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Le lendemain de la mort du Dr Morgentaler, jour de honte...

Le Dr Morgentaler est mort hier. Aujourd’hui est le jour de la mort de la vérité, de la dignité, de l’humanité du monde médiatique québécois.

Nous ne parlerons pas de la censure habituelle qui permet par exemple à Radio-Canada d’inviter sur un même panel trois adorateurs de l’avorteur sans aucune voix contestataire. Non pas qu’elles n’existent pas, mais parce qu’on ne veut pas qu’elles soient entendues.

Morgentaler a tué, selon ses dires, 100 000 enfants. Il y en a une qui voulait lui ériger une statue, d’autres louangent ses actes extraordinaires : avoir débarrassé des femmes de leur progéniture.

Ce jour permet de constater la force de la censure par les médias au Québec. Et le fait que cette censure se fait à tous les niveaux, du choix du journaliste au candidat à la députation. Un pro-vie n’a pas le droit d’exprimer sa pensée publiquement sans faire une croix sur sa carrière d’artiste, de journaliste, de politicien au Québec. Le contrôle de l’information est total.

Aujourd’hui est le grand jour de la « collaboration ». Morgentaler est mort, mais tous les adeptes de la mort d’enfants chantent ses louanges.

Cela est une leçon pour tous les défenseurs de la vie. Nous aurons à nous battre pour réclamer l’égalité du droit de parole. Le réclamer, parce qu’il ne nous sera donné que lorsque l’on se sera préalablement assuré que les forces seront à 3 contre 1, minimum, contre le droit des enfants à naître. Ou que le contrôle du micro sera entre les mains d’un pro-choix qui pourra couper la parole à tout instant.

Il faut rappeler ce témoignage de la femme du grand généticien Jérôme Lejeune. Ce dernier, invité à un débat télévisé, répondant de façon magistrale aux attaques de pro-choix incapables de mettre en échec la force de ses arguments. Cette femme entendit les organisateurs de l’émission, rageant en coulisses, dire qu’ils n’inviteraient jamais plus le généticien sur la place publique, parce qu’« il est trop fort »…

Il ne serait plus invité non parce qu’il mentait, ne répondait pas aux questions… mais parce que la force de son argumentation basée sur la vérité ne pouvait être contredite par ses détracteurs. Le plus grand généticien de la planète, découvreur du gène de la trisomie 21, ne recevra jamais le prix Nobel que cette découverte lui réservait de droit. Il combattra toute sa vie l’eugénisme qui consiste aujourd’hui à éliminer 95 % des enfants trisomiques avant leur naissance, comme cela se fait au Québec et au Canada.

Aujourd’hui, nous avons profondément honte de nos journaux québécois, de Radio-Canada, d’une classe médiatique qui aura louangé le plus grand meurtrier de l’histoire du Canada, même s’il n’a jamais eu pleinement conscience du mal qu’il avait fait.

Honte au Québec, honte au Canada.

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