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Le cannibalisme pour survivre au changement climatique ?

Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Nicepik

Jusqu’à quelle passion ou idée tordue ne poussera pas la croyance en un changement climatique, plus qu’hypothétique ? Toujours est-il que le héraut de cette proposition pour le moins radicale n’est autre que Magnus Söderlund, professeur d’étude de marché et de stratégie à l’école des sciences économiques de Stockholm, qui l’a énoncée lors du Gastro Summit (« Gastro » pour gastronomy ou gastronomie), devant un auditoire quelque peu circonspect. D’après PJ Media :

Söderlund discourut sur le sujet, « Pouvez-vous imaginer manger de la chair humaine ? » Il avançait un plaidoyer pour l'abolition des anciens tabous contre la profanation du cadavre humain et, en fait, contre le cannibalisme.

Dans une vidéo, mettant en scène le discours absurde sur les différents aspects des « tabous » sur le cannibalisme, le professeur s’étant sur le « conservatisme » de la population en générale dans le domaine culinaire :

La fin de la description de la vidéo se traduit en gros par « la possibilité de manger de la chair humaine — pour sauver le climat ». L'effet du cannibalisme sur le climat est laissé à la conjecture de chacun, et il semblait que le professeur se concentrât davantage sur la façon de vivre avec les conséquences du changement climatique, de toute façon.

Selon The Epoch Times, Söderlund condamnait les tabous contre le cannibalisme comme « conservateurs ». Il a suggéré que la résistance des gens à manger de la chair humaine : « pourrait être surmontée, peu à peu, en commençant par les persuader à y goûter ». Dans la vidéo, il dénote que « comme les sources de nourriture seront rares à l'avenir, les gens doivent être initiés à manger des choses qu'ils ont considérées jusqu'ici comme dégoûtantes — entre autres, la chair humaine ».

L'article continue ci-dessous...

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L’auditoire à qui le Pr Söderlund a demandé s’il était ouvert à l’idée de briser le « tabou » s’y est montré réfractaire. L’article continue :

Lorsqu'on lui a demandé s'il essaierait de manger de la chair humaine, Söderlund a répondu : « Je me sent quelque peu hésitant, mais pas au point d'être exagérément appelé conservateur.... Je dois dire que... je serais prêt au moins à y goûter. »

L’idée de manger de la chair humaine n’est pas nouvelle, ayant même donné l’occasion d'une étude sur le lien entre cannibalisme et maladie de Creutzfeldt-Jakob :

En Papouasie-Nouvelle-Guinée, les peuplades Fore pratiquaient le cannibalisme rituel. Les femmes de la tribu mangeaient la chair humaine de leurs proches décédés, afin que les vers et les asticots ne la mangeassent pas. Les femmes — et certains enfants — finissaient par mourir du kuru, une maladie qui signifie « frisson » ou « tremblement ».

Les victimes avaient d'abord de la difficulté à marcher, signe qu'elles étaient sur le point de perdre le contrôle de leurs membres. Elles perdaient ensuite le contrôle de leurs émotions, et les gens surnommaient la maladie la « mort gloussante». En moins d'un an, les victimes n'arrivaient plus à se relever du sol, à se nourrir ou à contrôler leurs fonctions corporelles.

Des scientifiques ont gagné un prix Nobel pour avoir fait le lien entre la maladie et le cannibalisme de la tribu. Il s'avère que manger de la chair humaine rend les gens vulnérables aux « prions », ou « particules infectieuses protéiques », des protéines déformées qui déforment les protéines normales des cellules nerveuses. Il semble que quelqu'un de la tribu ait contracté la maladie de Creutzfeldt-Jakob, un trouble neurologique dégénératif. Le cannibalisme a transmis cette maladie de génération en génération. Environ un Américain sur un million contracte cette maladie, selon le CDC. C'est plutôt rare, du moins en partie à cause de ce tabou « conservateur » contre la consommation de chair humaine.



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