Par Jeff Gunnarson (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie
J’ai le plaisir d’annoncer la deuxième édition de la Journée nationale de refus des drapeaux de la « Fierté », qui aura lieu le 3 juin !
Je vous en dirai plus dans un instant, mais avant cela, j’aimerais vous faire part d’un certain nombre d’informations...
En 2023, dans la foulée d’une rébellion parentale naissante contre l’endoctrinement des enfants par les commissions scolaires au moyen de la propagande LGBT, nous avons lancé la toute première Journée nationale de protestation contre le drapeau de la « Fierté », qui coïncidait avec le premier jour du mois de juin.
Notre stratégie consistait à faire en sorte que les salles de classe de tout le Canada soient visiblement plus vides le jour où la plupart des conseils scolaires entament une campagne d’endoctrinement transsexuel et homosexuel qui durera un mois.
Nous espérions ainsi envoyer un message fort aux enseignants, aux directeurs d’école et aux administrateurs élus : les parents en ont assez que des programmes sexuels radicaux soient imposés à leurs enfants.
Nous aurions été heureux si les écoles n’avaient connu qu’un taux d’absence de 10 %.
Cependant, nous avons été époustouflés par la réponse que nous avons reçue ! La participation des parents a dépassé de loin nos rêves les plus fous !
Voici quelques chiffres concernant la Journée nationale de protestation contre le drapeau de la « fierté » de l’année dernière :
- Selon la région, les taux d’absence étaient de 30 % à 75 % !
- Au moins 7 provinces et territoires (BC, AB, SK, ON, QC, NB, YK) ont participé à la Journée nationale de protestation contre le drapeau de la « Fierté », des parents ayant gardé leurs enfants à la maison en signe de protestation.
|
|
- À l’école publique Northwood de Windsor (Ontario), 600 des 800 élèves sont restés à la maison le premier jour du « Mois des fiertés 2SLGBTQI+ » (comme le premier ministre Justin Trudeau aime à l’appeler).
- Le président du syndicat local des enseignants a admis sur les ondes de CBC que plusieurs écoles de la région de Windsor affichaient un taux d’absentéisme supérieur à 50 %.
- À Ottawa, deux écoles ont enregistré un taux d’absence supérieur à 60 % et plus de 40 % des pupitres étaient vides dans neuf autres écoles le premier jour du soi-disant « mois de la fierté » LGBT.
- À Oakville, en Ontario, jusqu’à 30 % des élèves de certaines écoles sont restés chez eux pour protester contre le drapeau de la « fierté » transgenre et homosexuelle.
Il s’agissait de notre première journée nationale de protestation contre le drapeau de la « fierté ». Il est clair qu’elle a connu un succès retentissant. Mais pouvons-nous faire en sorte que la deuxième édition annuelle soit encore plus puissante ?
Pouvons-nous toucher encore plus d’écoles, dans un plus grand nombre de villes et de provinces, afin d’envoyer un message clair de rébellion parentale contre le formatage sexuel LGBT ?
Rejoignez la manifestation contre le drapeau de la fierté le 3 juin !
Le fonctionnement est simple...
Étape 1. Engagez-vous à participer avec votre famille
Si vous avez des enfants dans une école publique ou catholique où le drapeau de la fierté transgenre/homosexuelle a été hissé, prévoyez de garder vos enfants à la maison ce jour-là. Si vous êtes grand-parent, parlez à vos enfants adultes de la participation de vos petits-enfants à cet événement. Idem si vous êtes tante, oncle, parrain ou marraine.
Étape 2. Confirmez la date à laquelle le drapeau LGBT sera hissé
Contactez le directeur ou le directeur adjoint de votre école pour confirmer si le drapeau LGBT sera hissé le 3 juin ou le 31 mai. Si je soulève ce point, c’est parce qu’en 2024, le 1er juin tombera un week-end. Certaines écoles peuvent donc choisir de hisser le drapeau le premier jour d’école de juin (c’est-à-dire le lundi 3 juin). D’autres écoles choisiront de hisser le drapeau un jour plus tôt, le vendredi 31 mai. Si vous ne savez pas quel jour le drapeau sera hissé, vous pouvez retirer votre enfant de l’école les deux jours.
Étape 3. Recrutez d’autres familles
Partagez le plan avec d’autres familles de votre école et encouragez-les à faire de même. Essayez de recruter le plus grand nombre de familles possible afin que le nombre d’élèves absents soit clairement perceptible. Pour vous fixer un objectif, visez 1/3 des élèves !
Voici une affiche pour promouvoir la journée de retrait des enfants de l’école : TÉLÉCHARGEZ L’AFFICHE (en anglais)
Étape 4. Inscrivez-vous et enregistrez vos données
Signalez votre intention de participer ici, afin que nous puissions produire un rapport par la suite. Nous ne divulguerons aucune information privée. Tout ce que nous publierons sera anonyme. Inscrivez vos données sur notre formulaire en cliquant ici.
Plus d’actions... Prières devant les bureaux des évêques catholiques
Pour ceux d’entre vous qui sont catholiques, une autre façon de combattre les méfaits du « mois de la fierté » homosexuelle est de vous joindre à la Coalition nationale pour la vie pour quelques « prières » que nous avons planifiées le lundi 3 juin devant les bureaux des commissions scolaires et des diocèses.
Hamilton
PRIÈRE À 8 H
Conseil scolaire du district catholique de Hamilton-Wentworth
90, rue Mulberry
Hamilton, ON
L8R 2C8
PRIÈRE À 12 H
Diocèse de Hamilton
700, rue King Ouest
Hamilton, ON
L8P 1C7
Rendez-vous au pont à l’intersection des rues Breadalbrane et Hunt.
Toronto
PRIÈRE À 9 HEURES
Conseil scolaire du district catholique de Toronto
Centre d’éducation catholique
80 Sheppard Avenue East
Toronto, ON
M2N 6E8
PRIÈRE À 12 HEURES
Archidiocèse de Toronto
1155 Yonge Street
Toronto, ON
M4T 1W2
Ottawa
PRIÈRE À 12 H
Conseil des écoles catholiques d’Ottawa
570, chemin Hunt Club Ouest
Nepean, ON
K2G 3R4
Niagara
PRIÈRE À 17 H TOUS LES LUNDIS DE JUIN
Conseil scolaire du district catholique de Niagara
427 Rice Rd
Welland, ON
L3C 7C1
Comme l’année dernière, la CNV fournira des pancartes, si vous souhaitez en tenir une. Nous passerons une heure à prier tranquillement et pacifiquement.
Notre appel est simple : rendre les écoles catholiques à nouveau catholiques. Nous prions pour que l’administration et les conseillers scolaires se repentent et pour que les évêques exercent une direction spirituelle au milieu des ténèbres.
Certains responsables ecclésiastiques s’opposent à la prise de contrôle séculière des écoles catholiques, mais malheureusement, cette opposition a souvent été trop discrète ou subtile.
Nous avons besoin que chaque évêque catholique dise clairement et fermement : « Aucune institution se disant “catholique” dans mon diocèse ne devrait célébrer le Mois des Fiertés ».
Ces institutions tiendront-elles compte d’une telle directive ? Peut-être ou peut-être pas. Mais quoi qu’il en soit, la directive doit être faite, et nous devons cesser de patauger dans les eaux troubles de l’ambiguïté.
Même des non-catholiques ont participé aux prières l’année dernière, parce que tant de Canadiens, de toutes confessions, attendent désespérément que les institutions catholiques, comme les écoles et les églises, s’engagent courageusement et de manière critique dans notre culture.
Cette culture encourage les déviances sexuelles et va à l’encontre de nos valeurs. Nous ne pouvons pas prétendre que le christianisme et la fierté sont compatibles.
Votre humble témoignage lors de l’un de ces moments de prière est un moyen simple, mais efficace de mettre vos convictions en action.
Si vous souhaitez organiser un moment de prière dans un lieu qui ne figure pas dans la liste ci-dessus, veuillez contacter notre directrice de l’éducation et de la défense des droits, Josie Luetke, à l’adresse [email protected]. Nous pourrons vous fournir des instructions, vous envoyer des pancartes et promouvoir ce temps de prière auprès de tous nos sympathisants dans votre région.
Si vous ne pouvez pas participer à l’une de ces séances de prière, nous vous encourageons néanmoins à consacrer une heure de prière à cette cause au cours de ce mois.
Comme l’a dit l’homme politique britannique Edmund Burke : « La seule chose nécessaire au triomphe du mal est que les hommes de bien ne fassent rien ».
Si votre famille a l’intention de participer à la deuxième Journée nationale de protestation contre le drapeau « de la fierté » ou à la prière au bureau de l’évêque, veuillez nous le faire savoir en remplissant ce formulaire.