Par Jack Fonseca (Coalition nationale pour la vie) — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo :
Le 24 mars, j’ai été horrifié de voir une armée d’activistes anticatholiques occuper le siège et la salle du conseil d’administration du WCDSB.
Des centaines de militants transgenres et homosexuels, ainsi que des enseignants de gauche radicale à qui le syndicat des enseignants avait demandé de se montrer, ont littéralement encerclé le bâtiment pour protester contre la motion d’un fidèle conseiller scolaire catholique visant à établir une politique interdisant tous les « symboles et drapeaux politiques ».
Vous pouvez visionner de courtes vidéos de cette foule déchaînée, que nous avons publiées sur notre compte X, ici.
Si elle était adoptée, la politique du conseiller Conrad Stanley n’autoriserait que le déploiement des drapeaux du Canada, de l’Ontario et du WCDSB, interdisant de fait le drapeau de la « fierté » LGBT.
Les parents et les contribuables catholiques fidèles qui se sont présentés pour assister à la réunion mensuelle du conseil d’administration se sont retrouvés littéralement bloqués à l’extérieur de leur propre salle de réunion, sans pouvoir y entrer !
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Voyez-vous, l’OECTA, ce syndicat d’enseignants anticatholique, ainsi qu’un candidat du NPD et un activiste transgenre, ont mis en place une stratégie pour que cette foule se présente deux heures et demie avant la réunion du conseil d’administration.
L’idée était d’aligner le groupe devant les portes d’entrée afin que la salle du conseil soit remplie de leurs membres et qu’il n’y ait pas de sièges disponibles pour les fidèles catholiques.
De nombreux manifestants portaient des masques pour dissimuler leur identité, à la manière des Antifas.
Leur plan sournois de prise de contrôle hostile a fonctionné avec brio.
La gent alphabétique et les enseignants en désaccord avec la morale biblique ont littéralement commencé à faire la queue à 15 h 30 pour cette réunion de 18 h.
Ainsi, lorsque de véritables parents catholiques se sont présentés, même si c’était heure à l’avance, et ont vu que des centaines de personnes faisaient déjà la queue tout autour du bâtiment, ils n’ont eu d’autre choix que de faire demi-tour et de rentrer chez eux.
La galerie de la salle du conseil était donc remplie d’environ 160 enseignants et activistes LGBT qui ont ricané des conseillers afin de les intimider et ont ri aux éclats pendant les présentations des délégations pro-catholiques, interrompant grossièrement leurs discours.
Moins de cinq fidèles catholiques sont arrivés suffisamment tôt pour pouvoir accéder à la salle d’audience, de sorte que les partisans du Christ étaient totalement dépassés en nombre.
Les militants LGBT présents dans la galerie de la salle du conseil, employant une méthode que l’on pourrait identifier à une forme de terrorisme intérieur, envoyaient également des SMS aux hordes encerclant le bâtiment, leur demandant de frapper sur les fenêtres de la salle du conseil (près de l’endroit où les conseillers étaient assis) chaque fois que les délégués commençaient à parler, et de crier à tue-tête.
Bien entendu, cette action visait à la fois à intimider les conseillers à l’intérieur et à étouffer les trois délégués en faveur des droits parentaux afin qu’ils ne puissent pas entendre leurs présentations.
L’un des rares catholiques fidèles présents dans la pièce a raconté plus tard à la CNV qu’il était « effrayant d’être dans la pièce, tellement entouré », et que les gens qui criaient à l’extérieur « semblaient sataniques ».
Cette personne, dont je ne dévoilerai pas l’identité, a discrètement composé le 911 pour appeler la police et a chuchoté : « À l’aide ! Nous avons besoin d’aide ».
La police est arrivée rapidement, Dieu merci, et a ordonné à la foule LGBT de cesser de frapper sur les fenêtres.
L’OECTA prévoit des opérations d’occupation LGBT plus importantes les 14 et 28 avril
L’amendement de Stanley concernant les drapeaux et les symboles politiques sera débattu et voté lors de la réunion du conseil d’administration du 28 avril.
Mais déjà, le syndicat des enseignants dits « catholiques » a envoyé un courriel appelant la gent LGBT à occuper les lieux de façon encore plus invasive lors de la prochaine réunion du conseil le lundi 14 avril (au cours de laquelle au moins un délégué demandera aux conseillers d’arrêter d’arborer le drapeau de la « fierté » LGBT) et le soir du grand vote, le 28 avril.
Leur objectif est de faire pression et d’intimider les conseillers pour qu’ils votent contre la motion du conseiller Stanley qui autorise uniquement les drapeaux du Canada, de l’Ontario et du WCDSB.
Ils seront à nouveau présents en grand nombre avec les drapeaux et les bannières de la « fierté ».
Les catholiques fidèles, les chrétiens soucieux et les personnes d’autres confessions ayant des enfants dans des écoles catholiques ne peuvent pas permettre à cette tactique d’intimidation et d’occupation des LGBT de réussir.
Nous devons soutenir Conrad Stanley, sa motion et les autres bons conseillers, afin qu’ils ne soient pas découragés de poursuivre leur défense de principe de la foi chrétienne.
Par conséquent, nous demandons à toutes les personnes de bonne volonté de se joindre à nous à 13 h 30 le lundi 14 avril pour une contre-manifestation pacifique au siège du WCDSB, situé au 35 Weber St. W., Kitchener, N2H 3Z1.
De cette façon, nous espérons également que de nombreux contribuables fidèles et des chrétiens engagés prendront place dans la file d’attente tôt et seront en mesure d’être dans l’assistance comme un signe visible de soutien aux conseillés fidèles et au délégué pro-chrétien qui doit prendre la parole.
Des pancartes avec des messages religieux pertinents seront fournies à la contre-manifestation de 13 h 30, mais n’hésitez pas à apporter des drapeaux canadiens, ce qui illustrerait la proposition centrale de la motion qui vise à unir la communauté catholique autour de symboles non controversés et non politiques.
Si vous êtes catholique, apportez aussi votre chapelet !
J’espère vous voir à 13 h 30 le lundi 14 avril au bureau du WCDSB.
Défendons Jésus-Christ, son Sacré-Cœur et sa sainte épouse, l’Église !
P.S. Pour nous donner une idée du nombre de pancartes dont nous aurons besoin, veuillez remplir ce formulaire pour nous faire savoir que vous avez l’intention de venir.