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La « refabrication » de l'être humain?

Sur le site de genethique.org du 18 décembre 2013 :

(le professeur Israël Nisand)

(Photo : © Claude Truong-Ngoc / Wikimedia Commons)

 

 

Dans une interview accordée à l'hebdomadaire Le Point, et à l'occasion de la sortie de son ouvrage "Où va l'humanité?" (1) le professeur Israël Nisand(2) met en garde contre la manipulation du génome. Selon le Pr. I. Nisand, "la science va nous permettre d'interférer dans le génome humain, et donc d'interférer sur notre propre évolution. [...] Depuis 150 000 ans, les hommes n'ont cessé d'évoluer", mais cette évolution était lente et "sous l'effet du hasard". Avec les avancées de la science, une créature va, pour la première fois dans l'histoire du vivant, "se refabriquer" explique-t-il. 
 

Actuellement, souligne le professeur de gynécologie-obstétrique, "nous sommes tous égaux dans notre génome, nous avons peu ou prou la même apparence et la même physiologie que les 80 milliards d'humains qui nous ont précédés". Mais aujourd'hui, "certains milliardaires plus riches que les Etats poursuivent un rêve prométhéen", celui de devenir immortels. Or, "si demain la science n'est plus au service de l'espèce mais de certains individus", l'humanité sera divisée en deux espèces, dont l'évolution ne sera pas identique; "la science est sur le point d'engendrer cette catastrophe" alerte I.Nisand.

(...)

(1) "Où va l"humanité?", Israël Nisand, en collaboration avec Jean-François Mattéi
 (2) Gynécologue-obstétricien au CHU de Strasbourg et professeur à la faculté de médecine

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Mary Wagner : en prison pour Noël pour avoir proposé de l'aide à des femmes enceintes se préparant à un avortement

 
Résumé et traduction d'un texte paru sur LifeSiteNews du 3 décembre 2013 :
 
Mary Wagner est en prison depuis le 15 août 2012 pour avoir parlé à des femmes se présentant à un avortoir près de Toronto. C’était sa sixième arrestation depuis qu'elle a commencé sa campagne en mars 2010. Depuis ce temps, elle a passé près de trois ans derrière les barreaux. Marie sera en prison pour Noël cette année. Afin de soutenir ses efforts, quelques amis ont organisé une campagne pour lui envoyer des cartes de Noël et des lettres. (…)En allant en prison, Marie défend notre droit de continuer le travail crucial de sauver les enfants à naître. Sa campagne n'est pas quelque chose que la plupart d'entre nous sont appelés à imiter, et la plupart d'entre nous ne sont pas en mesure de le faire de toute façon en raison d’engagements familiaux, mais elle mérite tout notre soutien. C'est un moment difficile dans l'année pour être loin de sa famille, et encore plus difficile d'être en prison pour une cause juste. Le moins que nous puissions faire est de lui faire savoir qu'elle est dans nos pensées et nos prières en ce temps de Noël.
 
L’adresse de Mary est la suivante : Mary Wagner, Centre Vanier pour les femmes PO Box 1040, 655 Martin St. Milton, Ontario, L9T 5E6.
 
S'il vous plaît utiliser ces consignes pour vous assurer que votre carte ou lettre satisfait toutes les exigences de la prison :
 
1. Ne pas utiliser de cartes en plastique, médailles, timbres, autocollants dans votre carte.
 
2. Mettez l'adresse de l'expéditeur sur la carte ainsi que sur l'extérieur de l'enveloppe.
 
3. Ne discutez pas du fonctionnement interne de la prison.
 
4. Rappelez-vous que le courrier est examiné et que le gardien lira tout, même ce qui serait confidentiel.

 

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La France est entrée dans le combat de l'euthanasie.

Sur le site de famille chrétienne du 16 décembre 2013 :

(Photo de Tugdual Derville, président d'Alliance Vita, par Mon_Tours sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

La conférence citoyenne initiée par le Comité consultatif national d'éthique suggère la légalisation du suicide médicalement assisté et propose, dans des cas particuliers, une «exception d'euthanasie», dans un avis sommaire rendu public lundi 16 décembre.

(...)

À écouter, l'entrevue de Tugdual Derville, président d'Alliance Vita.

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La joie d'une famille nombreuse. Lettre qui témoigne d'une réalité méconnue

À lire sur le site de hautefort.com du 13 décembre 2013 :

(Pour une vieillesse sans solitude!)

(Photo : OliBac sur flickr.com, licence creative commons)

(...)

Un vieux collègue de Cégep parle avec nostalgie des Noëls en famille. Nous ne connaissons pas la nostalgie de Noël mais la vie de Noël en famille. Prochainement, des grappes de famille bien vivantes nous rendront visite. Avec l’âge, Nous serons épuisés de joie plutôt que de solitude.

(...)

Ils sont les témoins d'une joie, celle de nos ancêtres, celle que nous pourrions connaître si nous le voulions...

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Israël veut permettre un véritable adultère psychologique pour les couples mariés...

Sur le site de genethique.org du 17 décembre 2013 :

(Ne plus faire confiance à qui l'on a donné sa main...)

(Photo : janet isn't real sur flickr.com, licence creative commons)

La ministre de la santé israélien, Yael German, a annoncé mercredi 11 décembre 2013 son plan pour la libéralisation de la loi sur la fertilité.
(...)
Parmi les mesures phare qui seront menées à bien, Israël compte autoriser les couples de même sexe à procréer avec l’aide d’une mère porteuse israélienne.
(...)
Il sera aussi possible, au sein de couples mariés, pour un des conjoints, de "rechercher des traitements de fertilité avec une tierce personne sans que l’époux(se) n’en soit informé(e)".

Une nouvelle qui a certainement apporté beaucoup de joie à certains avocats israéliens...

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Le divorce est à l'origine des maux familiaux qui entraînent la destruction d'une société

Sur le blog de Jeanne Smits du 16 décembre, une traduction d'un texte paru sur LifeSiteNews du 12 décembre 2013:

(Photo : Javad Alizadeh sur wikimedia.com, licence creative commons)

 

De quand date le début de la révolution sexuelle ? Voilà une question à laquelle on aurait tendance à vouloir répondre sans réfléchir. La plupart des gens évoqueraient le début ou le milieu des années 1960. La publication de ce bouquin par Germaine Greer, ou bien l’invention et la commercialisation de la pilule, c’est ça ?
 
Mais si on leur donnait le temps d’y penser un peu, la plupart des gens rectifieraient sans doute leur réponse en soulignant que les racines de la révolution sexuelle remontent sans doute à plus loin. Peut-être aux temps où Germaine Greer et d’autres féministes académiques développaient leurs idées à l’université, et où le Dr Pincus travaillait sur son mémoire de sciences. Tout le monde ou presque, cependant, s’accorderait pour dire qu’au moment où Paul VI a publié sa célèbre encyclique Humanae Vitae sur le contrôle artificiel des naissances en 1968, personne n’avait levé ce lièvre depuis bien longtemps et on avait même oublié qu’il y avait un problème.
 
Mais comment les vannes se sont-elles ouvertes au départ ? Comment les mœurs sexuelles de tout une civilisation ont-elles pu être aussi radicalement modifiées en l’espace d’une seule génération ? Y a-t-il eu un « proto-péché » qui a tout déclenché ? Qu’est-ce qui a permis à ces choses de s’installer après tous ces siècles où l’ensemble de la chrétienté, depuis la chute de l’Empire romain, a établi sa vie quotidienne et les fondements de sa politique sur le socle du mariage, de la procréation et de l’éducation des enfants ?

(...)

Pour lire la suite de l'article, cliquez ici.

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Le parti Québécois fier de l'adoption de son projet de loi 35, passée inaperçue...

Sur le site du Parti Québécois du 6 décembre 2013 :

(Le Ministre Bertrand St-Arnaud)

(Photo : Mariannlï sur filckr.com, licence creative commons)

À titre de ministre responsable de la lutte contre l'homophobie, le ministre Bertrand St-Arnaud se réjouit tout particulièrement de l'adoption de nouvelles dispositions visant à faciliter les démarches des personnes transsexuelles et transgenres.
 
Ainsi, les personnes majeures domiciliées au Québec depuis au moins un an et ayant la citoyenneté canadienne pourront, dès l'entrée en vigueur de la loi, obtenir la modification du sexe indiqué sur leur acte de naissance, sans l'obligation d'un traitement médical ou d'une intervention chirurgicale
(...)

Pour plus de détails, vous pouvez consultez l'article paru sur LifeSiteNews du 13 décembre 2013.

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La violence des pressions faites pour l'avortement

Sur le site de sosbebe.org :

(L'eugéniste et raciste Margaret Sanger, fondatrice de Planned Parenthood. Il faut ajouter la misogynie à l'historique du mouvement « pro-choix »...)

(Photo : sans copyright)

 

 

Les violences contre les femmes sont  la violation la plus répandue des droits de la femme dans le monde et dans notre pays et constituent la manifestation la plus aigüe de l’inégalité homme-femme.
 
Confrontées à une grossesse imprévue, non désirée, nombre de femmes subissent harcèlement et pressions pour les conduire à avorter. L’incitation à l’avortement est une réelle violence faite aux femmes qui la subissent et est  reconnue comme telle par la justice.(...)

Il est extrêmement difficile pour une femme, fragilisée par le début d’une grossesse, de résister à la volonté et aux pressions de son compagnon, de sa famille, de son employeur ou des services sociaux.
 

 
 

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La culture de mort dans La Presse. Une incroyable lettre d'une avocate pour l'euthanasie...

(Photo : BOSSoNe0013 sur flickr.com, licence creative commons)

Vu d'un certain angle, il serait impossible qu'un médecin accélère la mort d'un patient parce qu'il a besoin d'un lit, parce qu'il trouve que la mort n'arrive pas assez vite, parce que la famille attend après un héritage, parce qu'il acquiesce à la demande d'une personne qui se sent un poids pour la société et pour son médecin... Vu d'un certain angle, ou plutôt, avec les lunettes que les partisans de l'euthanasie veulent que nous utilisions pour regarder la situation.

Un article révélateur d'une personne qui combat pour cette culture abominable de l'euthanasie.

Dans le journal La Presse du 17 décembre 2013, un article dont nous avons réfuté l'argumentation incomplète voulant laisser croire à l'indépendance et au bon fonctionnement des mécanismes de contrôle de l'euthanasie en Belgique! Nous ne reprendrons pas la réfutation qui a été faite par nombre de médecins et d'infirmières belges de la dérive du plat pays. Vous pouvez consultez également le mémoire de la maison Michel Sarrazin qui est très révélateur sur le copinage des associations pour le « mourir dans la dignité » et la « commission de contrôle ».Mais il y a un point supplémentaire dans la lettre de l'avocate Marie Annik Grégoire qui mérite notre attention :

Le professeur Jean-Louis Baudouin mentionnait que «[l]es techniques de la médecine moderne ont déshumanisé la mort. Le patient en phase terminale meurt lentement, intubé, gavé et bourré de médicaments.» Le projet de loi vise à mettre fin à cette réalité. D'ailleurs, des médecins belges assurant un contrôle des pratiques d'euthanasie rapportaient que «tous les témoignages des médecins ayant pratiqué l'euthanasie, comme notre expérience personnelle, permettent d'attester d'une mort calme, en sommeil profond, survenant en quelques minutes au moment choisi et souvent précédée d'adieux émouvants aux proches.»

Ce petit paragraphe est très représentatif des énormités incohérentes qu'apportent l'avocate et le mouvement pour l'euthanasie.

Il ne faut jamais avoir mis les pieds dans une unité de soins palliatifs pour décrire la mort accompagnée par la médecine moderne comme une déshumanisation bourrée de médicaments... Et si ce sont les soins palliatifs qu'il faut éviter, alors il faudrait proposer en premier lieu l'euthanasie à tous?

Il est étonnant que le ridicule des propos de la dernière partie du paragraphe ait échappé à son auteur. Il s'agit de vérifier si les conditions de mise à mort ont respecté certaines règles. À qui demande-t-on si tout s'est fait dans les normes et mériterait une poursuite judiciaire? À l'exécuteur. Est-il possible qu'une avocate puisse croire une seule seconde qu'un médecin venant d'exécuter un patient va aller se dénoncer à une commission de contrôle comme n'ayant pas suivi les règles? Et qu'il mérite par conséquent d'être poursuivi en justice?

Depuis le début de la légalisation de l'euthanasie, sur les milliers de cas d'exécution létale, effectivement, aucun médecin n'a posé ce geste de s'autodénoncer. Ce qui n'empêche pas la population de reconnaître que les règles ne sont pas observées.

Dans tous les cas de mise à mort d'une personne, il devrait y avoir une enquête indépendante pour vérifier si les conditions légales de mise à mort étaient respectées. Ici, notre avocate se contente du témoignage du tueur. Très réconfortant comme système judiciaire. Et quelle injustice de ne pas avoir cru sur parole ce juge affirmant que sa femme handicapée s'était suicidée, et qui se retrouve maintenant en prison pour meurtre...

C'est à la lecture de tels articles que nous pouvons comprendre que pour les partisans de l'euthanasie, la pratique de la naïveté volontaire est le meilleur outil de propagande pour transformer l'acte extrêmement violent d'une injection létale, par l'entremise de lunettes roses, en un doux geste de compassion pour éviter au patient de souffrir inutilement dans une maison de soins palliatifs, de ces soins inutiles qui enlèvent la douleur et apporte un message combien douloureux : qu'on aimera le patient jusqu'au bout et que jamais on ne l'abandonnera.

L'abandon de l'euthanasie, comme lorsqu'on dit à quelqu'un que sa vie ne vaut plus la peine d'être vécue... Une petite piqûre? 

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Les enfants belges reçoivent cette année pour Noël... l'euthanasie

(Photo : sans copyright)

Sur le site de rts.ch du 12 décembre 2013 :

 

 

 

 

Le Sénat de Belgique a adopté jeudi à une large majorité une proposition de loi étendant le champ légal de l'euthanasie aux mineurs atteints d'une maladie incurable, qui doit toutefois encore être votée par les députés avant d'entrer en vigueur.

Une analyse sur le site de bvoltaire.fr du 16 décembre 2013 :

En Belgique, le nombre d’actes d’euthanasie, déclarés et non déclarés, ne cesse d’augmenter et la loi de 2002 est appliquée de façon de plus en plus laxiste (Voir Montero, Rendez-vous avec la mort, 2012). Plus inquiétant : le nombre d’euthanasies sans le consentement du patient est en augmentation. Rien d’étonnant à ce que l’euthanasie soit demain accessible aux enfants et après-demain aux malades d’Alzheimer, en attendant d’être accessible à toutes celles et ceux qui la demanderont parce que vivre leur est devenu insupportable.
 
Lutter contre la souffrance, en particulier des enfants, oui, mille fois oui ! Et les moyens existent : des soins palliatifs adéquats permettent de soulager la presque totalité des douleurs physiques. Si la douleur résiste, on peut endormir profondément le petit patient et le mettre en sédation palliative. (...) On le voit, la Belgique est en train de glisser sur une pente qui la mène inexorablement vers l’administration de la mort « à la demande ».
 

 

 

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