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Il voulait avoir tort -- mais il semble avoir eu raison sur toute la ligne


Klaus Schwab, fondateur et président du Forum économique mondial -- Photo : Forum économique mondial

Le 3 mai 2021, j'ai reçu, de notre collaborateur Jean Tardy (présentement candidat pour le Parti Populaire du Canada), un courriel contenant deux articles qui pronostiquaient sur les semaines et mois à venir. Le premier, intitulé « Je veux avoir tort », exprimait le souhait de l’auteur que ses pressentiments lugubres quant à l’avenir n’étaient que pure illusion concoctée par son esprit surchauffé de « complotiste ». Le deuxième, intitulé « la croisée des chemins » donnait les critères nécessaires pour juger si oui ou non ses prédictions allaient se réaliser, à savoir si vraiment nous faisions face à une véritable crise sanitaire qui allait se résorber pour donner place à une vraie normalité, ou bien si, comme le craignait notre auteur, il s’agissait en réalité d’un « putsch planétaire qui vise l’implantation d’une tyrannie mondiale sous le contrôle des partenaires du Forum Économique Mondial ». Eh bien, à mon horreur, alors que ses prédictions semblent s’accomplir avec une précision déconcertante en ces jours de septembre 2021, l’auteur me fait savoir par un message ce matin que j’avais oublié de publier ses textes prophétiques. Je corrige donc cette erreur, publiant aujourd'hui, sans modification, les deux textes qu’il m’a envoyé par courriel le 3 mai 2021, textes qui prédisent à la virgule près ce que nous semblons voir se déployer devant nous à la vitesse « grand V », soit l’implantation d’une tyrannie mondiale sous prétexte de crise sanitaire.

-- Georges Buscemi, président de Campagne Québec-Vie

Je veux avoir tort

Je rêve de me tromper

La plupart des gens veulent avoir raison. Moi, en ce début de mai 2021, je rêve d’avoir tort. Je m’imagine, dans quelques années en train de dire à tous ceux que je rencontre que j’étais vraiment stupide, que je me suis trompé sur toute la ligne, que j’ai gâché un an ou deux de ma vie à m’énerver pour rien !

Ah ! que j’aimerais ça ! J’en rêve, je prie pour que ça arrive. Je pleurerais de joie si ça arrivait, si je découvrais que, contrairement à mes craintes, les gouvernements du Québec et du Canada n’étaient pas en ligue avec une cabale mondialiste fasciste et tenaient autant que moi à rétablir entièrement nos droits et nos libertés d’avant la pandémie. Ah ! si ça arrivait ! Le soleil reviendrait et je crierais partout en riant et en chantant que j’étais un con.

Avoir tort serait vraiment un délice, car, voyez-vous, je suis présentement convaincu que nos gouvernements collaborent sciemment avec un putsch planétaire qui vise l’implantation d’une tyrannie mondiale sous le contrôle des partenaires du Forum Économique Mondial et des bureaucrates de l’ONU. L’objectif de ce putsch est de détruire la capacité de résistance démocratique des peuples libres en les enfermant dans un état de dépendance chimique, électronique et économique totale. Cet objectif serait un préalable à l’implantation d’agendas d’ingénierie sociale si radicaux qu’ils ne seraient jamais acceptés dans une société véritablement libre et démocratique. 

Ce régime que j’appréhende fonctionnerait avec quatre rouages :

Un état semi-permanent d’urgence sanitaire qui serait parfois allégé, mais jamais pleinement retiré. Il y aura juste assez d’allègement pour faire croire à la population que sa docilité a été récompensée puis d’autres variants surviendront et d’autres éclosions. Éventuellement, ce régime (comme tous les fascismes avant lui) blâmera les réfractaires. Si 60 % sont vaccinés, ça aurait pris 65 % ; 70 % alors c’est 75 % qu’il fallait atteindre et ainsi de suite. Comme dans le roman 1984 de Georges Orwell, nous entrerons dans une guerre larvée perpétuelle contre le COVID.

La vaccination universelle récurrente. Vaccins, vaccins complémentaires, vaccins d’appoint, vaccins saisonniers, vaccins de renforcement, vaccins de stimulation immunitaire, vaccins de déplacement, vaccins préventifs, vaccins correctifs pour réparer des pathologies imprévues causées par les autres vaccins… 

Le certificat sanitaire, d’abord sous forme papier, puis de carte magnétisée puis d’implant sous-cutané. Un certificat justifiant l’étiquetage de tous les individus et la gestion électronique de leurs déplacements et leurs activités.

Le contrôle informatisé des déplacements et des accès. Permettant l’utilisation et la gestion centralisée du « certificat de vaccination » comme passeport intérieur et international. L’utilisation routinière et généralisée de ce certificat permettant de restreindre les déplacements internationaux, mais aussi l’accès aux hôtels d’autres régions, aux réunions publiques, aux activités sociales… cela, automatiquement et sans avoir recours à des forces de l’ordre. Un contrôle aussi, qui rendrait le certificat implicitement nécessaire pour plusieurs emplois. 

Dans mes pires moments, j’imagine que nous vivrons, dans quelques années, dans une société où tous les décideurs, les gestionnaires, les journalistes, les universitaires, les vedettes… seront des vaccinés. En effet, ce sera une condition essentielle pour pouvoir voyager, étudier et socialiser librement, une nécessité de leur statut. La majorité se sera fait « volontairement » installer le certificat sous forme d’un implant sous-cutané et se déplacera ainsi avec une grande aisance, car les portes s’ouvriront devant eux sur détection de leur implant. Cependant, le prix qu’ils paieront pour ce pouvoir sera une soumission intime et répétée, sous la forme de l’injection dans leur chair consentie, des substances concoctées par Bill Gates et ses copains. Cette tension entre un statut social exalté et une soumission chimique intime les rendra de plus en plus intolérants et hargneux. Dans ce monde les non-vaccinés deviendront vite une nouvelle caste d’intouchables. On pourra d’ailleurs facilement les haïr et les mépriser puisqu’ils seront libres, en tout temps, de changer de statut et de se rallier aux injectés.

Ouf ! Quand je pense à ça, j’ai l’impression de vivre dans un cauchemar de science-fiction. Et je rêve de me réveiller ! Je prie que cette pandémie n’a pas été déclenchée pour détruire la présidence de Donald Trump, dernier obstacle majeur aux mondialistes, et parachever l’installation d’une tyrannie planétaire. Je rêve que Justin Trudeau et François Legault sont des gens sympas qui n’ont pas décidé de détruire nos sociétés, nos droits et nos libertés pour mettre notre pays au service d’agendas mondialistes. 

Nous le saurons bientôt, car nous arrivons dans les semaines qui viennent, à la croisée des chemins.

La croisée des chemins

Des semaines lourdes de conséquences 

Nous saurons bientôt si cette pandémie n’était qu’un mauvais rêve qui s’achève ou si elle est le début d’un cauchemar qui ne fait que commencer. En effet, nous sommes, en ce mois de mai 2021, à la croisée des chemins. Nous saurons, dans les semaines qui viennent, si cette urgence sanitaire qui perdure depuis plus d’un an était une réponse temporaire, de la part de politiciens épris de liberté, à un accident sanitaire ou bien si c’était le début d’une agression sournoise et planifiée de la part de nos élites politiques et médiatiques, de concert avec le grand capital mondial, pour détruire la liberté, atomiser toute forme d’assemblée et d’opposition et installer, en l’espace de quelques mois, un fascisme mondial. Voilà ce que je crains, mais, croyez-moi, je rêve et je prie d’avoir tort et de découvrir que cette pandémie n’était qu’un accident temporaire. 

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Les semaines qui viennent, de mi-mai à fin juin 2021, décideront, en effet, laquelle de ces hypothèses, accident imprévu ou agression planifiée est correct. Vers la fin de juin, tous les Québécois qui l’auront voulue se seront fait vacciner. À ce moment, même si seulement 40 % des Québécois sont vaccinés, l’impact, statistiquement, de la COVID-19 devrait être comparable à celui d’une grippe saisonnière normale. En effet, la COVID est essentiellement une grippe plus sévère que d’habitude et donc son impact, sur une population partiellement vaccinée, sera déjà comparable à celui d’une grippe normale. De plus ceux qui demeureront exposés à la contagion, ce sera par choix. Déjà, avec la vaccination des ainés à risque, cette pandémie devrait être terminée puisque ceux-ci représentaient la grande majorité des décès. Cependant, « comme par hasard » (ici c’est le complotiste qui parle) une souche plus virulente chez les jeunes est apparue juste à temps pour les motiver à se faire vacciner à leur tour. 

Le 24 juin 2021 nous arriverons à la croisée des chemins :

  • S’il s’agit d’un gouvernement épris de liberté et au service de ses citoyens qui réagissait à une urgence accidentelle, alors il déclarera que la pandémie est officiellement terminée, cessera de renouveler l’état d’urgence (reconduit tous les dix jours depuis 400 jours !), lèvera toutes les restrictions de mouvement, d’assemblée ainsi que les obligations sanitaires de masquage, de couvre-feu et autres.
  • S’il s’agit d’un régime fasciste décidé à installer une dictature mondialiste ; il perpétuera le narratif de crise avec l’aide des grands médias pour installer les deux autres rouages de la tyrannie chimique décrits précédemment : le certificat de vaccination et son utilisation dans des contrôles informatisés de déplacements et d’accès.

Nous le saurons bientôt. En effet, si l’objectif est de pleinement rétablir les libertés, le gouvernement commencera déjà, vers la mi ou fin mai, à préparer la sortie de l’état d’urgence. On commencera à dédramatiser les effets résiduels de la COVID. Un changement de ton dans les énoncés officiels expliqueront à la population que grâce aux vaccins, on est parvenu à ramener la COVID au niveau d’une grippe saisonnière et que c’est un grand succès, même si, comme dans toutes grippes, certains parmi les plus vulnérables, succomberont encore. Les politiciens iront embrasser des bébés dans les pique-niques d’électeurs pour montrer qu’on peut maintenant se toucher comme avant. Plutôt que de compter les cas chaque soir, les médias parleront des taux de mortalité toutes causes confondues qui sont identiques à ceux des années précédentes. Les gouvernants, soucieux de maintenir la paix sociale, diront aux vaccinés que, « que voulez-vous », il y aura toujours des ignorants et des frustrés, mais que tout est pour le mieux, la pandémie est terminée, la liberté est revenue et, comme promis, il n’y a pas plus de contrôles qu’avant. On dira que, la prochaine fois, ces réfractaires un peu naïfs et trop influencés par les complotistes, feront davantage confiance en leurs gouvernants. 

Je rêve que ça arrive comme ça ! Je parcourrais alors les rues en chantant, en tenant des bouquets dans mes bras pour distribuer des fleurs aux vaccinées. 

J’en rêve, mais, malheureusement, les signes que je vois présentement me disent que c’est plutôt le cauchemar qui s’en vient. Voici certains de ces signes.

  • Au niveau international, plusieurs signes indiquent qu’un agenda de mutation politique planétaire est en cours et que celui-ci vise une prise de contrôle totalitaire des sociétés occidentales. Les partenaires du FEM ne se comportent plus comme des entreprises indépendantes, mais comme un cartel politique mondial. La censure augmente dans tous les pays industrialisés de façon uniforme. Des moyens immenses sont mis en jeu pour imposer la vaccination universelle comme seule stratégie possible…
  • Au niveau national, la mise en place d’un réseau embryonnaire de camps d’internement opéré par des entrepreneurs indique, entre autres, que quelque chose de sinistre qui dépasse une réaction temporaire a un accident est en cours.
  • Au niveau du Québec, le niveau de contrôle du gouvernement sur les partis d’opposition, les universitaires et les médias de propagande est tel que le ministre de la santé a annoncé qu’on allait vacciner les deuxièmes doses avec des vaccins différents et qu’on allait vacciner les femmes enceintes (contrairement aux recommandations des pharmaceutiques elles-mêmes) sans susciter la moindre réaction. Ils ne se donnent même plus la peine de fournir des chiffres et des études pour justifier leurs décisions. 

Si ce que je crains est avéré, nous devrions voir, dans les mois qui viennent, l’introduction du certificat de vaccination comme passeport et en parallèle l’implantation de systèmes informatiques de contrôle des accès. Si l’hypothèse cauchemardesque est correcte, ça signifie que nos gouvernants sont des individus maléfiques engagés dans un agenda totalitaire qu’ils cachent à leurs concitoyens. On doit donc s’attendre, dans cette alternative, à ce qu’ils mettent ces mesures en place de façon perfide et insidieuse. 

Comment le feront-ils ? Qui sait ? Ce sera peut-être l’introduction du certificat pour des voyages internationaux suivi de son expansion graduelle sur le territoire intérieur. Peut-être une introduction « temporaire » pour « accélérer » le déconfinement. Peut-être une amplification du théâtre sanitaire avec démonisation des non-vaccinés… Qui sait ? De toute façon, tous les politiciens et les journalistes seront bientôt vaccinés. Quand le jus de participation coulera dans leurs veines, ils collaboreront sans difficulté avec n’importe quel agenda puisqu’ils auront déjà consenti avec leurs corps. Tel est le pouvoir de cette injection à la fois sanitaire et politique. 

Voilà ce que je crains ; une tyrannie chimique et électronique basée sur un état d’urgence semi-permanent, la vaccination récurrente, l’étiquetage vaccinal individuel et son utilisation informatisée comme mode de contrôle des accès et des déplacements. 

Nous saurons, dans les semaines ou, au plus, les quelques mois qui viennent, si ces craintes sont avérées. Soyez en certain, je rêve et je prie de me tromper. J’espère de tout cœur que, dans quelques années je pourrai dire : « en mai 2021, je n’étais qu’un vieux toqué qui s’énervait pour rien ! »

Je veux avoir tort.



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