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Euthanasie des enfants : La barbarie


Image: Wikipedia.

Le 13 février 2014, la Belgique est passée au rang des états les plus décadents de la planète.

Au terme de discussions vives et mouvementées à la Chambre des députés, ce pays est devenu le second pays au monde, après les Pays-Bas, à autoriser l'euthanasie des enfants. C'est par un vote de 86 députés pour et 44 contre avec 12 abstentions que la Belgique est entrée à fond de train dans la culture de la mort.

Au cours des derniers mois, plusieurs sondages populaires ont été réalisés. Aussi incroyable et dégoûtant que cela puisse paraître, 74 % de la population s'est prononcée pour l'euthanasie des mineurs quelque soit leur âge, malgré une opposition féroce de la hiérarchie catholique contre cette loi inique.

L'heure est grave. Il est temps d'enlever nos lunettes roses et de voir lucidement que notre monde occidental sombre de plus en plus dans la turpitude et la barbarie.

Rappelons-nous, il y a quelques décennies, l'avortement et le mariage gai n'existaient nulle part. En quelques années, ce fut un véritable tsunami. L'avortement, maintenant socialement accepté et répandu partout dans nos pays dits très avancés s'est imposé comme un succulent bonbon pour libérer la femme moderne. Les balises ont sauté à la vitesse de l'éclair pour en arriver finalement à l'avortement sur demande. Quant au mariage gai, jamais dans l'histoire de l'humanité n'a-t-on vu un aussi fulgurant lavage de cerveau qui, en un rien de temps, a fait avaler aux populations décadentes occidentales le massacre en règle du mariage traditionnel.

Aujourd'hui, nous en sommes rendus à l'euthanasie, la façon jovialiste et postmoderne de mourir sans aucune souffrance au moment jugé opportun. Mais, qui aurait pu prévoir que la bêtise humaine irait jusqu'à revendiquer l'euthanasie pour les enfants ?

Au lendemain de l'adoption en Belgique de cette loi ignoble, les médias saluaient le «courage» du Parlement belge. C'était ahurissant d'entendre sur les réseaux de télévision européenne des énormités inimaginables. On ronronnait en chœur la satisfaction généralisée. Les bêtises se succédaient à tous les bulletins de nouvelles : "Enfin les enfants très malades vont pouvoir mourir dans la dignité ; euthanasier une personne souffrante est un geste de civilisation pour en finir avec la vie ; les parents pourront maintenant être libérés et soulagés de voir leur enfant souffrir ; les enfants n'auront plus à supporter une vie difficile et pénible face aux autres enfants dits normaux et en bonne santé, etc."

La Belgique vient de poser un geste dramatique avec la légalisation de l'euthanasie des enfants malades quelque soit leur âge contrairement aux Pays-Bas où l'âge minimum pour être euthanasié a été fixé à 12 ans. Mais, en Hollande on regarde actuellement du côté de la Belgique et la balise du 12 ans pourrait bien sauter d'ici quelques mois.

Les balises ! Quelle FARCE monumentale ! Aujourd'hui les Belges se lavent les mains et la conscience en disant que la nouvelle loi est entourée de balises qui protègent les enfants. Voilà de belles sornettes complètement idiotes. On sait très bien qu'aussitôt que la porte est ouverte, les balises tombent les unes après les autres. Après quelques années, ce sera bar ouvert et toutes les raisons (handicaps physiques et intellectuels, mal de vivre, problèmes psychologiques, infirmités, etc.) finiront par être acceptées pour faire euthanasier un bébé, un enfant ou un jeune adolescent. On l'a vu dans le dossier de l'avortement. On le vit de plus en plus dans les pays où l'euthanasie est légalisée depuis quelques années : toutes les balises tombent graduellement selon le consensus social et populaire.

Quel message cette loi perverse envoie-t-elle aux enfants et aux parents belges ? On est en train de leur dire que la vie d'un enfant malade n'a plus aucun sens, ni aucune valeur ; c'est un poids pour les parents, pour la famille et pour la société. Il faut cacher, éliminer et occulter ces enfants qui dérangent sous prétexte que cette souffrance physique ou psychologique est insupportable.

L'euthanasie chez les adultes est de plus en plus populaire en Europe. En Belgique, le nombre de cas d'euthanasie n'a pas cessé d'augmenter depuis dix ans. En 2003, il y a eu 259 euthanasies rapportées officiellement ; en 2012, on a procédé à 1133 mises à mort. Mais ces chiffres dits officiels ne sont pas conformes à la réalité, car, selon certains, les médecins en Belgique, en Suisse et aux Pays-Bas ne seraient pas obligés de rapporter certains actes d'euthanasie. Il faudrait possiblement multiplier par deux et peut-être par trois ces statistiques du gouvernement.

La progression est constante et rien ne semble vouloir arrêter cet engouement pour la «belle mort». Il est fort probable que l'euthanasie des enfants suivra la même courbe ascendante, car un enfant malade c'est quelque chose d'inacceptable dans nos sociétés décadentes. Les enfants trop malades dérangent les adultes qui ont beaucoup d'autres choses à faire que de vivre la problématique de la maladie de leur enfant.

Enfin, quant à la terrible et insupportable souffrance des enfants malades, tous les médecins compétents sérieux et objectifs nous répètent que la médecine moderne dispose de toute la quincaillerie nécessaire pour empêcher la souffrance humaine. Évidemment, l'euthanasie reste le moyen expéditif le plus efficace pour se débarrasser du problème.

Après l'exécution des enfants à naître dans le ventre de leur mère, la Belgique vit maintenant à l'heure de l'exécution des enfants malades sur l'ordre des parents qui se vantent de poser un geste de civilisation.

Le Québec a les yeux tournés vers la Belgique. L'Assemblée nationale semble vouloir légaliser d'ici deux semaines l'euthanasie pour les 18 ans et plus avec de très sévères balises qui vont éventuellement tomber selon l'humeur du bon peuple. Quant aux adolescents, aux enfants et aux bébés, je suis convaincu qu'eux aussi sont dans la mire du législateur québécois et du bon peuple de notre belle province. Un jour ce sera leur tour.

Nous avons fait de très grands pas en avant depuis quelques décennies. En effet, on assassine les enfants dans le sein de leur mère et on va maintenant les assassiner après leur naissance parce qu'ils sont différents des autres enfants dits normaux. Notre société complètement disjonctée approuve l'euthanasie des personnes âgées et malades. Cette même société athée et apostate approuve et trouve normal et banal l'avortement et l'euthanasie sur demande, la drogue, la polygamie, la prostitution, le mariage gai, le divorce, le concubinage, etc.

Est-ce bien cela le monde nouveau voulu par Dieu ? Est-ce bien cela la Bonne Nouvelle enseignée, promue et apportée par Jésus-Christ ?

Nos pays occidentaux très postmodernes sont rendus là, c'est-à-dire, comme le disait si bien St-Paul dans son épître à Timothée : "Un temps viendra où les hommes ne supporteront plus la saine doctrine, mais au contraire, au gré de leurs passions et l'oreille les démangeant, ils se donneront des maîtres en quantité et ils se détourneront de la Vérité pour se tourner vers les fables ". (2 Timothée, 4, 3-4).

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La Russie pense empêcher l'adoption d'enfants russes par les Belges en raison de leur possible euthanasie dans ce pays

Sur le site de lesoir.be su 17 février 2014 :

(Photo : wikimédia sans copyright)

 

 

Des membres de la Douma, le parlement russe, ont demandé au ministère des Affaires étrangères d’étudier la loi belge élargissant l’euthanasie aux mineurs, votée la semaine passée, en vue d’interdire l’adoption d’enfants russes par des Belges, écrit lundi Russia Today.

La Russie est actuellement une épine pour la conscience décadente des pays occidentaux. Espérons que ses lois qui protègent la famille et les enfants seront imitées un peu partout...

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Depuis 2010, « 8 000 cycles de fécondation in vitro ont été effectués au coût global de près de 60 millions $.»

Sur le site du Journal de Montréal du 18 février 2014 :

(Photo :  Eugene Ermolovich (CRMI) sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

La Société canadienne de fertilité et d'andrologie (SCFA) souhaite que les médecins offrant des soins aux couples atteints d'infertilité suivent obligatoirement une formation postdoctorale d'au moins deux ou trois ans.

«Nous sommes inquiets de voir des gens qui sont attirés par cette branche pour des raisons d'ordre financier. On parle de traitements potentiellement dangereux s'ils ne sont pas administrés correctement.

Aves un taux de réussite de 30%, les fécondations in vitro sont un pur gaspillage pour fabriquer des bébés moins en santé que les autres. Pourquoi ne met-on pas cet argent sur la recherche pour soigner l'infertilité en elle-même, plutôt que sur cette mesure qui ne respecte pas la dignité de l'enfant et son droit d'être conçu dans l'amour et la chaleur du ventre maternel plutôt que dans le froid d'une éprouvette?  

Avec l'argent consacré aux avortements, c'est plus de 86 millions de dollars gaspillés par le gouvernement, 86 millions qui ne sont pas consacrés à la santé... Il faudrait également ajouter à cela le montant des stérilisations gratuites et celui des consultations pour une contraception qui attaque directement l'amour de la Vie, contrairement aux méthodes de régulation naturelle utilisées dans un esprit d'ouverture à la vie!

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Le journal Le Devoir parle des manifestations pour le droit des enfants à naître à Montréal et Québec

À lire l'article entier sur le site du journal Le Devoir du 18 février 2014 :

(Photo : uMontreal.ca sur flickr.com, licence creative commons)

 

Les groupes pro-vie ont manifesté lundi devant les bureaux du CSSS Jeanne-Mance à Montréal, et aussi à Québec, contre le financement de l’avortement par l’État.Selon Georges Buscemi, président de la campagne Québec-Vie, le gouvernement du Québec dépense 26 millions de dollars par année pour pratiquer des avortements, ce qui n’englobe pas le coût des complications. (...)

Avec cet argent, Québec pourrait engager 136 médecins de famille ou 360 infirmières. D'autres manifestations sont prévues le 10 avril 2014.

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Le réseau de santé « au bord de la rupture » selon l’Association québécoise d’établissements de santé et de services sociaux

Sur le site du journal Le Devoir du 18 février 2014 :


(Hôtel-Dieu de Québec)


(photo : Jeangagnon sur wikimedia.org, licence creative commons)


 



Dans le document qu’elle a adressé le mois dernier au ministre des Finances et dont Le Devoir faisait état dans son édition de lundi, l’Association québécoise d’établissements de santé et de services sociaux (AQESSS) rappelle toutefois que le problème de financement du réseau demeure entier. Il est actuellement « au bord de la rupture », avertit-elle, invitant même le gouvernement à réviser le panier de services couverts par la Régie de l’assurance maladie, de même que la rémunération des médecins.


C'est probablement la raison pour laquelle le gouvernement n'a toujours pas établi un réseau de soins palliatifs répondant aux besoins de tous les Québécois, et qu'il ne le fera certainement pas s'il réussit à permettre l'euthanasie...Pour la révision des services couverts, on pourrait épargner sur l'avortement et les stérilisations remboursées par l'État et qui ne sont pas des soins de santé. On parle ici de millions de dollars d'économie.

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Manifestation pour dénoncer le CSSS Jeanne Mance pour ses avortements tardifs

Sur le site du Journal Métro du 17 février 2014 :

(Bébé prématuré à 26 semaines. Pendant que certains les sauvent, d'autres sont payés pour les tuer.)

(photo : ceejayoz sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

L’organisme Campagne Québec-Vie critique le CSSS Jeanne-Mance pour leur contribution à la réalisation d’avortements tardifs. 

«Ici au CSSS, on fait des avortements jusqu’à 23 semaines de grossesse, selon certains témoignages. J’ai 3 enfants en bas âge et je me rappelle très bien qu’à 23 semaines de grossesse, tu peux jouer avec l’enfant dans le ventre de sa mère», regrette Georges Buscemi, président de l’organisme pro-vie Campagne Québec-Vie, qui se dit contre toute forme d’avortement. (...)

Au ministère de la Santé du Québec, on indique que la loi permet actuellement de réaliser un avortement en tout temps et peu importe le nombre de semaines à toute femme qui le désire. «Dans la législation, il n’y a pas de limite de temps pour faire un avortement», précise Stéphanie Ménard, porte-parole auprès des médias. (...)

Le CSSS Jeanne Mance mentionne que les raisons pour un avortement tardif sont : « le mode de vie précaire, une situation instable, la toxicomanie, des problèmes de santé mentale ou physique».

Gageons qu'ils n'ont jamais vu une situation stable au point de ne pas permettre un avortement, quel que soit le stade de la grossesse...

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Manifestation contre le financement de l'avortement à Montréal

Sur le site du Journal de Montréal du 17 février 2014 :

(Le gouvernement du Québec semble toujours prêt à dépenser de l'argent pour payer des avortements...)

(Photo : Diego3336 sur flickr.com, licence creative commons)

 

«La grossesse n'est pas une maladie et l'avortement, c'est la mise à mort d'un être humain. Nous demandons donc que cesse le financement public des avortements au Québec», a exigé Georges Buscemi, le président de Campagne Québec-Vie.

Et sur le site de TVA du 17 février 2014 :

Se disant outré que 26 millions $ soient dépensés annuellement au Québec pour effectuer la procédure, celui-ci affirme craindre pour la santé physique et psychologique des femmes, soutenant que les avortements peuvent engendrer des risques tels que le développement d'un cancer et le «syndrome postaortique».

Bien sûr, le journaliste de QMI va ensuite interviewer une professeure de travail social qui répétera les vieilles données de l'nstitut national de santé du Québec selon lesquelles il n'y aurait pas de lien entre l'avortement et le cancer du sein.

Et personne ne mentionnera que les deux dernières grandes études sur le sujet, l'une indienne et l'autre chinoise, dans ces pays où l'avortement est monnaie courante, confirment sans l'ombre d'un doute que l'avortement  augmente considérablement le risque pour la femme d'être atteinte d'un cancer du sein.

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À voir, une analyse rigoureuse de l'histoire et des fondements de la théorie du genre et du féminisme

De la théorie du genre au féminisme en passant pas le spécisme, des intellectuels ont complètement perdu le contact avec la réalité et tentent d'imposer leur construction virtuelle délirante... Une excellente analyse du docteur en psychologie Yann Carrière :

//www.youtube.com/embed/7VcolCsgUrY

Un féminisme et une théorie du genre imposés aux Québécois sans discussion, ni même droit de critiquer... On ne discute pas, on se contente d'enseigner, de l'école primaire à l'université...

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Plusieurs États européens tentent d'empêcher la transmission de la foi des parents aux enfants, dont l'Allemagne, la Suède...

Sur le site de ecole-libre.com, une pétition qui illustre le combat des parents français devant l'arrogance d'États qui veulent empêcher la transmission de la foi :

(Drapeau allemand : des parents mis en prison pour avoir  refusé que l'on enseigne la théorie du genre à leurs enfants)

(photo : wikipedia sans copyright)

1.    Non, nos enfants n’appartiennent pas à l’Etat
2.    Non, nous refusons l’interdiction de l’éducation à domicile
3.    Non, nous refusons la fermeture, demain, des écoles hors contrat
4.    Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par la théorie du genre


1.    Non, nos enfants n’appartiennent pas à l’Etat
Le 5 avril 2013, Laurence Rossignol, sénateur (PS), déclarait à la télévision (émission Ce soir ou jamais) : « Les enfants n’appartiennent pas à leurs parents »

Dans un entretien au Figaro (2 septembre 2012), Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, déclarait : « Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes : familial, ethnique, social, intellectuel ». Dans une lettre (4 janvier 2013) adressée aux recteurs, le même ministre précisait sa volonté de « changer les mentalités (…) notamment par le biais d’une éducation au respect de la diversité des orientations sexuelles ».
En 2010 déjà, Vincent Peillon écrivait (Vincent Peillon, Une religion pour la République, Seuil, 2010) : « La laïcité française, son ancrage premier dans l’école, est l’effet, d’un mouvement entamé en 1789, celui de la recherche permanente, incessante, obstinée de la religion qui pourra réaliser la Révolution comme promesse politique, morale, sociale, spirituelle. Il faut pour cela une religion universelle : ce sera la laïcité. Il lui faut aussi son temple ou son église : ce sera l’école. Enfin, il lui faut son nouveau clergé : ce seront les hussards noirs de la République » (ndlr : surnom donné aux enseignants).

De son côté, Christiane Taubira déclarait à l’Assemblée nationale (3 février 2013) : « Dans nos valeurs, l’Education vise à arracher les enfants aux déterminismes sociaux et religieux (…) ».

Toutes ces déclarations démontrent la volonté de leurs auteurs de nous voler nos enfants pour les endoctriner.

Nous refusons de nous laisser déposséder ainsi de nos enfants par des idéologues totalitaires.

2.    Non, nous refusons l’interdiction de l’école à domicile
Le 18 décembre 2013, huit sénateurs UMP ont déposé  une proposition de loi visant à interdire l’éducation à domicile, « sauf situation exceptionnelle liée à l’état de santé ou l’incapacité permanente ou temporaire de l’enfant ».

Le motif évoqué est notamment d’éviter que l’enfant soit soumis à un conditionnement « religieux ».
Nous refusons que les parents soient privés de leur liberté d’éduquer leurs enfants à domicile.

3.    Non, nous refusons la fermeture, demain, des écoles « hors contrat »
Accepter aujourd’hui l’interdiction de l’éducation à domicile, c’est se préparer à voir demain déposer une nouvelle proposition de loi visant cette fois à interdire les écoles « hors contrat ».

La Suède est une inquiétante illustration de ce processus. En juin 2010, au nom d’une « lutte nécessaire » contre l’éducation religieuse privée, la scolarisation à domicile et l’école libre ont été interdites à la suite du vote par le parlement suédois d’un plan draconien intitulé « The new Education Act – for knowledge, choice and security ».
Par ailleurs, en 2009, dans une affaire opposant des parents allemands à l’Etat allemand, la Cour européenne des droits de l’homme a donné raison à l’Etat allemand dans le but « d’éviter la formation de « sociétés parallèles » motivées par la religion ».

Nous refusons que les parents soient privés de leur liberté d’inscrire leurs enfants dans des écoles « hors contrat » et de les élever dans la fidélité à leur foi.

4.    Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par la théorie du genre
Depuis la rentrée scolaire de septembre 2013, dans le cadre des « ABCD de l’égalité », 500 écoles de dix académies servent déjà de lieux « d’expérimentation » d’une idéologie du genre qui s’adresse à plusieurs milliers d’élèves de la grande section  de maternelle au CM2, ainsi qu’à leurs professeurs. Selon les mots du ministre Najat Vallaud-Belkacem, l’objectif est de déconstruire les « stéréotypes de genre » et de forcer la nouvelle génération à s’interroger sur son « orientation sexuelle » ainsi que sur son « identité sexuelle ».
De son côté, le SNUipp-FSU, principal syndicat enseignant, a publié un dossier intitulé « Eduquer contre l’homophobie dès l’école primaire » préfacé par Michel Teychenné, chargé de mission de Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale. Ce dossier préconise aux enseignants en CE1 de consacrer chaque semaine un temps à un programme intitulé « Se construire comme fille ou garçon » tandis qu’en CM1 CM2 les enseignants organiseront une réflexion autour de : « tu te décides entre fille et garçon ».
Dans ce cadre, les lectures pédagogiques proposées s’intitulent notamment « J’ai deux papas qui s’aiment », « Papa porte une robe » ou encore « L’histoire du petit garçon qui était une petite fille ».
Non, nous refusons que nos enfants soient pervertis par des idéologues voulant imposer la théorie du genre.
 

Rappelons que des parents en Allemagne ont été mis en prison pour avoir refusé que leurs enfants reçoivent l'enseignement pervers de la théorie du genre,et qu'au Québec, la député Fatima Houda-Pépin demande l'interdiction de retirer un enfant d'un cours qui va à l'encontre des valeurs et de la foi des parents :

//www.youtube.com/embed/zDsWKapF4kg

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L’euthanasie ou le miracle économique du Parti Québécois

par Paul-André Deschesnes | revue Égards / Le siècle, les hommes, les idées | Mise en ligne de La rédaction, le 16 février 2014 [EXTRAITS DU NUMÉRO 42 / HIVER 2013-2014]

(Pauline Marois : une promesse n'est qu'une promesse...)

(Photo : Bouchecl sur wikimedia.org, licence creative commons)

À lire, un plus grand extrait de l'article paru dans la revue Égards

À voir, la pyramide des âges 2013 du Québec.

(...) Dans nos établissements de santé, le personnel soignant (médecins, spécialistes, infirmières, préposés) vit l’enfer au quotidien dans un climat angoissant. Le gouvernement québécois, au bord de la faillite, n’arrête pas de couper à tous les niveaux. Le système est à bout de souffle. L’anarchie et le chaos le guettent. Chaque jour les journaux et la télévision nous informent de toutes sortes d’histoires d’horreur (erreurs médicales, patients maltraités et même empoisonnés, malades qui meurent sur une civière à l’urgence après vingt-quatre heures d’attente ou qui crèvent chez eux en attendant d’être opérés, etc.). Le gouvernement rassure la population en faisant jouer sa cassette : « C’est un incident isolé ». Un peu partout, on fait maintenant appel à des bénévoles pour prendre soin des malades devant l’incapacité et le manque de volonté chroniques de l’État.

Depuis deux ans, le gouvernement annonce avec tambours et trompettes que la solution serait le maintien à domicile des malades. Mais pour réussir cet exploit, il faut des ressources et de l’aide concrète afin de leur permettre de rester chez eux en toute sécurité. Or le gouvernement de Pauline Marois, oubliant ses belles promesses, a coupé même dans les services à domicile ! Une incroyable contradiction ! Après avoir déposé son projet de loi sur l’euthanasie, le gouvernement péquiste a bien préparé la population en répétant que le budget consacré aux soins de santé était trop élevé et que ce sont surtout les personnes âgées qui en sont responsables

Depuis un an, j’ai rencontré de nombreux aînés qui ont finalement accepté l’idée de se faire euthanasier quand ils seront assez malades. J’ai compris que tous ces gens sont maintenant très résignés devant le marasme qui fait rage dans le système de santé. La peur de souffrir, d’être un poids pour la société et d’être maltraités en tombant dans les griffes d’un système aussi inhumain les rend encore plus malades. En voyant les horreurs dans les hôpitaux et les centres d’accueil, ils s’écrient : « Je ne veux pas vivre cela ! ». La perspective d’une fin de vie épouvantable les terrifie. Et ils acquiescent au projet de loi sur l’euthanasie, au grand plaisir du gouvernement.

(...)

Le Québec est parmi les populations dont le vieillissement de la population se fera le plus rapidement. Le Japon nous précède de peu dans cette expérience et leur ministre des finances ne se gêne pas d'appeler les personnes âgées à se faire euthanasier pour sauver les finances publiques!

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