Sur le site du journal La Presse du 28 novembre 2012, cet article qui illustre à merveille le délire que la redéfinition du mariage par les lobbys gais entraine (ainsi que l'article que nous avons fait paraître précédemment, sur l'intérêt des pro-vie à la redéfinition du mariage par les lobbys gais):
(Un enfant aux 11 parents? Y-a-t-il quelqu'un de sensé pour se mettre à la place de l'enfant et veiller sur ses droits?)
Puisque le Québec «célèbre» chaque année presque autant de mariages que de divorces, ne serait-il pas plus logique de militer pour l'abolition pure et simple du mariage, quel que soit le sexe des mariés?
Pour favoriser la cohésion sociale, le mariage légal pourrait simplement être remplacé par des ententes écrites, librement consenties, entre les personnes qui décident de faire vie commune. Si aucune instance ne peut empêcher une telle pratique, pourquoi aurions-nous besoin d'un droit enchâssé au mariage?
Le seul véritable problème derrière la question du droit au mariage est le partage équitable des droits et responsabilités des adultes qui élèvent des enfants. À cet égard, une loi pourrait effectivement encadrer légalement et économiquement les personnes qui ont la responsabilité d'enfants, quel que soit leur sexe... ou leur nombre d'ailleurs.
Ceux qui ont des enfants savent très bien que deux parents c'est déjà insuffisant pour survivre à la tâche.
Oui, certains sont capables d'écrire de tels textes sérieusement...
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