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Un nouveau projet de loi sur les personnes transgenre

Sur le site de Radio-Canada du 28 novembre 2012:

 

(Kerry-Lynne Findlay)

 Les conservateurs de Stephen Harper se sont positionnés comme étant de grands défenseurs des droits des homosexuels sur la scène internationale, mais les troupes du premier ministre sont plutôt divisées à propos d'un projet de loi qui vise la reconnaissance de certains de ces droits au Canada.

Les députés étudient actuellement un projet de loi privé qui rendrait illégales la discrimination envers les Canadiens transgenres et la propagation de la haine basée sur l'identité ou l'expression sexuelles. Si tous les transgenres ne sont pas homosexuels, les causes qui les touchent sont souvent représentées par les membres de la communauté gaie et lesbienne.
 
Aux Communes, les conservateurs qui s'occupent du dossier sont divisés. Deux d'entre eux, la députée manitobaine Shelly Glover et la députée britanno-colombienne Kerry-Lynne Findlay, ont laissé entendre qu'elles voteraient en faveur du projet de loi si quelques amendements y étaient apportés.
 
Avec le soutien des députés néo-démocrates et libéraux, le projet de loi pourrait donc retourner aux Communes, où il ferait l'objet de deux autres importants votes. (...)
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Les soins palliatifs au CHUS (Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke)

Sur le site de Radio-Canada du 28 novembre 2012:

 

 

 

 

Le 6e étage du pavillon Hôtel-Dieu détonne au CHUS. Lumières tamisées, chuchotements, absence de bruits de talons qui cognent sur le plancher... Ceux qui sont habitués à l'ambiance électrique que l'on trouve ailleurs dans l'hôpital seront surpris. Pas d'infirmières qui courent de tous côtés, pas de horde de résidents qui discutent entre eux, pas de télévision qui hurle les dernières nouvelles, pas de chariot de réanimation, pas de réceptionniste qui parle à l'interphone.

 
Le calme plat.
 
Une atmosphère de quiétude, de sérénité, d'attente qui enveloppe tous ceux qui y mettent les pieds.
 
Au poste infirmier, un gros ange illuminé capte l'attention. « On l'allume pour une période de 24 heures chaque fois qu'un de nos patients décède »,explique Adrienne Ouellet, l'une des cinq infirmières qui travaillent à cet endroit.
 
Bienvenue dans l'Unité des soins du CHUS. Un endroit paisible où, bien que plusieurs y attendent La grande Faucheuse, se sachant condamnés, tous affichent un air serein et n'hésitent pas à sourire, à rire à gorge déployée encore. « Même si c'est seulement un sourire, on sait qu'on a donné un petit cinq minutes de bonheur. Un temps où la personne a oublié qu'elle avait de la douleur. C'est quelque chose », croit Mme Ouellet.
 
« Notre défi n'est pas seulement de soulager le physique de la personne, mais aussi le moral et le psychologique. On les invite à faire leur bilan pour pouvoir partir en paix. Quand on parvient à faire les trois, on a réussi notre boulot », soutient-elle.
 
Pour cette infirmière qui oeuvre depuis trois ans auprès de cette particulière et touchante clientèle, le temps est relatif. Ici, les horloges ne sont pas très importantes.
 
« On pense aller dans une chambre pour deux minutes, puis finalement, on y restera pendant dix minutes parce que le patient a des choses à dire. On l'écoute. Des fois, il faut juste lui tenir la main. On attend. Une autre infirmière prendra le relais. »
 
Et c'est là toute la force de cette minuscule équipe. L'orgueil, la performance, le stress sont laissés à l'entrée de l'unité. « Les employés sont tricotés serré. Chacun a sa place dans l'équipe. Si c'est le préposé qui connecte le plus avec le patient, on lui laisse la place. Point. Il n'y a pas de hiérarchie ici. Il y a une collaboration avec les médecins que tu ne verras pas ailleurs », soutient le grand patron de l'unité, Christian Houde.
 
Quand on voit sa mère, son frère, son enfant se préparer à nous quitter pour ce long voyage, il est normal de vouloir être de tous les instants, de grappiller le plus de minutes possibles pour les emmagasiner dans sa mémoire.
 
Ainsi, tout sur cet étage a été pensé en fonction des familles des patients. Une chambre, une cuisine, une douche, une salle de lavage même sont mises à leur disposition afin qu'ils puissent rester tout près de ceux qui leur sont chers.
 
Au salon, l'absence de téléviseur étonne. « Nous voulions que les gens se parlent, se mêlent entre eux. Il n'est pas rare de voir deux familles faire un casse-tête ensemble. C'est une forme de thérapie que d'échanger », explique M. Houde.(...)
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Abolir le mariage pour donner aux enfants de multiples parents?

Sur le site du journal La Presse du 28 novembre 2012, cet article qui illustre à merveille le délire que la redéfinition du mariage par les lobbys gais entraine (ainsi que l'article que nous avons fait paraître précédemment, sur l'intérêt des pro-vie à la redéfinition du mariage par les lobbys gais):

(Un enfant aux 11 parents? Y-a-t-il quelqu'un de sensé pour se mettre à la place de l'enfant et veiller sur ses droits?)

 

Puisque le Québec «célèbre» chaque année presque autant de mariages que de divorces, ne serait-il pas plus logique de militer pour l'abolition pure et simple du mariage, quel que soit le sexe des mariés?

Pour favoriser la cohésion sociale, le mariage légal pourrait simplement être remplacé par des ententes écrites, librement consenties, entre les personnes qui décident de faire vie commune. Si aucune instance ne peut empêcher une telle pratique, pourquoi aurions-nous besoin d'un droit enchâssé au mariage?

Le seul véritable problème derrière la question du droit au mariage est le partage équitable des droits et responsabilités des adultes qui élèvent des enfants. À cet égard, une loi pourrait effectivement encadrer légalement et économiquement les personnes qui ont la responsabilité d'enfants, quel que soit leur sexe... ou leur nombre d'ailleurs.

Ceux qui ont des enfants savent très bien que deux parents c'est déjà insuffisant pour survivre à la tâche.

Oui, certains sont capables d'écrire de tels textes sérieusement...

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Pourquoi les pro-vie refusent la redéfinition du mariage des lobbys gais?

Texte tiré du siteLifesitenews du 27 Novembre 2012 (Traduction CQV)

 

 (Alliance Vita marchant contre le "mariage" gai en France)

— On se demande souvent pourquoi beaucoup de gens impliqués dans le mouvement pro-vie sont également intéressés aux questions liées à l'homosexualité. Ils se demandent surtout si la défense du mariage traditionnel a vraiment quelque chose à voir avec être pro-vie.
 

La réponse à cette question est simple : être pro-vie est bien plus que sauver des bébés. Il s'agit aussi de lutter pour l'épanouissement de la personne humaine à chaque étape du chemin, depuis la conception jusqu'à la naissance, pendant l'enfance, l'âge adulte, jusqu'à la mort naturelle. Il s'agit de promouvoir une « culture de la vie. »
C'est pourquoi de nombreux pro-vie ne sont pas seulement préoccupés par l'avortement : ils abordent également l'euthanasie, le clonage, l'homosexualité et d'autres questions de la vie et de la famille, qui, après un deuxième coup d'œil, se trouvent être tous reliés entre eux. Si vous avez une vision d’ensemble, il est facile de voir que ce sont les éléments chauds à l’échelle internationale, ne laissant aucune nation ou localité indemne.
 

La raison pour laquelle le mouvement pro-vie met tellement de temps et d'énergie à mettre fin à l'avortement en particulier, est que nier le « droit à la vie » est la plus grave injustice. Le droit à la vie est le fondement de la jouissance de tous les autres droits. Lorsque ce droit est enlevé aux plus vulnérables d'entre nous, alors les droits de quiconque ne sont plus sécurisés. Il n'y a pas de vraie justice, simplement la domination du plus faible par le plus fort, la survie du plus apte. L'avortement est vraiment le genre d’intimidation le plus meurtrier.
 

Au petit-déjeuner national de prière, en 1994, à Washington, Mère Teresa a appelé l'avortement le « le plus grand destructeur de la paix aujourd'hui ». Elle a dit que l'avortement était une « guerre contre l'enfant — une mise à mort directe de l'enfant innocent —. assassiné par la mère elle-même ». Elle fait astucieusement remarquer que « si nous acceptons qu'une mère puisse tuer son propre enfant, comment pouvons-nous dire à d'autres gens de ne pas s'entre-tuer? »
 

Oui, nous pro-vie devons nous battre pour les enfants à naître et pour garantir leur droit à la vie. Mais nous devons aussi lutter pour que les enfants soient nés et élevés dans des conditions qui leur permettront de s'épanouir en tant que personnes humaines.
L'environnement qui est le plus propice à l'épanouissement de la personne humaine — sans exception — est la famille humaine composée d'un homme et d'une femme unis dans une union à vie appelée mariage. Les nombreuses études successives nous ont démontré cela à plusieurs reprises. (Cliquez ici et ici et ici pour voir un compte-rendu de ces études.)
 

La guerre contre le mariage et la famille

Mais il y a une guerre sans précédent contre la famille aujourd'hui qui semble vouloir éteindre cette unité sociale la plus fondamentale. La guerre a été menée plus intensément au cours des 100 dernières années.
 

Les destructeurs de la famille ont commencé par le fractionnement du lien entre maris et femmes. Ils ont fait cela en introduisant la contraception dans l'acte sexuel, sous le couvert de la « liberté sexuelle ». Avec la contraception, les conjoints prennent le trésor intime de la fertilité et le sacrifié sur l'autel de la liberté sexuelle de manière à accroître leur disponibilité sexuelle « sans conséquence ».
 

Mais en faisant abstraction de la « personne entière » par l’exclusion de la fertilité, la contraception amène les maris et les femmes à regarder l’autre simplement comme une occasion de stimulations pour atteindre l’orgasme. Leur respect et leur amour pour l'autre a souffert puisque personne n'aime être dévalué et personne n'aime être utilisé comme un outil pour le plaisir de quelqu'un d'autre. Le mouvement pour la contraception a commencé à gagner du terrain dans la première partie du 20e siècle et a atteint son apogée à la fin des années 1960. Le mariage a été affaibli et les retombées destructrices du mouvement de la contraception sont toujours actuelles.
 

L'utilisation généralisée de la contraception conduit à la nécessité d'une légalisation de l'avortement comme une solution à l’échec de la contraception. Les couples qui s'étaient fermés au don de la vie exigent un moyen rapide et facile de s’exonérer de responsabilités « indésirables ». Avec le fait que les enfants ne sont plus considérés comme étant le couronnement du mariage, le mariage a été encore affaibli.
 

Tôt après le mouvement de la contraception est venu le mouvement du « divorce sans faute » dans le milieu des années 1950. Les couples utilisant les contraceptifs qui avaient goûté le mauvais fruit d'utiliser l'autre pour son plaisir égoïste avaient besoin d'un moyen rapide et facile de sortir de ce qui était censé être une relation permanente, mais qui avait horriblement mal tourné. Avec la fidélité mise hors mariage, le mariage a été encore plus affaibli.
 

Brisés, broyés, enfants meurtris

Les « innovations sociales » mentionnées ci-dessus ont toujours donné lieu à la souffrance des enfants innocents. La contraception fait du tort aux enfants en ce qu'elle ferme le cœur et l’esprit d'un adulte au don d’une vie nouvelle. L'avortement blesse les enfants en les tuant dans par les moyens les plus brutaux et les plus horribles qu'on puisse imaginer. Et bien sûr, le divorce ravage la formation physique, psychologique et morale de l'enfant.
 

Ces innovations sociales entraînent la faillite du mariage, en le dépouillant pratiquement de sa fonction naturelle de nourrir une nouvelle vie humaine.
 

Puis vint l'innovation sociale la plus extrémiste. Le mariage serait maintenant dépouillé de ses aspects biologiques, des qualificatifs d’« homme et femme ». La logique conduisant à ce remaniement était imparable. Une fois que le mariage n'était plus considéré comme une union pour le plaisir de créer et d'entretenir nouvelle vie humaine, il n'y avait plus de raison de maintenir cette union exclusive entre un homme et une femme. À l'heure actuelle, le cadre culturel du mariage traditionnel est tellement ravagé par la contraception, le divorce, l'avortement qu'il est incapable de résister à l'assaut soigneusement planifié par les militants homosexuels.
 

Le cri de guerre des militants homosexuels pour « l'égalité » nous a amenés là où nous sommes aujourd'hui, le Canada ayant changé la définition du mariage en 2005, avec un grand nombre d'États américains qui ont récemment emboîté le pas. Et ils étaient en mesure d’atteindre cet objectif en raison de l'affaiblissement du mariage traditionnel.

Les activistes homosexuels ont réussi à tromper le monde occidental en leur faisant croire que leur absolument stérile activité homosexuelle est aussi bénéfique pour la société que l'acte fructueux entre un mari et sa femme qui produit naturellement des enfants. Avec la poussée sociale pour changer la définition du mariage est venu un état d'esprit correspondant consistant à dire que la masculinité et la féminité, la paternité et la maternité, sont totalement sans importance pour la la formation d'un enfant.
 

Maintenant, avec le mariage traditionnel pratiquement défini hors de la réalité, les enfants vont souffrir plus que jamais. Ils vont souffrir parce que l'établissement où ils se développent le mieux est devenu socialement une faillite. Les hommes et les femmes, en abandonnant le mariage comme une “base sociale signifiante”, auront encore des enfants ensemble, mais pas dansl'environnement qui favorise le mieux l'épanouissement d’un nouvel être humain. Les enfants vont souffrir encore plus alors que les couples gais et lesbiens, marchant fièrement sous la bannière juridique nouvellement redéfinie du “mariage”, tenteront, et l’ont déjà fait, d’élever et former les enfants.
 

Une étude publiée cette année indique cependant que l'expérience sociale du “mariage” homosexuel ne fera rien d'autre que des dommages graves aux enfants. Les enfants élevés par des parents gais et lesbiens ont beaucoup plus de problèmes sociaux et de santé mentale par rapport aux enfants issus d'une famille biologique intacte. La recherche a montré non seulement qu'il y avait une différence majeure entre les enfants des deux groupes, mais a souligné que l'instabilité familiale est une “marque caractéristique” des relations homosexuelles.
 

Les erreurs sociales que nous faisons en tant que société, et que nous faisons en ce moment, pèsent lourdement sur les épaules des enfants. Ils sont les victimes innocentes de l'expérimentation sociale et sont devenus moralement et même physiquement écrasés et brisés. Ce sont eux qui sont devenus pulvérisés au nom des soi-disant “liberté, égalité et progrès”.
 

Être pro-vie à la base

Ces faits surprenants éclairent pourquoi tant de militants pro-vie sont soulignent constamment la recherche qui soutient le mariage traditionnel. C'est pourquoi ils prennent tellement au sérieux les questions liées à l'homosexualité, attirant l'attention sur les attaques qui sévissent contre le mariage traditionnel.
 

Les dirigeants de la guerre culturelle savent que l'éducation sur cette question est la première étape nécessaire à la construction d'une campagne massive pour protéger les enfants contre le refus délibéré de leur accorder un papa et maman dans un mariage stable. Ils savent que le bien-être des enfants dépend d’un renversement de la tendance culturelle pour favoriser un vrai mariage. Un environnement instable, moralement désordonné n'a pas de place pour enseigner aux enfants comment vivre, comment devenir tout ce qu'il ou elle est censé être, comment apprendre à être un être humain libre et responsable.
 

C'est pourquoi les pro-vie doit se battre pour le mariage traditionnel, sans jamais compromettre la croyance que le mariage doit être librement conclu par un homme et une femme, que les époux doivent se donner d'eux-mêmes totalement, sans rien retenir, que la relation doit être fidèle jusqu'à la mort, et qu'elle doit être féconde en suscitant de nouvelles vies. C'est tout simplement la meilleure situation pour le moral de l'enfant, pour son épanouissement physique et mental.
 

Être pro-vie, c’est être de garde contre tout ce qui menace cette institution sociale la plus précieuse, nécessaire à l'épanouissement humain. En luttant pour le vrai mariage, nous nous battons au nom des enfants. Nous nous battons pour eux, pour qu’ils aient une vie pleinement vécue. Dans notre lutte pour eux, nous assurons l'avenir même de l'humanité.

Défendre le mariage authentique a tout à voir avec être pro-vie. C'est d'être pro-vie, jusqu’au coeur. Allons donc maintenant nous retrousser les manches, aller au travail, et faire ce que les pro-vie font de mieux : la lutte en faveur des enfants.

Peter Baklinski détient une maîtrise en théologie avec une spécialisation sur le mariage et la famille (STM). Il poursuit un doctorat à l'Institut Jean-Paul II en Australie.
 

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Une lettre du père Donat Gionet sur l'importance de dire la vraie Parole de Dieu... même si elle est controversée

Le Père Donat Gionet est ce prêtre âgé qui, dans sa nouvelle paroisse des Maritimes, a osé demander en chaire que les personnes homosexuelles ne viennent pas communier. Comme l'un de ses servants de messe, personnalité connue dans la paroisse était lui-même homosexuel sans que le prêtre fut au courant, il y eut scandale et l'histoire a fait le tour de la planète. Nous avons reçu par internet une copie photo d'une lettre que le Père Gionet a écrite en réponse à une missive reçue. En voici un extrait:

 

 

 

(...)

Grâce à l’internet et au fait que les homosexuels qui m’ont entendu les dénoncer bien poliment, et leur publication sur l’internet, la Parole de Dieu prononcée dans l’Homélie a fait boule de neige au grand plaisir du Seigneur. C’est vraiment Lui qui en fut le grand gagnant, car on peut dire que presque le monde entier s’est questionné face à la Parole de Dieu prononcée par un prêtre bien ordinaire. À partir de ce moment, des homosexuels ont cessé de recevoir la communion, (première victoire) et bien des couples d’union libre se sont questionnés et ont cessé de recevoir la communion (2e victoire). Les gens se sont questionnés, les prêtres ont fait la même chose. Comment  cette Parole a-t-elle pu faire un tel cheminement, sans l’intervention de l’Esprit Saint? Ce fut donc une grâce pour moi, de revenir dans mon milieu natal, ne connaissant pratiquement personne, étant parti de mon village depuis l’âge de 51 ans, et j’en ai 85, alors je pouvais prononcer la Parole de Dieu sans juger personne. C’était tout simplement l’annonce de la Parole de Dieu, tout comme tout prêtre doit le faire, par vocation.
Des mots de « bravo » me sont parvenus de France, Italie, USA, Ouest canadien, et toutes les Maritimes (en grand nombre). La Parole de Dieu peut faire le tour du monde et pour la sanctification du monde entier. Elle nous fut donnée pour notre bonheur et non pour nous détruire, mais donner une meilleure vie ici-bas et nous ouvrir les Portes du Paradis. Si les Paroles divines que l’Esprit-Saint m’a données de prononcer, c’est parce que, LUI il le savait, qu’il était bon que le monde qui se dit catholique, au moins se questionne. Et c’est cela qui est arrivé.

Dire la vérité respectueusement est l'une des bases de la charité. La demi-vérité ou le silence sur des comportements inadéquats font énormément de tort aux autres. Le Père Gionet conclut sa lettre en rappelant combien il est important que les prêtres donnent la vraie Parole de Dieu.

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« L'Église a tout compris de l'homosexualité »

Sur le site de Famille Chrétienne du 26 novembre 2012, une entrevue avec Philippe Arino, personne homosexuelle continente depuis 2011 , auteur du livre L'homosexualité en vérité:

(Philippe Arino)

 

(...)C’est faux de dire que l’Église est homophobe ?

L’Église a tout compris de l’homosexualité. Vraiment ! Sans le savoir, ce sont les personnes homosexuelles qui lui donnent raison. Parce qu’elles associent comme dans la Bible l’homosexualité à une idolâtrie, à la violence.

L’Église catholique, en me reconnaissant en tant que personne avant tout, et en ne me demandant pas de nier l’existence de mon désir homosexuel, mais au contraire de le valoriser en le donnant pleinement à Dieu, m’a aimé dès le départ tel que je suis, avec mes forces et mes failles.

Ceux qui applaudissent aux coming out et aux couples homos sans savoir ce qu’ils accueillent ne sont pas autant dans l’amour des personnes homos que l’Église !
 

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Sur les origines du tapage du 22...

Sur le site de La Presse du 27 novembre 2012:

(Martine Desjardins et Léo Bureau-Blouin)

 

Vingt-deux mars 1968. Daniel Conhn-Bendit, chef du mouvement étudiant de Nanterre, suivi de 142 étudiants, occupent le huitième étage de l'administration de l'université parisienne. C'est le début d'un mouvement d'inspiration libertaire et contestatrice de l'autorité universitaire. Le mouvement s'étendra par la suite à la Sorbonne et, finalement, à toute la France.

La révolte étudiante s'en prend à toute la société française, au capitalisme, à l'impérialisme sous toutes ses formes. Elle s'attaque à toutes les formes d'autorité politique et religieuse. Elle s'en prend au aussi au fonctionnement de l'université qu'elle trouve désuète, rétrograde, inadaptée à l'époque moderne. Le mouvement contestataire étudiant à ses échos dans plusieurs pays d'Europe, aux États-Unis, et même au Mexique.

La contestation étudiante paralyse la France pendant plusieurs semaines. Le pays assiste à de nombreuses manifestations dans les rues. Dans les lycées, les universités, sur les lieux de travail, des débats s'organisent. Chacun prend la parole ety va de sa solution pour guérir les maux de la société. Des barricades s'élèvent dans les rues. Les graffitis apparaissent sur le mur des édifices publics. «Il est interdit d'interdire», «Vivre sans temps mort et jouir sans entrave», «Le patron a besoin de toi, tu n'as pas besoin de lui», «Soyez réaliste, demandez l'impossible»,«Élections, piège à cons», etc. Les banderoles des manifestants affichent la diversité des slogans. Drapeaux rouges et drapeaux noirs colorent les processions quotidiennes. Certains mouvements plus révolutionnaires, (communistes et anarchistes) tentent de contrôler la contestation.

Le gouvernement gaulliste convoque les Français à une élection générale. La population, au début, favorable au mouvement étudiant, désapprouve la grève et la contestation. Le gouvernement est réélu majoritairement. C'est un raz-de-marée gaulliste. La contestation s'essouffle. La police joue son rôle et déloge les derniers récalcitrants enfermés en Sorbonne. La France retrouve son calme.
(...)
Le leader contestataire de Mai 68 Daniel Cohn-Bendit est maintenant député au parlement européen depuis 1994. Contestataire engagé à l'extrême gauche, il est aujourd'hui favorable au capitalisme, à une écologie qui prenne acte de l'économie de marché pour mieux la réguler.

Au Québec, le gouvernement libéral, opposé à la contestation étudiante, a déclenché une élection générale. N'eût été les allégations de corruption qui planait sur lui, ce dernier aurait été facilement réélu. Les Québécois ont élu un gouvernement minoritaire. Qui a tout promis aux étudiants. La contestation reprend dans les rues : les étudiants veulent maintenant la gratuité scolaire.

Un des chefs de la contestation étudiante (Léo Bureau Blouin) à été élu, le 4 septembre dernier, député péquiste dans Laval-des-Rapides. Il est maintenant conseiller personnel de Pauline Marois. L'attaché de presse de la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) vient d'être embauché par le cabinet de la ministre de l'Éducation Marie Malavoy. L'histoire recommence?

Les révolutions du "peuple" se font toujours au profit du "politburo"... et au détriment d'une société plus humaine. Martine Desjardins, porte parole de l'une des associations étudiantes voue une grande admiration au féminisme extrémiste de Lise Payette. Lors de la remise du prix Vadeboncoeur à la chroniqueuse du Devoir, Mme Desjardins y alla de ce tweet louangeur : "Une grande dame qui le mérite bien". Mme Payette milite depuis des décennies pour le "droit" d'éliminer les enfants à naître... Encore des "révolutionnaires" qui termineront au "parti"... pour le bien du "peuple"!

 

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Un "mariage" de 20 ans avec... qui?

Sur le site de directmatin.fr du 27 novembre 2012:

(Des apparences de plus en plus trompeuses, selon les "progrès" de la chirurgie esthétique)

 

Il ne s’attendait pas à une telle découverte. Après avoir rencontré Monica en 1993, Jan a épousé la jeune femme originaire d’Indonésie qui l’a aidé à élever les enfants de sa précédente union.
 
"Lorsque nous nous sommes engagés dans une relation, je lui ai demandé si elle souhaitait avoir des enfants. Elle a répondu qu’elle n’en voulait pas. J’étais ravi de sa réponse car j’avais alors 44 ans et j’avais déjà 4 enfants issus de deux premières unions », explique-t-il.
 
Une vingtaine d’années plus tard, le couple bat de l’aile et Monica se fait de plus en plus absente. Les rumeurs sur la vie secrète de Monica enflent dans l’entourage de Jan et il décide de confronter son épouse. Monica lui a avoué avoir été un homme avant de se faire opérer et de prendre des habitudes de femme.
 
« Je ne me suis jamais posé de questions. Elle prenait la pilule, et faisait comme si elle avait ses règles (…) Elle faisait tout pour me cacher la vérité. Même durant nos rapports je n’ai rien remarqué", confie Jan.
(...)
Jan est aujourd’hui très amer : « Je ne veux plus rien avoir à faire avec elle. Ce qu’elle a fait endurer à ma famille et à moi-même est impardonnable ».

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Un "mariage" de 20 ans avec... qui?

Sur le site de directmatin.fr du 27 novembre 2012:

Il ne s’attendait pas à une telle découverte. Après avoir rencontré Monica en 1993, Jan a épousé la jeune femme originaire d’Indonésie qui l’a aidé à élever les enfants de sa précédente union.
 
"Lorsque nous nous sommes engagés dans une relation, je lui ai demandé si elle souhaitait avoir des enfants. Elle a répondu qu’elle n’en voulait pas. J’étais ravi de sa réponse car j’avais alors 44 ans et j’avais déjà 4 enfants issus de deux premières unions », explique-t-il.
 
Une vingtaine d’années plus tard, le couple bat de l’aile et Monica se fait de plus en plus absente. Les rumeurs sur la vie secrète de Monica enflent dans l’entourage de Jan et il décide de confronter son épouse. Monica lui a avoué avoir été un homme avant de se faire opérer et de prendre des habitudes de femme.
 
« Je ne me suis jamais posé de questions. Elle prenait la pilule, et faisait comme si elle avait ses règles (…) Elle faisait tout pour me cacher la vérité. Même durant nos rapports je n’ai rien remarqué", confie Jan.
(...)
Jan est aujourd’hui très amer : « Je ne veux plus rien avoir à faire avec elle. Ce qu’elle a fait endurer à ma famille et à moi-même est impardonnable ».

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Durée des congés de paternité et maternité et salaires versés à travers le monde

Sur le site de Radio-Canada du 27 novembre 2012:

(Voir le site en cliquant ici pour avoir un visuel des congés parentaux à travers différents pays)

 

Québec
Pour le Québec, la mère a droit à un total de 50 semaines, mais elle peut en partager une partie avec le père. Ce dernier a 5 semaines d'office qu'il peut prendre en même temps que la mère, ou dans l'année qui suit la naissance de l'enfant. Il existe aussi un régime particulier : 15 semaines pour la mère, 3 semaines pour le père et 25 semaines partagées avec une rémunération de 75 %.
 

États-Unis
Les États-Unis n'ont pas de politique nationale de congé parental rémunéré. Cependant, depuis 1993, les mères et les pères salariés dans des compagnies de 50 employés et plus, ont droit à 12 semaines de congé non rémunéré sans perdre leur emploi. C'est ce qu'on appelle le « Family and medical leave act ». Seuls deux États assurent un congé parental rémunéré : 6 semaines en Californie et au New Jersey. Un troisième État, Washington, est en voie de l'offrir. D'autres États, comme le Connecticut, permettent aux nouvelles mères d'utiliser leurs congés de maladie.
 

Japon
Les employeurs sont tenus d'accorder des journées de six heures maximum aux salariés ayant un ou plusieurs enfants de moins de trois ans. Il existe une campagne pour encourager les pères à prendre un congé de « paternité », dans l'année suivant la fin du congé de maternité de leur conjointe.
 

Suède
Le congé de 480 jours est partagé entre les deux parents, mais il y a 60 jours obligatoires que la mère et le père doivent prendre chacun.
 

Tunisie
La mère a droit à deux mois si elle est fonctionnaire, et le père à 2 jours s'il est fonctionnaire. L'indemnisation est de 100 %.
 

Australie
À compter du 1er janvier 2013, le père ou le partenaire aura droit à deux semaines de congé payé (606 $). Il peut aussi dans des circonstances précises prendre le temps non utilisé du congé de 18 semaines de la mère.
 

France
Le congé maternel est différent si on a plus de deux enfants : 26 semaines pour le 3e enfant, 34 semaines si ce sont des jumeaux et 46 semaines pour des triplets. Le père a droit à 3 jours de congé à la naissance. Ensuite, il peut prendre 11 jours consécutifs.

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