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Le parti Québécois fier de l'adoption de son projet de loi 35, passée inaperçue...

Sur le site du Parti Québécois du 6 décembre 2013 :

(Le Ministre Bertrand St-Arnaud)

(Photo : Mariannlï sur filckr.com, licence creative commons)

À titre de ministre responsable de la lutte contre l'homophobie, le ministre Bertrand St-Arnaud se réjouit tout particulièrement de l'adoption de nouvelles dispositions visant à faciliter les démarches des personnes transsexuelles et transgenres.
 
Ainsi, les personnes majeures domiciliées au Québec depuis au moins un an et ayant la citoyenneté canadienne pourront, dès l'entrée en vigueur de la loi, obtenir la modification du sexe indiqué sur leur acte de naissance, sans l'obligation d'un traitement médical ou d'une intervention chirurgicale
(...)

Pour plus de détails, vous pouvez consultez l'article paru sur LifeSiteNews du 13 décembre 2013.

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La violence des pressions faites pour l'avortement

Sur le site de sosbebe.org :

(L'eugéniste et raciste Margaret Sanger, fondatrice de Planned Parenthood. Il faut ajouter la misogynie à l'historique du mouvement « pro-choix »...)

(Photo : sans copyright)

 

 

Les violences contre les femmes sont  la violation la plus répandue des droits de la femme dans le monde et dans notre pays et constituent la manifestation la plus aigüe de l’inégalité homme-femme.
 
Confrontées à une grossesse imprévue, non désirée, nombre de femmes subissent harcèlement et pressions pour les conduire à avorter. L’incitation à l’avortement est une réelle violence faite aux femmes qui la subissent et est  reconnue comme telle par la justice.(...)

Il est extrêmement difficile pour une femme, fragilisée par le début d’une grossesse, de résister à la volonté et aux pressions de son compagnon, de sa famille, de son employeur ou des services sociaux.
 

 
 

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La culture de mort dans La Presse. Une incroyable lettre d'une avocate pour l'euthanasie...

(Photo : BOSSoNe0013 sur flickr.com, licence creative commons)

Vu d'un certain angle, il serait impossible qu'un médecin accélère la mort d'un patient parce qu'il a besoin d'un lit, parce qu'il trouve que la mort n'arrive pas assez vite, parce que la famille attend après un héritage, parce qu'il acquiesce à la demande d'une personne qui se sent un poids pour la société et pour son médecin... Vu d'un certain angle, ou plutôt, avec les lunettes que les partisans de l'euthanasie veulent que nous utilisions pour regarder la situation.

Un article révélateur d'une personne qui combat pour cette culture abominable de l'euthanasie.

Dans le journal La Presse du 17 décembre 2013, un article dont nous avons réfuté l'argumentation incomplète voulant laisser croire à l'indépendance et au bon fonctionnement des mécanismes de contrôle de l'euthanasie en Belgique! Nous ne reprendrons pas la réfutation qui a été faite par nombre de médecins et d'infirmières belges de la dérive du plat pays. Vous pouvez consultez également le mémoire de la maison Michel Sarrazin qui est très révélateur sur le copinage des associations pour le « mourir dans la dignité » et la « commission de contrôle ».Mais il y a un point supplémentaire dans la lettre de l'avocate Marie Annik Grégoire qui mérite notre attention :

Le professeur Jean-Louis Baudouin mentionnait que «[l]es techniques de la médecine moderne ont déshumanisé la mort. Le patient en phase terminale meurt lentement, intubé, gavé et bourré de médicaments.» Le projet de loi vise à mettre fin à cette réalité. D'ailleurs, des médecins belges assurant un contrôle des pratiques d'euthanasie rapportaient que «tous les témoignages des médecins ayant pratiqué l'euthanasie, comme notre expérience personnelle, permettent d'attester d'une mort calme, en sommeil profond, survenant en quelques minutes au moment choisi et souvent précédée d'adieux émouvants aux proches.»

Ce petit paragraphe est très représentatif des énormités incohérentes qu'apportent l'avocate et le mouvement pour l'euthanasie.

Il ne faut jamais avoir mis les pieds dans une unité de soins palliatifs pour décrire la mort accompagnée par la médecine moderne comme une déshumanisation bourrée de médicaments... Et si ce sont les soins palliatifs qu'il faut éviter, alors il faudrait proposer en premier lieu l'euthanasie à tous?

Il est étonnant que le ridicule des propos de la dernière partie du paragraphe ait échappé à son auteur. Il s'agit de vérifier si les conditions de mise à mort ont respecté certaines règles. À qui demande-t-on si tout s'est fait dans les normes et mériterait une poursuite judiciaire? À l'exécuteur. Est-il possible qu'une avocate puisse croire une seule seconde qu'un médecin venant d'exécuter un patient va aller se dénoncer à une commission de contrôle comme n'ayant pas suivi les règles? Et qu'il mérite par conséquent d'être poursuivi en justice?

Depuis le début de la légalisation de l'euthanasie, sur les milliers de cas d'exécution létale, effectivement, aucun médecin n'a posé ce geste de s'autodénoncer. Ce qui n'empêche pas la population de reconnaître que les règles ne sont pas observées.

Dans tous les cas de mise à mort d'une personne, il devrait y avoir une enquête indépendante pour vérifier si les conditions légales de mise à mort étaient respectées. Ici, notre avocate se contente du témoignage du tueur. Très réconfortant comme système judiciaire. Et quelle injustice de ne pas avoir cru sur parole ce juge affirmant que sa femme handicapée s'était suicidée, et qui se retrouve maintenant en prison pour meurtre...

C'est à la lecture de tels articles que nous pouvons comprendre que pour les partisans de l'euthanasie, la pratique de la naïveté volontaire est le meilleur outil de propagande pour transformer l'acte extrêmement violent d'une injection létale, par l'entremise de lunettes roses, en un doux geste de compassion pour éviter au patient de souffrir inutilement dans une maison de soins palliatifs, de ces soins inutiles qui enlèvent la douleur et apporte un message combien douloureux : qu'on aimera le patient jusqu'au bout et que jamais on ne l'abandonnera.

L'abandon de l'euthanasie, comme lorsqu'on dit à quelqu'un que sa vie ne vaut plus la peine d'être vécue... Une petite piqûre? 

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Les enfants belges reçoivent cette année pour Noël... l'euthanasie

(Photo : sans copyright)

Sur le site de rts.ch du 12 décembre 2013 :

 

 

 

 

Le Sénat de Belgique a adopté jeudi à une large majorité une proposition de loi étendant le champ légal de l'euthanasie aux mineurs atteints d'une maladie incurable, qui doit toutefois encore être votée par les députés avant d'entrer en vigueur.

Une analyse sur le site de bvoltaire.fr du 16 décembre 2013 :

En Belgique, le nombre d’actes d’euthanasie, déclarés et non déclarés, ne cesse d’augmenter et la loi de 2002 est appliquée de façon de plus en plus laxiste (Voir Montero, Rendez-vous avec la mort, 2012). Plus inquiétant : le nombre d’euthanasies sans le consentement du patient est en augmentation. Rien d’étonnant à ce que l’euthanasie soit demain accessible aux enfants et après-demain aux malades d’Alzheimer, en attendant d’être accessible à toutes celles et ceux qui la demanderont parce que vivre leur est devenu insupportable.
 
Lutter contre la souffrance, en particulier des enfants, oui, mille fois oui ! Et les moyens existent : des soins palliatifs adéquats permettent de soulager la presque totalité des douleurs physiques. Si la douleur résiste, on peut endormir profondément le petit patient et le mettre en sédation palliative. (...) On le voit, la Belgique est en train de glisser sur une pente qui la mène inexorablement vers l’administration de la mort « à la demande ».
 

 

 

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Un juge banalise un acte de pédophilie : avec 49 ans de différence, la fillette de 11 ans vivait une «relation romantique»

Sur le site de yahoo.fr du 13 décembre 2013, cet autre exemple d'une banalisation de la pédophilie :

(Photo : duncid sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

(...)Le juge de la cour d'appel à Catanzaro, dans le sud de l'Italie, a ainsi cassé la décision d'envoyer un homme de 60 ans en prison, malgré ses atteintes sexuelles envers une fille de 11 ans.

Le pédophile sexagénaire avait été condamné à 5 ans de prison, mais le juge a tranché plutôt que la paire vivait une véritable «relation romantique», selon les médias locaux.

(...)

Quelle est la procédure pour destituer un juge en Italie?

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Une femme refuse les soins palliatifs pour choisir de se suicider : une omission de ce détail dans l'article de La Presse...

(Photo de Jean-Luc Romero, président de L'Association pour le droit à mourir dans la dignité, dont faisait partie Évelyne qui s'est suicidée à l'âge de 68 ans, et sa fille Sandrine Rousseau, qui l'a laissée agoniser sans lui porter secours, pendant 8h30.)

(Photo : Claude TRUONG-NGOC/wikimedia commons)

Un article dans La Presse du 16 décembre 2013 traite de cette femme de 68 ans qui s'est suicidée en France en ingérant des médicaments. Huit heures d'agonie en compagnie de ses enfants qui réclament maintenant la légalisation de l'euthanasie en France. Voici ce que dit l'article de La Presse :

(...)L'élue écologiste risque des poursuites judiciaires pour «non-assistance à personne en danger». Elle a raconté dans un récit poignant la mort fin septembre de sa mère qui décide à 68 ans, dont 26 ans de lutte contre un cancer, d'«avaler suffisamment de médicaments pour mettre fin à ses jours elle-même».

 «Elle ne s'est pas suicidée par plaisir, elle l'a fait parce qu'elle savait que l'on n'abrègerait pas ses souffrances, pas suffisamment pour mourir dignement du moins», écrit-elle sur son blogue.

 L'écologiste s'est résolue à raconter la mort de sa mère «pour crier l'insupportable et dénoncer», son agonie, les «neuf heures à supporter cette souffrance non encadrée médicalement», «à attendre patiemment que son souffle s'arrête sans rien faire si ce n'est respecter son ultime volonté».

 «Mourir dans la dignité a un véritable sens. Et surtout cela a un nom: l'euthanasie», dit-elle.
 

Vraiment, pas de soulagement de la souffrance?  Voici ce que ne dit pas l'article de La Presse. Sur le site de lavoixdunord.fr du 15 décembre 2013:

 (...)Évelyne avait adhéré à l’Association pour le droit à mourir dans la dignité, l’ADMD, qui défend le vote d’une loi légalisant l’euthanasie. « Elle avait également évoqué l’idée d’aller en Suisse, un pays qui propose le suicide assisté. Mais elle ne se voyait pas toquer à la porte d’un hôpital, comme ça…», se souvient sa fille. Évelyne souffrait mais avait refusé d’intégrer un service de soins palliatifs « où elle savait qu’on ne la laisserait pas en finir».

(...)

Un refus des soins qui auraient soulagé sa souffrance pour choisir le suicide... Cela, l'article paru dans le journal La Presse ne le dit pas, et il ne dit surtout pas que la mère et la fille faisaient partie du mouvement pour la légalisation de l'euthanasie et que, par idéologie inhumaine, la fille a laissé souffrir sa mère pour la cause! Sur le site de lavoixdunord.fr du :

Alors, pendant huit heures et demie, Sandrine Rousseau et son père ont regardé cet être cher disparaître. La souffrance dans les tripes, l’impuissance tatouée au cœur. « Rien de tout cela n’a été digne en réalité. Ni pour elle, contrainte à l’indignité de devoir mourir devant sa fille et son mari, de se vider, d’étouffer, d’agoniser en mille et une souffrances. Ni pour nous, ses proches, contraints de subir une des plus dures épreuves qu’il nous ait été donné de traverser», raconte l’élue écologiste dans un texte poignant, publié sur son blog. Elle décrit ce temps suspendu, inutile, où, pendant que sa mère s’éteint, elle se voit allumer le bouton de la télé pour regarder le journal de 20 heures. Irréel. Ou plutôt surréaliste : « Ce temps n’a aucun sens, la vie pendant toutes ces heures n’a aucun sens.»

À 23 h 30, n’en pouvant plus du calvaire de sa mère, Sandrine Rousseau appelle les secours. Trop tard pour la sauver, elle le sait.
 

Et c'est en utilsant cet exemple sans mentionner ces « détails » que l'article paru dans La Presse veut émouvoir ses lecteurs? Sur une fille qui laisse souffrir sa mère 8h30 jusqu'à ce qu'elle soit irrécupérable, avant d'appeler les secours, pour le bien de la cause???  

« Je sais que je peux être poursuivie pour non-assistance à personne en danger.» Mais le drame de la fille nourrit l’engagement politique de l’élue. « Pour faire avancer la loi sur l’avortement, il a fallu parler de l’aspect très concret des interventions, des aiguilles à tricoter qu’on enfonce. Que l’agonie de ma mère serve à faire avancer le débat. Je milite pour la légalisation du suicide assisté», espère-t-elle.

Une agonie que la fille aurait pu soulager... mais la cause est bien plus importante qu'une mère qu'on laisse « agoniser en mille et une souffrances » selon les propres dire de cette fille, qui a voulu laissé sa mère se morfondre de douleur, plutôt que d'éviter une occasion de laisser avancer la cause de l'euthanasie.

C'est le type de compassion que l'on a retrouvé effectivement dans le cas des personnes utilisées pour faire avancer la cause de l'avortement : utilisation d'un cas douloureux en justice, puis mise à la poubelle de la personne. L'histoire de Jane Roe est un exemple parmi d'autres.

Espérons que le journal la Presse fera les rectificatifs nécessaires et ne laissera pas l'un des cas les plus odieux devenir un exemple pour légaliser l'euthanasie, grâce à l'omission de détails des plus importants...

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Une page facebook à connaître : témoignages contre le vaccin Gardasil...

(Photo : milan.ilnyckyj sur flickr.com, licence creative commons)

Des morts, des effets secondaires terribles, des témoignages contre un vaccin toujours protégé par la gent médicale...

Pour voir la page facebook, cliquez ci-dessous.

https://www.facebook.com/CQV.QLC#!/groups/lindannabelleo2/?fref=ts

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Ensemble de courts vidéo à regarder sur l'euthanasie

Très intéressant et à voir. Cliquez ici pour accéder au site de dignite.info, visite synthèse.

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Les frais d'une procédure d'avortement ne seront plus remboursés dans l'État du Michigan

Une très bonne nouvelle parue sur le site de reponseatout.com du 13 décembre 2013:

Les législateurs de l'État du Michigan (États-Unis) ont voté, mercredi 11 décembre, une loi qui interdit à tous les régimes d'assurances de prendre en charge les avortements (...)

(...) l'association Right To Life Michigan (contre l'avortement), qui « refuse de devoir payer pour ôter la vie à un innocent être humain au nom de la santé », a pu recueillir les 300 000 signatures nécessaires à la pétition pour obtenir un deuxième vote sur cette mesure. Après avoir été adopté par les deux chambres, la pétition devient une loi dans les registres de l'État du Michigan
(...)
Aux États-Unis, alors que plus de 80 % des régimes d'assurance privés couvrent les avortements, huit États ont décidé d'adopter des lois similaires interdisant le remboursement de l'avortement.

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L'Australie maintient la loi interdisant une redéfinition du mariage et l'Inde celle interdisant les actes homosexuels

Deux articles sur deux pays immenses qui gardent le cap sur la défense des valeurs familiales :

Pour l'Australie, sur le site de Yahoo.fr du 12 décembre 2013  :

La Haute cour australienne annule jeudi les mariages homosexuels célébrés dans la capitale du pays, Canberra,
(...)
"La loi sur le mariage n'est pas valide pour la formation ou la reconnaissance du mariage pour des couples de même sexe", a déclaré la Cour jeudi, qui a pris sa décision à l'unanimité.
(...)
Le mariage homosexuel est explicitement interdit en Australie depuis une modification de la loi sur le mariage en 2004, qui précise depuis que le mariage ne concerne que l'union d'un homme et d'une femme. (...)

Pour l'Inde, sur le site du journal La Presse du 11 décembre 2013:

La Cour suprême indienne a confirmé mercredi la loi, héritée de la législation du colonisateur britannique, qualifiant l'homosexualité de crime,(...)
Jusqu'à présent, la loi pénale qualifie l'homosexualité de comportement «contre nature» puni d'une amende et de dix années d'emprisonnement.

 Même si la législation est très rarement appliquée, des associations de défense des gais se plaignent de vexations, intimidations, voire harcèlements par des policiers.
(...)
«Nous savons que l'homosexualité est contre nature», a dit le secrétaire général de l'organisation All India Muslim Personal Law Board, Abdul Raheem Quraishi, à l'AFP.

 «Cela va contre toutes les lois et c'est ce qui a mené à la dissémination du virus HIV», a-t-il ajouté. (...)(

 

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