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Voici comment un avortement a tué 10 bébés à naître

Par Sarah Terzo (LiveActionNews) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Krakenimages/Adobe Stock

(Sarah Terzo - Substack) L’auteur Dawn Kellum a écrit un court récit sur son avortement intitulé My Abortion and What NOBODY Told Me (Mon avortement et ce que personne ne m’a dit). Le livre est gratuit sur Kindle, et vous pouvez le lire via l’application Kindle, sur n’importe quel téléphone ou appareil.

Avertissement d’une femme en deuil

Mme Kellum écrit à d’autres femmes enceintes désireuses d’avorter pour les mettre en garde contre ce qui pourrait se produire après leur avortement. Voici quelques-unes de ses mises en garde :

Vous aurez besoin de conseils après un avortement parce qu’il vous affectera de toutes les manières imaginables. Vous regretterez votre décision pour le reste de votre vie.

Cet enfant que vous avez avorté vous manquera toute votre vie.

Il vous sera très difficile de vous pardonner.

L’avortement est douloureux pendant et après... Vous sentez que l’on vous arrache littéralement les entrailles.

Mes saignements ont été horribles et ont duré plusieurs jours.*

Kellum a vécu tout cela.

Tragiquement, l’avortement de Kellum n’a pas seulement tué un bébé, il a entraîné la mort de neuf autres — dix bébés à naître au total.

En effet, en raison de la négligence de l’établissement pratiquant l’avortement, Kellum a développé une condition appelée incompatibilité RH.

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Faits médicaux sur l’incompatibilité RH

Lors d’une naissance, d’une grossesse, d’un avortement ou d’une fausse couche, les globules rouges du bébé à naître peuvent passer dans la circulation sanguine de la mère. Dans la plupart des grossesses, cela ne pose pas de problème. Mais si la mère a du sang Rh négatif et que son bébé a du sang Rh positif, la mère développera des anticorps contre son enfant à naître.

Ces anticorps resteront dans le corps de la mère. Lors de la prochaine grossesse, ils attaqueront les globules rouges du bébé et les détruiront. Cela peut entraîner de graves problèmes de santé chez l’enfant. L’incompatibilité RH peut également provoquer des fausses couches.

Une injection de RhoGAM peut éviter tout cela. Lorsqu’une femme enceinte se présente pour des soins prénataux ou se rend à l’hôpital après une fausse couche, on lui fait systématiquement passer un test sanguin. Si le test sanguin révèle la présence de sang Rh négatif, les médecins lui administrent une injection de RhoGAM. Le RhoGAM empêche le développement d’anticorps et protège les futures grossesses.

Le site internet Medline Plus indique qu’une injection de RhoGAM devrait être administrée à toute femme dont le groupe sanguin est Rh négatif « après une fausse couche ou un avortement ».

Cependant, en raison des soins médicaux médiocres prodigués dans les centres d’avortement, de nombreuses femmes enceintes de groupe sanguin Rh négatif ne reçoivent pas d’injection de RhoGAM.

Medline Plus détaille certains problèmes que l’incompatibilité Rh peut causer au bébé [lors d’une future grossesse] :

  • Lésions cérébrales dues à un taux élevé de bilirubine (ictère nucléaire)
  • Accumulation de liquide et gonflement du bébé (hydrops fetalis)
  • Problèmes de fonctionnement mental, de mouvement, d’audition, d’élocution et crises d’épilepsie.

L’incompatibilité RH peut également provoquer des fausses-couches.

Un enfant souffrant de graves problèmes médicaux

L’établissement où Kellum s’est rendue pour avorter ne lui a pas fait de piqûre de RhoGAM, alors qu’elle en avait besoin.

Après son avortement, Kellum a rencontré un homme dont elle est tombée amoureuse et ils se sont mariés. Ils voulaient fonder une famille et ont commencé à essayer de concevoir un enfant.

Le premier enfant de Kellum, bien qu’il soit né vivant, avait de graves problèmes de santé, notamment une maladie appelée hémihyperplasie. L’hémihyperplasie pouvant être causée par différentes affections sous-jacentes, il n’est pas certain que l’incompatibilité rhésus en soit la cause.

Neuf fausses couches après son avortement

Cependant, après la naissance de ce bébé, Kellum a fait neuf fausses- couches, l’une après l’autre.

Ce n’est qu’à sa douzième grossesse qu’un médecin s’est rendu compte qu’elle était victime d’une incompatibilité Rh. Le médecin lui a fait une injection de RhoGAM, plus tôt dans la grossesse que ce qui est normalement administré, et elle a pu avoir deux autres enfants qui sont tous deux nés en bonne santé.

Mme Kellum décrit l’impact émotionnel que les fausses couches et l’avortement ont eu sur elle :

En élevant mes enfants, je me demande « Et si ? » À quoi auraient ressemblé mon enfant avorté ou les bébés de mes fausses couches ?

Auraient-ils ressemblé davantage à moi, à leur père ou peut-être à leur grand-mère ou à leur grand-père ? ...

Comment auraient-ils interagi avec leurs frères et sœurs ? À quoi aurait ressemblé leur premier vélo ? Quel aurait été leur plat préféré ? Quel type de personnalité auraient-ils eu ? ...

Il ne se passe pas un seul jour sans que mon bébé que j’ai avorté et les 9 autres enfants dont la vie s’est terminée dans mon ventre ne me manquent.*

Une ancienne employée de Planned Parenthood révèle des cas de négligence

Malheureusement, la situation de Kellum n’est pas isolée. Lors d’un émission en ligne parrainée par le groupe And Then There Were None, une ancienne employée de Planned Parenthood a avoué que les patientes du centre de Planned Parenthood où elle travaillait ne recevaient parfois pas les injections de RhoGAM dont elles avaient besoin.

En outre, même lorsque la clinique Planned Parenthood savait que des personnes ayant subi un avortement étaient parties sans avoir reçu la dose de RhoGAM nécessaire, elle ne les a pas appelées pour qu’elles reviennent. Planned Parenthood n’a jamais fait de suivi et ne les a jamais contactées. Au lieu de cela, il les a laissées avec une bombe à retardement dans le sang. Ces personnes ayant subi un avortement ont poursuivi leur chemin, sans savoir que leurs futurs bébés étaient en danger.

Pourquoi cela se produit-il ?

Dans les cliniques, des avortements faits à la hâte

Jayne, une ancienne employée du service d’avortement, a décrit comment le centre Planned Parenthood où elle travaillait faisait avorter ses patientes à la hâte, essayant d’en faire avorter le plus grand nombre possible chaque jour. Plus il y avait d’avortements, plus ils gagnaient d’argent.

Jayne décrit la situation :

À Planned Parenthood, en raison du volume et de la rapidité d’exécution, on ne dispose que de 45 minutes pour voir une patiente...

Donc, si vous êtes responsable et que vous avez 10 patientes, il y a beaucoup de chances que vous passiez à côté de quelque chose. Et dans ce cas, bien souvent, ces patientes partaient sans recevoir l’injection — le RhoGAM.

Une analyse sanguine erronée aurait pu conduire à une tragédie

Elle raconte l’histoire d’une femme. Cette femme avait avorté et s’apprêtait à partir. Jayne lui a remis des médicaments et l’a congédiée. En partant, la femme a dit que lors d’une grossesse précédente, son médecin lui avait dit qu’elle aurait toujours besoin d’une injection de RhoGAM.

Jayne a eu le mérite de ne pas se contenter de renvoyer la femme. Au lieu de cela, elle a revérifié le résultat des analyses sanguines de la femme selon lesquelles son sang était Rh positif, ce qui laissait croire qu’elle n’avait pas besoin de l’injection.

Heureusement, Jayne a cru la femme sur parole plutôt que de se fier à l’analyse sanguine erronée. Elle a refait le test, en l’exécutant correctement cette fois, et le test a confirmé que la femme avait besoin de RhoGAM. Elle a reçu l’injection. Mais si elle n’avait pas pris la parole à la dernière minute, elle ne l’aurait pas reçue.

Jayne a dit : « Les tests sanguins ne sont même pas fiables. » Combien d’autres femmes ont eu des analyses sanguines erronées et n’ont pas reçu d’injection de RhoGAM ? Combien d’autres avaient des papiers indiquant qu’elles avaient besoin de la piqûre, mais que cela a été négligé dans la précipitation pour les faire sortir afin que l’avortement suivant puisse être pratiqué ?....

Lire la suite de l’article sur le Sarah Terzo’s Substack.


*Source : Dawn Kellum, Mon avortement et ce que PERSONNE ne m’a dit (2022).



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