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L’enfant à naître : la grande victime de notre temps

Par Solange Lefebvre-Pageau — Photo : SciePro/Adobe Stock

En l’ère post-moderne, notre société, hommes et femmes, manifeste-t-elle un profond respect pour l’enfant à naître, ce petit être humain qui, avant sa naissance en notre monde, a un immense besoin d’accueil inconditionnel pour poursuivre dans le sein maternel la merveilleuse aventure de la vie ?

Hélas, non ! Aujourd’hui, nombreux sont les enfants conçus à qui on refuse légalement le statut d’être humain et son droit fondamental à la vie, droit primordial dont tous les autres droits découlent.

Ensemble, courageusement, abordons ce problème crucial qui empoisonne plusieurs de nos sociétés humaines.

4.1 L’ENFANT À NAÎTRE GRAVEMENT EN PÉRIL

Il n’y a pas si longtemps — quelques décennies à peine —, face à leur enfant à naître qui se développait mystérieusement dans le corps maternel, la très grande majorité des parents étaient prêts à bien l’accepter et à se réjouir de la merveille de ce petit être : un cadeau du ciel.

Aujourd’hui, l’accueil inconditionnel des enfants à naître n’est plus le même, particulièrement en Occident, où nombre de législateurs, de politiciens, de personnel de la santé, de militants de l’avortement (femmes et hommes), etc. — gagnés à un humanisme sans référence à Dieu —, bafouent les droits de l’enfant qui grandit dans le ventre de sa mère.

Pourtant, le devoir fondamental du respect de la vie humaine qui a pour fondement l’ordre moral éclairé par la raison fut garanti lors de la Déclaration universelle des droits de l’homme, le 10 décembre 1948.

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Aujourd’hui, nul ne contestera que plusieurs des droits fondamentaux, inaliénables de la personne humaine sont cruellement, inhumainement rejetés et niés. C’est le cas dans plusieurs pays où l’IVG (interruption volontaire de la grossesse, un euphémisme pour « avortement ») est décriminalisée. On affirme à tort et à travers que nous sommes au 21e siècle, que notre monde a changé et que nous devons défendre nos valeurs démocratiques !

Les exhortations mensongères suivantes sont constamment lancées dans nos sociétés post-modernes :

  • L’avortement est avant tout une décision personnelle.
  • Défendons la liberté de choix des femmes : leur corps leur appartient !
  • Pitié pour nos jeunes filles devenues enceintes sans le vouloir !
  • Respectons les droits des femmes qui sont enceintes d’un enfant non désiré !
  • L’avortement peut être un geste sacré.
  • L’avortement est un droit acquis : n’ouvrons pas la porte à une recriminalisation de l’avortement en reconnaissant une personnalité légale à l’embryon, au fœtus.
  • Etc.

Pour les promoteurs de l’avortement, le fruit de la conception ne devient un être humain qu’au moment de la naissance. La vie humaine débute à la naissance.

Dès maintenant, reconnaissons que ces déclarations de principe ne sont pas conformes au plan du Créateur et aux données scientifiques clairement transmises à notre humanité.

4.2 SI L’ENFANT À NAÎTRE S’EXPRIMAIT

Depuis fort longtemps, il m’arrive de me poser cette question :

  • Si les embryons et fœtus pouvaient s’exprimer, que serait leur message face à leur vie gravement mise en péril ?

Nous inciteraient-ils à :

  • Nous engager à défendre la liberté de choix des femmes à se faire avorter ?
  • Considérer les circonstances qui altèrent radicalement la gravité de l’acte de l’avortement ?
  • Donner la priorité non pas à l’enfant non encore né, mais à la maman enceinte en profonde détresse, particulièrement, si la mère a été violée, abusée ?
  • Continuer à réclamer un enfant de tel sexe, si c’est désiré ?
  • Rejeter les enfants handicapés, et donc jugés indésirables ?
  • Obtenir un consensus face à l’avortement entre les partisans pro-vie et les partisans pro-choix ?

N’est-ce pas plutôt ce cri que nous lanceraient les embryons et les fœtus :

« Quel que soit le stade de notre développement, respectez-nous ! »

4.3 « RESPECTEZ LE DÉBUT DE MA VIE ! »

Comme je suis fortement préoccupée par le sort de l’enfant à naître — sans méconnaître et sans négliger la profonde détresse d’une femme enceinte d’un enfant non voulu — et comme je sais, d’une part, que le Créateur commande de respecter la vie dès son début et, d’autre part, que la science embryologique reconnaît que c’est dès la conception que commence la vie humaine, permettez-moi de me faire, auprès de toute personne favorisant l’accès à l’avortement, la porte-parole d’un nombre effarant d’embryons et de fœtus dont le droit à la vie est en péril.

***

Messieurs, Mesdames,

À vous tous et toutes qui avez obtenu le pouvoir maléfique de mettre fin à la vie de plusieurs parmi nous — embryons et fœtus —, par l’avortement chirurgical ou la pilule abortive, profondément indigné par votre irrespect du développement de notre être dans l’utérus de notre maman, je vous dis :

« Respectez les êtres humains vivants
que nous sommes
dès notre conception ! »
« C’est notre droit et c’est votre devoir ! »

Réfléchissez à votre histoire personnelle ! N’est-ce pas grâce à ces deux prérogatives, votre statut d’être humain et votre droit à la vie, reconnues et respectées dès votre propre conception par votre maman et votre papa, que vous construisiez miraculeusement et de façon autonome dans le ventre de votre mère la merveille de votre être corporel doué d’une âme ? Déjà vous étiez un être pleinement humain destiné à devenir l’être humain adulte que vous êtes maintenant.

Aujourd’hui, à vous militants de l’avortement, et à vous, avorteurs qui avez le pouvoir légal de nous extraire cruellement de l’utérus de notre mère, je vous supplie de nous traiter selon la justice.

« Laissez-nous poursuivre
notre vie embryonnaire et fœtale jusqu’à son terme !
Nous y avons droit ! »

Bien sûr, continuez à avoir pitié des jeunes et moins jeunes mamans en état de grossesse non voulue, sans négliger les papas qui eux aussi nous ont transmis la vie, mais, de grâce, ne soyez pas porteurs d’une fausse compassion en leur proposant l’horrible avortement !

Sachez que

  • En nous déracinant du corps de notre mère, vous tuez un être humain.
  • En interrompant la grossesse de notre maman, vous risquez vraiment de lui causer de sérieux problèmes de santé physique, psychologique et spirituelle.

Et il n’y aurait rien là ? Oh, pas pour nous !

Accepter d’avorter notre maman, ce n’est pas aider cette dernière à assumer la merveille de sa nature humaine, gage de sa santé personnelle. Ce n’est pas l’aider à s’humaniser en développant le sens du respect de la vie d’autrui, qui est une valeur fondamentale de toute société civilisée. Cela est inscrit dans le cœur de tout être humain par ces paroles divines :

« Respecte la vie humaine ! Ne tue pas ! »

Messieurs et Mesdames, dorénavant, puissiez-vous reconnaître notre dignité humaine d’embryon et de fœtus et nous respecter !

***

4.4 L’ÊTRE UNE FOIS CONÇU N’EST PAS SEULEMENT UN AMAS DE CELLULES

Les tenants de l’avortement continuent inlassablement d’affirmer que l’être conçu dans le sein maternel n’est pas une personne humaine, mais un amas de cellules qui se développent !

Et que dire des quelques débats sur l’avortement truffés d’euphémismes !
Quels graves mensonges ! Quelles erreurs monumentales !

C’est bien ce que, un jour, j’ai entendu en personne prononcer par le Dr Henri Morgentaler, le tristement célèbre avorteur canadien décédé, alors que lui et moi étions invités à aborder le sujet de l’avortement, dans un milieu collégial du Québec réunissant éducateurs et étudiants.

J’avoue que l’exposé de cet avorteur, présenté en plein milieu d’éducation de notre belle jeunesse, m’a profondément rebutée. À mon avis, les jeunes gens présents avaient droit à plus de vérité que le discours présenté par cet homme.

Qu’on veuille convaincre nos jeunes et leurs éducateurs des faux bienfaits et des conséquences minimes de l’avortement, cela me chagrine éperdument. Personnellement, je n’y vois qu’une propagande haineuse contre l’enfant à naître et une pseudo-éducation fort malsaine. Dommage que tant de jeunes et d’éducateurs se laissent facilement séduire par lesdits « experts » du discours sur l’avortement !

Plus que jamais, ne serions-nous pas appelés à faire nôtres les paroles de Péguy :

Quand une société ne peut enseigner,
c’est que cette société ne peut s’enseigner,
c’est qu’elle a honte,
c’est qu’elle a peur de s’enseigner elle-même…
une société qui ne s’enseigne pas, qui ne s’estime pas,
et tel est le cas précisément de la société moderne.
(Péguy, Pour la rentrée, Cahier VI)

4.5 PROFONDE DÉRIVE DE NOS SOCIÉTÉS MODERNES

  1. En nos sociétés, nous observons que
  2. la promesse de la légalisation de l’avortement est un puissant moyen de gagner des élections ;
  3. d’intenses pressions se poursuivent pour faire inclure dans la Charte des droits de l’homme le droit à l’avortement ;

des pays militent à l’Assemblée générale de l’ONU, pour que l’organisme s’engage dans la lutte en faveur de l’avortement.

Je ne puis qu’affirmer avec un profond regret :

Quelle grande dérive de notre civilisation dite progressiste !

Plus que jamais, de nombreuses sociétés cherchent de toutes leurs forces à modifier la Déclaration universelle des droits de l’homme qui a souci du respect de tout être humain.

Respecter la vie humaine dès la conception ou, en d’autres mots, respecter la consigne divine : « Tu ne tueras pas ! » est une loi immuable de la vie humaine.

Toute société civilisée se doit de l’observer. Vouloir passer outre ou entretenir le droit d’être pro-choix (pro-avortement), c’est : s’engager sur la voie du plus grand terrorisme jamais connu sur notre planète.

C’est aussi, ce que la médecine préventive ne dit pas, promouvoir l’un des plus grands moyens d’autodestruction féminine.

Un jour pas très loin dans le passé, un ami me disait :

  • Quel plus grand mal peut-on faire à un enfant que de le tuer ?
  • Comme il faut être hypocrite et pharisien pour s’insurger désormais contre les violeurs ou batteurs d’enfants dans un État qui légitime l’avortement !
  • Quelle grande escroquerie de favoriser l’avortement pour se faire élire ou réélire ou encore pour se préparer une confortable pension de vieillesse !
  • Céder à la demande d’un grand nombre de femmes et d’hommes qui veulent obtenir une loi favorisant l’avortement, c’est vouloir satisfaire le penchant de l’opinion publique qui voudrait décider ce qui est innocent ou coupable. Les dictatures s’édifient justement sur ce principe. Hitler et Staline ont mené des peuples ainsi, en jouant sur l’opinion des masses bien manœuvrées.
  • Tous les peuples sans Dieu se ressemblent : la volonté de la masse manipulée est le seul Décalogue. Et nous en sommes là !

Pourtant, le respect de la vie humaine dès la conception, est le premier signe de sagesse et de maturité de tout gouvernement qui se veut véritablement au service de la santé maternelle et d’une saine gestion de la fécondité : facteur de base du bonheur des couples, de la famille et de l’humanité.

On ne saurait ignorer que l’enjeu de l’avortement est d’ordre philosophique, mais c’est avant tout une question de droit humain.

Et encore…

Combien de personnes, parmi nous, sous prétexte de ne blesser personne ou par crainte de susciter un discours porteur de confrontation, privent un grand nombre d’adultes et de jeunes d’apprendre à se situer dans la vérité face à l’enfant à naître ?

Combien de fois nous laissons le champ libre aux personnes prônant l’avortement qui ne cessent de répéter que le corps de la femme lui appartient et qu’elle est libre de faire ce qu’elle entend de son corps ?

  • Il faut avoir le courage d’exprimer, avec douceur et fermeté, l’humanité du bébé dans l’utérus et qu’il a droit à la vie, comme tous les autres êtres humains.

Combien de souffrance nous aurions pu éviter, si l’ensemble de nos gouvernements, de nos pharmaciens, de nos médecins, de nos infirmiers et infirmières, etc. avaient su proposer, encourager et soutenir le concept de l’intégrité de la personne humaine, si bien reconnu et exigé dans le Serment d’Hippocrate.

Et, ne l’ignorons pas. l’avortement coûte des millions et des millions de dollars pour des dits « soins de santé » qui sont mortels pour un petit enfant sans défense et nuisibles à la santé de sa mère ! La première loi du serment d’Hippocrate auquel les médecins prêtent serment commande « avant tout, ne pas nuire ».

Les médecins sont donc parjures…

  • en ne considérant absolument pas le droit à la vie de l’enfant à naître ;
  • en assurant à la femme le droit d’avorter sans limites et en recommandant que l’avortement soit légalisé et accessible à tous.
  • en prétendant que la contraception, la stérilisation et l’avortement favorisent la santé maternelle et procréatrice.

Oui, quelle est grande la dérive éthique des meneurs de nos sociétés !

4.6 NOTRE MONDE AFFRONTÉ À UN CHOIX CRUCIAL FACE À LA PLUS GRANDE TORTURE

Aujourd’hui, une multitude d’hommes et de femmes qui nient l’existence de Dieu visent à détruire le christianisme — œuvre de son Fils Jésus —, pour nous imposer une nouvelle civilisation,

  • une civilisation qui inciterait tout être humain à faire ses choix de vie sans référence à Dieu et sans référence aux valeurs morales judéo-chrétiennes qui ont défié le temps.

Cette situation étant largement reconnue, chrétiens et chrétiennes, voire toutes les personnes de bonne volonté, ne sommes-nous pas à l’heure d’un choix crucial pouvant redonner à notre humanité la base indispensable qui soutient ses plus nobles valeurs ? Cela préviendrait la triste continuité en notre monde d’une guerre civile entre les tenants de valeurs de mort et les tenants de valeurs de vie.

À l’heure où, dans plusieurs de nos sociétés libertines, des révolutionnaires sexuels cherchent à imposer à l’ensemble de l’humanité l’avortement, qui est le meurtre avec torture de l’enfant à naître, peut-on rester indifférents ?

Certainement pas ! C’est ce que constate et affirme toute personne ayant fait la merveilleuse découverte du développement de l’enfant dans le corps féminin et qui reconnaît la valeur sacrée de toute vie humaine à partir de ses débuts.

Combien grande est cette découverte qui nous apprend :

  • qu’une vie nouvelle commence dans la trompe de Fallope au moment même où l’ovule est fécondé, dès que les 35 heures de la fusion des cellules humaines sont achevées.

N.B. : Cette aventure d’un enfant à naître, vous la trouverez décrite au Chapitre 15 du volume Accueillir mon être sexué, manuel accompagnant la 2e Formation : L’intégration de l’amour et de la sexualité chez l’adolescent(e).

Ce n’est pas seulement au cours des 7e, 8e et 9e mois de vie intra-utérine que l’enfant à naître devient un être humain. Il ou elle l’est dès sa conception !

Une fois cette importante connaissance intériorisée, toute femme de bonne volonté ayant une conscience éclairée pourrait-elle se permettre de faire tuer par l’avortement l’enfant conçu en elle, quel que soit le stade de son évolution ?

À cette question, sans détour, courageusement, réaffirmons : NON !

S’il est vrai que la Charte des droits de certains pays le permet, n’oublions pas que moralement, c’est violer gravement le droit de l’enfant à naître. Toute vie commençante exige le respect. C’est ce que la Charte divine a inscrit dans chacun de nos cœurs.

4.7 L’ENFANT CONÇU VAUT PLUS QU’UN VER DE TERRE !

Au terme de la réflexion présente qui abordait les blessés de l’enfant à naître, je me permets de vous inviter à faire la lecture d’une réflexion éclairante.

L’enfant conçu vaut plus qu’un ver de terre

Après l’émission Découverte de Radio-Canada, animée par M. Charles Tisseyre (17 septembre 1995), qui nous a présenté trois sujets : la pilule RU 486, les vers de terre et les lézards, je n’ai pu retenir cette réflexion : « Voilà que dans notre société, on donne plus de valeur à un ver de terre et à un lézard qu’à un être humain conçu ! Quelle triste réalité de notre monde scientifique d’aujourd’hui. »

Les personnes qui ont abordé la « pilule RU 486 », lors de l’émission Découverte, l’ont fait, à mon avis, avec désinvolture. Ils ont traité d’un moyen abortif en faisant abstraction de la double réalité de l’avortement :

le brusque arrêt du processus engagé silencieusement dans le corps féminin,

la destruction d’un être humain conçu, vivant et autonome.

À l’émission Découverte, lorsqu’on a traité de la pilule abortive, on a banalisé l’acte de l’avortement en expliquant l’action de RU 486, l’antihormone de la progestérone qui favorise l’élimination de l’embryon, en voulant nous faire croire qu’elle est moins traumatisante que l’avortement traditionnel parce que plus physiologique et plus naturelle. Avec la pilule RU 486, nous a-t-on dit, on ne touche pas aux voies génitales. Et de plus, elle ne semble pas influencer la fertilité féminine.

Ce discours entendu sur la pilule RU 486 m’apparaît odieux. Pourquoi ? D’une part, parce qu’il pousse sa malhonnêteté jusqu’à vouloir faire oublier aux femmes leur important fonctionnement hormonal qui contribue à la santé de leur être et qui favorise leur accès à la fécondité dans le couple. D’autre part, parce qu’il pousse sa méchanceté jusqu’à vouloir faire oublier aux femmes et aux hommes l’enfant, fruit de la fécondité du couple ayant vécu une relation sexuelle.

Qu’au Canada « le dossier sur la pilule du RU 486 ne bouge pas du tout », Dieu merci ! Cela permet encore à des éducateurs d’enseigner à certains le plus fondamental devoir civique : le respect de toute vie humaine, et cela, quel qu’en soit son stade d’évolution.

À la deuxième partie de l’émission, où l’on nous a fait saisir l’importante fondation des vers de terre, on n’a pas craint de dire :

  • Laissez le ver de terre en paix !
  • Ici, au laboratoire de l’Université du Québec, on ne tue pas le ver de terre.

Ces paroles, je veux les faire miennes pour l’enfant en devenir : Oui, laissons l’enfant se développer en paix dans le sein maternel. On ne tue pas l’enfant conçu ; on le respecte. Il a le droit de naître.

4.8 ET SI ON LAISSAIT LE DERNIER MOT À LA PAROLE DE DIEU ?

Voici, pour nourrir votre réflexion à la source de la Parole de Dieu, sept citations de la Bible qui témoignent de la foi de l’homme et de la femme de la Bible dans l’humanité de l’être humain dès la conception. L’être humain est sacré dès son commencement !

LA BIBLE EST PRO-VIE

Psaume 22

10 C’est toi qui m’as tiré du ventre de ma mère, qui m’a mis
en sûreté entre ses bras. 11 À toi je fus confié dès ma naissance ;
dès le ventre de ma mère, tu es mon Dieu.

Psaume 139

14 Je reconnais devant toi le prodige, l’être étonnant que je suis :
étonnantes sont tes œuvres ; toute mon âme le sait.
15 Mes os n’étaient pas cachés pour toi quand j’étais façonné
dans le secret, modelé aux entrailles de la terre.
16 J’étais encore inachevé, tu me voyais ; sur ton livre,
tous mes jours étaient inscrits, recensés avant qu’un seul ne soit !

Jérémie

5 « Avant même de te façonner dans le sein de ta mère,
je te connaissais ; avant que tu viennes au jour, je t’ai consacré ;
je fais de toi un prophète pour les nations. »

Isaïe 49

1 J’étais encore dans le sein maternel quand le Seigneur m’a appelé ;
j’étais encore dans les entrailles de ma mère quand il a prononcé
mon nom. […] 5 Maintenant le Seigneur parle, lui qui m’a façonné
dès le sein de ma mère pour que je sois son serviteur,
que je lui ramène Jacob, que je lui rassemble Israël.
Oui, j’ai de la valeur aux yeux du Seigneur.

Job 31

15 Ne les a-t-il pas formés dans le ventre tout comme moi ?
N’est-ce pas le même qui nous a façonnés dans le sein maternel ?

Luc 1

41 Or, quand Élisabeth entendit la salutation de Marie,
l’enfant tressaillit en elle. Alors, Élisabeth fut remplie d’Esprit Saint,
42 et s’écria d’une voix forte : « Tu es bénie entre toutes les femmes,
et le fruit de tes entrailles est béni. 43 D’où m’est-il donné
que la mère de mon Seigneur vienne jusqu’à moi ?
44 Car, lorsque tes paroles de salutation sont parvenues
à mes oreilles, l’enfant a tressailli d’allégresse en moi. »

Galates 1

15, Mais Dieu m’avait mis à part dès le sein de ma mère ;
dans sa grâce, il m’a appelé.



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