Qui est Mark Carney, nouveau premier ministre du Canada ?
Mark Carney.
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : World Economic Forum/FLickr/Wikimedia Commons
La longue démission de Justin Trudeau prend enfin fin. Mark Carney, élu chef du parti libéral du Canada lors de la course à la chefferie dudit parti, devient aujourd’hui premier ministre du Canada.
Mais qui est ce Mark Carney qui devient premier ministre non élu, jusqu’à la fin des prochaines élections du moins ?
Il est ce qu’on pourrait justement appeler un banquier, entre autres fonctions il a travaillé pendant 13 ans pour Goldman Sachs avant de devenir gouverneur de la Banque du Canada, puis de celle d’Angleterre. Il a notamment conseillé Justin Trudeau sur les questions économiques durant la « pandémie ». Il était récemment président du conseil d’investissement du Brookfield Asset Management. Il est Envoyé spécial des Nations Unies pour le financement de l’action climatique. Il a également participé au G20, au G7, a été président du conseil consultatif du groupe de réflexion progressiste Canada 2020, membre du conseil de fondation du Forum économique mondial, président du Group of Thirty, membre des conseils d’administration de Bloomberg Philanthropies, de Harvard University Overseers et de la Fondation Rideau Hall.
Enfin, Mark Carney est catholique et irait à la messe toutes les semaines.
M. Carney semble être en général assez discret quant à ses convictions morales. À une rare exception près où, le 24 juin 2022, il écrivit un tweet à l’occasion du jugement Dobbs (infirmant le jugement Roe) de la Cour suprême des États-Unis, déplorant le recul du « droit de choisir » des femmes (entendez : avortement) :
« Je suis fier de vivre dans un pays où le droit des femmes de choisir est si fortement soutenu. Mais la décision dévastatrice prise aujourd’hui aux États-Unis nous rappelle clairement que les progrès ne doivent jamais être considérés comme acquis.
Notre engagement à protéger les droits fondamentaux doit être inébranlable. »
Son message d’alors indique que Mark Carney est pro-avortement, ce qui n’est pas étonnant puisqu’il a réussi à devenir chef du Parti libéral du Canada.
Lire la suiteMark Carney remplace Justin Trudeau comme premier ministre du Canada
Mark Carney.
Par l’équipe de LifeSiteNews — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : World Economic Forum/Flickr/Wikimedia Commons
Lundi 10 mars 2025, Ottawa (LifeSiteNews) — Mark Carney, qui se décrit comme « mondialiste » et « élitiste », remplacera Justin Trudeau en tant que premier ministre du Canada.
Le Parti libéral a élu Carney à la tête du pays avec 85,9 % des voix, selon l’Associated Press. « L’autre principal candidat à la direction du parti libéral était l’ex-vice-premer ministre Chrystia Freeland, qui n’a obtenu que 8 % des voix », rapporte l’Associated Press.
Une élection générale doit avoir lieu d’ici le mois d’octobre de cette année au Canada. Il est probable qu’elles aient lieu avant cette date.
Carney a été gouverneur de la Banque d’Angleterre et a travaillé pour le géant financier Goldman Sachs. « En 2020, il a commencé à servir en tant qu’envoyé spécial des Nations unies pour l’action climatique et la finance », selon l’AP.
Lire la suiteTrudeau remplit les tribunaux canadiens de juges avant de démissionner de son poste de premier ministre (s’il démissionne jamais...)
Justin Trudeau.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Shutterstock
Mercredi 5 mars 2025, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Le premier ministre Justin Trudeau remplit les tribunaux canadiens de juges libéraux avant de quitter son poste de chef des libéraux.
Le 3 mars, le ministre de la Justice et procureur général Arif Virani, sous la direction de Trudeau, a annoncé 20 nominations de juges de tendance libérale à divers tribunaux canadiens, quelque temps avant que Trudeau ne quitte son poste.
Les annonces comprennent des nominations à la Cour canadienne de l’impôt, à la Cour fédérale et aux cours provinciales de l’Ontario, du Québec et de la Colombie-Britannique.
En effet, selon les informations gouvernementales du Blacklock’s Reporter, les derniers jours du mandat de M. Trudeau ont été bien remplis. Depuis l’annonce de sa démission le 6 janvier, M. Trudeau a procédé à 104 nominations fédérales, notamment de juges, de diplomates, de « conseillers spéciaux » et de membres de conseils fédéraux.
Lire la suiteTrudeau projette de remplir le Sénat avant de quitter le pouvoir
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : abdallahh/Flickr/Wikimedia Commons
30 janvier 2025, Ottawa, Ontario (LifeSiteNews) — Les députés du Parti conservateur du Canada (PCC) exigent que les candidats à la direction du Parti libéral dénoncent les plans du premier ministre Justin Trudeau visant à renforcer le Sénat en sa faveur avant qu’il ne démissionne officiellement.
Selon le PCC, ni M. Trudeau ni le nouveau chef du parti ne devraient procéder à d’autres nominations au Sénat avant la tenue d’une élection.
Comme l’indique Radio-Canada, M. Trudeau cherche à pourvoir pas moins de dix postes vacants au Sénat avec des partisans libéraux qui n’ont pas besoin de prendre leur retraite avant d’avoir atteint l’âge de 75 ans.
Dans un récent communiqué de presse, le PCC a déclaré que les plans de M. Trudeau visant à remplir le Sénat de personnes qui lui sont fidèles ne sont qu’« un autre exemple de l’arrogance classique du Parti libéral à laquelle les Canadiens se sont habitués après neuf ans de gouvernement ».
Lire la suiteLes six candidats à la succession de Trudeau sont d’accord avec lui sur presque tout
Justin Trudeau.
Par Clare Marie Merkowsky — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : pete Baklinski/LifeSiteNews
29 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Avec l’élection à la direction du parti libéral dans un peu plus d’un mois, le 9 mars, les Canadiens examinent les six candidats et se demandent s’ils apporteront un changement au parti libéral ou s’ils perpétueront l’héritage radical du premier ministre Justin Trudeau.
Les six candidats au poste de chef du parti libéral et, par conséquent, au poste de premier ministre, sont les suivants : Mark Carney, Chrystia Freeland, Karina Gould, Jaime Battiste, Frank Baylis et Ruby Dhalla.
Bien que tous les candidats susmentionnés promettent de redresser le Parti libéral, leurs politiques, passées et proposées, ne diffèrent guère de l’agenda radical, anti-vie et mondialiste adopté par le gouvernement Trudeau.
Lire la suiteLa prorogation du Parlement annule le projet de loi visant à retirer aux centres de grossesse pro-vie leur statut d’organisme caritatif
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Freepik
9 janvier 2025, Ottawa (LifeSiteNews) — La fermeture du parlement par le premier ministre Justin Trudeau signifie que son projet de loi destiné à priver les centres de grossesse pro-vie de leur statut d’organisme de bienfaisance est maintenant annulé, ce qui a été accueilli comme une « excellente nouvelle » par le principal groupe pro-vie et pro-famille du Canada.
« L’annonce de Trudeau de démissionner et de proroger le Parlement signifie que toutes les affaires du gouvernement et les projets de loi en suspens sont effectivement annulés », a écrit le directeur des communications de la Coalition nationale pour la Vie (CNV), Pete Baklinski, sur X mardi.
« Cela signifie donc que le projet de loi de M. Trudeau destiné à attaquer les centres de grossesse pro-vie en leur retirant leur statut d’organisme de bienfaisance s’ils refusent d’adhérer à sa politique en matière d’avortement, est mort sur la liste des affaires à venir. Merci de diffuser cette excellente nouvelle ».
M. Trudeau a annoncé lundi matin qu’il prévoyait quitter son poste de chef du Parti libéral une fois qu’un nouveau chef aura été choisi. La gouverneure générale Mary Simon l’a autorisé à proroger le parlement jusqu’au 24 mars. Cela signifie que, pour l’instant, il reste premier ministre, mais que tous les travaux parlementaires ont été interrompus.
Lire la suiteLe projet de loi de Trudeau sur les « préjudices en ligne » est mort au feuilleton
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : Sam Edwards/Caia Image/Adobe Stock
7 janvier 2025 (LifeSiteNews) — Un projet de loi sur la censure d’internet qui aurait censuré le contenu en ligne légal sur les médias sociaux par le biais de réglementations lourdes est probablement mort maintenant que le premier ministre Justin Trudeau a prorogé le Parlement jusqu’à la fin du mois de mars.
Le projet de loi C-63, connu sous le nom de Loi sur les préjudices en ligne, a été présenté sous le couvert de la protection des enfants contre l’exploitation en ligne, mais il visait également à étendre la portée des poursuites pour « discours haineux », et souhaitait même cibler ces discours de manière rétroactive et préemptive.
Le projet de loi prévoyait la création d’une commission de la sécurité numérique, d’un médiateur de la sécurité numérique et d’un bureau de la sécurité numérique, tous chargés de contrôler le contenu de l’internet. Les experts constitutionnels l’ont qualifié de problématique.
Trudeau ayant annoncé lundi matin qu’il envisageait de démissionner de son poste de chef du Parti libéral une fois qu’un nouveau chef aura été choisi, le Parlement a été fermé. Cela signifie que tous les projets de loi, comités et autres réunions ont été annulés.
Lire la suiteTrudeau démissionne, mais la guerre contre la foi se poursuit au Québec
Une bonne et heureuse année à tous de la part de Campagne Québec-Vie !
Nous avons eu la joie de recevoir ce qui ressemblait à un cadeau du Nouvel An le 6 janvier, jour de l'Épiphanie, lorsque Justin Trudeau a annoncé sa démission. Si vous n’avez pas encore lu ma déclaration à ce sujet, vous pouvez la consulter ici.
Certaines personnes suggèrent que cette démission pourrait être une manœuvre politique, mais je crois que c’est une réaction excessive. Oui, il y a une certaine marge d’ambiguïté dans son annonce, puisqu’il a précisé que sa démission aurait lieu après une « course compétitive » à la direction du Parti libéral. Cependant, faire volte-face serait un suicide politique. Si Trudeau revenait sur sa décision, les millions de Canadiens lassés de son héritage politique lui infligeraient une défaite électorale encore plus écrasante que ce que l’on anticipait avant son annonce. Cela ferait paraître la débâcle historique de Kim Campbell en 1993 comme une simple promenade de santé.
Mais ne nous attardons pas trop sur ces drames politiques. En tant que défenseurs de la foi, de la famille et de la vie, notre mission transcende les querelles partisanes. Nous devons plutôt inspirer les dirigeants de tous horizons à adopter des principes enracinés dans les Écritures et la foi chrétienne, que le Christ nous a donnés pour guider la société dans cette vallée de larmes.
Nulle part cette mission n’est plus urgente qu’au Québec, où la laïcité a pris une tournure particulièrement agressive. Comme vous le savez, le premier ministre François Legault a récemment évoqué l’idée d’interdire la prière publique au Québec, affirmant que de telles expressions ne sont pas « quelque chose qu’on souhaite au Québec ». Cette proposition attaque directement les racines chrétiennes du Québec, qui ont façonné sa culture et son identité pendant des siècles.
La réalité est que le rejet de l’héritage chrétien par le Québec l’a laissé démographiquement et spirituellement ruiné. Pensez-y : en 1950, l’âge médian au Québec était de 25 ans et la femme moyenne avait 3,5 enfants. Aujourd’hui, l’âge médian est de 42 ans et le taux de fécondité a chuté à un alarmant 1,38 enfant par femme. C’est le résultat dévastateur de l’avortement généralisé, de la contraception, du divorce sans faute, du mariage entre personnes de même sexe et de l’idéologie LGBT qui domine le discours public.
À Campagne Québec-Vie, nous sommes déterminés à inverser ce déclin culturel et spirituel. Une partie clé de cet effort en 2025 est notre pétition contre l’interdiction proposée de la prière publique. Plus de 12 000 personnes ont déjà signé pour soutenir la liberté religieuse et l’héritage chrétien du Québec. Nous prévoyons de présenter cette pétition au ministre Jean-François Roberge, responsable de la « laïcité », dans les semaines à venir.
Si vous n’avez pas encore signé la pétition, je vous encourage à le faire ici. Et si vous l’avez déjà signée, veuillez la partager avec vos amis et votre famille. Ensemble, nous pouvons faire en sorte que les voix des Canadiens qui tiennent à leur foi et à leurs traditions soient entendues haut et fort.
Merci pour votre soutien continu. Que Dieu vous bénisse abondamment en cette nouvelle année et qu’Il nous guide tous dans les travaux à venir.
Fraternellement en Christ,
Georges Buscemi
Président de Campagne Québec-Vie
Le lourd bilan de Trudeau
Billet de blogue d’Augustin Hamilton (Campagne Québec-Vie) — Photo : capture d'écran vidéo
Justin Trudeau a annoncé ce matin de l’Épiphanie lors d’une conférence de presse à Ottawa sa démission en tant que chef du Parti libéral et en tant que premier ministre du Canada... quand son parti aura élu un nouveau chef.
Pas trop tôt ! pourrait-on se dire. Nous aurons cependant à l’endurer jusqu’au mois de mars, hélas ! Car, bien que poussé à démissionner par les membres de son propre caucus, Trudeau ne s’en ira pas tout de suite — plus tard —, prorogeant (suspendre) au passage le Parlement jusqu’en mars.
Au moins en prorogeant le Parlement, il ne pourra pas adopter de nouvelles lois mortifères.
En tout cas, on ne le regrettera pas comme dirigeant, nous aurons, pour le rappeler à notre bon souvenir, le bilan atroce qu’il nous a laissé et dont nous aurons bien du mal à nous défaire.
Lire la suiteTrudeau promeut l’avortement dans un discours prononcé devant des collégiens du Nouveau-Brunswick
Justin Trudeau s'adressant à des élèves du Nouveau-Brunswick.
Par Anthony Murdoch — Traduit par Campagne Québec-Vie — Photo : X
15 novembre 2024 (LifeSiteNews) — Le premier ministre canadien Justin Trudeau a utilisé son temps, aux frais des contribuables, pour promouvoir le meurtre des enfants à naître devant un auditorium rempli d’élèves du secondaire, en déclarant que les femmes devraient avoir un accès total et illimité à l’avortement.
« C’est très simple : c’est à une femme de choisir ce qu’elle veut faire avec son corps », a déclaré Trudeau devant l’auditorium rempli de collégiens du Nouveau-Brunswick mardi.
Trudeau a ajouté qu’un parti libéral « progressiste » qui reconnaît la « Charte des droits et libertés, la liberté de faire ses propres choix dans la vie », doit exiger que « toute personne qui voudrait se présenter pour le parti libéral du Canada devait être accord qu'ils allaient défendre le droit des femmes de choisir ».
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