Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : jcomp/Freepik
Le gouverneur de l’Arkansas, Asa Hutchinson, a ratifié une loi permettant aux médecins de refuser à effectuer des procédures médicales (qui n’en sont pas toujours) non urgentes qui vont à l’encontre de leur conscience, selon Catholic News Agency :
Le gouverneur d’Arkansas, Asa Hutchinson, a promulgué vendredi une loi autorisant les médecins à refuser d’effectuer des procédures médicales non urgentes qui violent leurs convictions morales ou religieuses. La loi entrera en vigueur en août 2021.
Parmi ces procédures non urgentes, on peut d’ores et déjà nommer l’avortement, puisque quand il s’agit de sauver la vie de la mère ce n’est pas à cela que les médecins ont recours, l’euthanasie, qui ne peut-être urgente puisqu’il s’agit de tuer et non de sauver, la stérilisation, l’implantation de contraceptif permanent, les « transitions », etc.
Pas de « transgenres » dans les compétitions féminines ni de « transitions » en Arkansas :
La semaine dernière, Hutchinson a également signé une loi qui interdira aux hommes biologiques* de participer aux compétitions féminines.
En début de semaine, les législateurs de l’Arkansas ont adopté une mesure qui interdirait aux professionnels de la santé d’offrir des bloqueurs de puberté, des hormones du sexe opposé ou des opérations de « confirmation de genre » aux mineurs et les exposerait à des poursuites judiciaires de la part de patients qui regretteraient plus tard leur intervention.
Si ce projet de loi est inscrit dans le marbre de la loi, elle fera de l’Arkansas le premier État américain à interdire la pratique des « transitions ».
*Remarquez que puisqu’un homme l’est du fait de sa biologie, de sa génétique même, il ne peut donc pas devenir femme, d’où il est absurde de parler d’« homme biologique » quand on veut mentionner un vrai homme, car en fait d’homme, il n’y a que des hommes biologiques. La même chose est vraie pour les « femmes biologiques ». — A. H.
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