Cette entrevue du 19 février 2013 ouvre la porte à une euthanasie juridique plutôt que médical. Le médecin ne veut tout simplement pas participer à une euthanasie. Un exemple d'un médecin qui sera obligé, si le projet de la ministre Hivon est accepté, de collaborer à la mise à mort de ses patients.
(Karine Hébert, journaliste à Radio-Canada)
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