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« J’ai quitté mon emploi à la clinique d'avortement après avoir assisté à l’avortement de quadruplets parfaitement formés ». Le témoignage d’une ex-employée.

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Par Ben Johnson avec contribution de Dustin Siggins de LifeSiteNews - traduit par Campagne Québec-Vie

Une employée de Planned Parenthood a démissionné – et a convaincu quatre de ses collègues de faire de même – peu après avoir assisté à l’avortement de quadruplets. La plupart sont mort-nés alors que la mère était assise sur la toilette ou qu’elle trébuchait dans le couloir en se tordant de douleur. 

Deux des garçons « parfaitement formés […] se serraient dans leurs bras », selon un courriel envoyé à la militante pro-vie Abby Johnson.

Selon Johnson, qui est à la tête de And Then There Were None (ATTWN), un organisme offrant de l’aide aux employés de l’industrie de l’avortement, la femme a quitté l'avortoir Planned Parenthood le jour où elle a assisté à l’avortement médicamenteux de quatre enfants dans le ventre de la mère.

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Selon le courriel, la mère s’est présentée à un centre de Planned Parenthood « tordue de douleur », car « une autre clinique d’avortement au bas de la rue lui avait donné une très forte dose de misoprostol pour avorter des quadruplets. Elle en était déjà à son second trimestre. »

« Nous l’avons dirigée vers la salle de bain, l’avons déshabillée de la taille jusqu’aux pieds et lui avons demandé de s’asseoir sur la toilette », partage-t-elle.

 Puis le misoprostol a commencé à faire effet.

« Les moments qui ont suivi nous ont totalement horrifiées. »

« Le premier bébé est tombé dans la toilette », partage la femme qui préfère garder l’anonymat. Alors que tout le monde se dirigeait vers la salle d’opération, « deux bébés sont tombés et pendaient après elle. Ces bébés inertes et parfaitement formés se serraient dans leurs bras. »

Après avoir finalement atteint la salle d’opération, « elle était toujours en douleur », et ce, malgré la sédation par voie intraveineuse. « Nous avons dû aspirer le quatrième bébé hors d’elle. Il est sorti morceau par morceau. »

Le cœur brisé par ce qu’elle voit, l’employée fond en larmes.

« Je me rappelle que je pleurais avec une collègue pendant que nous faisions le tri des parties du corps du quatrième bébé, un garçon, dans le laboratoire des produits de conception. Nous avons bercé les minuscules bébés intacts dans nos bras et avons pleuré pour eux. »

« Je savais que je ne pouvais plus continuer ce travail. J’en avais assez », se résout-elle.

Elle a quitté son travail le même jour et, peu après, a aidé quatre de ses anciennes collègues à faire de même.

Pour Johnson, l’histoire de cette femme prouve « la nécessité d’offrir des retraites de guérison pour les ex-employés de l’industrie de l’avortement ». Elle a demandé de l’aide aux sympathisants de ATTWN sous forme de prières et de commandites. Dix ex-employés de l’industrie de l’avortement participeront à une retraite de guérison du 19 au 21 septembre.

En tout, Johnson raconte que 121 travailleurs ont quitté l’industrie de l’avortement grâce aux efforts de ATTWN.

Le courriel en entier envoyé à Johnson :

Une femme s’est présentée à notre clinique un après-midi, tordue de douleur. Une autre clinique d’avortement au bas de la rue lui avait donné une très forte dose de misoprostol pour avorter des quadruplets. Elle en était déjà à son second trimestre.

Nous l’avons dirigée vers la salle de bain, l’avons déshabillée de la taille jusqu’aux pieds et lui avons demandé de s’asseoir sur la toilette. Les moments qui ont suivi nous ont totalement horrifiées. Le premier bébé est tombé dans la toilette. L’infirmière a pris une alèse et l’a pressée contre son entrejambe alors que nous la dirigions d’urgence vers la salle d’intervention. C’est alors que deux bébés sont tombés et pendaient après elle. Ces bébés inertes et parfaitement formés se serraient dans leurs bras.

Nous avons finalement réussi à atteindre la salle d’intervention et nous avons administré un sédatif intraveineux, mais elle était toujours en douleur. Nous avons dû aspirer le quatrième bébé hors d’elle. Il est sorti morceau par morceau.

Je me rappelle que je pleurais avec une collègue pendant que nous faisions le tri des parties du corps du quatrième bébé, un garçon, dans le laboratoire des produits de conception. Nous avons bercé les minuscules bébés intacts dans nos bras et avons pleuré pour eux. Je savais que je ne pouvais plus continuer ce travail. J’en avais assez.



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