Le projet de loi visant à protéger les enfants de la pornographie en ligne progresse au Parlement canadien
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MNStudio/Adobe Stock
19 mai 2023 (LifeSiteNews) — Le 17 mai, la députée conservatrice Karen Vecchio, d’Elgin-Middlesex-London, a déposé le projet de loi S-210, la « Loi sur la protection des jeunes contre l’exposition à la pornographie » (version longue : « Loi limitant l’accès en ligne des jeunes au matériel sexuellement explicite »).
Le projet de loi, présenté au Sénat en novembre 2021, a été adopté à l’unanimité le mois dernier. Mme Vecchio, qui est ministre des Femmes et de l'Égalité des genres et de la Jeunesse dans le cabinet fantôme, a déclaré : « Il s’agit d’un projet de loi très important pour garantir que la pornographie n’est pas facilement accessible aux enfants — nous savons qu’il existe une forte corrélation entre la violence entre partenaires intimes et la pornographie. Nous ne voulons pas que les enfants pensent que ce qu’ils voient sur Internet correspond à la réalité ».
Le député Arnold Viersen de Peace River-Westlock, qui lutte depuis des années contre les effets de la pornographie au Canada, a publié une vidéo du moment sur sa page Facebook : « L’histoire est en marche ! Au cours des sept dernières années, vous avez été des milliers à signer des pétitions réclamant la vérification de l’âge des enfants. La députée Karen Vecchio a déposé le projet de loi sur la protection des jeunes contre l’exposition à la pornographie à la Chambre des communes, après que la sénatrice Julie Miville-Dechêne l’a brillamment fait adopter par le Sénat. Je suis honoré de soutenir ce projet de loi et d’aider à en faire une loi ». Il y a plusieurs années, M. Viersen a présenté pour la première fois une motion visant à ce que le Comité permanent de la santé étudie les liens entre la pornographie et la violence sexuelle — dans un rare moment d’unité partisane, la motion avait été adoptée à l’unanimité.
Lire la suiteSecoué par les scandales, Pornhub cherche à redorer son image
Solomon Friedman, actionnaire de la société qui a racheté MindGeek, l'entreprise dirigeant Pornhub.
Par Pierre-Alain Depauw (Médias-Presse-Info)
Solomon Friedman cumule plusieurs fonctions : c’est un avocat, un rabbin et un magnat de la pornographie.
La société de capital-investissement qu’il a aidé à fonder, Ethical Capital Partners, a acheté le plus important site pornographique au monde, Pornhub.
Pornhub est le site pornographique le plus visité mais aussi l’un des plus controversés. Il fait l’objet d’une série de poursuites intentées par des personnes qui affirment que ses anciens propriétaires n’ont pas empêché la publication sur le site Web d’images de maltraitance d’enfants, d’agressions sexuelles et d’autres rapports sexuels illégaux et non consentis. Plus de 2,2 millions de personnes ont signé une pétition en ligne pour fermer le site.
La nouvelle de son achat à la mi-mars par Ethical Capital Partners a stupéfié de nombreux avocats d’Ottawa. Pourquoi l’un de leurs principaux confrères souhaiterait-il s’investir dans quelque chose d’aussi toxique que Pornhub ?
Le rabbin et avocat Friedman a répondu à la question. « Contrairement à une salle d’audience où je représente une personne à la fois », affirme-t-il, « ici, l’ampleur du changement et de l’effet positif est énorme. »
Friedman et ses collègues investisseurs d’Ethical Capital Partners affirment qu’ils vont contribuer à éliminer certains des maux les plus graves des sites pornographiques, notamment la pornographie de vengeance et les images d’abus sexuels sur des enfants.
Né dans une famille orthodoxe de l’ouest d’Ottawa, Friedman a grandi dans une famille de neuf frères et sœurs. Son père, Barry, était un entrepreneur de Nortel et un développeur de logiciels.
« J’ai été élevé dans une maison avec plus d’ordinateurs que d’enfants », dit Friedman. « Mon premier ordinateur était un terminal connecté à un serveur Unix. »
Lire la suiteLa France veut sévir contre les sites pornographiques qui ne vérifient pas l’âge de leurs utilisateurs
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : MEDIAIMAG/Asobe Stock
4 mai 2023 (LifeSiteNews) — Mieux vaut tard que jamais : alors que les dommages catastrophiques de l'expérience de la pornographie numérique omniprésente à l’échelle de la société deviennent évidents, les gouvernements prennent enfin, lentement, des mesures. Ce n’est pas suffisant. C’est loin d’être suffisant. Mais c’est quelque chose, et peut-être — juste peut-être — que le troupeau se met en mouvement.
Comme je l’ai indiqué en février, le gouvernement britannique aborde la question de la pornographie dans son projet de loi sur la sécurité en ligne, qui exigera que tous les sites pornographiques intègrent un système de vérification de l’âge afin de tenir les enfants à l’écart de ces plateformes.
Aux États-Unis, la Louisiane a fait de même avec un projet de loi sur la vérification de l’âge, tandis que l’Arkansas, l’Utah, le Minnesota, le Tennessee et la Californie (!) examinent également différents types de projets de loi sur la « modération du contenu ». Si l’on en croit la réaction de l’industrie pornographique à la législation de la Louisiane, ces lois frappent l’industrie là où ça fait mal.
Véritable scénario gagnant-gagnant, Pornhub est tellement en colère contre l’Utah concernant la vérification de l’âge qu’il a interdit l’accès à son site à tout l’Utah.
La France a également insisté sur la vérification de l’âge, et le gouvernement français tente maintenant de sévir contre les sites internet qui refusent de s’y conformer en donnant à son autorité de régulation des médias le pouvoir de bloquer complètement les sites pornographiques non conformes.
Selon Politico, grâce à un prochain projet de loi sur la technologie, « l’Arcom, l’autorité de régulation de l’audiovisuel et de la communication numérique, n’aura plus besoin d’une autorisation judiciaire pour obliger les opérateurs de télécommunications et les moteurs de recherche à bloquer l’accès à Pornhub ou YouPorn dans le pays ».
Lire la suiteBonne nouvelle : Pornhub se retire de l’Utah !
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : photoroyalty/Freepik
Pornhub, l’un des plus gros sites de pornographie en ligne au monde (dirigé par MindGeek, basé à Montréal…), a bloqué l’accès à tous les usagers utahains plutôt que de se conformer aux exigences de l’État de la ruche de vérifier l’âge de ses visiteurs. En effet, l’Utah a récemment adopté une loi exigeant la vérification de l’âge sur les sites à contenu pornographique par le biais du téléchargement de son identité digitale par le biais d’une application approuvée par le gouvernement, ou d’autres moyens de vérification par une tierce partie basés sur des données : en d’autres termes, de façon efficace.
L'Utah a également instauré des règles exigeant la permission des parents pour l'usage par les mineurs des réseaux dits sociaux.
La dépendance au porno alimente-t-elle la propagation de l’idéologie « woke » ?
Par John-Henry Westen — Traduit par Campagne Québec-Vie
27 avril 2023 (LifeSiteNews) — L’omniprésence de la pornographie en ligne contribue-t-elle à la propagation d’idées « woke » nuisibles comme le transgenrisme ? Mon invité dans l’épisode d’aujourd’hui du John-Henry Westen Show pense que c’est le cas.
Aujourd’hui, je suis accompagné de Jonathon Van Maren. Vous le connaissez peut-être très bien. Il écrit des chroniques régulières et anime le Van Maren Show sur LifeSite. Il est également un militant pro-vie et pro-famille engagé.
Nous discutons de toute une série de questions connexes, tels que la nature destructrice de la pornographie en ligne, les raisons pour lesquelles les Américains sont plus efficaces que les Canadiens dans la lutte contre le transgenrisme, la question de savoir si le processus politique peut ou non sauver l’Occident, et les conseils aux parents chrétiens sur la façon d’élever leurs enfants dans ce monde en plein bouleversement.
M. Van Maren explique que l’« ampleur » et l’« accessibilité » actuelles du mal sont « sans précédent dans l’histoire de l’humanité » à cause de la pornographie en ligne. Non seulement en raison de la pornographie elle-même, mais aussi de son rôle dans la dégradation culturelle et sociale de l’Occident.
Lire la suiteUn parcours pour aider à se libérer de la pornographie
Par R. D. — Photo : TeamDaf/Adobe Stock
Une des dimensions du Carême : la libération des captifs.
Et quoi de plus contemporain comme captivité que la pornographie, qui est tellement un fléau que c’est désormais une question de santé publique ? En plus, c’est une captivité intérieure humiliante que les hommes ne révèlent pas, et dont ils ne trouvent très souvent aucune libération. Les hommes cherchent à se sortir tout seuls de leur problème mais n’y arrivent pas. Ils finissent par accepter la fatalité de ces chaînes.
Donc, un bel acte à faire consiste à faire connaître cette opportunité d’accompagnement (SOSPorno.net), en vue de la libération de la dépendance à la pornographie, à tous vos contacts, de telle sorte que personne ne se sentent visé, mais que tous découvrent la ressource et puisse en profiter, discrètement pour eux-mêmes, ou la proposer à quelqu’un qu’ils aiment. Ce problème, si fréquent, et si caché, peut affecter votre père, votre frère, votre époux, votre fils, votre ami, votre oncle, votre collègue de travail, les amis de vos enfants, le petit ami de votre fille, ou le petit ami de votre mère. Mais il y a aussi de plus en plus de femmes qui se retrouvent prisonnières de cette dépendance.
Je vous souhaite d’oser ce beau risque et, un jour peut-être, de découvrir que vous aurez contribué à aider un homme, ou une femme, à se libérer d’un fardeau pesant, juste en lui ouvrant les portes de cette ressource.
Que Dieu bénisse votre geste,
R. D.
Mieux vaut tard que jamais : les législateurs de l’Indiana votent l’arrêt du financement de l’Institut Kinsey sur la sexualité
Alfred Kinsey.
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Wikimedia Commons
Avertissement au lecteur : Ce texte contient la description explicite d’abus sexuels sur des enfants.
28 février 2023 (LifeSiteNews) — Ce titre a des décennies de retard, mais mieux vaut tard que jamais : « Les législateurs de l’Indiana soutiennent l’arrêt du financement de l’Institut Kinsey ». Le 22 février, la Chambre des représentants de l’Indiana a voté à 53 contre 34 pour interdire à l’Université de l’Indiana, siège de l’Institut Kinsey, d’utiliser des fonds publics pour ses recherches sur la sexualité. l'Associated Press a prétendu de façon ridicule que ce vote était dû à « un législateur d’extrême droite » qui « a dévoilé des allégations contestées d’exploitation d’enfants commises par son fondateur et célèbre chercheur du milieu du XXe siècle, Alfred Kinsey ».
En effet, le législateur démocrate Matt Pierce a déclaré que ces allégations étaient « basées sur de vieux soupçons non prouvées de conspirations qui n’ont pas existé » et les a qualifiées de « memes internet réchauffés qui reviennent sans cesse », insistant sur le fait que la noble mission de l’Institut Kinsey était de « mieux comprendre la sexualité humaine, y compris la façon de traiter les prédateurs sexuels et les pédophiles et de prévenir [leur apparition] ». l'Associated Press a expliqué que le parti républicain s’oppose au financement de l’Institut Kinsey parce qu’il « lui reproche de contribuer à la libéralisation des mœurs sexuelles, y compris une plus grande acceptation de l’homosexualité et de la pornographie ».
Pierce, apparemment, n’a pas pris la peine de lire les propres ouvrages de Kinsey, Sexuality in the Human Male et Sexuality in the Human Female, qui ont été publiés en 1948 et 1953. Les travaux de Kinsey ont « révélé » qu’entre 30 et 45 % des hommes avaient des liaisons, que 85 % des hommes avaient eu des relations sexuelles avant le mariage, qu’un pourcentage stupéfiant de 70 % des hommes avaient couché avec des prostituées et qu’entre 10 et 37 % des hommes avaient eu un comportement homosexuel. On parle beaucoup moins de ses autres « découvertes » troublantes — une étude approfondie du « comportement sexuel » des enfants, ainsi que des affirmations selon lesquelles près de 10 % des hommes ont eu des relations sexuelles avec des animaux (ainsi que 3,6 % des femmes), et que ce chiffre s’élève à 40-50 % en fonction de la proximité des fermes.
Lire la suiteLes législateurs agissent enfin pour protéger les enfants contre le fléau de la pornographie en ligne
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Adobe Stock
13 février 2023 (LifeSiteNews) — Il aura fallu une prise de contrôle quasi totale des jeunes esprits par l’industrie de la pornographie numérique pour réveiller les législateurs, mais le troupeau commence enfin à bouger. Au Royaume-Uni, le premier ministre Rishi Sunak fait face à la pression des députés conservateurs pour durcir le projet de loi tant attendu sur la sécurité en ligne, qui obligera tous les sites pornographiques à mettre en place des systèmes de vérification de l’âge dans les six mois suivant l’entrée en vigueur du projet de loi — de nouveaux amendements qui seront probablement débattus ce mois-ci exigeront que les sites utilisent le même processus de vérification (téléchargement d’une pièce d’identité ou d’une carte de crédit) que les jeux d’argent en ligne.
James Bethell, un pair conservateur de la Chambre des Lords, n’a pas mâché ses mots : « Ce dont nous avons besoin, c’est d’un calendrier précis et d’un engagement clair et net en faveur d’une vérification obligatoire et stricte de l’âge. Les dispositions actuelles ne sont que des vœux pieux qui laissent ouvertes trop de failles, sans aucun contrôle ni calendrier. »
De l’autre côté de l’Atlantique, les législateurs font entendre des voix similaires. Seize États américains ont déclaré que la pornographie était une crise de santé publique, notamment l’Arkansas, l’Arizona, la Floride, l’Idaho, le Kansas, le Kentucky, la Louisiane, le Missouri, le Montana, l’Oklahoma, la Pennsylvanie, le Dakota du Sud, le Tennessee, l’Utah et la Virginie.
La Louisiane, quant à elle, a effectivement adopté un projet de loi sur la vérification de l’âge. La loi HB 142 exige la vérification de l’âge sur tout site contenant 33,3 % ou plus de matériel pornographique. Si les sites ne parviennent pas à mettre en place des systèmes efficaces, les internautes pourront poursuivre la société pornographique si un enfant y a accès.
Le législateur de l’État, Laurie Schlegel, qui s’occupe de patients souffrant de dépendance sexuelle, estime qu’il s’agit d’une première étape indispensable. « La pornographie détruit nos enfants et ils y ont un accès illimité sur Internet. Si les sociétés de pornographie ne sont pas responsables, je me suis dit que nous devions aller de l’avant et les tenir pour responsables », a-t-elle déclaré.
Lire la suiteLa « libération sexuelle » n’a apporté aux jeunes que misère et inassouvissement
Par Jonathon Van Maren — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Siam/Adobe Stock
18 novembre 2022 (LifeSiteNews) — Nous nous rapprochons rapidement d’une époque où il n’y aura plus aucune personne vivante qui se souvienne de ce qu’était la vie avant la révolution sexuelle.
Même ceux qui ont grandi dans un environnement religieux où les prescriptions bibliques étaient encore la norme habitaient des îles de santé mentale relative, entourées par les mers agitées du chaos sexuel et de la modernité liquide et, avec l’arrivée du porno numérique, ces îles ont été submergées, elles aussi. La chasteté est devenue la vertu la plus rare et la plus difficile à atteindre, dans une culture où le smog sexuel recouvre tout, comme une espèce de fumée secondaire.
Lorsque j’ai discuté de la culture de la « drague » avec mes pairs à l’université, ce qui m’a frappé, c’est qu’aucun d’entre eux n’avait rejeté l’idée de chasteté — ils n’y avaient, à quelques exceptions près, jamais été confrontés. L’idée de retarder la cohabitation ou les rapports sexuels jusqu’au mariage ne leur était tout simplement pas venue à l’esprit. La plupart viennent de familles postchrétiennes depuis plusieurs générations et rencontrer quelqu’un qui croit réellement à ces choses est une expérience anthropologique. Leurs questions étaient généralement curieuses et (sauf si la question des LGBT était abordée) rarement hostiles.
J’ai vécu des expériences similaires après avoir rejoint le mouvement pro-vie. Lors d’une action de sensibilisation près d’un lycée, je me souviens très bien d’une lycéenne qui m’a dit que l’avortement devait être légal parce qu’elle ne pouvait pas élever un enfant toute seule, comme si l’absence du père était une fatalité.
Je lui ai demandé pourquoi elle n’envisageait pas de retarder l’intimité physique jusqu’à ce qu’elle trouve quelqu’un avec qui elle voudrait vraiment avoir un enfant. Elle a eu l’air pensive, puis mélancolique. « Ce serait bien », a-t-elle répondu. Il est clair que cette option ne lui a jamais été présentée. Contrairement à l’image stéréotypée du jeune qui se vante de ses rencontres sexuelles, j’ai entendu beaucoup, beaucoup plus d’histoires de regrets et de sentiments d’inutilité.
Lire la suiteEst-ce que ce serait la fin pour les compagnies montréalaises Pornhub et MindGeek ?
Un jeune adulte devant le site pornographique populaire Pornhub.
Par Joanne D’Arc (Campagne Québec-Vie) — Photo : Unsplash
Selon l’article qui a paru sur Le Monde, TrafficJunky soit la branche publicitaire du site web pornographique montréalais Pornhub qui est détenu par MindGeek, ne pourra plus accepter de paiements par carte de crédit Visa ou MasterCard. Les compagnies Pornhub et MindGeek ont commencé à rencontrer des problèmes judiciaires, depuis qu’il a été démontré qu’elles circulaient du contenu qui incluait le trafique sexuel et la pornographie des enfants. En décembre 2020, MasterCard et Visa avaient déjà annoncé que leurs cartes de crédit ne pourraient plus être utilisées pour effectuer des paiements sur le site pornographique Pornhub.
En juillet 2022, les compagnies de paiement Visa et MasterCard ont été mises sur la liste des accusés complices dans la monétisation de la pornographie juvénile à cause de la vidéo, à caractère sexuel, de Serena Fleites qui a été circulée alors qu’elle n’avait que 13 ans. Visa a demandé d’être retirée de cette liste, mais le 29 juillet 2022 la cour californienne refusa. Alors Visa a publié un communiqué sur leur site le 4 août 2022 par leur président, Alfred F. Kelly Jr. intitulé : Nous ne tolérons pas l’utilisation de notre réseau pour des activités illégales.
Le président de Visa nous partage qu’il trouve les allégations de la poursuite répugnantes et en contradiction directe avec les valeurs et l’objectif de Visa. Il est aussi conscient du fait que les procès peuvent prendre des années, alors il a décidé de s’exprimer à propos de ces questions juridiques avant qu’une décision finale soit prise. Il partage ceci au public :
« Permettez-moi d’être clair : Visa condamne le trafic sexuel, l’exploitation sexuelle et l’abus sexuel des enfants. C’est illégal, et Visa ne permet pas l’utilisation de son réseau pour des activités illégales. Nos règles interdisent explicitement et sans équivoque l’utilisation de nos produits pour payer du contenu qui dépeint un comportement sexuel non consensuel ou des abus sexuels sur des enfants. Nous sommes vigilants dans nos efforts pour décourager cette activité et toute autre activité illégale sur notre réseau. De plus, nous exigeons des institutions financières clientes de Visa, qui entretiennent les relations directes avec les commerçants, qu’elles assurent et attestent de la conformité des commerçants à nos normes.
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