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La commission nationale consultative des droits de l'homme recommande de remplacer l'identité sexuelle par l'identité du genre

Le combat est mondial pour contrer la pieuvre de la théorie du genre. Il est passablement étonnant de voir partout sur la planète des lobbys soutenir cette folie. Sur le site du journal La Croix du 27 juin 2013 (via Famille Chrétienne):

(...) la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) a adopté par 30 voix contre 4 (et 9 abstentions) un avis « sur l’identité de genre et le changement de la mention de sexe à l’état civil ». 
 
Elle y préconise deux changements majeurs : d’une part, remplacer dans la législation française les termes « identité sexuelle » par les termes « identité de genre » qui font référence « à l’expérience intime et personnelle de son genre profondément vécue par chacun, qu’elle corresponde ou non au sexe assigné à la naissance » (1). D’autre part, la CNCDH souhaite que les procédures de changement de sexe à l’état civil soient simplifiées et accélérées.
 
(...)
Pour Olivier Vial, à la tête de l’Observatoire de la théorie du genre (créé par l’Uni, syndicat étudiant de droite), cet avis entérine « la négation du lien entre le corps et l’identité sexuelle. Dans cette logique, les normes et la nature sont vécues comme des entraves à la liberté », souligne-t-il, expliquant que les recommandations conduiraient « à ce qu’un homme à l’allure virile puisse être considéré comme une femme à l’état civil, pourvu que sa demande soit sincère »
(...)
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Une femme transgenre porte plainte contre l'université du Manitoba pour discrimination

Sur le site de Radio-Canada du 12 juillet 2013:

 

(Elle exige du personnel de l'Université qu'ils l'appellent Damien)

 

Damien Leggett affirme que sa dignité en tant que personne transgenre n'a pas été respectée dès son premier jour en salle de classe.
 
« J'étais confus parce qu'il n'y avait pas de toilettes unisexes », dit-il. « J'avais indiqué à quatre personnes qui m'avaient interviewé que j'étais transgenre, alors je pensais qu'il y en aurait une quelque part. »
 
M. Leggett dit qu'il évitait de déjeuner et de dîner pour ne pas avoir à se servir des toilettes publiques.
 
L'Université lui a finalement donné accès à la salle de bains des employés, qui était unisexe, mais seulement après de nombreuses demandes sur plusieurs mois.
 
Humiliation publique
 
Damien Leggett dit qu'il a aussi demandé à ses professeurs de parler de lui au masculin, même s'il n'avait pas encore obtenu un changement de nom officiel.
 
Il dit qu'une professeure a insisté pour utiliser le pronom « elle » en salle de classe, même si M. Leggett lui a demandé d'arrêter à plusieurs reprises. 
 
Lors d'une conversation en privé, la professeure aurait dit que ce n'était pas de sa faute si elle avait de la difficulté à parler de M. Leggett au masculin.
 
« Elle m'a dit "Peut-être si tu avais une moustache, ça aiderait. Je ne vois pas un homme, je vois une femme." »
 
(...)
 
Inaction critiquée
 
M. Leggett critique l'inaction de l'Université du Manitoba. Selon lui, l'Université a fait très peu pour mettre fin à l'humiliation.
 
Il a demandé à l'Université d'organiser un atelier obligatoire pour aider les gens à comprendre et à respecter les personnes transgenres. « Lorsqu'ils ont finalement organisé un atelier, seulement deux étudiants et quelques professeurs y ont assisté » déplore-t-il.
 
Malgré les difficultés, Damien Leggett voulait terminer ses études et ne s'est pas retiré du programme.
 
Expulsé du programme ACCESS
 
Damien Leggett affirme qu'il a été expulsé du programme parce qu'il aurait fait une farce insensible au sujet de la flatulence d'un de ses camarades de classe.
 
« J'avais l'impression qu'ils cherchaient une raison pour m'expulser », se souvient-il. 
 
Sa professeure, Pat Hrabok, dit qu'elle a été choquée par la tournure des événements. « Ils ont tout simplement décidé que ce qui s'était passé était horrible et ils ont entamé le processus d'expulsion » a-t-elle affirmé. « Je n'ai jamais vu rien de pareil dans l'histoire du programme. »
 
L'Université du Manitoba nie les accusations
 
(...)
Selon les documents obtenus par CBC, l'Université nie les accusations portées par Damien Leggett. L'Université affirme que l'expulsion de M. Leggett était liée à ses actions et non au fait qu'il est transgenre.
 
L'Université ajoute que Damien Leggett s'était identifié comme une femme au moment de son inscription au programme. « L'étudiant s'était présenté comme une femme lors des processus d'inscription, d'admission et d'orientation; une période de six mois », a-t-elle affirmé dans les documents soumis à la Commission des droits de la personne du Manitoba. (...)
 
Demander un atelier « obligatoire » ? La victimisation devient une forme de totalitarisme qui veut imposer ses valeurs marginales à l'ensemble de la société.
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Avortement légalisé en Irlande. Seul Malte protège les enfants en Europe aujourd'hui

Sur le site de genethique.org du 12 juillet 2013:

(Dernier état où règne la justice en Europe)

 

Dans la nuit du jeudi 11 au vendredi 12 juillet, les parlementaires irlandais ont adopté une loi autorisant l'avortement. Ce texte, proposé par le gouvernement,  a été adopté par 127 voix contre 31 après des discussions portant sur 165 amendements. L'ultime étape est la chambre haute du Parlement, sachant que le gouvernement y détient la majorité. La nouvelle loi autorise l'avortement "si la poursuite de la grossesse fait courir à la vie de la mère un 'risque réel et substantiel' ", risque qui doit être certifié par les médecins. De plus, "en cas de risque de suicide de la mère, l'avis unanime d'un obstétricien et de deux psychiatres est requis". Pour certains Parlementaires, cette clause est une porte ouverte aux avortements.
(...)
Par conséquent, Malte reste le dernier pays d'Europe, a proscrire l'avortement.
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Prélèvement d'organes : une «morte» ouvre les yeux pour manifester ce que l'on pourrait interpréter comme un désaccord...

Sur le blog de Jeanne Smits du 12 juillet 2013:

 

(Un dur réveil...)

 

De nombreux titres de la presse américaine rendent compte de ce fait divers très significatif : à Syracuse (Etat de New York) une femme déclarée en état de mort cérébrale s'est réveillée dans la salle d'opération juste avant d'être ouverte en vue de récolter ses organes.
 
Les faits remontent à 2009 : Colleen S. Burns, 41 ans, était conduite aux urgences, victime d'une surdose de drogues. Les médecins de l'hôpital Saint-Joseph la déclarèrent en état de mort cérébrale puis réclamèrent à ses proches la permission de récupérer ses organes. C'est seulement parce que la patiente a ouvert les yeux sur la table d'opération que l'extraction de son cœur et de ses autres organes vitaux n'a pas eu lieu.
 
L'équipe médicale de Saint-Joseph a dû subir une enquête dont les résultats font aujourd'hui état de graves manquements à la fois sur le plan du diagnostic et de la communication avec les personnels soignants : les médecins ont confondu, selon l'enquête du Département de la Santé, l'état de mort cérébrale et le coma provoqué par la surdose de stupéfiants, et ignoré les indications d'une infirmière selon lesquelles l'état de Colleen Burns s'améliorait ; ils n'ont pas réalisé d'indispensables scanners pour confirmer leur diagnostic ; ils n'avaient même pas pris soin de pratiquer les lavages nécessaires pour empêcher la drogue absorbée par la victime de se répandre dans son système digestif. Pas même pour assurer la bonne qualité de ses organes au moment de la « récolte »…
 
Le rapport indique ainsi qu'à la veille de l'opération de récupération, Colleen Burns avait répondu à des stimulations, et qu'au moment d'être transportée vers la salle d'opération, elle respirait sans ventilation et remuait ses lèvres. On choisit plutôt de lui administrer une sédation sans le noter pour autant dans son dossier médical.
 
Un spécialiste de cardiologie, le Dr David Mayer, a expliqué à la presse que le simple fait qu'on administre un sédatif ou un anti-douleur avant de récolter des organes indique clairement que le patient est encore en vie – mais dans de nombreux cas et notamment en France, c'est là le protocole normal en raison des réactions des patients au moment des prélèvements. On explique seulement que c'est pour le confort des équipes médicales qui pourraient être gênées par des réactions de douleur « réflexes »…
(...)
Selon les pays, les époques, et même les Etats américains la définition  de la « mort » cérébrale est très différente, les protocoles de vérification sont diverses et les critères variés. Il est vrai que c'est un concept inventé en 1968 en vue de faciliter la récolte d'organes vitaux sur des personnes dont le cœur bat normalement et dont la fonction respiratoire est simplement assistée d'une ventilation. Et qu'on l'a élargi progressivement. L'industrie de la transplantation représente un marché colossal…
Sur le site de elle.fr du 11 juillet 2013, des commentaires d'infirmières qui ne sont pas du tout étonnées d'une telle histoire...
 
 
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Analyse de l'histoire de la petite Chilienne violée et enceinte à 11 ans...

Sur le blog de Jeanne Smits du 12 juillet 2013 :

 

(Michele Bachelet, ancienne présidente du Chili affirme que l'enfant doit «choisir» d'avorter...)

 

 

(...)Les puissances médiatiques du monde entier réclament pour elle le « droit » à l'avortement alors qu'elle est enceinte de 14 semaines après avoir été violée à plusieurs reprises par le concubin de sa maman. Voici deux ans que la petite « Belén » a été confiée à la garde de sa grand-mère ; c'est lors de ses visites chez sa mère qu'elle a été abusée dans des conditions épouvantables. Lorsque sa grossesse a été découverte, elle a commencé par accuser un camarade de classe – par peur. Car son « beau-père » avait menacé de tuer le petit frère et la mère de Belén si elle parlait. Une fois la vérité connue ladite mère a accusé sa fillette d'avoir « séduit » son amant, ajoutant que les relations avaient été consenties. Pauvre petite fille ! Elle a de nouveau expliqué s'être tue sous l'effet de la terreur…
 
Le « beau-père » se trouve aujourd'hui en prison.
 
Et il me semble que la petite Belén a davantage besoin d'amour et de compréhension, de protection et d'aide dans sa souffrance d'avoir été violée que d'une armée de féministes parasitant son histoire pour faire progresser leurs objectifs politiques.
 
Ce sont les féministes, il ne faut pas l'oublier, qui réclament la liberté sexuelle et qui ont obtenu la distribution de la pilule du lendemain pour les mineures de 14 à 18 ans à l'insu de leurs parents au Chili. Ce sont elles qui attendent avec avidité les « cas limites » comme ceux de la petite Belén pour pouvoir mettre en mouvement la presse mondiale et faire passer pour inhumains ceux qui osent réclamer la protection de la vie. L'affaire tombe à pic puisque que le bloc socialiste chilien veut justement présenter une proposition de loi d'avortement devant le congrès chilien.
 
Personne ne proteste contre la dévaluation du mariage et de la famille, contre le tort fait à cette fillette par le concubinage de sa mère avec un homme qui n'est pas son père – et pourtant, combien de ces histoires d'abus sexuels impliquent le « beau-père » d'adolescentes victimes d'une promiscuité dont elles ne sont en rien responsables ?
 
On insiste sur le fait que ce fut sous Augusto Pinochet que la légalité de l'avortement dit « thérapeutique » (en cas de danger pour la mère, malformation de l'enfant ou grossesse consécutive à un viol) a été supprimée au Chili. On rappelle moins que depuis cette date la mortalité maternelle n'a pas cessé de régresser pour se situer parmi les « meilleures » du monde – comme en Irlande, où l'avortement est encore pour quelques jours ou quelques semaines interdit en toutes circonstances.
 
La petite Belén s'est elle-même exprimée lors d'un entretien télévisé en affirmant : « Ce sera comme une poupée que je tiendrai dans mes bras. Je vais l'aimer beaucoup même si elle est de cet homme qui m'a fait du mal, cela ne fait rien, je vais l'aimer, je vais la changer. » Et le président du Chili, Eduardo Piñera, a félicité après ces propos la fillette de sa grande « maturité ».
 
Cela veut dire qu'elle ne sait rien de la demande d'avortement qui a été présentée en son nom et surtout à son insu par les organisations féministes ; les pressions pour qu'on tue le tout petit enfant qu'elle porte ne viennent ni d'elle, ni de sa famille, mais de groupes qui ont décidé qu'elle n'a pas le droit d'être enceinte ni de choisir la vie pour son enfant.
 
Telle est la contradiction devant laquelle le lobby de l'avortement ne recule pas : Michelle Bachelet, ancien président du Chili, a plaidé pour le « droit de choisir » de la petite Belén pour réclamer l'avortement pour elle, mais en fait elle ne milite pas du tout pour donner le droit de choisir à la mère : le seul choix possible, concevable dans le cas de Belén, c'est l'avortement, elle l'a dit en assurant qu'à onze ans on n'est pas capable de choisir.
 
(...)
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Erreur médicale : un magistrat italien parfaitement sain, malade selon ses médecins, se fait euthanasier en Suisse

Sur le site de zenit.org du 11 juillet 2013:

 

(Pietro D'amico, euthanasié par erreur médicale...)

 

 

Un magistrat italien de 62 ans s'est fait supprimer en Suisse, à Bâle, après le diagnostic d'une maladie incurable: l'autopsie révèle qu'il était tout à fait sain. 
 
Le tragique fait divers relance le débat sur "l'euthanasie" ou le "suicide assisté". 
 
Sa femme et sa fille, qui avaient demandé l'autopsie, ont maintenant réclamé une enquête notamment pour établir la responsabilité du diagnostic erroné  émis en Italie puis en Suisse.
 
Pietro D'Amico, de Vibo Valentia, procureur général à Catanzaro (Calabre) depuis 1995 et jusqu'à sa démission, il y a trois ans, s'est rendu en Suisse en avril dernier pour demander la mort, à l'insu des siens, rapporte "Il Quotidiano della Calabria" du 10 juillet . La clinique suisse où il a reçu la mort a ensuite averti la famille, qui le croyait parti "pour un voyage".
 
Or l'autopsie a exclu de façon "péremptoire" le diagnostic de pathologie incurable émis par des médecins italiens et confirmé par des médecins suisses, et qui avait poussé le magistrat, déprimé, à demander le "suicide assisté".
 
De nouveaux examens ont été fait par l'Institut de médecine légale d'université de Bâle en présence d'un expert mandaté par la famille.
 
L'erreur scientifique pourrait pousser les parquets italien et suisse à enquêter sur la responsabilité des médecins et sur la cause de l'erreur: négligence, incompétence, imprudence?
 
L'avocat de la famille,  Michele Roccisano, soutient que pour affirmer la présence de la pathologie les médecins "auraient dû soumettre le patient à des examens spécifiques prescrit par la science médicale, examens auxquels il n'a jamais été soumis".
 
(...)

Mais soyons rassurés, les partisans de l'euthanasie au Québec, nous affirment que cela est impossible sur notre territoire...

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Selon le neurologue Paul Ranalli, l'enfant à naître peut ressentir la douleur dès la 16e semaine de grossesse

Sur le site de vivere.info :

(Le Dr Paul Ranalli, neurologue à l'Université de Toronto)

 

 

 

Selon les neurologues experts comme M. Paul Ranalli, qui enseigne et pratique activement dans son domaine à Toronto, les études scientifiques les plus récentes, crédibles, objectives et reconnues concernant la douleur chez l’enfant à naître indiquent que l’enfant réagit par un mouvement d’évitement, quand on le touche, dès la huitième semaine de gestation. Dans sa conférence d’octobre 2008, M. Ranalli a affirmé toutefois que cette réaction pourrait n’être qu’un simple réflexe qui ne comporterait pas de réelle sensation de douleur.
 
 M. Ranalli a enchaîné avec l’affirmation plus certaine selon laquelle l’enfant à naître manifeste clairement des signes de perception de la douleur dès la 16e semaine de gestation, auquel stade les connexions « sous-corticales » (c.-à-d. en dessous de la couche superficielle du cerveau appelée « cortex ») sont en place.
 
M. Ranalli a aussi indiqué que les connections requises pour la perception de la douleur au niveau du thalamus, soit l’organe clé de la perception de la douleur dans le cerveau, sont en place dès la 13e semaine et demi de gestation. 
 
M. Ranalli a confirmé que le cortex n’est pas indispensable à la perception de la douleur. 
 
M. Ranalli a ajouté que le modèle théorique de perception sensorielle qui prévaut actuellement selon lequel les connections neuronales sont indispensables pour la perception de la douleur pourrait être complètement 
inadéquat. Les composantes chimiques et hormonales de la douleur, entre autres, entreraient peut-être beaucoup plus en ligne de compte que soupçonné chez l’enfant à naître. (...)

Pour plus d'information sur le sujet, le site LifeSiteNews vient de faire paraître un article sur la douleur de l'enfant à naître.

Il existe également un dépliant qui résume la question. Pour le voir, cliquez ici.

Enfin, pour ceux qui veulent un approfondissement des découvertes scientifiques sur le sujet, le livre L'aube du moi, publiée en 2009, par le néonatologue Carlo Valerio Bellieni, spécialiste de la douleur foetale demeure une référence.

Extrêmement intéressante également est la conférence du Dr Paul Ranalli donnée en juillet 2010 et qui explique comment les études pro-avortement parues en 2005 dans le Journal of the American Medical Association ne reflètent pas les dernières découvertes sur la douleur foetale.

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Une belle histoire d'un bébé sauvé par sa mère qui fait le tour des médecins

Un amour plus fort, encore une fois, en présence d'une équipe médicale qui, sans faire d'acharnement thérapeutique, ne prend pas la peine de tenter de sauver un enfant... :

 

(L'amour d'une mère a sauvé une vie)

 

 

Lorsque Carolyn Isbister a mis son bébé de 20 onces sur sa poitrine pour un câlin, elle a pensé que ce serait la seule chance qu'elle aurait jamais de la tenir. Les médecins avaient dit aux parents que bébé Rachael n'avait que quelques minutes à vivre, parce que son cœur battait une fois toutes les dix secondes et qu'elle ne respirait plus.

«Je ne voulais pas qu'elle meure d'avoir froid», explique Carolyn, "alors je l'ai sortie de sa couverture et l'ai mise sur ma peau pour la réchauffer. Ses pieds étaient si froids. C'était le seul câlin j'allais avoir avec elle, donc je voulais me souvenir de ce moment. "
 
Puis quelque chose de remarquable est arrivé: la chaleur de la peau de sa mère a stimulé le cœur de Rachael en le faisant battre correctement, ce qui lui a permis de prendre de petits souffles par elle-même.
 
"Nous ne pouvions pas le croire - et ni les médecins. Elle laissa échapper un petit cri. Les médecins sont revenus et ont dit qu'il n'y avait encore aucun espoir -.. Mais je n'ai pas lâcher. L'aumônier de l'hôpital est venu la bénir, et il a attendu qu'elle parte. Mais elle s'est accrochée. "
 
Et puis, étonnamment la couleur rose a commencé à revenir sur ses joues. Elle tournait littéralement du gris au rose devant nos yeux, et elle a commencé à se réchauffer.
 
Le plus triste, c'est que quand le bébé est né, les médecins ont eu un regard sur elle et on dit «non». Ils n'ont même pas essayé de l'aider avec sa respiration, comme ils ont dit cela aurait prolonger son temps vers sa mort.
 
«Tout le monde l'a juste abandonnée à son sort», dit Carolyn.
 
A 24 semaines de grossesse, une infection d'utérus avait conduit à un travail prématuré et à sa naissance. Carolyn (qui a également deux enfants Samuel, 10, et Kirsten, 8) raconte : "Nous étions terrifiés, nous allions la perdre. J'avais souffert trois fausses-couches avant, donc nous ne pensions pas qu'il y avait beaucoup d'espoir. "
 
Quand Rachael est née, elle était grise et sans vie. Ian Laing, consultant néonatologiste à l'hôpital, a déclaré: "Tous les signes étaient que la petite n'allait pas le faire et nous avons pris la décision de laisser maman avoir un câlin, car c'était tout ce que nous pouvions faire.
 
Deux heures plus tard, le bébé pleurait. "
 
"C'est en effet un bébé miracle", ajoute le médecin, "et je n'ai rien vu de tel dans mes 27 années de pratique. Je n'ai pas le moindre doute que l'amour de la mère a sauvé sa fille."
 
Rachael a été déplacée sur un ventilateur où elle a continué à faire des progrès constants, avait tube et seringue pour se faire nourrir du lait maternel.
 
"Les médecins ont dit qu'elle avait prouvé qu'elle était une combattante et qu'elle méritait maintenant certains soins intensifs maintenant qu'il y avait un peu d'espoir», a dit Carolyn "Rachael a tout fait toute seule -. Sans aucune intervention médicale ou de médicaments. Elle s'était accrochée à la vie - et tout cela à cause de ce câlin ".
 
Le câlin avait réchauffé son corps et régularisé son cœur et sa respiration suffisamment pour qu'elle puisse commencer à se battre. A 5 semaines, elle a été retirée du ventilateur et a commencé à boire au sein par elle-même. À quatre mois Rachael est rentrée chez elle avec ses parents, pesant 8 lbs - le même poids que tout autre nouveau-né en bonne santé.
 
Parce que Rachael avait souffert d'un manque d'oxygène, les médecins ont dit qu'il y avait un risque élevé de dommages à son cerveau. Mais un scan n'a montré aucune preuve de dommage et aujourd'hui Rachael est à égalité avec ses pairs.
 
«Elle se porte si bien», dit Carolyn, souriant. «Lorsque nous l'avons apporté à la maison, les médecins nous ont dit qu'elle était une remarquable petite fille. Et surtout, elle aime juste ses câlins. Elle va dormir pendant des heures, tout recroquevillée sur ma poitrine. C'était la première caresse qui lui a sauvé la vie - et je suis tellement contente d'avoir fait confiance à mon instinct et que je l'aie ramassée comme je l'ai fait. Sinon, elle ne serait pas là aujourd'hui. ".
 
 
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Sondage d'opinion : le député Laurent Lessard veut votre opinion sur l'euthanasie

Les députés du Parti Libéral du Québec auront l'opportunité de voter selon leur conscience sur l'euthanasie. Certains aimeraient que vous leur disiez de voter pour l'euthanasie. Dans le sondage du député Laurent Lessard, une distinction est faite entre euthanasie, selon la nouvelle définition du député, et l'«aide médicale à mourir». Puis l'une des questions rappelle la technique si appréciée des partisans de l'euthanasie, l'amalgame dans une même question d'une bonne proposition et d'une proposition inacceptable, espérant que la volonté de voter pour la bonne proposition sera plus forte et entraînera un vote positif :

2. L'expression « aide médicale à mourir » fait ressortir à la fois l'idée de soutien et le contexte médical qui sont indissociables. Le mot « aide » renvoie à l'idée d'une réponse à une demande qui doit provenir en tout temps de la personne elle-même ainsi qu'à la valeur incontournable de l'accompagnement, alors que le terme « médicale » précise bien sûr la nature de cet accompagnement qui implique obligatoirement l'intervention et l'accompagnement du médecin. L'aide médicale à mourir se distingue de l'euthanasie par le fait ce que cette dernière ne sous-entend en elle-même ni le contexte médical, ni l'exigence que la demande vienne expressément de la personne elle-même.
...
3) Après avoir reçu un diagnostic de maladie grave, incurable et provoquant des souffrances physiques et psychologiques constantes et insupportables pour l'un de vos proches ou vous-même, envisageriez-vous d'avoir recours à la sédation palliative terminale ou l'aide médicale à mourir?
  Oui
 Non
 Ne sais pas

Alors, êtes vous prêts à endosser l'euthanasie parce que vous êtes d'accord avec une sédation palliative enlevant la douleur?

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Interview de Marie de Hennezel, auteure, sur l'euthanasie

Sur le site de Famille Chrétienne du 9 juillet 2013:

 

(L'auteure Marie de Hennezel)

 

 

Les personnes qui auront les moyens et la connaissance accéderont aux services de soins palliatifs. Les autres, qu’auront-ils comme solution pour mettre un terme à leur souffrance en cas de légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté ? Une seule : demander la mort.
(...)
Quels sont les risques d’une légalisation de l’euthanasie et du suicide assisté ?
 
Les risques ne seront pas perceptibles tout de suite. Mais tous les juristes le disent, une loi se contourne très vite. En Belgique, la loi votée pour les cas exceptionnels est devenue un droit puis une norme. Elle s’est banalisée. Imaginer que l’on se limitera simplement à proposer le suicide assisté à des personnes qui le demanderont librement – mais seront-elles vraiment libres ? – est utopique. « La nature humaine n’est pas si bonne que cela », disait François Mitterrand.
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