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Où sont les modèles de pères québécois contemporains?

(Photo d'un groupe féministe québécois lié à l'union communiste libertaire, lors de la marche des femmes à Rimouski en 2010)

(Photo : Khayman sur wikimedia.org, licence creative commons)

50 ans d’un féminisme extrémiste a ravagé le paysage contemporain. Si le féminisme s’en tenait à combattre les inégalités au travail et dans la société, il serait utile et nécessaire pour qu’une véritable justice permette de vivre dans la convivialité.

Mais le féminisme québécois a voulu contrebalancer la chosification des femmes par l’arrivée de la contraception et du divorce en se déresponsabilisant également des conséquences naturelles d’une activité sexuelle (séparée de l’amour). L’avortement est la réponse irresponsable des femmes à l’abandon irresponsable d’hommes de moins en moins dignes de ce nom.

Mais que s’est-il passé pour que les hommes québécois et occidentaux perdent la fierté d’être ce qu’ils sont?

Où sont les modèles d’hommes québécois contemporains? Et par modèle d’homme, on doit également entendre modèle de père, autant physique que spirituel?

La crise de l’homme est certainement la crise de la paternité, automatiquement associée au paternalisme.

Le rôle de l’autorité qui fait grandir, du père au service de ses enfants, dans un Québec sans enfant et où le tiers des hommes en âge de procréer sont vasectomisés, est disparu sous une gestion éducative féminisée.

L’homme n’a plus qu’à accepter le rôle qui lui est dévolu. Gentillesse et même force, mais toujours en accord avec l’opinion du mouvement féministe, sous peine d’être taxé de machisme et de sexisme.

Seuls les hommes qui acceptent le diktat féministe, en accord avec l’avortement, la contraception, ont droit de parole.

On retrouve des chaires d’études féministes au Québec et au Canada, mais rien d’équivalent pour les hommes.

La situation est telle qu’il faudra vraisemblablement la prise de parole de femmes exacerbées de voir leur mari, leur père, ou leurs garçons défavorisés dans une société qui s’inquiète peu de les voir décrocher à tout niveau… de l’abandon scolaire au suicide, pour que les choses changent.

Des femmes qui élèveront la voix pour que la dictature des féministes extrémistes cesse et que l’équilibre familial et sociétal soit trouvé.

Les associations féministes du Québec ne comportent souvent que quelques centaines de membres. Subventionnées généreusement, leur moindre parole sont relayées par les médias comme ayant du poids.

Elles ne représentent pourtant qu’une minorité dérangeante pour la majorité des femmes, fatiguées de voir ces petits groupes mégalomanes s’arroger le droit de parole au nom des femmes.

Le féminisme a détruit l’homme et son rôle de père. L’homme a aussi démissionné de ce rôle de lui-même. Et les féministes réclament alors l’avortement pour ces enfants dont elles ne veulent pas s’occuper seules.

Dans la quête du plaisir contemporain, rien de solide ne peut être construit, et difficilement une famille.

Le poids des enfants est trop lourd pour une société qui cherche l’égale déresponsabilisation et le plaisir comme but de l’existence.

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L'Hymne religieux à la laïcité (laïcisme) sur la page Facebook de Djemila Benhabib!

(Photo : sans copyright sur wikimedia.org)

Incroyable mais vrai. Un hymne à la laïcité (plutôt au laïcisme) a été composé, chanté, et acclamé par Djemila Benhabib et des partisans du laïcisme aux États généraux internationaux de la laïcité à Perpignan! Si la laïcité est la fille aînée (parodie du terme fille aïnée de l'Église désignant la France), quelles sont donc les filles cadettes, les étapes prochaines d'un laïcisme anti-religieux et par conséquent, anti-laïcité? On ne peut leur reprocher d'avoir mal choisi les termes de la chanson. La « laïcité » qu'ils aimeraient ériger est véritablement une « voûte d'acier »...

 
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Le Parti Québécois travaille à faire adopter avant des élections, le projet de loi 52 sur l'euthanasie

(Donneur de sang, après son don, affaibli, ayant perdu une partie de sa dignité par conséquent, selon le Parti Québécois...)

(Photo : sans copyright sur wikimedia.org)

Le Parti Québécois sait que la charte des valeurs du Parti Québécois sera un atout majeur pour faire des gains lors des prochaines élections. Il a donc avantage à ce que la question ne soit pas réglée d'ici là.

Mais pour ce qui est de l'euthanasie, au contraire, le gouvernement s'empresse de mettre en place son projet d'élimination volontaire des patients coûteux qui acceptent de penser que la maladie leur enlève leur dignité.

Sur le site du journal La Presse du 14 janvier 2014 :

Le projet de loi 52 concernant les soins de fin de vie est déjà à cette étape dite de l'étude détaillée. Il l'est depuis la fin novembre. Plus de la moitié de ses 70 articles ont été passés au tamis des députés jusqu'ici.
 
Ceux-ci reprennent leurs séances d'étude demain. Tout indique que leur exercice pourrait être bouclé d'ici au 11 février ou dans les jours suivants. Le 11 février est la date de reprise de la période des questions à l'Assemblée nationale, celle à partir de laquelle les élus devraient être appelés à se prononcer une fois pour toutes sur le projet de loi sur les soins de fin de vie.

Seul un déclenchement d'élection rapide pourrait éviter aux Québécois les politiques mortifères du gouvernement. Des élections pour le 11 février, journée mondiale des malades? C'est ce qui pourrait les sauver ici...

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Le 19 janvier, l'Espagne sera honorée à Paris, à la Marche pour la Vie!

Sur le site de riposte catholique.fr du 10 janvier 2014 :

(Marche pour la Vie à Paris en 2012)

(Photo : Peter 17 sur wikimedia.org, licence creative commons)

 


La Marche Pour la Vie du 19 janvier prochain met à l’honneur l’Espagne et salue le courage de son gouvernement qui ne craint pas de secouer l’omerta qui règne sur les questions de droit à la vie des enfants à naitre. Pour expliquer la loi espagnole avant-gardiste, des personnalités au cœur de l’élaboration de ce projet seront présentes à La Marche Pour la Vie :
 
- Luis Peral, sénateur du Parti Populaire, cheville ouvrière de ce projet de loi
 
- Benigno Blanco, ancien secrétaire d’Etat sous Aznar, président du Forum espagnol de la famille.
 
En Espagne, le projet de loi du ministre de la justice Alberto Ruiz Gallardón présenté fin décembre, va être soumis prochainement au parlement. Cette loi, promesse électorale de Mariano Rajoy, n’autorise l’avortement qu’en cas de viol ou si la santé physique ou psychique de la mère est menacée. Ainsi les avortements de complaisance et la plupart des avortements eugéniques ne seront plus possibles. L’enjeu de cette future loi est de répondre « du droit des êtres humains qui ont été conçus et qui ne sont pas encore nés.»  Alberto Ruiz Gallardón.
 (...)
D’autre part Alberto Ruiz Gallardón, a annoncé qu’il se rendrait à Bruxelles en février pour expliquer son projet de loi « Nous avons fait la première loi qui reflète l’opinion majoritaire des citoyens européens, (…) et je suis convaincu que cette initiative aura des prolongements dans les Parlements d’autres pays européens. »
 
Marche pour la Vie. Dimanche 19 janvier. Départ 14 h 30 : Denfert-Rochereau.
 

La France se prépare à célébrer la résistance espagnole. La Suisse se prépare à un référendum pour cesser le financement public des avortements. Il y a un réveil de la résistance et un appel au combat du pape François (voir la vidéo ci-dessous)qui a été entendu!

http://www.riposte-catholique.fr/player/player.swf

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Des prélèvements d'organes trop rapides sur des personnes « mortes »?

Sur le blog de Jeanne Smits du 11 janvier 2014, une histoire à lire :


(Jahi McMatch)


(Photo : zennie62 sur flickr.com, licence creative commons)



(...)La petite Jahi a failli être victime, volée de sa guérison espérée ou de sa mort naturelle, des lois sur la « mort cérébrale » qui toutes, rappelle le pédiatre Paul Byrne, ont été adoptées en vue de faciliter le prélèvement d’organes vitaux « à cœur battant ». Le Dr Paul Byrne a examiné Jahi et constaté qu’elle est en vie, qu’elle répond par des mouvements à la voix de sa grand-mère. « Je suis sûr qu’elle est en train de guérir de son amygdalectomie. La guérison ne se produit que chez une personne vivante. » « Les gens ne deviennent pas “morts” parce que des médecins les déclarent “morts” », a-t-il commenté sur le site pro-vie LifeSiteNews : « Si les médecins y arrivent, ils prendront les organes de cette jeune fille. »
 
Il s’exprimait alors que Jahi était encore dans l’hôpital qui voulait programmer sa mort. Aujourd’hui il y a un espoir – ténu – pour que Jahi, soignée, aille mieux. Et en tout cas la certitude que sa vie sera respectée jusqu’au bout.
 


 

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En Belgique, des membres de la commission de « contrôle » de l'euthanasie sont également membres du lobby pro-euthanasie

Sur le site de 7sur7.be du 12 janvier 2014 :

(Si l'euthanasie est permise au Québec, des patients ne seront plus en sécurité.)

(Photo : Brett Jordan sur flickr.com, licence creative commons)

 

Quelque 300 personnes ont manifesté dimanche après-midi à Bruxelles devant le siège de l'ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité) afin de réclamer un meilleur contrôle de la législation sur l'euthanasie ainsi que la démission des membres de la commission de contrôle qui sont également membres de l'ADMD.
"Depuis la promulgation de la loi sur l'euthanasie il y a 10 ans, 6.000 dossiers ont été introduits et le parquet n'a jamais été saisi.  (...)

En plus d'être contrôlés par de fervents partisans de l'euthanasie, les rapports d'enquête sont faits par les médecins ayant pratiqué l'euthanasie. C'est l'inspecteur Colombo qui doit se retourner dans sa tombe...

Parce qu'effectivement, l'euthanasie étant un meurtre, il devrait toujours y avoir enquête pour vérifier les motifs de la famille, des médecins et personnels soignants pour avoir perpétrer ce meurtre à la « demande » du patient. 

La loi au Québec prévoit que le médecin traitant doit s'assurer que le patient ne subit aucune pression le poussant à demander l'euthanasie. Comme si un médecin avait les compétences pour enquêter sur le sujet... et surtout, le temps.

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Un beau témoignage d'une enfant qui n'a pas été « jetée » parce qu'elle était le résultat d'un viol

Un beau témoignage malheureusement sans traduction de l'anglais:

 

//www.youtube.com/embed/mVPLsz1sqV4

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François : « ...la seule pensée que des enfants ne pourront jamais voir la lumière, victimes de l'avortement, me fait horreur »

Sur le site du journal 20minutes du 13 janvier 2014, cette affirmation du pape François :

 

(Photo : Abode of Chaos sur flickr.com, licence creative commons)

 

 «Souvent les êtres humains sont jetés comme s'ils étaient des choses non nécessaires. Par exemple la seule pensée que des enfants ne pourront jamais voir la lumière, victimes de l'avortement, me fait horreur», a-t-il martelé.

L'article du journal le Devoir du 13 janvier précise :

Parlant de l'avortement, il a déploré que des êtres humains soient jetés comme s'ils étaient des choses non nécessaires. Il s'en est pris à la « culture du jetable » qui gaspille non seulement la nourriture ou les biens superflus, mais aussi les êtres humains.

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Des médecins français s'acharnent à vouloir tuer un patient malgré la volonté de ses parents et d'une partie de sa famille

Sur le blog de Jeanne Smits du 11 janvier 2014 :

(« Pour son bien » les médecins ont décidé de ne plus donner ni nourriture ni eau au patient Vincent Lambert, en attendant que mort s'ensuive...)

(Photo : FrenchHope sur flickr.com, licence creative commons)

Vincent Lambert est de nouveau menacé de mort par le Dr Eric Kariger, chef du service de gériatrie du CHU de Reims. Au cours d'une réunion avec la famille, ce matin, le médecin – catholique pratiquant, membre du PCD – a signifié sa décision : son patient, tétraplégique, en état de conscience minimale, mais par ailleurs en bonne santé, doit bénéficier de l'arrêt de l'obstination déraisonnable que constitue le maintien artificiel de sa vie par l'administration de nourritures et d'hydratation. 

C'est une décision de mort, d'euthanasie par omission. Elle n'est pas inattendue : voici des mois, depuis que le tribunal administratif de Chalons-en-Champagne avait ordonné que Vincent Lambert fût réalimenté après 31 jours de jeûne contraint, que le Dr Kariger se répandait dans la presse pour justifier la décision qu'il indiquait clairement vouloir reprendre, en invoquant les éléments de la loi Leonetti évoqués ci-dessus. 

Car il faut le savoir, la loi Leonetti est déjà une loi d'euthanasie, même si la lettre de la loi permet de discuter l'application d'une décision d'arrêt des soins ordinaires que sont la nourriture et l'hydratation à une personne qui n'est pas du tout en fin de vie. Les travaux préparatoires de la loi prévoyaient cependant qu'on ne cesse pas l'hydratation, en raison des souffrances que cela pouvait provoquer. Même cette considération est aujourd'hui balayée car la première fois, Vincent Lambert a mis trop de temps à mourir… 

Bien sûr, l'arrêt de l'alimentation et de l'hydratation sont censés servir au bien du patient, qui n'est pas malade et qui à l'occasion sort même de l'hôpital pour être en famille… Il l'aurait voulu, il n'a plus de vie relationnelle, il est dépendant : voilà ce que le Dr Kariger a répété dans la presse ces derniers mois. On « suspectait » chez lui un « refus de vivre ». 

Que sa mère, son père, et d'autres membres de la famille aient suspecté chez lui une volonté de vivre, cela n'importe pas, le Dr Kariger prenant seul cette décision en interprétant le doute dans le sens de la mort, soutenu par la femme de Vincent et une partie de ses frères et sœurs. 

Mais la question n'est pas de savoir ce qu'aurait voulu Vincent Lambert, mais de se demander s'il est licite de « laisser mourir » un être humain dans ces conditions, ou plutôt de provoquer délibérément sa mort en cessant de l'alimenter. (...)

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Google célèbre Simone de Beauvoir. Il n'y a pas de quoi...

(Photo de la tombe de Simone de Beauvoir et Jean-Paul Sartre)

(Photo : Evan O,Neil sur flickr.com, licence creative commons)

Simone de Beauvoir a lutté pour l'élimination de millions d'enfants en France. Elle est l'auteur de ce qui deviendra un slogan du mouvement féministe : "On ne naît pas femme, on le devient". Erreur que le bon sens et la raison avaient révoquée dès son énonciation et que la science allait déboulonner. On nait et l'on devient femme aurait-elle dû affirmer avec exactitude cette fois.

Si Simone de Beauvoir, avait admis, comme le fit Jean-Paul Sartre à la fin de sa vie, au philosophe Benny Levy, qu'elle avait suivi la mode, exprimé une philosophie (erronnée) que le monde voulait entendre, elle pourrait du moins gagner par cette humilité un minimum de sympathie.

Google célèbre le 106e anniversaire de Simone de Beauvoir, mais il ne répond pas à la question que tous se posent : qu'y a-t-il à célébrer?

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