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La Fédération des médecins omnipraticiens du Québec reconnaît avoir laissé mourir des enfants né vivants après avortement

Sur le site de la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (tiré de la revue Le Médecin du Québec, volume 42, numéro 4, avril 2007, p.111):

(Sur la photo : ce qu'une équipe médicale aurait dû faire suite à la naissance d'un enfant vivant : le soigner et tenter de le sauver!)

 

En septembre 2004, le Collège des médecins du Québec émettait des lignes directrices concernant une interruption médicale de grossesse à la suite de l’évolution des différentes techniques médicales utilisées.4 Plusieurs techniques ayant recours à différents protocoles sont suggérées.Toutefois, dans tous les cas, le col nécessite une préparation par misoprostol ou à l’aide de tiges laminaires. 
 
Avec la technique de déclenchement du travail, dans la majorité des cas, le bébé si fragile ne résiste pas à l’accouchement et est mort à la naissance. Il est toutefois possible qu’il vive de quelques minutes à quelques heures. À moins de 24 semaines, le bébé n’est pas viable à cause de sa grande prématurité. Il est important que les parents soient préparés à l’éventualité que le bébé présente des signes de vie. Il faut leur suggérer de profiter de ces moments pour accompagner leur bébé avec amour dans sa courte vie. Ces instants peuvent permettre aussi d’ondoyer le bébé si les parents le désirent. En général, les parents chérissent ces moments précieux passés avec leur bébé vivant. Il faut, toutefois, que les intervenants soient formés à l’accompagnement des parents et puissent être guidés par un protocole de soins palliatifs pédiatriques.
 
Selon les lignes directrices (2004) du Collège des médecins du Québec4, «à partir de 20 semaines, afin de faciliter l’évacuation et d’éviter l’expulsion d’un fœtus vivant, il est suggérer de faire une injection intra-amniotique ou
intrafœtale de digoxine ou de chlorure de potassium (KCl) au moment de l’insertion des tiges laminaires. »
 
4. Lignes directrices du Collège des médecins du Québec.
L’interruption volontaire de grossesse ;2004. Site Internet :www.cmq.org/DocumentLibrary/UploadedContents/CmsDocuments/
ligne_interruptionvolontaire_grossesse.pdf(Date de consultation : le 30 janvier 2007).

Des enfants prématurés sont sauvés à 21 semaines de grossesse actuellement. Ces enfants sont reconnus comme des personnes par tous. La Charte des droits et libertés de la personne du Québec affirme :

1. Tout être humain a droit à la vie, ainsi qu'à la sûreté, à l'intégrité et à la liberté de sa personne. Il possède également la personnalité juridique. 1975, c. 6, a. 1; 1982, c. 61, a. 1. 2.

2. Tout être humain dont la vie est en péril a droit au secours. Toute personne doit porter secours à celui dont la vie est en péril, personnellement ou en obtenant du secours, en lui apportant l'aide physique nécessaire et immédiate, à moins d'un risque pour elle ou pour les tiers ou d'un autre motif raisonnable. 1975, c. 6, a. 2.

Ces enfants dont la vie était en péril, avaient le droit que toute personne leur porte secours, d'autant plus qu'ils étaient entourés du personnel infirmier et de médecins. Les soins palliatifs ne sont pas des soins qui visent à assurer la survie du patient. Selon cette charte , ces médecins et infirmiers sont coupables de non assistance à personne en danger. 

Pour éviter ces cas où l'enfant à naître est reconnu comme une personne, il est « suggéré » de lui faire une injection létale auparavant. Ni vu, ni connu.

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