M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Affirmer que la pratique homosexuelle est un péché selon la Bible : un "premier sergent" américain sous enquête...

Sur le blog de Jeanne Smits du 7 décembre 2012:

 

(La censure américaine surveillant la liberté d'expression)

 

L'administration américaine chargée de l'éducation – l'équivalent, pour la France, du ministère de l'Education nationale – vient d'ouvrir une enquête fédérale à l'encontre d'un « Premier sergent », Lynn Vanzandt, qui est accusé d'avoir affirmé que l'homosexualité, dans la Bible, est un péché.

 
 
Les faits remontent au 12 avril dernier. Intervenant dans le cadre d'une formation assurée par l'armée américaine au sein d'écoles secondaires à travers le pays (JROTC), Vanzandt a été dénoncée par une élève à Huntsville, Alabama, Taylor Sisk, 15 ans, responsable de la « Gay Straight Alliance » (Alliance gay-normale) de son établissement. Elle affirme que Vanzandt est intervenu spontanément alors qu'elle parlait à une amie de la vie à San Francisco. Des témoins assurent qu'au contraire, les deux jeunes filles ont interrogé le militaire en lui demandant son opinion sur l'homosexualité. Taylor Sisk assure qu'elles lui ont ensuite demandé d'arrêter et que devant son refus, son amie a quitté la salle en courant.
 
Bien que Lynn Vanzandt se soit empressé de présenter des excuses, l'enquête a bien été engagée à la demande de Taylor Sisk qui, mineure, a demandé à un membre d'un groupe LGBT d'intervenir en son nom. Il l'a fait d'abord auprès de la direction de l'école, puis il a saisi le Bureau des droits civils (OCR) qui instruit la plainte. Le nommé James Robinson a déclaré à la presse qu'à propos d'une question aussi sensible, le militaire, même sollicité, n'aurait pas dû donner son opinion. (...)
 

Certains sont libres de vous poser des questions aux États-Unis, mais vous ne seriez pas libre de transmettre votre opinion sur certains sujets...

Laissez un commentaire

Le collège Loyola songe à porter la cause de la liberté religieuse en Cour suprême du Canada...

Sur le site de Pour une école libre du 7 décembre 2012:

 

(La Cour suprême du Canada devra se pencher sur la liberté religieuse des institutions scolaires privées)

 

Le professeur Douglas Farrow de l'Université McGill, témoin expert pour le collège Loyola, a déclaré au site LifeSiteNews que Loyola envisageait de faire appel de la décision de la Cour d'appel du Québec devant la Cour suprême du Canada. Le professeur Farrow a également déclaré qu'« il n'y a actuellement au Canada aucune autre affaire en matière de liberté religieuse plus importante que celle-ci. » La demande d’autorisation d’appel doit être signifiée et déposée par les avocats de Loyola auprès de la Cour surprême « dans les 60 jours suivant la date du jugement porté en appel ».
(...)
Ce jugement de la Cour d'appel conforte le ministère de l'Éducation dans son refus de considérer le programme de Religions du monde et de morale comme équivalent au controversé programme d'Éthique et de culture religieuse parce que le programme de Loyola adopte une approche catholique alors que le programme d'État est lui « laïque ». Les critiques du programme ECR ne le trouvent pas tant laïque que relativiste dans son apparente neutralité. Le juge Fournier de la Cour d'appel du Québec n'hésite à déclarer que la déconfessionnalisation des écoles au Québec permet l'imposition d'un programme neutre comme ECR dans une école catholique privée.
 
Dans le même article, le secrétaire de la Coalition pour la liberté en éducation (CLÉ) affirme être étonné que les juges de la Cour d'appel trouvent « parfaitement raisonnable de laïciser l'enseignement dispensé dans une école privée catholique. » Il a souligné que cette décision « est au mieux un oxymore », c'est-à-dire au mieux une formule en apparence contradictoire.

Il serait interdit, dans une école privée catholique, d'enseigner selon une perspective catholique?

Laissez un commentaire

Le respect n'est pas la vertu première des «pro-choix»...

Le constat est facilement vérifiable : les « pro-choix », pour la mort des enfants à naître, ne respectent pas plus ceux déjàs nés. Leur argumentation se résume souvent à l'insulte. La juge Goldwater qui a tenté de faire taire ses opposants dans une émission "débat" sur l'avortement  a été reconnue coupable d'avoir tenu des propos inappropriée par le conseil de discipline du barreau du Québec. Sur le site du journal La Presse du 10 décembre 2012:

Me Anne-France Goldwater a été réprimandée par le Conseil de discipline du Barreau du Québec pour des paroles qu'elle a prononcées en plaidant la cause des pensions alimentaires pour enfants en Cour supérieure, en juin 2010. Le Conseil de discipline l'a reconnue coupable d'avoir tenu des «propos inappropriés» à l'égard de l'avocat qui représente l'ex-mari de l'une de ses clientes. En salle d'audience, elle lui a dit: «Si tu ne veux rien comprendre, mange d'la marde.» Elle a ensuite répété: «Mange de la marde et je peux te le dire en plusieurs langues si tu veux.»

Et ce n'est pas la première fois...

Laissez un commentaire

Euthanasie : « un regard de commisération peut être meurtrier »

Sur le site de genethique.org du 7 décembre 2012:

 

 

(Le philosophe Damien Le Guay)

 

Alors que le président François Hollande s'est engagé à favoriser "une assistance médicalisée pour terminer sa vie dans la dignité" et que le professeur Didier Sicard, président de la commission de réflexion sur la fin de vie, s'apprête à rendre son rapport à la fin du mois de décembre, Damien Le Guay, philosophe et vice-président du Comité national d'éthique du funéraire, s'interroge, dans une tribune publiée dans le quotidien La Croix: "Ne faut-il pas revenir, [avant cela] sur [la] question de la dignité?".
 
En premier lieu, Damien Le Guay précise que "la prise en charge de la mort dans les hôpitaux, aujourd'hui, en France, n'est pas satisfaisante", s'appuyant sur un rapport de l'Igas, de 2009 (Cf Synthèse de presse Gènéthique 10/10/12). Ainsi, il mentionne que "le constat est accablant. Les disparités de traitement sont grandes. Les lacunes, patentes - surtout autour des chambres mortuaires. Les prises en charges préventives, faibles et mal coordonées". Selon le philosophe, cette mauvaise prise en charge est due au fait que "la mort n'est pas l'une des missions de l'hôpital". Par conséquent, il s'interroge de nouveau: "Alors, avant de s'intéresser aux cas d' 'euthanasie' qui n'entreraient pas, dit-on, dans le cadre de la 'loi Léonetti', ne faudrait-il pas, avant tout, favoriser une mort confortable, la plus digne possible, pour les 500 000 personnes qui meurent chaque année en France - sans oublier leurs familles?".
 
En second lieu, Damien Le Guay explique qu' "il est évident que cette 'dignité' n'appartient à personne en particulier", car "elle est une qualité, non une modalité. Une exigence de tous, non une revendication particulière. Un horizon éthique, non une interruption volontaire". A propos de cette notion, il rappelle qu'il y a quelques années, Didier Sicard indiquait, dans un texte intitulé "Le coup de grâce", "que la 'dignité' est à trouver 'dans le regard porté sur celui qui est le plus faible, le plus désespéré, le plus condamné'". "Le risque", poursuivait Didier Sicard, "est alors grand, pour la personne en fin de vie, d'une double condamnation à mort: par la maladie et par le regard de l'autre. Un regard de commisération peut être meurtrier".
 
Enfin, le vice-président du Comité national d'éthique funéraire considère qu'il faut "insist[er] sur les différents paris de la dignité palliative". Ainsi, "quand le courage de vivre [du malade] lui fait défaut n'en cherche-t-il pas autour de lui? Ne désire-t-il pas  retrouver le courage de vivre jusqu'aux dernières minutes de son existence? [...]. Il compte donc sur les vivants plus vivants que lui pour que s'opère une sorte de transfusion de confiance. Là est la raison d'être de la culture palliative".
 

Laissez un commentaire

Campagne Québec-Vie, mouvement pour la protection de toutes les femmes, a lancé une pétition contre l'avortement sélectif

Alors que des mouvements dits "féministes", s'arrogeant le droit de parler au nom de toutes les femmes, réclament le respect du "droit" de tuer les femmes à naître parce qu'elles sont des femmes, Campagne Québec-Vie, le véritable mouvement de défense des droits de toutes les femmes, pas seulement de celles qui ont le pouvoir de faire partie d'une petite association, de parler, de faire valoir "leurs" droits au détriment des femmes qui ne peuvent parler et se défendre, mais aussi de celles encore présentes dans le sein de leur mère, lance une pétition contre l'avortement sélectif. Pour plus d'informations et pour signer la pétition, cliquez ici.

Déjà 600 personnes ont apposé leur signature. La vôtre y sera-t-elle? 

Laissez un commentaire

Le mouvement féministe "Fédération des femmes du Québec" ne veut pas que l'on interdise l'avortement sélectif...

Supposément présent pour défendre les droits des femmes, le groupuscule refuse que l'on empêche l'élimination de femmes à naître, avortées parce qu'elles sont de sexe féminin. Quand verra-t-on un véritable organisme de défense des droits des femmes naître plutôt que cette caricature? Sur le site de newswire.ca du 7 décembre 2012:

(Mme Alexa Conradi, présidente du mouvement féministe "Fédération des femmes du Québec")

 

MONTRÉAL, le 7 déc. 2012 /CNW Telbec/ - La Fédération des femmes du Québec (FFQ) et la Fédération du Québec pour le planning des naissances (FQPN) répondent à Monsieur Warawa qui souhaiterait « protéger les filles » contre la discrimination en demandant au parlement de condamner les avortements sexo-sélectifs.
 
« La volonté de condamner l'avortement de fœtus féminin s'inscrit davantage dans une volonté de limiter à nouveau le droit à l'avortement.» déclare Alexa Conradi, présidente de la Fédération des femmes du Québec. Monsieur Warawa et ses alliéEs sont en train d'inventer un problème, en s'inspirant des pratiques du Parti Républicain des États-Unis. « Ne soyons pas dupes. On ne peut pas faire confiance aux conservateurs pour respecter les droits des femmes et des filles. Ils manquent de crédibilité à ce sujet » affirme Alexa Conradi.
 
À en croire M. Warawa, le Canada serait un pays où le « féminicide » de fœtus s'exerce à grande échelle et en toute impunité. Or, il n'en est rien. « L'avortement sexo-sélectif au Canada, s'il existe, est un phénomène ultra marginal », s'insurge Sophie de Cordes, coordonnatrice générale de la FQPN. Au Canada, 95% des avortements ont lieu dans les douze premières semaines de grossesse, soit bien avant de connaitre le sexe du fœtus, qui a lieu vers la seizième semaine.
 

Selon les pourcentages de Mme Cordes, il n'y aurait que quelques milliers de femmes éliminées, sur les 100 000 avortements annuels au Canada, en raison du fait qu'elles sont de sexe féminin... un détail! La fédération des "femmes" du Québec ne représente que quelques centaines de femmes, membres de l'organisation.

Campagne Québec-Vie a lancé une pétition contre l'avortement sélectif. Pour plus d'informations et y apposer votre signature, cliquez ici. Nous avons déjà cumulé 600 signatures...

Laissez un commentaire

Réponse à Patrick Lagacé : un problème mineur que la mort choisie de filles?

Sur le site du journal La Presse du 7 décembre 2012, le chroniqueur y va d'une tentative d'analyse de la question de l'avortement sélectif, avec la pauvreté de l'argumentation et de la réflexion qui lui est habituelle...

(Patrick Lagacé, à droite, et son mentor Richard Martineau qu'il tente d'imiter, sans succès...)

 

(...)Est-ce que la sexo-sélectivité existe ?

Fort probablement, la bêtise humaine n’ayant pas de limite. Est-ce que c’est un grand et grave problème de société ? Rien ne le prouve. Faire des parallèles entre le « problème » de la sexo-sélectivité au Canada et la lutte pour les droits civiques de Martin Luther King, comme le fait le député Warawa, c’est essayer de déguiser une souris pour un 18 roues. D’ailleurs, dans le même registre, le parallèle esclavagisme-avortement n’est pas étranger au mouvement pro-vie.

Si le dévoilement du sexe de l’enfant à naître est à la base de cas de sexo-sélectivité, pourquoi ne pas cibler nommément le dévoilement du sexe d’un enfant ? Pourquoi évoquer le geste consécutif à ce dévoilement, qui est l’avortement ? Pourquoi ne pas pousser pour un embargo sur le sexe de l’enfant ? Je ne dis pas que c’est faisable, je ne dis pas que c’est intelligent, je ne dis pas que c’est souhaitable… Mais ce n’est pas une entrave au droit à l’avortement.

On est pro-choix ou on ne l’est pas. Il n’y a pas de façon simple d’encadrer les « excès » — réels ou appréhendés — de l’accès à l’avortement, comme celui de la proverbiale femme volage qui se sert de l’avortement comme d’un moyen de contraception.

Un problème mineur d'éliminer des filles parce qu'elles sont des filles? Un lecteur nous envoie cette réflexion qui critique cette vue de l'esprit:

Les barbares…
 
Je me souviens des contes de mon enfance. Parmi ceux-ci, ils y avaient l’histoire des romains, de Romulus et Rémus, etc. Et parmi cette histoire, cette anecdote qui m’avait marqué : les enfants non désirés jetés en pâture aux vautours. C’était l’époque des barbares.
 
Depuis, bien des génocides ont eu lieux, mais dans le dernier siècle, du moins, même si l’esclavage, la traite d’humains, les peuples massacrés par groupe ethniques se perpétuent, il existe une sorte de conscience médiatique universelle affirmant que ces phénomènes sont objectivement mauvais. Ce n’est pas un phénomène normal que la guerre, il ne s’agit pas de rapport de forces éternels et meurtriers qui constitueraient la routine de la politique.
 
Pourtant, dans cet univers médiatique si civilisé, j’ai entendu dernièrement une parole qui est venu m’aggriper, comme si des fantômes de personnages antiques sanguinaires s’étaient matérialisés.
 
Un homme, Mark Warawa, veut qu’une condamnation soit faite dans son pays, de la pratique consistant à éliminer avant la naissance les êtres humains de sexe féminin, parce que ce sont des filles.
 
Ici, on s’attend aux applaudissements gargantuesques propagés par les médias… Et ce n’est pas cela. Des groupes féministes et leurs pendants dans la population s’interposent. Cette condamnation est une technique pour revenir en arrière, pour abolir le droit à l’avortement, le nombre d’avortement sélectif est minime au pays, il suffirait d’éduquer et avec le temps les avortements sélectifs disparaîtront. Peut-être que tout cela est vrai…
 
Mais ce que je sais, aujourd’hui, c’est qu’il y a possiblement une petite fille qui va se faire avorter parce qu’elle est une fille, et je me fous de tous vos arguments...
 
Quoi, que dites-vous? Que criez-vous? J’ai cru entendre une voix, des voix, une masse crier : « Ne comprenez vous-pas? Il vaut mieux qu’une seule personne meure pour sauver une multitude…d’avortements? »
 
Et tout à coup je me suis retrouvé devant cette histoire entendu dans mon enfance, d’un homme crucifié pour protéger un ordre établi, horrifié par la bêtise humaine que je venais de découvrir. Il vaut mieux qu’une petite fille meure pour sauver le sacro-saint droit de ce que vous voudrez. Je vis à l’époque des barbares, et je ne le savais pas…

Oui, il y a bien des problèmes qu'un gouvernement doit régler, mais l'un des premiers ne devrait-il pas être le problème de l'avortement sélectif... et de l'avortement tout court?

Et quand à la possibilité d'éliminer l'information sur le sexe d'un enfant avant sa naissance, c'est pénaliser tous les couples qui aimeraient se préparer le coeur et construire le nid de l'enfant pour bien le recevoir avec une chambre décorée selon le sexe de l'enfant. Ce serait vraiment parce que l'on est buté sur un "droit" à l'avortement intégral, pour n'importe quelle futile déraison, que l'on choisirait cette option.

Laissez un commentaire

Développement et Paix : lettre d'un membre contre une réforme positive de l'organisme, vers un respect de l'enfant à naître

Sur le site de soutenonsdeveloppementetpaix.org du 5 décembre 2012:

 

 

(Matercare international)

 

UN VIRAGE SURPRENANT – Nicolas Gilbert
 
C’est avec surprise et inquiétude que j’ai lu le dernier communiqué de D&P: Comité permanent de la CECC sur Développement et Paix et Comité de liaison de Développement et Paix : rencontre conjointe du 22 novembre 201.

(http://www.devp.org/fr/pressroom/2012/comm2012-12-04). On y lit entre autres que:
 
« Le Comité permanent s’est également dit satisfait de constater que Développement et Paix compte subventionner un nouveau projet au Kenya, en collaboration avec le Vicariat d’Isiolo dans lequel  MaterCare Internationalis est l’un des partenaires« .
 
Le communiqué ne précise évidemment pas ce qu’est MaterCare: une ONG qui se dit vouée à la santé maternelle et infantile, mais qui se distingue des organisations sérieuses oeuvrant dans ce domaine par son opposition à la contraception. En plus de dénigrer fréquemment l’UNICEF et le Fonds des Nations Unies pour la population (UNFPA), le directeur général de MaterCare Robert Walley a repris à son compte les accusations des conservateurs contre Développement et Paix (http://matercare-international.blogspot.ca/2012_09_01_archive.html). Le financement de MaterCare par Développement et Paix ressemble donc à s’y méprendre à une capitulation.
 
Tant que D&P n’était pas vraiment active dans le domaine des soins de santé, elle évitait d’être coincée entre les positions de l’Église et la réalité de la santé dans les pays en voie de développement où la planification familiale est un service absolument essentiel pour, entre autres, réduire la mortalité maternelle. Notre organisation s’engageait dans des domaines connexes (sécurité alimentaire, environnement, éducation) et laissait la santé à d’autres qui avaient les mains libres. Mais cette fois, Développement et Paix a choisi de s’engager sur le terrain sanitaire… en empruntant une voie qui n’a aucun sens du point de vue de la santé publique!
 
LifeSiteNews et Campagne Québec Vie peuvent être fiers de nous. Pour ma part, j’ai plutôt honte.
 
Nicolas Gilbert, Biologiste, épidémiologiste et membre de Développement et Paix
 

Une capitulation d'être aussi au service des enfants à naître? Vraiment, il était temps qu'il y ait un bon ménage à Développement et Paix. Que des partisans d'une culture de mort puissent s'y sentir à l'aise dépasse l'entendement. Matercare est l'une des organisations qui, contrairement à l'Unicef, aident vraiment les femmes enceintes, les enfants, tous les enfants y compris ceux qui naîtront dans quelques mois...  Pour voir le projet de Matercare (un hôpital) décrié dans cette lettre, cliquez ici.

La voie prise par MaterCare est la seule efficace d'un point de vue de santé publique, comme on l'a vu également en Ouganda. Le condom ne protège pas à 100% des MTS (ne protège pas contre le virus du Papillome Humain) et contribue à laisser croire à une protection illusoire, contribuant à développer des comportements à risques.  MaterCare soutient concrètement les familles et apporte un soutien dans l'apprentissage de l'amour que les familles vivent avec la régulation naturelle des naissances, dans un esprit opposé à la contraception qui voit l'enfant comme un désagrément et un obstacle à la jouissance.

Si Développement et Paix prend la voie d'une véritable aide pour tous les pauvres, y compris les enfants à naître, dans son combat pour une plus grande justice, il pourra compter sur notre vigoureux soutien.

Laissez un commentaire

Une courte vidéo magnifique qui dit beaucoup sur le coeur pro-vie, et son action...

Sur le site de Youtube:

http://www.youtube.com/embed/ypqODx6L5MQ

Laissez un commentaire

En dépit de la noirceur qui nous enveloppe, nous gardons espoir !

C’est le temps de l’avent, de l’attente du premier des enfants à naître, du créateur de tous ses frères et sœurs, de sa famille. Nous en faisons partie et c’est pourquoi nous nous réjouissons chaque année de ce moment unique dans l’histoire de l’humanité, la descente de Dieu parmi nous, le Dieu devenant ce que nous sommes…

Nous pourrions nous éparpiller devant les malheurs et les soucis de la vie et fermer notre porte à l’appel des anges et de l’étoile, mais nous sommes invités à nous agenouiller, déjà, près du cœur de Marie où bat celui de l’enfant Dieu.

Devant les malheurs et les tragédies, prenons un instant de recueillement. Parce que cet enfant va naître, les Hérodes modernes veulent éliminer ceux conçus à son image et à sa ressemblance et certains parlent déjà de tuer les enfants jusqu’à l’âge de deux ans…

Prions cet enfant venu pour sauver ses frères, pour nous, pour ces enfants, pour la conversion des Hérodes de ce monde, ceux travaillant dans des cliniques d’avortements, pour qu’ils prennent conscience de l’humanité de l’enfant à naître et deviennent ses plus grands défenseurs.

Toutes les Rachel du monde pleurent leurs enfants, en les regrettant amèrement, ou, parce que le regret fait trop mal, est impossible à vivre sans un soutien aimant, en combattant farouchement pour le « droit » à l’avortement, la cause qui leur permet d’oublier cet enfant, de se durcir le cœur pour ne pas qu’il meure de tristesse…

« Qui est l’homme? Il est précisément celui qui est le plus faible et sans défense, celui qui n’a ni le pouvoir ni la voix pour se défendre, celui qui dans le cours de notre vie nous pouvons aisément passer outre, faisant semblant de ne pas le voir. Celui contre lequel nous pouvons durcir notre cœur, en se disant qu’il n’a jamais existé. » (Benoît XVI)

Pour tous ceux qui ont mal devant cet enfant à naître, le plus petit, le plus faible, « Celui qui, par pudeur et par respect, s’est dépouillé de sa puissance, le Dieu enfant et le Dieu crucifié qui, étant tout amour, s’est fait toute faiblesse, le Dieu qui nous attend en silence et dont nous sommes responsables sur la terre » (Gustave Thibon), vous pouvez encore donner, vous pouvez encore aimer, Il est toujours là pour accueillir tout ce que vous êtes, votre don de vous-même, avec votre souffrance et votre dégoût.

À tous, nous souhaitons un Très Joyeux Noël et vous offrons comme cadeau, une petite prière à Jésus Enfant-à-naître. Que cette prière touche votre cœur et vous accompagne toute votre vie, de votre conception jusqu’à la vie éternelle !

Pour la vie,

Georges Buscemi , président

P. S. J’espère que vous aimez la prière Jésus Enfant-à-naître. N’hésitez pas à communiquer avec nous pour en commander des cartes de prières pour répandre cette dévotion dont le Québec a tant besoin.

Laissez un commentaire