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Le lendemain de la mort du Dr Morgentaler, jour de honte...

Le Dr Morgentaler est mort hier. Aujourd’hui est le jour de la mort de la vérité, de la dignité, de l’humanité du monde médiatique québécois.

Nous ne parlerons pas de la censure habituelle qui permet par exemple à Radio-Canada d’inviter sur un même panel trois adorateurs de l’avorteur sans aucune voix contestataire. Non pas qu’elles n’existent pas, mais parce qu’on ne veut pas qu’elles soient entendues.

Morgentaler a tué, selon ses dires, 100 000 enfants. Il y en a une qui voulait lui ériger une statue, d’autres louangent ses actes extraordinaires : avoir débarrassé des femmes de leur progéniture.

Ce jour permet de constater la force de la censure par les médias au Québec. Et le fait que cette censure se fait à tous les niveaux, du choix du journaliste au candidat à la députation. Un pro-vie n’a pas le droit d’exprimer sa pensée publiquement sans faire une croix sur sa carrière d’artiste, de journaliste, de politicien au Québec. Le contrôle de l’information est total.

Aujourd’hui est le grand jour de la « collaboration ». Morgentaler est mort, mais tous les adeptes de la mort d’enfants chantent ses louanges.

Cela est une leçon pour tous les défenseurs de la vie. Nous aurons à nous battre pour réclamer l’égalité du droit de parole. Le réclamer, parce qu’il ne nous sera donné que lorsque l’on se sera préalablement assuré que les forces seront à 3 contre 1, minimum, contre le droit des enfants à naître. Ou que le contrôle du micro sera entre les mains d’un pro-choix qui pourra couper la parole à tout instant.

Il faut rappeler ce témoignage de la femme du grand généticien Jérôme Lejeune. Ce dernier, invité à un débat télévisé, répondant de façon magistrale aux attaques de pro-choix incapables de mettre en échec la force de ses arguments. Cette femme entendit les organisateurs de l’émission, rageant en coulisses, dire qu’ils n’inviteraient jamais plus le généticien sur la place publique, parce qu’« il est trop fort »…

Il ne serait plus invité non parce qu’il mentait, ne répondait pas aux questions… mais parce que la force de son argumentation basée sur la vérité ne pouvait être contredite par ses détracteurs. Le plus grand généticien de la planète, découvreur du gène de la trisomie 21, ne recevra jamais le prix Nobel que cette découverte lui réservait de droit. Il combattra toute sa vie l’eugénisme qui consiste aujourd’hui à éliminer 95 % des enfants trisomiques avant leur naissance, comme cela se fait au Québec et au Canada.

Aujourd’hui, nous avons profondément honte de nos journaux québécois, de Radio-Canada, d’une classe médiatique qui aura louangé le plus grand meurtrier de l’histoire du Canada, même s’il n’a jamais eu pleinement conscience du mal qu’il avait fait.

Honte au Québec, honte au Canada.

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Les témoignages sur Morgentaler

Le décès de Morgentaler amène les gens et les personnalités publiques à témoigner de leurs opinions sur l’homme et sur l’avortement. Et la question du meurtre des enfants à naître n’est pas une question banale. C’est en ce moment que se départagent les « collabos » des résistants, ainsi que des tièdes qui n’osent pas se prononcer ou essaient de temporiser…

On ne pourra plus penser, sans avoir honte pour eux, à Françoise David, à la ministre Agnès Maltais, à Jean Lapierre et Paul Houde, à Marie Malavoy, à Jeannette Bertrand, Julie Miville Deschêne, Lise Payette, Thomas Mulcair, Christine St-Pierre, Alexa Conradi et tant d’autres personnalités publiques qui ont approuvé le meurtrier inconscient de 100 000 enfants, selon ses dires.

Le journal Le Devoir du 30 mai 2013 donne la parole à quelques-unes de ces personnes aveugles devant les charniers d’enfants qu’elles ont baptisés tas de cellules…

Pour la présidente de la Fédération des femmes du Québec, Alexa Conradi, c’est ce courage qui fait de Henry Morgentaler un être si exceptionnel. « Il a permis de faire éclore, par la voie juridique, une réflexion politique, souligne-t-elle. En défiant l’autorité et en faisant de la désobéissance civile, il a aussi pu faire avancer toute la société. On réfère souvent à des cas d’ailleurs dans le monde : Gandhi, Martin Luther King, d’autres personnes qui défient les autorités pour accéder à un monde meilleur. Eh bien lui, c’est une de nos figures qui a permis un meilleur monde pour les femmes. » (…)

Lise Payette dit espérer qu’un monument soit un jour érigé en l’honneur de l’homme. Elle raconte comment sa propre grand-mère était passée sous les mains d’un étudiant en médecine pour interrompre une grossesse tardive et non désirée. « Ce fut une histoire d’horreur. Elle a été malade. Et cet étudiant a fait ce que tous faisaient à l’époque. Il avait dit à ma grand-mère “S’il vous arrive quoi que ce soit après, je ne vous connais pas, je ne vous ai jamais vue.” » Selon elle, les jeunes femmes d’aujourd’hui qui ont la témérité de se dire non féministes oublient à quel point les luttes ont été difficiles. Au moins, cette mort, dit-elle, « ravive les mémoires et sert à cela. Il a donné toute sa vie pour servir les femmes. Il me semble que la journée d’aujourd’hui devrait lui être consacrée. »

La ministre québécoise responsable de la Condition féminine, Agnès Maltais, a offert ses condoléances à la famille. « Peu d’hommes ont pris autant de risques pour le droit des femmes que le Dr Morgentaler. Il a même été jugé, condamné et emprisonné pour leurs droits. Alors il mérite à jamais notre respect. » (…)

 Et aussi à des critiques plus réalistes :

Georges Buscemi, de Campagne Québec-Vie, insiste plutôt sur le fait que lui et ses coreligionnaires « priaient pour sa conversion ». Il cite l’exemple de Bernard Nathanson, un médecin new-yorkais qui s’est battu contre les lois anti-avortement pour ensuite devenir pro-vie. « On espérait voir la même chose et ce n’est pas arrivé. Alors on est un peu tristes », confie M. Buscemi. Il déplore le statut de vedette qu’on donne au médecin. « Que laisse-t-il au Canada ? C’est comme un saint qu’on essaye de canoniser. Je trouve cela aberrant. C’est une personne qui peut-être était de bonne volonté, qui avait des qualités de ténacité pour livrer un combat, mais en fin de compte, c’était pour la mauvaise cause. »

Jim Hughes, le président de Campaign Life Coalition, se rappelle bien l’homme dont il espérait lui aussi la conversion. « Je me rappelle que Henry Morgentaler avait publié un communiqué de presse condamnant le gouvernement du Québec, qui envoyait aux États-Unis les femmes pour obtenir des avortements tardifs […]. Il comparait cela à tuer des enfants. […] Je lui ai écrit pour suggérer de tenir une conférence de presse conjointe et il m’a récrit pour me dire : “Bien essayé !” ! », raconte M. Hughes. « Il m’avait dit que je ne gagnerais jamais la bataille. Qu’il avait avorté des maîtresses de juges, de ministres et de policiers! Alors je n’avais aucune chance de changer les choses. Quand les gens me demandaient si je le haïssais, je répondais que je ne le haïssais pas du tout. Je haïssais ce qu’il faisait. »

Le député conservateur Mark Warawa, celui qui a tenté de faire condamner par un vote à la Chambre des communes les avortements sexo-sélectifs, a été le seul qui a accepté de faire quelques commentaires mercredi. « C’est toujours triste quand quelqu’un meurt et j’espère qu’il a réglé ses comptes avec le Créateur. Personnellement, je suis en désaccord avec ce qu’il défendait sur la question de l’avortement. »

Ainsi qu’à ceux qui s’en lavent les mains :

Tous les autres députés conservateurs connus pour leurs positions pro-vie ont refusé de commenter le décès du personnage. La ministre responsable du Statut de la femme, Rona Ambrose, a appris la nouvelle par les journalistes qui l’interrogeaient. « Évidemment, il a été une figure marquante dans l’histoire du Canada et il a eu un énorme impact sur la nation », a-t-elle dit. Quant au ministre de la Justice, Rob Nicholson, son bureau a pour tout commentaire écrit que « le premier ministre a été très clair : notre gouvernement ne rouvrira pas ce débat ».

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Les médias et leur «collaboration» : Morgentaler présenté comme un héros...

Les journaux reprennent la nouvelle et louangent cet homme qui détient le record du sang d'enfant versé sur ses mains. Un jour, les titres de ces journaux seront repris pour étudier la «collaboration» dans l'histoire du Canada...

Les médias qui louangent le plus grand criminel de l'histoire du Canada:

Pour Radio-Canada, cliquez ici

Pour Le Devoir, cliquez ici.

Ceux qui apportent simplement l'information :

Pour La Presse, cliquez ici.

Pour le Journal de Montréal, cliquez ici.

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Le Dr Henri Morgentaler, un nom à oublier, par pitié pour celui qui l'a porté...

(Sur la photo, le Dr Henri Morgentaler, à une époque où la justice était appliquée au Canada...)

 

 

Jusqu’au bout, le Dr Morgentaler sera demeuré inconscient. Inconscient d’avoir tué une centaine de milliers d’enfants, inconscient d’avoir travaillé à ce que des millions soient torturés et éliminés au Canada.

Mais pas totalement inconscient… Morgentaler ne faisait pas d’avortements tardifs, pas plus que ses cliniques qui arrêtent à la 16e semaine de grossesse. Morgentaler ne fut qu’un précurseur de la barbarie actuelle, de ces avortements au dernier trimestre et à la naissance.

Tout cela parce qu’il ne reconnaissait pas que l’être humain à ses débuts, même s’il n’a pas encore conscience de lui-même, a droit à la même dignité que tout être humain plus âgé, sans discrimination, au droit à la dignité du titre de « personne humaine ». Vouloir établir des barèmes pour reconnaître à un être humain la dignité de personne avec tous les droits qui en découlent entraîne nécessairement une barbarie meurtrière. À travers l’histoire de l’humanité, ceux que l’on a voulu asservir ou éliminer furent déniés de leurs droits d’être humains : des esclaves de l’antiquité aux esclaves américains, des indigènes chassés par les Espagnols aux Béothuks chassés à Terre-Neuve, des populations juives aux enfants à naître, l’histoire se répète…

L’aveuglement, volontaire ou involontaire, qui refuse de voir l’être humain pour ce qu’il est, inventant des critères pour concéder le titre de personne, demeure la loi du plus fort sur les plus faibles de nos civilisations.

Morgentaler a développé toute une série d’arguments sans valeur, repris par certaines féministes extrémistes subventionnées par nos gouvernements. C’est 100 000 enfants tués par année au Canada, 55 millions dans le monde entier qui en paient le prix.

Non, Morgentaler ne mérite pas un concert de louange, mais la pitié que l’on éprouve pour un criminel dont le nom demeurera associé à la plus grande barbarie de l’histoire du Canada. On prononcera son nom en détournant la tête, honteux de l’héritage de cet homme, de ce sang d’enfants versé sans remords. Pour toute excuse, il n’aura que son inconscience…

Henry Morgentaler, un nom à oublier, par pitié pour celui qui l’a porté.

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Une tristesse sincère pour le départ du Dr Henri Morgentaler

C'est avec une profonde tristesse que nous apprenons le Décès du Dr Henri Morgentaler. Adversaire acharné, personne ne peut douter de la sincérité de cet homme qui s'est consacré à éliminer ce qu'il n'a jamais pu considérer comme un enfant à naître. Et ce geste, dans sa conception «humaniste» était un bienfait pour la mère, pour l'enfant qui n'était pas désiré et qui risquait de souffrir, de devenir un criminel, et aussi, une sécurité pour la société.

Il arrêtait par contre ce raisonnement erroné à la 16e semaine de grossesse. Passé ce délai, il croyait que l'on devait convaincre les femmes enceintes de garder l'enfant. Les cliniques Morgentaler ne font pas d'avortements après la 16e semaine de grossesse.

Nous offrons nos plus sincères condoléances à la famille du Dr Morgentaler.

Pour connaître la pensée du Dr Morgentaler, vous pouvez consulter l'article : Henry Morgentaler, un humaniste lent...

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Déces du Dr Henri Morgentaler

Sur le site du journal La Presse du 29  mai 2013:

Le médecin montréalais Henry Morgentaler, connu pour avoir ouvert en 1969 une clinique médicale offrant l'avortement aux femmes enceintes, alors que c'était illégal au pays, est décédé à l'âge de 90 ans, selon ce que rapportent plusieurs médias.
 
Selon le Globe and Mail, le médecin serait mort d'une crise cardiaque à son domicile de Toronto, tôt ce matin. (...)
 
 
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Félicitons le maire Jean Tremblay pour son courage et sa détermination dans son combat pour la liberté et une véritable laïcité

Vous pouvez écrire au journal Le Quotidien au Saguenay pour transmettre vos félicictations et paroles d'encouragement au maire Jean Tremblay qui a si courageusement combattu l'intolérance d'une clique du Mouvement laïque québécois qui tente de faire disparaître Dieu  et les expressions de la foi de l'espace public.

Pour faire parvenir votre mot de félicitations, voici l'adresse courriel du journal du Saguenay Le Quotidien :

[email protected]

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« Non, ne prions pas » exige Josée Boileau, dans son éditorial du journal Le Devoir...

La « juge » éditorialiste Josée Boileau exige de nouveau la cessation de la prière, dans le journal Le Devoir du 29 mai 2013.

« Non, ne prions pas », est le titre de son article. Il exprime toute sa largeur de vue. Que la quasi-totalité de la population au Saguenay s’affirment catholique, que la majorité soutienne le maire dans son désir de ne pas modifier la tradition centenaire de se mettre sous la protection de Dieu pour gérer le mieux possible la ville qui lui est confiée, ce sont des détails pour la savante Montréalaise qui sait ce qui est bon pour les Québécois des bourgades éloignées…

« Pour éclaircir le sort de la laïcité au Québec, il faudra vraiment être très clair », dit-elle. Écoutons-la, elle va éclairer la plèbe : « Or, le jugement qui en découle est un tel fourre-tout qu’il faut en déduire que si le gouvernement n’en arrive pas à un énoncé rigoureux de ce qu’est la différenciation de l’Église et de l’État dans l’espace public, s’il opte plutôt, comme il le souhaite, pour la voie de “valeurs à protéger”, alors tout et son contraire pourront être invoqués, comme on le trouve sous la plume du juge Gagnon. » Et le contraire de ce que pense Mme Boileau est inacceptable et intolérable, on l’aura compris…

Rappelons quelle était la prière centenaire dénoncée : « Ô Dieu, éternel et tout puissant, de qui vient tout pouvoir et toute sagesse, nous voici assemblés en votre présence pour assurer le bien et la prospérité de notre ville. Accordez-nous, nous vous en supplions, la lumière et l’énergie nécessaire pour que nos délibérations soient destinées à promouvoir l’honneur et la gloire de votre saint nom et le bonheur spirituel et matériel de notre ville. »

Et où est la présence de l’Église dans cette prière? Est-ce qu’un musulman, un juif, un simple déiste ne pourraient la réciter? Ah oui, il y a un athée soutenu par le Mouvement Laïc Québécois de Montréal ainsi que par certains journalistes de la métropole qui aimeraient que nulle part au Québec on ne puisse entendre parler de Dieu. Et qui veulent faire la leçon à la majorité de Québécois qui ne partagent pas leurs vues : « Non, ne prions pas », disait Mme Boileau…

Mme Boileau explique : « Quant à la prière récitée au début du conseil municipal, dont le maire Tremblay expliquait mardi qu’elle est “celle que l’on fait depuis plus de 100 ans à Saguenay”, elle devient, sous l’analyse de la théologienne experte du camp Tremblay, un objet de “modernité théiste”. Le juge en conclut “que les valeurs exprimées par la prière litigieuse sont universelles et ne s’identifient à aucune religion en particulier” »

Ce n’est pas l’avis de Mme Boileau : « Et voilà comment on dénature des éléments du catholicisme pour les faire entrer dans une case où toutes les croyances et non-croyances se fondent, beau hasard, dans un moule catholique. Une telle réécriture javellisée est injuste pour les catholiques, injuste pour les autres confessions, injuste pour les athées. »

Nous la remercions de se soucier, phénomène exceptionnel et qui ne devrait pas se reproduire, du sort des catholiques, mais nous la rassurons tout de suite. Cette prière écrite par un peuple catholique a été jugée, avec justesse, comme non discriminatoire envers les autres religions et pouvant être récitée par toute personne de quelque confession que ce soit, excepté bien sûr par les athées, par un athée, en fait, parce qu’ils ne sont pas tous aussi fermés d’esprit que de ne pas tolérer une prière acceptée par la grande majorité des Saguenéens, qui a poursuivi la ville avec l’aide du Mouvement laïque Québécois de Montréal.

Mme Boileau poursuit : « En décembre 1976, à l’ouverture de la première session parlementaire du tout nouveau gouvernement du Parti québécois, le tout aussi nouveau président de l’Assemblée nationale, Clément Richard, annonçait que la prière traditionnelle, récitée depuis 1793, serait remplacée par un moment de recueillement “par respect pour les membres de cette Assemblée, qui ne sont pas tous de la même dénomination religieuse”. »

Effectivement, le Parti Québécois a toujours eu à cœur de faire disparaître les signes religieux d’un Québec catholique et canadien-français dont il a particulièrement honte. Comme il n’avait pas le courage, et n’a toujours pas le courage d’affirmer clairement qu’il aimerait éliminer toute trace de christianisme, comme il est parvenu à le faire dans les écoles en approuvant le cours ECR qui présente une caricature du christianisme, il prétend agir par souci de respecter les autres religions, qui n’ont jamais rien demandé et ont l’ouverture d’esprit de respecter la culture et la spiritualité partagées par la majorité du peuple québécois, ce peuple qui ne veut pas que l’on supprime ces signes religieux. Ce à quoi le Parti Québécois est obligé de se plier, à contrecœur, malgré les remontrances de Mme Boileau.

Et les jérémiades de Mme Boileau de continuer : « Ah si on avait adopté là une Charte de la laïcité, que de tiraillements et de faux accommodements on se serait épargnés! » Comme si de réciter une prière de père en fils au conseil municipal était un accommodement!

Si une charte de la laïcité était approuvée, rien ne changerait. Parce qu’une véritable laïcité est un « espace de liberté » permettant aux religions de s’exprimer. Et non pas un outil de coercition servant l’intolérance d’esprits fermés et voulant faire disparaître toute trace d’une croyance en Dieu de l’espace public. Ce que l’on appelle laïcité fermée ou laïcisme, religion d’État ne tolérant aucune autre religion.

Mme Boileau veut que l’on parle clairement? Qu’elle commence par montrer l’exemple en ne réclamant pas une charte de laïcité qu’elle serait incapable de tolérer, mais une charte du laïcisme, religion d’État interdisant toute autre religion de l’espace public. Là, la situation serait exprimée clairement, comme le diraient sympathiquement les Saguenéens.

La laïcité fermée de Mme Boileau, religion d’État ne tolérant aucune autre religion, les Québécois l’ont exprimée à maintes reprises clairement ( toutes les fois où l’on a tenté de supprimer un signe religieux ou le nom de Dieu dans une chanson d’Édith Piaf!) : c’est NON!

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Un million de Français ont défilé contre le «mariage» gai alors qu'à Cannes un film porno sur le lesbianisme remporte la palme..

Sur le site de Famille Chrétienne du 27 mai 2013, on peut retrouver une vidéo de cette belle manifestation qui a réuni 1 million de personnes à Paris :

 

http://www.youtube.com/embed/VQFc3tWJh-s

Quelle beauté et joie dans cette manifestation pour l'Amour! Quel contraste avec les critiques cinéma du monde entier, pressés comme les moutons de Panurge de louanger aveuglément ce qui ne demeurera qu'un film pornographique sur le lesbianisme. Un seul critique, Edouard Hubert, réputé pour ne pas être puritain, a livré le fond de sa pensée sur le film:

Palme d’Or à La Vie d’Adèle chapitre 1 & 2 (c’est le titre complet). Le film qu’on avait balayé d’un revers de plume en le qualifiant de pornographique. C’est donc qu’il y avait de vraies qualités artistiques dans cette « œuvre », dignes de recevoir la plus haute récompense d’un jury présidé par le très respectable Steven Spielberg ; et qu’on est bien étriqué d’appeler pornographie ce qui est en réalité une haute célébration de l’amour ? Foutaises ! Deux femmes nues filmées en très gros plans pendant de très longues minutes qui se livrent aux assauts les plus fiévreux dans les positions saphiques les plus choquantes, si ce n’est pas de la pornographie, le Tour de France n’est pas du vélo !

(...)Parfois, mieux vaut être seul et ringard que nombreux et branchés…

Quand on se retrouve seul à Cannes, ou quasi, à dénoncer La vie d’Adèle comme pornographique alors que toute la Croisette y voit un chef-d’œuvre cinématographique ; quand on se trouve seul ou quasi à se scandaliser qu’il reçoive la Palme d’Or alors que toute la profession salue dans cette récompense une décision de justice et une marque de goût ; quand on se trouve seul ou quasi à pleurer alors que toute la planète cinéma exulte de joie… on se dit qu’on ne tourne pas rond et qu’on doit d’urgence réformer ses valeurs, son jugement et mettre en cause son équilibre. Mais non ! Un tel spectacle n’est pas de l’art, et il blesse profondément les hommes comme les femmes. Sans doute les scènes de sexe ne représentent qu’une quinzaine minutes sur les cent quatre-vingt que dure le film et on a beau jeu de prétendre que ce sont les autres scènes qui justifient la Palme d’or. C’est faux. Sans le puissant catalyseur que constitue le choc pornographique, ces scènes apparaîtront pour ce qu’elles sont : des bavardages ordinaires, simplement bien filmés. Le sexe est le seul secret du triomphe d’Adèle.
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Le Dr Rajendra Kale doit combattre la volonté de féministes extrémistes désirant étouffer l'affaire des avortements sélectifs

Sur le site du journal La Presse du 28 mai 2013:

(Le Dr Rajendra Kale qui a dévoilé la pratique de l'avortement sélectif au Canada)

 

(...)

Le Dr Kale a grandi à Bombay. Il connaît trop bien les ravages de la sélection prénatale en fonction du sexe en Inde. Mais quand des statistiques l'ont convaincu que des avortements sélectifs se pratiquaient aussi au Canada - souvent au sein de sa communauté d'origine -, il a été bouleversé.
 
«Je me suis demandé pourquoi ces immigrants, qui sont plus riches, qui ont accès à une meilleure éducation et de meilleurs services, continuaient malgré tout à avorter leurs bébés filles au Canada.»
 
Dans un éditorial coup-de-poing publié en janvier 2012, il a dénoncé cette pratique, dont la plupart des Canadiens n'avaient jamais entendu parler. À ses yeux, il fallait en parler, peu importe les critiques - et les conséquences.
 
Le médecin se basait sur une étude révélant un ratio entre les sexes qui n'a rien de naturel chez les enfants de familles canadiennes originaires de certains pays d'Asie. «Les données sont solides, insiste-t-il. Clairement, le problème existe, et je suis surpris que si peu ait été fait pour le régler.»
 
L'improbable féministe
 
Mark Warawa a bien tenté quelque chose. En mars, ce député conservateur d'arrière-ban a voulu déposer une motion aux Communes pour dénoncer la sexo-sélection. Mais il a été muselé par Stephen Harper, qui a promis de ne pas rouvrir le débat sur l'avortement au Canada.
 
L'affaire a déclenché une fronde sans précédent contre l'intransigeance du premier ministre dans les rangs conservateurs.
 
«Ma motion devait condamner la discrimination envers les filles par la sexo-sélection, dit M. Warawa. Cela aurait dû passer unanimement aux Communes! Les Nations unies ont appelé tous les pays à le faire. Nous savons maintenant que la discrimination envers les femmes commence avant même la naissance
 
Sa motion enterrée, M. Warawa assure qu'il a reçu le feu vert de son parti pour poursuivre son combat contre la sexo-sélection. Issu de l'aile droite du parti, le député continue de se présenter en improbable porte-étendard de la lutte pour les droits des femmes aux Communes. Trop improbable, disent les sceptiques.
 
«Je ne veux pas questionner la sincérité de M. Warawa, dit Alexa Conradi, présidente de la Fédération des femmes du Québec. Par contre, son initiative s'inscrit dans un ensemble de tactiques utilisées par des gens contre l'avortement pour revenir sur la situation actuelle au Canada. Ils veulent rouvrir le débat et ils trouvent tous les chemins possibles pour le faire.»
 
(...)
Un malaise évident
 
«Pour les féministes, la sexo-sélection pose un vrai paradoxe, constate Cécile Rousseau, pédopsychiatre au CSSS de la Montagne. D'un côté, il faut défendre à tout prix le droit à l'avortement, gagné après plusieurs batailles et encore sous attaque. D'un autre côté, il est impossible pour une féministe de défendre la sexo-sélection, c'est-à-dire l'élimination des foetus féminins, sous prétexte qu'ils feraient de moins bons êtres humains.»
 
Le malaise est palpable. Rares sont les féministes au Québec qui osent dénoncer la pratique sans détour. «Réfléchir à l'avortement sexo-sélectif en ce moment même, ainsi qu'à toutes mesures d'interdiction, sert surtout à la droite canadienne et ne sert pas beaucoup les femmes», dit Mme Conradi.
 
Refuser le débat est pourtant une erreur, rétorque le Dr Kale. «La recherche médicale, avec ses nouvelles découvertes, représente un défi constant pour les éthiciens et les décideurs politiques. Vous ne pouvez pas dire: «Nous avons pris une décision à ce sujet il y a 20 ans et nous n'y reviendrons pas.» Vous devez répondre aux nouvelles informations. Dans ce cas-ci, c'est que nous sommes désormais conscients que ce problème existe au Canada.»
 
(...)
«Les Nations unies, l'OMS et l'UNICEF ont condamné fermement la sexo-sélection. Les États membres de l'ONU se sont engagés à éliminer ce genre de discrimination. Le Canada est en décalage complet de l'opinion mondiale. Je ne suis pas sûr qu'il réalise cela.»
 
______________________________________________
 
Légiférer ou pas?
 
Pour empêcher les avortements sélectifs, la profession médicale devrait attendre la 30e semaine de grossesse avant de dévoiler le sexe du foetus aux futurs parents. C'est la solution - controversée - du Dr Rajendra Kale, ancien rédacteur en chef du Journal de l'Association médicale canadienne. «Le report du dévoilement de ce renseignement est un faible prix à payer pour sauver des milliers de filles au Canada», a-t-il écrit l'an dernier en éditorial. «Le sexe du foetus n'est pas une information médicalement pertinente, plaide-t-il en entrevue. À 30 semaines, on ne peut plus avorter, mais on a encore le temps de se préparer à l'arrivée du bébé, de peindre la chambre en rose ou en bleu.» Il s'agit d'une «solution rétrograde qui rate complètement la cible», tranche le Dr Charles Bernard, président du Collège des médecins du Québec. (...)
 
Le Dr Rajendra Kale se trompe. Il est légal d'avorter jusqu'à la naissance de l'enfant au Canada, tant que le petit orteil de l'enfant n'est pas complètement sorti du ventre de la mère. Des avortements tardifs sont effectués à l'hôpital Ste-Justine de Montréal et dans certains CLSC de la province, pour des raisons eugéniques le plus souvent, mais aussi pour des raisons sociales particulières, ou même, sans raison... Ce n'est pas d'attendre à la 30e semaine qui sauvera ces filles.
 
La solution, qui serait d'un profond comique s'il ne s'agissait de la vie d'enfants, de la Fédération des Femmes du Québec et du Conseil du Statut de la Femme consiste en des campagnes d'éducation, un peu comme on le fait en Inde actuellement et en Chine, pays réputés pour ne plus avoir de problèmes d'avortements sélectifs... Certains optimistes pensent qu'après 10 générations d'éducation contre l'avortement sélectif, la pratique seraient enrayée. Ah oui, il est possible qu'entretemps quelques millions de petites filles soient éliminées à travers le monde et jetées aux égoûts, mais réfléchir à d'autres solutions pour contrer l'avortement sélectif pourrait servir la « droite canadienne », selon les propos de la présidente de la Fédération des Femmes du Québec. On comprend qu'entre éliminer des millions de petites filles et rendre service à la droite canadienne, Mme Conradi n'ait aucune hésitation. Cela ne servirait pas non plus les femmes que d'interdire de les éliminer selon elle...
 
Devant cette terrible menace d'une aide à la droite canadienne par un questionnement sur le «droit» à l'avortement à tout moment, en toutes circonstances, pour tous, il ne reste alors pour contrer l'avortement sélectif, comme le dit Mme Breton du journal Le Soleil que « l'éducation et la vigileance »...
 
Un jour, il n'y aura plus d'avortements sélectifs dans ce monde ou
l'éducation et la vigilance d'une remontrance avec le doigt levé en l'air élimine toute pensée négative, selon les savantes féministes... . Mais ce jour-là, nous serons mort, ma soeur. Ainsi que des millions de filles sacrifiées à l'idéologie meurtrière d'un féminisme criminel incapable de s'apercevoir qu'il est complice de ce que l'on appelle déjà, « le gynécide » : le meurtre de masse des petites filles.
 
Des dizaines de millions de filles manquent déjà à l'appel. Combien d'autres devront disparaître avant que le Conseil du Statut de la femme et la Fédération des Femmes du Québec considèrent qu'elles ont peut-être mal évalué le ratio de crainte de soutenir la droite versus des millions de filles éliminées parce qu'elles sont des filles?
 
Qui défend vraiment la dignité des femmes à la fin... et leur droit de vivre?
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