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Les deux petites chinoises

Quelle est la valeur d'une personne humaine en 2011? Nos sociétés considèrent-elles les êtres humains comme des créatures de Dieu et le corps comme le temple de l'Esprit saint?

L'histoire se passe en Chine au début d'octobre dernier (voir la vidéo ci-bas). Une fillette de 2 ans qui avait échappé à l'attention de ses parents est renversée par une camionnette. Le chauffeur freine mais redémarre aussitôt pour écraser une autre fois le corps de l'enfant.

"J'ai pensé que ça me coûterait moins cher si elle était morte", explique le chauffeur à la police. (La Presse, 19 octobre 2011). Les caméras de surveillance ont tout capté; on voit même une vingtaine de personnes qui passent à pied et en voiture à côté de la fillette agonisante sans jamais s'arrêter. Ces images insupportables ont indigné la planète entière.

Évidemment la Chine communiste et athée n'a pas beaucoup de respect pour la personne humaine. De plus, une fille ça vaut encore beaucoup moins!

Cette société est gravement malade; l'égoïsme et l'individualisme règnent en maître. L'antique sagesse chinoise semble bien s'être volatisée. Le développement économique, l'argent et l'indifférence sociale sont devenus les nouvelles valeurs à la mode. Adieu la solidarité et la charité!

Le 23 octobre 2011, la petite communauté de Chelsea en Outaouais était sous le choc. Une petite chinoise de 7 ans venait d'être assassinée par sa mère adoptive dans un épouvantable drame familial québécois. Encore un autre!

Le 17 octobre 2011, le ministre de la Santé, Yves Bolduc, annonçait en grande pompe la création d'un comité spécial chargé de trouver des "solutions" pour limiter le nombre de drames familiaux au Québec. Au printemps 2012, un rapport et des recommandations seront transmis au gouvernement. Les autorités sont très inquiètes, car le Québec aurait le championnat nord-américain en ce qui concerne les drames conjugaux où de plus en plus d'enfants perdent la vie dans des circonstances inimaginables.

Un dossier-choc du Journal de Montréal le 10 octobre 2011 nous informait qu'en 2009, il y eut 410 corps non réclamés au Québec, un triste record national. Toutes ces personnes abandonnées sont décédées dans l'indifférence la plus totale. On prévoit que ce nombre augmentera chaque année de 10% à 15%.

Le vieillissement de la population n'est pas le principal facteur pour expliquer cette catastrophe humaine. L'étude nous démontre qu'il y a d'autres raisons: l'effritement du tissu social, l'individualisme primaire de nos sociétés hyper urbanisées où l'anonymat règne en maître, la solitude et l'oubli imposés de force aux personnes âgées par des enfants qui ne veulent plus rien savoir de leurs vieux parents, etc. Dans un contexte social où le sens de la famille n'est plus ce qu'il était, on peut s'attendre au pire.

NOS SOCIÉTÉS ONT-ELLES PERDU LA TÊTE?

Dans son message au monde entier du 2 septembre 2011, la Vierge de Medjugorje s'écriait: "Tout s'écroule, seule la Gloire de Dieu reste; renoncez à TOUT ce qui vous éloigne du Seigneur".

Le 2 août 2011, elle disait haut et fort: "Un peuple qui perd Dieu, il se perd lui-même; les forces du mal désirent actuellement gouverner le monde et le détruire; renoncez à TOUT ce qui vous éloigne du Seigneur".

Toutes les tragédies qui frappent notre monde païen sont le résultat du vide spirituel qui déstabilise l'homme et le tue à petit feu. Il n'y a pas cinquante solutions pour sortir de ce marasme. Dans ses messages, la Vierge répète ad nauseam qu'il faudrait METTRE DIEU À LA PREMIÈRE PLACE, trouver du temps pour prier, miser sur ce qui ne passe pas et refaire le plan de nos vies trop souvent influencé par le monde décadent qui nous entoure.

Le 25 juin 2011, La Vierge Marie ajoutait: "Soyez forts et décidés; dites oui au Seigneur. J'attends et je recherche tous les cœurs endormis afin qu'ils se réveillent du sommeil de l'incrédulité".

Voilà le remède pour changer notre société malade. Si les gens entendaient, écoutaient et acceptaient l'appel du Christ et de la Vierge, il n'y aurait plus de ces insupportables tragédies humaines où les personnes sont considérées comme de vulgaires amalgames de cellules que l'on peut jeter à notre convenance.

(Citations tirées du bulletin "Les enfants de Medjugorje" No.97 automne 2011).

http://www.youtube.com/embed/rfCH6zXpBFw?rel=0

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+ Sainte-Famille +

Accueillons une nouvelle valeur : la famille!

Et son modèle : la sainte famille !

Accueillons une nouvelle croyance : la foi... c'est-à-dire une vertu qui dépasse les préjugés.

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Des médecins belges veulent "assouplir" les règles permettant l'euthanasie

Treize personnalités publiques belges veulent permettre une plus grande accesibilité à l'euthanasie. En fait, la dernière limite sera celle de donner le droit à toute personne d'exiger le suicide assisté.

Jeanne Smits commente cette nouvelle sur son blog

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Sur les garderies et leur influence sur les enfants...

On entend beaucoup parler d’une possible grève des centres de la petite enfance. Doit-on augmenter les salaires? Doit-on créer de nouvelles places en garderie? Ne serait-il pas mieux de plutôt redistribuer aux parents l’argent investi dans les garderies? N’est-ce pas à eux de choisir ce qui sera le mieux pour l’enfant?
 
Aussi, pour certains fonctionnaires, l’apport des garderies serait le nec plus ultra de l’éducation des enfants. Peu importe que des pédiatres chevronnés aient fait retentir la sonnette d’alarme, ils continuent de proposer la garderie comme le mode préférentiel d’éducation des enfants.
 
Pourtant, une bombe parue il y a 5 ans avait ébranlé les colonnes du temple gouvernemental. L’éditorialiste Nathalie Collard et le médecin-pédiatre Jean-François Chicoine remettaient en cause les dogmes gouvernementaux. Les garderies ne seraient pas appropriées en général pour les enfants de moins de 2 ans. Elles ne seraient pas adaptées à tous les enfants également. Certains seraient mieux de demeurer avec leurs parents.
 
Voici quelques citations de « Le bébé avec l’eau du bain, comment la garderie change la vie de vos enfants », que nos empêcheurs de tourner en rond avaient écrit en 2006 :
 
Dr Chicoine :
— « J’ai eu le malheur de dire à la télé que la garde non parentale d’un enfant pourrait avoir des conséquences sur son développement, sur sa vie de famille, sur sa vie scolaire, sur son adolescence, sur sa vie amoureuse, sur sa personne, sur l’ordre social, sur l’avenir du monde. Le malheur de dire que pendant les deux premières années de sa vie, un bébé était généralement mieux avec ses parents qu’avec n’importe qui d’autre sur sa planète. Le malheur d’insister sur la dynamique parents-enfants en soulevant les extraordinaires découvertes des années 1990 en matière de connaissance sur les cerveaux en croissance. Le malheur de dire qu’il y avait des recherches renversantes sur cette pierre angulaire de la vie qu’est le lien interactif avec la planète Parent. Le malheur de parler pour les enfants et d’inviter leur famille à mieux leur parler. » (p.16)
 
— « L’idée trop élémentaire, mais fort commode, d’une garderie universelle pour tous a l’avantage de ne pas être compliquée. Qu’elle soit fausse ou inadaptée au devenir de plusieurs enfants semble moins déranger que n’importe quel scandale politique dont on a pourtant l’accoutumance. » (p.17)
 
— « Sous des allures progressistes, les acquis sociaux envisagés par les tenants de la ligne dure des défenseurs de la garde non parentale sont en retard sur les connaissances nouvelles sur le cerveau de l’enfant. En retard sur la pédiatrie, la biologie, l’éthologie, la neuropsychologie, l’anthropologie sociale… en retard quoi! Encore faudrait-il qu’ils l’admettent! » (p.19)
 
Nathalie Collard :
— « mais j’ai aussi vu des mères au cœur brisé qui auraient aimé prolonger leur congé parental, mais qui n’en avaient pas les moyens; des mères qui auraient préféré faire garder leur enfant à temps partiel, mais qui ne le pouvaient pas parce que “le système” ne le permettait pas. Bref, j’ai vu beaucoup de parents frustrés face à un programme, celui des garderies, qui ne semble pas pouvoir s’adapter aux besoins des familles qu’il est supposé aider. » (p.23)
 
— « Nous manquons de temps pour voir nos amis, pour faire de longues promenades, pour dormir l’après-midi, pour regarder le temps qui passe. Nous manquons de temps et nous communiquons ce manque de temps à nos enfants.
 
“— Maman, raconte-moi une histoire, viens jouer avec moi, prends-moi dans tes bras…
— J’ai pas le temps, mon amour, maman va être en retard.
Maintenant, imaginez un instant la situation contraire :
-Chérie, viens voir maman. Viens me donner un beau bisou…
— Désolé, maman, j’ai pas le temps…” (p.29)
 
— “Il y a une expression qui revient sans cesse lorsqu’on aborde la question de l’offre des services de garde et des politiques familiales et c’est ‘les besoins des parents’. Combien de fois avez-vous entendu cette phrase : ‘Les garderies doivent répondre aux besoins des parents’?
 
Or de quel besoin parle-t-on? Du besoin de passer du temps avec son enfant? Du besoin d’être présent dans ses activités, de l’accompagner dans son développement, de ne pas être trop stressé afin de pouvoir lui offrir une présence positive?
 
Pas du tout. Lorsqu’on parle des besoins des parents, on fait surtout référence aux besoins de faire garder les enfants pour pouvoir aller travailler.
 
Dans ce cas, ne vaudrait-il pas mieux parler des besoins de l’entreprise?
 
La vérité, c’est qu’on a complètement tordu la notion de besoins des familles. Aujourd’hui, on demande – que dis-je, on exige- des familles et surtout des enfants qu’ils s’adaptent aux exigences de notre économie qui n’est plus capable de s’arrêter, qui fonctionne 24 heures sur 24 et qui nous demande de produire pratiquement 24 heures sur 24.” (p.33-34)
 
N’entend-on pas certaines gens réclamer des garderies sur les lieux de travail?
 
Les garderies peuvent apporter des éléments bénéfiques, à condition de compléter la présence parentale, pas de s’y substituer. Dans ce dernier cas, c’est l’enfant qui en paie le prix. Si vous avez l’occasion de jeter un coup d’œil sur le livre du Le Bébé et l’eau du Bain, vous trouverez maintes explications des dommages possibles causés par le système de garderie québécois. Si vous rencontrez un fonctionnaire du ministère de la Famille, rendez-lui service, donnez-lui un exemplaire du livre…
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Ginette Leblanc, trifluvienne, veut aller en cour pour exiger de l'aide pour se suicider

La peur de la mort fait partie de notre vie et de plus en plus de gens désirent que la mort se passe... inaperçue... Campagne Québec-Vie vous présente tout un dossier préparé par l'OCVF répondant à plusieurs des arguments utilisés pour tenter de faire légaliser l'euthanasie et le suicide assisté.

Voir l'article sur Ginette Leblanc

Laisser un commentaire sur le site du journal Le Nouvelliste de Trois-Rivières

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Un référendum au Misissippi pour reconnaître le statut de personne de l'enfant à naître

Les électeurs du Mississippi auront l'opportunité de réparer la plus grande des injustices: la non reconnaissance de l'enfant à naître comme étant une personne.

Richard Hétu du journal La Presse du 7 novembre rapporte et commente cette nouvelle.

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Une future médecin berce bénévolement les bébés à Ste-Justine

Une tradition de grand-maman berceuse se poursuit à l'hôpital Ste-Justine. Mais on peut être grand-maman a tout âge:

"Tous les jeudis soir, quand ses amis sortent prendre un verre, Léa Palardy se dirige vers le quatrième étage de l’Hôpital Sainte-Justine. La jeune femme de 19 ans revêt un sarrau, se lave les mains, s’installe dans sa chaise berçante… et attend qu’une infirmière lui dépose un bébé dans les bras."

Voir l'article du journal Métro du 7 novembre

Malheureusement, dans ce même hôpital, pas très loin de cette belle scène nous en assistons à une qui est des plus horribles à contempler: l'avortement tardif.

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"Il n'appartient à personne de juger si un individu est déjà ou encore une personne" dixit Benoit XVI

Benoit XVI, comme son prédecesseur Jean-Paul II, comme Mère Teresa également, comme les saints des dernières décennies, n'a pas peur de parler haut et fort pour dénoncer le crime abominable de l'avortement. Le Service d'Information du Vatican   cite ses propos sur le sujet, s'adressant au nouvel ambassadeur d'Allemagne.

"De nos jours, certains droits de la personne sont remis en cause. Or, pour parler d'un sujet de la plus haute importance, il n'appartient à personne de juger si un individu est déjà ou encore une personne, et encore moins de manipuler l'homme, de le façonner en quelque sorte. Seule une société défendant et respectant sans conditions la dignité de toute personne, de sa conception à sa mort naturelle, peut être considérée comme humaine... Si le Saint-Siège intervient au plan législatif lorsqu'il s'agit de la dignité humaine, notamment en défense de l'existence prénatale, ce n'est pas pour imposer à autrui la foi de l'Église mais pour défendre des valeurs d'évidence fondamentale pour l'humanité entière, des vérités touchant tout être humain".  

  Puis le Pape a évoqué la discrimination de la femme, aggravée dans le monde soi-disant occidental par des tendances matérialistes et hédonistes: "Un rapport qui ne tiendrait pas compte du fait que l'homme et la femme ont la même dignité, constitue un offense à l'humanité. Il est grand temps de combattre énergiquement la prostitution, ainsi que la diffusion de la pornographie, notamment via Internet"

Voir l'article

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La chimie contraceptive, dangereuse pour les femmes

Dans le Figaro du 7 novembre, on révèle que la prise de pilules contraceptives de 3e génération entraîne des risques plus élevés d'accidents thromboemboliques.

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Un article dans le journal Métro que vous pouvez commenter...

Un article à sens unique dans le journal Métro du 7 novembre sur les 40 jours pour la vie. Si vous cliquez sur "Claudine manifestante pro-choix" Vous pouvez laisser votre commentaire au bas de l'interview.

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Voir l'interview

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