Le cannibalisme pour survivre au changement climatique ?
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) ― Photo : Nicepik
Jusqu’à quelle passion ou idée tordue ne poussera pas la croyance en un changement climatique, plus qu’hypothétique ? Toujours est-il que le héraut de cette proposition pour le moins radicale n’est autre que Magnus Söderlund, professeur d’étude de marché et de stratégie à l’école des sciences économiques de Stockholm, qui l’a énoncée lors du Gastro Summit (« Gastro » pour gastronomy ou gastronomie), devant un auditoire quelque peu circonspect. D’après PJ Media :
Söderlund discourut sur le sujet, « Pouvez-vous imaginer manger de la chair humaine ? » Il avançait un plaidoyer pour l'abolition des anciens tabous contre la profanation du cadavre humain et, en fait, contre le cannibalisme.
Dans une vidéo, mettant en scène le discours absurde sur les différents aspects des « tabous » sur le cannibalisme, le professeur s’étant sur le « conservatisme » de la population en générale dans le domaine culinaire :
Lire la suiteLa fin de la description de la vidéo se traduit en gros par « la possibilité de manger de la chair humaine — pour sauver le climat ». L'effet du cannibalisme sur le climat est laissé à la conjecture de chacun, et il semblait que le professeur se concentrât davantage sur la façon de vivre avec les conséquences du changement climatique, de toute façon.
Selon The Epoch Times, Söderlund condamnait les tabous contre le cannibalisme comme « conservateurs ». Il a suggéré que la résistance des gens à manger de la chair humaine : « pourrait être surmontée, peu à peu, en commençant par les persuader à y goûter ». Dans la vidéo, il dénote que « comme les sources de nourriture seront rares à l'avenir, les gens doivent être initiés à manger des choses qu'ils ont considérées jusqu'ici comme dégoûtantes — entre autres, la chair humaine ».
Un ancien sataniste déclare avoir pratiqué des rituels dans des avortoirs
Par Michael Hichborn (LifeSiteNews) — traduit par Campagne Québec-Vie
Le 9 septembre 2015 (LepantoInstitute) – À la lumière de vidéos récemment publiées révélant le trafic d’organes et de tissus d’enfants à naître auquel se livre Planned Parenthood, le Lepanto Institute a interviewé Zachary King, ancien grand sorcier sataniste. M. King a grandi normalement, dans une famille baptiste américaine. Il commence à pratiquer le spiritisme à l’âge de 10 ans, intègre un convent sataniste à 13 ans et a déjà enfreint les Dix Commandements divins à 15 ans. Il monte les échelons jusqu’à atteindre le rang de grand sorcier du convent à l’âge adulte et a activement contribué à faire avancer le dessein de Satan, ce qui inclue la pratique d’avortements rituels. Dans un livre qu’il est en train d’écrire, intitulé « Abortion is a Satanic Sacrifice » (L’avortement est un sacrifice satanique), il relate ses expériences.
L.I. — Zac, vous avez une histoire peu commune à raconter. Pourriez-vous nous dire comment vous êtes tombé dans le satanisme ?
King — Cela a commencé par une forte curiosité, je me demandais si la magie était réelle. Je me suis posé la question après avoir vu des films sur la sorcellerie et les sorciers en 1970 quand j’étais jeune. On jouait à un jeu à l’école (...) Chaque fois que mon groupe s’y adonnait, nous voyions un visage démoniaque dans le miroir. Nous n’avions aucune idée de ce que c’était, c’est juste que tout à coup cette chose effrayante apparaissait dans le miroir et que tous mes camarades sortaient des toilettes en courant, morts de peur… sauf moi. Je pensais que c’était plutôt génial. Maintenant, en même temps que je faisais cela, je jouais à des campagnes de Donjons et dragons tous les week-ends et je prenais toujours le rôle du magicien ou du sorcier. En fin de compte, je me demandais si je pouvais faire de la magie pour de vrai alors j’ai essayé deux fois de jeter un sort pour obtenir de l’argent. Cela a marché à chaque fois, mais ç’aurait pu aussi bien être une coïncidence, du coup j’ai essayé une troisième fois, et cette fois-ci, j’avais jeté le sort devant le démon des toilettes (...) et j’ai pensé à enchérir un peu pour voir ce qui arriverait. J’ai gagné 1000 dollars le lendemain. Depuis ce jour, j’étais convaincu que la magie était réelle.
Lire la suiteRichard Dawkins propose d’en finir avec le tabou du cannibalisme
Par Reinformation.tv
Rien de plus simple, selon cet athée militant : il suffirait de « cultiver » de la chair humaine en laboratoire et la servir pour parvenir à changer les mentalités : « Un banc d’essai intéressant pour le conséquentialisme face à l’absolutisme de la réaction de dégoût », tweetait Richard Dawkins au début du mois après avoir lu un article sur la viande fabriquée en laboratoire.
Cette viande dite « propre » (à l’aune des exigences des écologistes) est obtenue à partir de cellules souches récoltées sur des bêtes vivantes.
Même le foie gras pourrait ainsi être « cultivé » ; selon l’article de The Independent, il sera au menu de restaurants américains et asiatiques avant la fin de l’année.
Dawkins, matérialiste revendiqué, est en toute logique promoteur d’une morale pragmatique, puisque l’âme n’existe pas selon lui et que l’homme ne sera donc pas jugé sur ses actes dans l’au-delà. On ne juge donc de la valeur des actions que d’après leurs effets.
Mais son objectif est autre, comme le prouve cette suggestion anthropophage : il s’agit de révolutionner la morale pour bouleverser le sens du bien et du mal.