Sur le site du Journal de Montréal du 27 août 2014, voici un extrait de l'article, laissant la parole à l'auteur de l'étude, mais aussi à Marie-Paul Ross :
(La chercheuse en santé publique Amy Bonomi de l'Université du Michigan est l'auteure de l'étude sur les corrélations néfastes entre le livre et ses lectrices.)
(Photo : Lovelac 7 sur wikipédia.org, licence creative commons)
«Ces livres sont désastreux pour la liberté des femmes, déclare-t-elle au Journal. Ils transforment la femme en être pornographique. C’est triste. La femme devient un objet de plaisir qui perd les pédales devant n’importe quoi pour être reconnue, vue et regardée. On n’a plus de femmes dans la société de 2014; on a des poupées qu’on crinque.»
Les romans 50 Shades of Grey ont déjà fait l’objet d’études universitaires dans le passé. En 2013, une enquête révélait qu’ils perpétuaient la violence faite aux femmes.
Un exemple de bouquin sans valeur qui gaspille le papier et l'encre utilisés pour le fabriquer... Si l'auteur avait été Québécois, les maisons d'édition québécoises l'auraient engagé pour faire des versions pour les enfants, comme on peut en trouver dans les bibliothèques scolaires...
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