques participent à des compétitions féminines ou aillent aux toilettes, aux vestiaires et aux douches réservés aux femmes et aux jeunes filles.

Mariage :

  • Soutient la définition naturelle du mariage comme l’union d’un homme et d’une femme.

Droits parentaux :

  • S’oppose au projet libéral de criminaliser les parents avec le projet de loi S-206, qui assimilerait la fessée ou la contention physique d’un enfant à une « agression ». La discipline corporelle (fessée) appliquée correctement et avec amour n’est pas une forme de maltraitance de l’enfant et ne devrait pas être interdite par quelque législation que ce soit.
  • Les parents sont les premiers gardiens et éducateurs de leurs enfants. L’État ne doit pas empiéter sur les droits des parents de prendre des décisions en ce qui concerne l’éducation religieuse, les traitements médicaux ou l’éducation morale de leurs enfants, en particulier dans le domaine de la sexualité.

Persécution antichrétienne :

  • Le PHC condamne la vague criminelle d’incendies d’églises qui a embrasé le Canada depuis 2021.
  • Le PHC s’oppose fermement aux recommandations 429 et 430 du Comité des finances de la Chambre des communes, dominé par les libéraux et les néo-démocrates, qui, en décembre 2024, a conseillé au gouvernement de retirer le statut d’organisme de bienfaisance exonéré d’impôt à toutes les églises, aux organisations pro-vie et à de nombreux organismes de bienfaisance chrétiens.

Droits de conscience :

  • Soutient la liberté de conscience des professionnels de la santé en ce qui concerne l’avortement, l’euthanasie, le suicide assisté, la chirurgie du genre et les vaccinations. Tous les Canadiens doivent bénéficier de la liberté de conscience et du droit au consentement éclairé pour tout traitement médical.

Liberté d’expression :

  • La politique officielle du parti se lit comme suit : « Défendre des attaques de la Commission canadienne des droits de la personne la liberté d’expression et l’égalité de tous les Canadiens ».
    S’oppose aux déclarations forcées.

Liberté de vote :

  • Sur les questions relatives à la vie et à la famille, il est attendu des candidats et des députés du CHP de voter à 100 % en faveur de la protection de la vie humaine innocente à tous ses stades, en faveur du mariage traditionnel entre un homme et une femme, en faveur de la « suprématie de Dieu et de l’État de droit », et contre le programme LGBTQ. Sur la plupart des autres questions, les députés du CHP seraient autorisés à voter librement.

Légalisation de la drogue :

  • S’oppose à la légalisation de la marijuana et d’autres drogues nocives.
  • Le PHC demande l’application des lois existantes sur les drogues, l’élimination des soi-disant « sites d’injection sûrs » et le traitement adéquat des maladies mentales qui peuvent être à la fois cause et effet de la consommation habituelle de drogues.

Prostitution :

  • S’oppose à l’achat et à la vente de femmes à des fins sexuelles.

Parti vert du Canada

Avortement :

  • Soutient l’avortement sur demande pendant les 9 mois de la grossesse, jusqu’à la naissance.
  • Interdit aux Canadiens pro-vie de se présenter en tant que candidat du Parti vert.

Financement de l’avortement à l’étranger

  • Soutient le financement avec l’argent du contribuable des avortements internationaux.

Euthanasie :

  • Soutient le fait de donner aux médecins le pouvoir de faire des injections mortelles à leurs patients.

Idéologie transgenre :

  • Soutient les théories anti-scientifiques de l’identité et de l’expression de genre.

Mariage :

  • S’oppose officiellement à la définition naturelle du mariage.

Droits parentaux :

  • Pas de politique officielle pour ou contre le projet de loi libéral anti-fessée, S-206, d’une session parlementaire précédente, qui visait à criminaliser les parents qui recourent à la fessée ou à la contrainte physique comme technique pour discipliner leurs enfants.

Persécution antichrétienne :

  • Le parti vert et ses co-chefs ont totalement ignoré la vague d’incendies criminels qui a consumé près de 100 églises chrétiennes (et ce n’est pas fini) depuis 2021. Ils n’ont fait aucune déclaration de sympathie pour les églises qui ont brûlé, ni pour les communautés qu’elles desservaient.
  • Ni le Parti vert ni aucun de ses co-chefs n’ont fait de déclaration pour défendre les églises et les organismes de bienfaisance contre le rapport du Comité des finances de la Chambre des communes de décembre 2024 qui recommandait au gouvernement libéral, entre autres, de priver les églises de leur statut d’organisme de bienfaisance en supprimant « l’avancement de la religion » de la Loi de l’impôt sur le revenu en tant qu’objectif de bienfaisance.

Droits de conscience :

  • Pas de déclaration officielle sur les droits de conscience.

Liberté d’expression :

  • Aucune déclaration politique officielle sur la nécessité de protéger la liberté d’expression. Cependant, le parti vert a clairement indiqué qu’il était favorable à l’expression forcée. Plus précisément, lorsqu’il s’agit de forcer les Canadiens à prononcer des pronoms transgenres inventés auxquels ils ne croient pas, comme « Zhe » et « Zhir », sous peine de poursuites pénales pour incitation à la haine ou d’inculpation pour « violation des droits de l’homme ».

Liberté de vote :

  • La ligne du parti est en faveur de l’avortement et de l’idéologie LGBT. Cependant, le chef n'aurait pas l'autorité d'empêcher ses députés de voter selon leur conscience.

Légalisation de la drogue :

  • Soutient la dépénalisation de TOUTES les drogues, y compris l’héroïne, le crack, la cocaïne, la méthamphétamine cristallisée et le fentanyl.

Prostitution :

  • Soutient la dépénalisation de l’achat et de la vente des femmes à des fins sexuelles.

Bloc Québécois

Avortement :

  • La position officielle du Bloc est pro-avortement.
  • Le soutien du Bloc a un historique de soutien au « droit » à l'avortement constant.
  • En juin 2021, le Bloc a voté contre le projet de loi C-233 visant à criminaliser l'avortement sélectif en fonction du sexe.
  • Ses députés présentent fréquemment des motions en faveur de l'avortement.

Financement de l’avortement à l’étranger

  • Le Bloc soutient le financement de l'avortement à l'étranger.

Euthanasie :

  • Le Bloc a voté en faveur de la Loi C-7 ouvrant l'euthanasie aux personnes non en « fin de vie ».
  • Le Bloc s'est opposé au projet de loi C-314 visant à retirer l'extension de l'euthanasie aux personnes souffrant uniquement de maladie mentale.
  • Le Bloc est pour la légalisations des demandes anticipées d'euthanasie en cas de maladie neuro-dégénérative.
  • Le Bloc Québécois a déposé le 22 mai 2024 un projet de loi visant à permettre aux personnes atteintes de problèmes neurodégénératifs, comme l’Alzheimer, de demander de façon anticipée l’euthanasie.

Idéologie transgenre :

  • Le Bloc a majoritairement voté en faveur de la Loi C-16 reconnaissant l’identité de genre et l’expression de genre.
  • Le Bloc a appuyé le projet de Loi C-6 qui interdit les thérapies réparatives aux mineurs.

Mariage :

  • S’oppose officiellement à la définition naturelle du mariage.

Droits parentaux :

Le Bloc a voté quasiment unanimement en faveur du projet de loi C-273 visant à modifier le Code criminel en abrogeant la « disposition autorisant l’emploi de la force pour discipliner un enfant si certains critères sont remplis », lors de la deuxième lecture.

Persécution antichrétienne :

  • Soutient la laïcité de l'État.

Liberté de conscience :

  • Le Bloc n'a pas de déclaration officielle regardant la liberté de conscience des médecins face à l'avortement, cependant, sa plateforme électorale 2025 dit : « Il luttera contre tout effort législatif ou autre visant à affaiblir ce droit, directement ou indirectement. »

Liberté d'expression :

  • Le Bloc a majoritairement voté en faveur de la Loi C-16 reconnaissant l’identité de genre et l’expression de genre et imposant l'emploi des « pronoms préférés » des transgenres.
  • Le Bloc a voté quasi unanimement en faveur de la Loi C-11 sur la censure internet.

Liberté de vote :

Légalisation de la drogue :

  • Le Bloc est pour la décriminalisation de l'usage et de la possession de toutes les drogues à des fins de consommation personnelle.

Prostitution :

  • Pas de politique officielle concernant l’achat et la vente de femmes à des fins sexuelles.


Laissez un commentaire