Décès du Dr Judith Reisman — un combat de toute une vie contre le frauduleux rapport Kinsey
Le Dr Judith Ann Reisman, lors d'une conférence organisée par l'APCQ à Montréal en juin 2017.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Parents Premiers Educateurs/YouTube
Le Dr Judith Ann Reisman est décédé le 9 avril 2021, que Dieu l’accueille dans son Paradis.
Le Dr Judith Reisman, née le 11 avril 1935 à Newark au New Jersey, était professeur de recherche à la faculté de droit de la Liberty University. Elle a mené un combat de toute une vie contre l’industrie de la pornographie, et a dénoncé avec ardeur, depuis 1977, la frauduleuse science sexuelle du Dr Alfred Kinsey qui sert de base à la sexologie moderne. Elle a aussi été témoin expert dans de nombreuses cours, à des audiences militaires et civiles, concernant la pornographie, l’homosexualité, le harcèlement sexuel et les questions liées aux médias. Ses travaux ont été mentionnés dans des procès qui se sont déroulés à la Cour suprême des États-Unis. Ils ont joué un rôle déterminant dans la législation sur la protection de l’enfance.
Voici une vidéo ci-dessous de la conférence, organisée par l’association des parents catholiques du Québec (APCQ), qu’elle a donnée à Montréal en juin 2017, en compagnie de l’historienne française Marion Sigaut. Dans la présente vidéo (réservée aux adultes), le Dr Reisman dénonce l’horreur des études frauduleuses de Kinsey, qui ont bouleversé la civilisation américaine et occidentale, et de ce qui en découle : les cours d’« éducation sexuelle » enseignés aux enfants du Québec et du monde.
Cours sur la pornographie à l'UQAM et décadence du Québec…
Par Paul-André Deschesnes ― Photo : iAmMrRob/Pixabay
Le 10 novembre 2020, les médias du Québec nous informaient d’une supposée très bonne nouvelle : l’Université du Québec à Montréal (UQAM) se prépare en vue d’offrir un cours académique sur la pornographie, afin de mieux comprendre et apprécier ce phénomène qui se répand à une vitesse incroyable sur toute la planète.
La tendance est très lourde et ce sujet nous semble de moins en moins tabou. La consommation de pornographie est de plus en plus effrénée. Le sexologue et professeur à l’UQAM, Simon Corneau, grand spécialiste de la chose, juge que la pornographie peut-être un très grand pas en avant pour nos sociétés parce qu’elle nous procure beaucoup de plaisir. Voici sa déclaration officielle aux médias (TVA Nouvelles, 10 novembre 2020) : « la pornographie ça sert à quelque chose. À tuer l’ennui, passer le temps, prendre du temps pour soi ; cela peut-être positif. »
La porno est plus accessible que jamais : internet, télévision, vidéo-clips, spectacles de toutes sortes, magazines, mode, publicité, jeux vidéo, etc. La technologie s’est tellement raffinée que tout le monde peut en produire en se filmant et en partageant ses performances sexuelles avec un ou plusieurs partenaires sur de nombreuses plateformes. Aujourd’hui, c’est autour de 10 ans que les jeunes commencent à consommer du matériel sexuellement explicite. Depuis deux décennies les femmes sont devenues (égalité oblige !) de grandes consommatrices de pornographie. De plus, hommes et femmes en quête de jouissances et de satisfactions extrêmes (c’est la mode) recherchent dans la pornographie des recettes pour vivre leur sexualité. Pour toutes ces raisons, l’Université du Québec à Montréal pense que ce cours « Pornographie 101 » (3 crédits) va répondre à la demande et qu’il sera très populaire.
Les producteurs de pornographie font des affaires d’or. À chaque mois, les sites internet de pornographie accueillent des milliards de visites mondialement. Ce sont de véritables empires économiques qui font trembler la planète. N’oublions pas que parmi les plus gros sites internet de pornographies, quelques-uns sont hébergés au Québec. (Journal de Montréal, 11 décembre 2020). Le 21 décembre 2020, le Bureau d’enquête du Journal de Montréal révélait que le gouvernement provincial a même versé 100 000 dollars en subventions à un géant du porno ! Nos impôts et nos taxes doivent-ils financer la porno ?
Lire la suiteMasterCard et Visa bloquent les paiements destinés à Pornhub pour cause de vidéos de viols de mineurs
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : drobotdean/Freepik
MasterCard a retiré ses services à la compagnie Pornhub, le plus gros site de pornographie, et Visa en a suspendu l’accès, la première compagnie de transfert monétaire ayant conclu au bout de son enquête sur Pornhub que le pourvoyeur de pornographie avait sur son site des vidéos de viols de mineurs, tandis que la seconde compagnie de transfert est en train de mener une investigation sur Pornhub. C’est suite à un article paru sur le New York Times, dénonçant le contenu illicite diffusé par Pornhub, que les deux sociétés se sont penchées sur le cas Pornhub, rapporte Jonathon Van Maren sur LifeSiteNews
Visa et MasterCard ont tous deux annoncé qu’ils allaient couper les liens avec Pornhub et que leurs cartes ne seront plus utilisables avec le géant de la pornographie. Discover Financial Services a annoncé qu’il allait suivre le mouvement (American Express Co. avait déjà rendu ses cartes inutilisables pour les sites pornographiques, et PayPal les a coupées en 2019). MasterCard a déclaré que son enquête sur le site avait révélé un contenu illégal. L’enquête de Visa est en cours, mais l’accès de Pornhub à ses services est suspendu jusqu’à la conclusion de l’enquête.
Maintenant, des députés canadiens et des sénateurs américains réclament des mesures à l’encontre des sites pornographiques, même Justin Trudeau a laissé entendre que le gouvernement canadien ferait quelque chose, rapporte Jonathon Van Maren :
Lire la suiteQuatre sénateurs, Maggie Hassan, Josh Hawley, Jonie Ernst et Thom Tillis (et je suis sincèrement surpris qu’ils ne soient pas plus nombreux) « ont introduit une législation bipartite pour permettre aux victimes de viol de poursuivre plus facilement les compagnies en pornographie qui tirent profit des vidéos de leurs agressions ». Le sénateur Jeff Merkley est également en train de rédiger une loi qui réglementera les compagnies en pornographie, et apparemment le Premier ministre Justin Trudeau dit que son gouvernement est également prêt à rédiger des règlements sur les plateformes pornographiques.
La chute de l’empire de Pornhub imminente ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
Pornhub, le plus gros site de pornographie du monde, est classé en 3e en tant que compagnie technologique ayant le plus d’impact sur la société, selon une étude, après Facebook et Google, mais devant Microsoft, Apple et Amazon. Avec ses 3,5 milliards de visites par mois, ce site putride se classe parmi les dix plus visités dans le monde. Inutile de dire que MindGeek, la compagnie mère, fait un pognon monstre avec ce site.
Ceci dit, outre la pornographie « ordinaire » que Pornhub met à disposition de ses visiteurs, un certain nombre de vidéos, photos, montages de toutes sortes sont téléversées par les usagers du site, montrant de la pornographie infantile, des scènes de viols, de maltraitances et de tortures impliquant parfois des mineurs.
PornHub dit avoir un service de modération, et même l’avoir dernièrement augmenté, qui ne sert en fait à rien, car les vidéos sitôt enlevées peuvent être remises n’importe quand par n’importe quel utilisateur du site, et, étant donné les 6,8 millions de vidéos téléversées par les usagers chaque année, il est impossible de faire le « ménage » dans un aussi vaste répertoire.
Le géant a cependant des pieds d’argiles, un mouvement de protestation qui a pris de l’ampleur réclame sa tête, mouvement soutenu par certains politiciens, du moins sur certains de ses aspects. Une ou plusieurs manifestations ont eu lieu devant le siège social de la compagnie MindGeek situé sur le boulevard Décarie à Montréal (la société originale, car elle a changée de nom depuis sa fondation, a été créé par deux étudiants de Concordia). Maintenant, The New York Times, journal dont les publications ont un effet redoutable quand il s’empare d’un sujet brûlant, s’est penché, dans la personne du journaliste Nicholas Kristof, sur le dossier de Pornhub.
Lire la suiteLa Thaïlande bloque Pornhub et interdit la pornographie en ligne
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : suksao/Freepik
En Thaïlande, cette monarchie constitutionnelle de superficie semblable à celle de l’Espagne et aussi populeuse que la France, la pornographie en ligne a été prohibée et Pornhub, le plus gros pourvoyeur de cette douteuse marchandise, ainsi que 190 autres sites y ont été bloqués, selon LifeSiteNews :
En vertu de la nouvelle loi thaïlandaise sur la cybercriminalité, Pornhub, ainsi que 190 autres sites pornographiques et sites de jeux, a été bloqué afin que les citoyens ne puissent plus y accéder.
Puttipong Punnakanta, le ministre de l’Économie et de la Société numériques du pays, a expliqué aux journalistes le 3 novembre que, selon la loi sur la criminalité informatique, la pornographie était illégale.
Le diplomate a déclaré que « cette décision intervient quelques jours seulement après que le vice-premier ministre du royaume, Prawit Wongsuwan, eût publié une nouvelle directive appelant le ministère de l’Économie et de la Société numériques à agir contre les sites qui ont provoqué des “comportements inappropriés” parmi la jeune génération ».
La Thaïlande est l’un des vingt premiers pays en termes de fréquentation des sites pornographiques internets.
Au passage, la compagnie qui détient le site Pornhub, MindGeek, a son siège social à Montréal…
Pétition parlementaire pour un projet de loi pour le contrôle de l’âge sur les sites pornographiques
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Freepik
Une pétition parlementaire a été lancé avec l’aide du député conservateur Arnold Viersen, en soutien du projet de loi S-203 présenté par le sénateur Julie Miville-Dechêne. S-203 propose le contrôle obligatoire de l’âge des visiteurs sur les sites pornographiques, que ces derniers devront mettre en place sous peine de poursuites criminelles.
Erin O’Toole dénonce le film « Cuties » pour sexualisation d’enfants
Erin O'Toole, nouveau chef du Parti conservateur du Canada.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : Arlington National Cemetiery/Flickr
Vous avez sans doute entendu parler d’un récent film « Cuties » publié par Netflix, montrant des jeunes filles exécutant des danses sexuellement suggestives, entre autres. Face à ce modèle d’obscénité, qui devient de plus en plus courant sur Netflix, de nombreuses personnes ont véhémentement protesté, dénonçant l’hypersexualisation de préadolescentes et l’encouragement à la pédophilie que représente ce film.
Ce film mettant en scène une jeune fille issue d’une famille musulmane et luttant avec la mentalité de son milieu serait une histoire sur le passage à l’âge adulte (un peu jeune non ?) et sur les choix qu’impose la société aux jeunes filles (il est vrai qu’on peut critiquer ce qu’impose l’islam, mais non en allant à l’extrême opposé). REAL Women of Canada rapporte dans un courriel :
Netflix défend ce film, affirmant qu’il s’agit simplement d’une histoire sur la question sensible du passage à l’âge adulte, censée critiquer les choix que la société contemporaine impose aux jeunes filles. C’est une explication absurde. Il existe de nombreuses façons de raconter des histoires de passage à l’âge adulte sans exploiter sexuellement les enfants. Cuties est un film pornographique qui se fait passer pour un commentaire social et s’inscrit dans une tendance plus large de la sexualisation croissante des enfants.
L’auteur du film se défend en affirmant avoir voulu dénoncer l’hypersexualisation des enfants par le biais de l’écran. Que cela fût son intention ou non, ce n’est pas en produisant un film obscène et pornographique qu’on arrangerait ce problème, bien au contraire.
Surprise ! Erin O’Toole, nouveau chef du Parti conservateur du Canada, est descendu dans l’arène pour blâmer à son tour le torchon cinématographique, s’attirant par là la critique des gros médias. Selon REAL Women of Canada :
Le chef conservateur Erin O’Toole a été critiqué pour avoir exprimé sa préoccupation à propos du film, déclarant : « Je suis un père qui est profondément perturbé par cette émission de Netflix. L’enfance est une période d’innocence. Nous devons faire plus pour protéger les enfants. Cette mauvaise émission est de l’exploitation ». M. O’Toole a raison.
Cela mérite qu’on lui tire notre chapeau, du moins sur ce chapitre, car autrement il se dit « pro-choix ».
Mettre des masques pour s’embrasser… les conseils du Dr Tam pour les relations sexuelles avec un étranger
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Freepik
Le Dr Theresa Tam, administratrice de la santé publique du Canada, embarque à son tour dans la promotion de l’immoralité. Il faut, paraît-il, réduire les « risques » que les gens se passent covid-19 dans le cadre de relations sexuelles, et notamment extraconjugales, mais il serait bien sûr hors de question d’en interdire la pratique avec des étrangers (il faut empêcher la propagation du virus à tout prix, non ?), car il s’agit de l’imprescriptible « santé sexuelle » n’est-ce pas (comme si l’abstinence pouvait faire un tort quelconque…). La Presse rapporte :
La masturbation est l’activité sexuelle la moins risquée en temps de pandémie. Et si cela ne suffit plus, évitez les baisers ou faites en sorte que vos visages ne se touchent pas.
Voilà quelques-unes des recommandations publiées mercredi par les autorités canadiennes de santé publique sur les façons de veiller à sa santé sexuelle tout en limitant le risque d’infection et de propagation du coronavirus.
« Les activités sexuelles les moins risquées pendant que sévit la COVID-19 sont celles où vous êtes seul », rappelle la Dre Theresa Tam […]
La masturbation… cela ne fait-il pas non plus la promotion de la pornographie, puisqu’il s’agit de pratique solitaire ?... Le Dr Tam met en garde doctement, selon La Presse :
Il est également recommandé de limiter la consommation d’alcool et de toutes autres substances qui pourraient altérer le jugement des partenaires afin que ceux-ci puissent « prendre de sages décisions ».
Au moment de passer à l’acte, « évitez de vous donner des baisers et faites en sorte que vos visages ne se touchent pas ou ne soient pas près l’un de l’autre ». Pour faciliter la tâche, les partenaires pourraient envisager de porter un masque couvrant le nez et la bouche.
La tempérance, ou modération, est certes une vertu à maintenir en tout temps en ce qui concerne l’alcool, mais pensez-vous vraiment que les gens vont penser aux détails (comme le port du masque) énoncés par le Dr Tam dans le feu de la passion ? Pas de baisés ou le masque ? Allons donc !
Pour finir, le Dr Tam recommande évidemment le port du condom pour éviter les maladies sexuellement transmissibles. Voilà un vieux sapin que l’on tente encore de nous passer, car le condom n’est pas redoutablement efficace pour empêcher la transmission des maladies vénériennes. C’est une chose, comme l’avortement et maintenant le masque, que les disciples d’Esculape ayant une fonction dans le gouvernement veulent nous faire avaler. Ce n’est pas d’hier que les autorités sanitaires mentent ou se trompent en matière de santé, surtout quand il s’agit d’un enjeu politique. Franchement, à croire que le préservatif est sécuritaire, les gens s’adonnent tout simplement à plus de relations, donc augmentent davantage les risques, alors qu’il serait bien plus simple d’éviter la cause des maux, ou le libertinage, et de s’en tenir au simple mariage.
Le procureur général de Floride enquête sur un avortoir où fut pratiqué l'avortement d'une victime de viol
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie)
C’est suite à une pétition lancée par LifeSiteNews que le procureur général de Floride a décidé de mener une enquête au sujet de l’avortoir ayant pratiqué un avortement sur une jeune fille de quinze ans, amenée là par son violeur qui a d’ailleurs filmé les scènes de viols pour en mettre les vidéos sur PornHub, site qui reçoit la pornographie de ses utilisateurs.
Avant de continuer mon propos, précisons que PornHub est le site pornographique de la compagnie MindGeek, vaste société qui fait des centaines de millions avec ce site ordurier ; le siège social de cette société se trouve très exactement à Montréal…
Selon LifeSiteNews :
Le procureur général de Floride, Ashley Moody, a commandé une enquête sur un centre d’avortement qui a pratiqué un avortement sur une jeune fille de 15 ans qui est devenue enceinte après avoir été agressée à plusieurs reprises, ces viols ayant été filmés et les vidéos finalement téléversés sur Pornhub. Le ravisseur de la jeune fille a emmené celle-ci à un avortoir pour un avortement illégal afin de dissimuler ses crimes.
Le procureur général Moody veut maintenant savoir si le centre d’avortement a omis de signaler « l’abus ou la négligence » de la mineure et si cette omission a « permis la poursuite de l’exploitation de la victime dans cette affaire ».
« D’après le rapport, il ne semble pas que les inspecteurs ni le Département des Enfants et des Familles aient reçu de rapport de maltraitance ou de négligence de la part du prestataire [...] Plus troublant pour moi est le fait qu’il semble qu’un homme de trente ans sans lien de parenté avec la mineure l’ait emmenée chez le fournisseur et qu’aucun rapport d’abus ou de négligence n’ait apparemment été lancé », écrit Moody dans une lettre datée du 4 juin 2020 au Département de l’Application de la loi de Floride. La lettre a été obtenue par LifeSiteNews.
« D’après les faits contenus dans les rapports, il semble qu’une enquête plus approfondie serait justifiée fin de s’assurer que le prestataire n’a pas permis la poursuite de l’exploitation de la victime dans cette affaire. Je demande à vos agents de mener une enquête plus approfondie sur ces faits et de les suivre où qu’ils mènent », ajoute-t-elle.
L’enquête a été ouverte après que LifeSiteNews eût publié et diffusé une pétition au sujet de l’avortement pratiqué sur la jeune fille de 15 ans qui était devenue enceinte lors d’agressions sexuelles répétées, dont les vidéos ont été téléversées sur Pornhub.
Précisons que l’avortoir aurait entre autres enfreint la loi sur le consentement parental de l’État ; évidemment, s’il n’a pas établi le lien de parenté, cela veut dire qu’il n’a pas demandé l’avis des parents avant de procéder.
Grande-Bretagne : Des élèves de 11 ans se font demander la définition de la pornographie dure…
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo (modifiée) : Freepik
Encore un exemple de la perversité des cours d’« éducation sexuelle », absolument délirant ! Précisons au passage que ce n'est pas le seul. Selon LifeSiteNews :
Une école britannique s’est excusée auprès des parents, ceux-ci s’étant plaints que des élèves d’à peine 11 ans se vissent donner des devoirs leur demandant de définir des termes tels que pornographie dure et pornographie transgenre.
L’Archbishop Sentamu Academy, une école de l’Église anglicane à Hull, s’est « excusée pour toute offense causée » devant les parents en colère qui s’étaient plaints des devoirs, rapporte le Daily Mail.
Selon l'article, les enseignants ont demandé aux enfants âgés de 11 et 14 ans « de “définir” la pornographie, la pornographie douce, la pornographie dure (hardcore pornography) et la pornographie transsexuelle, ainsi que la mutilation génitale féminine [...] le trafic, la circoncision masculine [...] et plus encore ».
Je ne mettrais pas les autres turpitudes dont il était question…
Une mère a déclaré au journal britannique que la recherche de ces expressions en ligne, en vue de trouver leur définition, aurait « détruit » l’esprit de sa fille de onze ans et l’aurait « marquée à vie ».
« Ma fille est encore une enfant, elle est encore dans le monde des elfes magiques, sa chambre est faite dans le style My Little Pony [aïe]. Elle est très innocente et naïve », dit-elle.
« Elle n’était qu’à l’école primaire l’année dernière et une vie la plus belle possible, maintenant on lui demande de chercher : pornographie dure. »
Cette mère a déclaré qu’elle avait vu des plaintes provenant d’autres parents concernant les devoirs sur un groupe Facebook et avait donc empêché sa fille de chercher les termes en question.
« On leur a dit d’utiliser Google et elle aurait fait une recherche. J’ai entré le terme “porno dure” sur Google et certaines des images qui sont apparues [étaient] assez dérangeantes », ajouta-t-elle.
Le gouvernement britannique a décrété la mise en place d’un nouveau cours d’« éducation sexuelle », incluant les aspects de l’idéologie LGBT (comme si le précédent n’était pas assez pervers). Ce programme sera cependant retardé pour cause de coronavirus :
À partir de septembre prochain, de nouveaux cours sur les relations et l’éducation sexuelle (RSE) devaient entrer en vigueur au Royaume-Uni, ce qui a été reporté à septembre 2021.