L'American Psychological Association se penche sur la polygamie
Par Francesca de Villasmundo (Medias-Presse.info)
L’Association des psychologues américains (APA) a constitué une équipe afin de « satisfaire les exigences des personnes qui pratiquent la non-monogamie consensuelle, y compris à travers leurs identités marginalisées. »
Outre à la polygamie, le feu vert est donné aussi « au polyamour, aux relations ouvertes, aux oscillations, à l’anarchie relationnelle et autres types de relations éthiques non-monogames ».
Les motifs d’une telle ouverture ? :
Trouver l’amour et l’intimité sexuelle, écrit l’APA est une partie centrale de l’expérience de vie de la plupart des personnes. Toute fois la capacité de s’engager dans l’intimité désirée sans la stigmatisation sociale et médicale n’est pas une liberté pour tous.
L’APA ressort le même raisonnement sentimental et subjectiviste qui a vendu au monde, au cours des décennies passées, comme un bien attaché à la liberté individuelle les mœurs homosexuelles. De fait s’il est licite d’avoir des rapports affectifs et sexuels avec une personne du même sexe, pourquoi il ne serait pas licite d’en avoir avec plusieurs personnes en même temps ?
Puisque plus aucune loi morale et divine ne fait barrage à la sacro-sainte liberté individuelle, le fruit le plus vénéneux mais logique des droits de l’homme, de l’approbation de l’homosexualité à l’approbation de la polygamie, de l’inceste et de la pédophilie, le pas est vite franchi […]
Le Polygamisme: activité ou identité?
Par Éric Lanthier
Aujourd’hui, l’homophobie est sur toutes les lèvres; ainsi, dès qu’un individu soulève un malaise face à ce qui n’est pas hétérosexuel, il frôle la crucifixion. Mais qu’en est-il de la polygamie? Est-on polygame ou est-ce qu’on pratique la polygamie?
Lire la suiteTrois femmes et un enfant...
Sur le site du Journal de Québec du 23 avril 2014 :
(Quel modèle pour une enfant ?)
(Photo : peasap sur flickr.com, licence creative commons)
Trois femmes, qui seraient le seul trio légalement marié au monde, attendent leur premier enfant. Doll, Kitten et Brynn, qui demeurent au Massachusetts, sont unies depuis août 2013 et seront mamans pour la première fois en juillet prochain.
Mais pourquoi seulement trois et pas quatre? Est-ce qu'on ne pourrait pas marier toute une commune ensemble?
Ce serait ridicule s'il n'y avait pas, réellement, un enfant qui sera pris avec ça... Là, c'est tragique.
Abolir le mariage pour donner aux enfants de multiples parents?
Sur le site du journal La Presse du 28 novembre 2012, cet article qui illustre à merveille le délire que la redéfinition du mariage par les lobbys gais entraine (ainsi que l'article que nous avons fait paraître précédemment, sur l'intérêt des pro-vie à la redéfinition du mariage par les lobbys gais):
(Un enfant aux 11 parents? Y-a-t-il quelqu'un de sensé pour se mettre à la place de l'enfant et veiller sur ses droits?)
Puisque le Québec «célèbre» chaque année presque autant de mariages que de divorces, ne serait-il pas plus logique de militer pour l'abolition pure et simple du mariage, quel que soit le sexe des mariés?
Pour favoriser la cohésion sociale, le mariage légal pourrait simplement être remplacé par des ententes écrites, librement consenties, entre les personnes qui décident de faire vie commune. Si aucune instance ne peut empêcher une telle pratique, pourquoi aurions-nous besoin d'un droit enchâssé au mariage?
Le seul véritable problème derrière la question du droit au mariage est le partage équitable des droits et responsabilités des adultes qui élèvent des enfants. À cet égard, une loi pourrait effectivement encadrer légalement et économiquement les personnes qui ont la responsabilité d'enfants, quel que soit leur sexe... ou leur nombre d'ailleurs.
Ceux qui ont des enfants savent très bien que deux parents c'est déjà insuffisant pour survivre à la tâche.
Oui, certains sont capables d'écrire de tels textes sérieusement...
La Cour suprême de Colombie-Britannique réaffirme l'illégalité de la polygamie au Canada
La polygamie, forme ancienne d'esclavage de la femme, ne peut être tolérée. Ce nouveau jugement de la Cour suprême de Colombie-Britannique réitère l'interdiction.
"La Cour suprême de Colombie-Britannique a statué, mercredi, que la loi canadienne qui interdit la polygamie est valide, parce que les préjudices causés aux femmes et aux enfants d'une famille polygame doivent supplanter la liberté religieuse du père." (source, Cyberpresse)
Mais on peut se demander ce que la religion vient faire dans ce débat. Depuis quand les sectes et groupuscules marginaux peuvent-ils se réclamer du titre de religion? L'amalgame dénote une ignorance du fait religieux et de ses déviations... Info-sectes devenu le politiquement correct "Centre d'information sur les nouvelles religions" nous manque...