M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Témoignage d'une sage-femme sur les avortements tardifs

enfant_gorille.jpgÀ lire, sur le site de zenit.org du 1er décembre 2014 :

(Photo : certains de nos contemporains ne savent plus quel être a le plus de valeur sur cette photo...)

(Photo : >David< sur flickr.com, licence creative commons)

(...)j’ai des souvenirs horribles de la salle de gynécologie où j’ai participé à des avortements tardifs, la plupart autour de 16 semaines, où le fœtus luttait et essayait de respirer pendant 5 à 15 minutes.

Parce qu’il n’y a pas de règles ou de règlements sur ce qu’il faut faire avec un nourrisson qui se bat pour la vie, vous le laissez mourir seul dans un bol ou une bassine.

Je pense que c’est horriblement inhumain. De plus, ce n’est pas un événement inhabituel. Environ 25% des fœtus avortés à la 16ème ou 17ème semaine vivent un temps plus ou moins long.

À présent, je suis à nouveau amenée à faire cela. J’avais décidé de ne plus jamais m’occuper d’une telle tâche. Suis-je maintenant obligée d’arrêter de travailler comme sage-femme ? Comment devrais-je agir ? Et si je suis obligée de me forcer à le faire à nouveau, que dois-je faire avec le fœtus quand il est vivant ?

J’ai lu dans la loi sur la protection des animaux comment tuer des chatons, des chiots ou d’autres petits animaux. Il y a des règles claires pour que la mise à mort soit faite d’une manière qui ne provoque pas l’anxiété ou de la douleur chez l’animal… »

Mais pour beaucoup de nos contemporains, surtout ceux qui ont avalé la nouvelle philosophie sur les dangers du « spécisme » où l'on accorde plus de valeur à certains animaux qu'à des enfants, l'anxiété et la douleur des enfants à naître est le dernier de leur souci. Et pour ce qui est de sa vie alors, on n'en parle pas...

Publicité
Cliquez « J'aime » si vous êtes pro-vie !

Abonnez-vous à notre chaîne Youtube !



Laissez un commentaire