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Yvon Marcoux, autre candidat s'étant opposé au projet de loi 52 (euthanasie), quitte la vie politique

Et de cinq! Voici le cinquième candidat après Henri-François Gautrin, Danielle St-Amand, Pierre Marsan, Lawrence Bergman, à quitter le navire libéral, parmi les opposants à l'euthanasie. Sur le site de journaletoile.com du 4 mars 2014 :

(Cinquième candidat contre l'euthanasie qui dit au revoir à la vie politique)

(photo :  steve.grosbois sur flickr.com, licence creative commons)

Sa décision est le fruit d’une longue réflexion à laquelle le chef du Parti libéral du Québec (PLQ), Philippe Couillard, a été confronté jeudi dernier. « Je ne crois pas que je pourrais compléter un plein mandat de quatre ans de façon adéquate. Être député ne se fait pas à temps partiel. À l’aube de mes 73 ans, je ressens maintenant le besoin de passer plus de temps avec mon épouse, mes enfants et mes petits-enfants », explique celui qui continuera d’occuper ses fonctions jusqu’à la journée du scrutin des prochaines élections.

Voir la liste des candidats opposés à l'euthanasie.

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Conçu dans le viol, un prêtre confie : « J'ai pardonné à mon père et j'ai entendu sa confession »

par Sofia Vazquez- Mellado, traduit par Campagne Québec-Vie

QUITO, Équateur, 12 février 2014 (LifeSiteNews.com) — Un prêtre équatorien a confié qu’il a été conçu lors du viol de sa mère, alors âgée de 13 ans, et que plus tard, non seulement il a pardonné à son père, mais il a entendu sa confession.

« Je pourrais être dans une poubelle, mais au lieu de cela j’ai reçu la vie », a dit le Père Luis Alfredo Leon Armijos, 41 ans, à ACI Prensa dans une interview l'année dernière.

Le prêtre a raconté que sa mère, Maria Eugenia Armijos, travaillait à faire le ménage dans une maison de Loja, en Équateur, pour aider ses parents à subvenir aux besoins de ses sept frères et sœurs. Elle n'avait que 13 ans lorsque « le propriétaire de la maison, profitant de ce qu’il était seul, a abusé d'elle, à la suite de quoi elle est devenue enceinte ».

La famille de Maria Eugenia l’a rejetée. « Ils ne voulaient pas que le bébé naisse, alors ils l'ont frappée au ventre et lui ont donné des mixtures à boire pour tenter de la faire avorter », a dit le prêtre.

La jeune fille a décidé de s'enfuir à la ville de Cuenca, où elle a donné naissance à Luis Alfredo, qui est né avec des problèmes respiratoires en raison du jeune âge de sa mère.

Après un certain temps, Maria Eugenia est revenue à Loja avec le bébé. « Elle a finalement été prise en charge par son violeur — mon père —, qui a reconnu que j'étais son fils et a dit qu'il prendrait soin de moi », a déclaré le Père Leon, « mais cela ne veut pas dire que leurs relations étaient saines ».

« Ils ont eu trois autres enfants et les liens entre moi et mon père étaient plutôt distants », a expliqué le prêtre.

À l’âge de 16 ans, le jeune Luis Alfredo a été invité au Renouveau charismatique. « J'ai eu ma première rencontre avec le Christ », dit-il.

À 18 ans, il décide d'entrer au séminaire de Loja, et il est ordonné prêtre à 23 ans, avec une permission spéciale de l'évêque en raison de son jeune âge.

Ses parents se sont séparés deux ans plus tard et sa mère lui a finalement révélé dans quelles circonstances il avait été conçu.

Le Père Leon dit qu’il s'est rendu compte que « Dieu m’a accordé de devenir prêtre non pas pour juger, mais pour pardonner. Jusqu’à présent, j'avais beaucoup jugé mon père sur tout. »

Des années plus tard, il a reçu un appel de son père qui devait se faire opérer. « Il avait peur et il m'a dit : “Je veux que tu entendes ma confession” », a déclaré le Père Leon.

« Après cela, je lui ai dit : “Papa, tu es prêt pour le Ciel, la vie éternelle,”, a expliqué le prêtre. “À ce moment, les yeux de mon père se sont remplis de larmes. ’’ »

Puis, le père de Leon a reçu la sainte Communion; cela faisait 30 ans qu’il n’avait pas communié.

« Vous pouvez finir par connaître votre propre histoire et détester votre vie », a-t-il poursuivi. « Vous pouvez juger Dieu comme je l'avais fait. Mais j'ai découvert que l'amour de Dieu avait toujours été présent, veillant sur ma vie. »

« Tout ce que j'ai reçu est don. La vie elle-même est un cadeau exquis de Dieu », a-t-il conclu.

Le Père Leon est actuellement curé de la paroisse San José à Loja, Équateur.

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Le député Bergman, qui avait voté contre l'adoption de principe du projet de loi 52 (euthanasie) quitte la vie politique

C'est le quatrième député contre l'euthanasie à quitter la politique, après Danielle St-Amand, Henri-François Gautrin, Pierre Marsan, tous du Parti libéral. Sur le site du Journal de Montréal du 5 mars 2014 :

(photo : wikimedia sans copyright)

Selon les informations du Journal, le député libéral Lawrence Bergman annoncera son départ de la vie politique, laissant du même coup vacant un véritable château-fort libéral.

Ministre du Revenu sous Jean Charest, M. Bergman représente la circonscription de D’Arcy-McGee depuis 1994.

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La charte de la laïcité du Parti Québécois doit être combattue par toute personne respectueuse de la liberté

(« Moi, je ne crois pas en Dieu. Je ne crois pas en un au-delà. Je ne crois pas aux dieux traditionnels. Il y a sûrement quelque part une force qui nous dépasse, mais je crois que ça s'arrête quand on meurt. » Pauline Marois cité dans Paroles de femmes, éd. Québec Amérique, 2003, p.174)

(Photo :Cette image est tirée d'une capture d'écran d'une vidéo contenant une notice spécifiant que les droits d'auteur appartiennent à Les Productions TI, qui sont un service à l'intérieur du Parti québécois. Bien que la licence CC ne soit pas mentionnée dans la vidéo elle-même, une copie de la vidéo a été placée sur le compte youtube du Parti Québécois avec une licence Creative Commons Attribution 3.0.

Capture d'écran faite par l'utilisateur Samounet. )

Pauline Marois veut interdire le port de signes religieux dans la fonction publique. Certains aimeraient l’obliger à porter un signe indiquant son athéisme qu’elle affiche publiquement. Deux positions absurdes qui s’attaquent à la liberté de conscience et de religion. Deux positions qui n’ont rien à voir avec la laïcité qui est neutralité, tant que soit possible et juste, de l’État.

L’expression visible ou la discrétion sur ses croyances relève de la liberté de chacun. Et considérer qu’un signe exprimant son appartenance religieuse soit, en soi, négatif, marque déjà un préjugé à l’encontre des croyants et de la foi en général : la visibilité de la foi serait en elle-même une tare que l’on tolère dans la rue, mais que le gouvernement ne peut accepter dans ses institutions parce que le signe religieux en lui-même serait une agression pour celui qui le voit.

Le gouvernement donne ici une signification prosélyte au signe religieux. Ce qu’il n’est pas. Le croyant qui porte un signe ne pense pas pouvoir forcer quiconque à se convertir à sa religion. La laïcité ne saurait taire les valeurs qu'il tente de communiquer par ce qu'il porte.

Le laïcisme, oui. Parce que le laïcisme se fonde sur la réaction outrée de fanatiques qui ne peuvent accepter que quiconque manifeste des croyances religieuses autres que les siennes. Et, cela est triste à dire, mais c’est la réalité, on retrouve ce type de fanatisme au Québec principalement chez les croyants de religion athée ou chez les agnostiques.

Plus que l’intégrisme musulman, le Québec est étouffé par un intégrisme athée et matérialiste. C’est le principal danger religieux qui guette le Québec.

On le voit avec cet individu du mouvement laïque québécois qui veut empêcher un conseil de ville de réciter une prière, dans le désir de retirer le crucifix de l’Assemblée nationale, dans cette volonté de faire disparaître la musique de Noël et l’interpellation même de Joyeux Noël de la vie des 83 % de chrétiens qui constituent la population québécoise.  

Ces manifestations d’intolérance bornée proviennent de la mouvance « mouvement laïque québécois ». Et c’est cette mouvance venue d’un autre âge qui inspire le texte de la charte des valeurs québécoises.

Et ici, je voudrais faire prendre conscience à plusieurs chrétiens que le débat repose sur le port d’un signe identifiant une appartenance religieuse, et non pas sur la question d’une représentation par l’image du Christ.

Parce que certains éprouvent de la sympathie pour cette mesure qui empêcherait la représentation du Christ sur la croix, qu’ils proscrivent selon leur interprétation de la Bible.

Il faut rappeler que l’interdiction de la charte de la laïcité repose sur le signe, l’identifiant, et que ce signe qui pourrait être tout à fait acceptable pour certains serait lui aussi interdit dans toute la fonction publique, que le fonctionnaire travaille auprès du public ou pas. Et que cette interdiction donne le message gouvernemental que le signe religieux est un mal en soi que l’État ne peut accepter dans ses bureaux, mais qu’il est possible de tolérer dans la rue…

Ce n’est pas un hasard si de nombreuses agressions verbales envers les croyants visibles ont eu lieu après le début du débat. Les fanatiques considéraient alors que l’État justifiait leur animosité envers les croyances religieuses autres que le matérialisme.

La charte de la « laïcité » contrevient donc à la laïcité qui est impartialité dans la mesure du possible de l’État par rapport aux différentes religions et non pas l’imposition d’une religion, le matérialisme athée, se pratiquant par une absence de toute référence à la transcendance, et dans sa forme intégriste, par l’interdiction de ces références.

La première ministre Pauline Marois en a fait une démonstration éloquente en témoignant de la fierté que lui apportait son athéisme, tout en voulant interdire les manifestations d’autres religions chez les fonctionnaires de l’État.

Non, appuyer la charte de la « laïcité » n’est pas possible pour un chrétien, ni même pour quiconque veut respecter la Déclaration des droits de l’homme :

Article 18

Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion; ce droit implique la liberté de changer de religion ou de conviction ainsi que la liberté de manifester sa religion ou sa conviction seule ou en commun, tant en public qu'en privé, par l'enseignement, les pratiques, le culte et l'accomplissement des rites.

Article 19

Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considération de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit.

Article 21

1. Toute personne a le droit de prendre part à la direction des affaires publiques de son pays, soit directement, soit par l'intermédiaire de représentants librement choisis.

2. Toute personne a droit à accéder, dans des conditions d'égalité, aux fonctions publiques de son pays. (...)

Si le président Obama a le droit de demander que « Dieu bénisse l’Amérique », pourquoi un fonctionnaire, dans un pays reconnaissant la suprématie de Dieu, ne pourrait-il pas indiquer son amour de Dieu? Et en quoi cela pourrait-il être dangereux?

Si la sécurité et l'éthique sont respectées, le port d’un signe religieux ne peut être un problème que pour les fanatiques partisans du laïcisme, les partisans d’une charte de la « laïcité » qui ne respectera l’expression pratique que d’une seule religion : le matérialisme athée de Pauline Marois.

Voilà une raison supplémentaire, en plus du danger du retour de l'euthanasie, de ne pouvoir voter, même si l'on est souverainiste, pour le Parti Québécois.

Pour une réflexion complémentaire sur la restriction des droits relligieux par des députés québécois, cliquez ici.

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Bulletin CQV du mois de mars -- carême, élections et campagne de définancement

Beaucoup de nouvelles à vous donner en ce temps de carême, temps où, à l’instar de Jésus qui se retira dans le désert, nous nous dépouillons des distractions mondaines pour pouvoir mieux fixer notre regard sur l’essentiel.

Et quel est cet « essentiel » ? C’est que la mort a été défaite, par un Dieu qui nous aime. Pour participer à sa victoire, nous n’avons qu’à nous associer à lui – à le suivre et à l’imiter. Qu’est-ce qu’il a fait ? Il s’est anéanti, a pris la forme d’un esclave, jusqu’à mourir sur une croix.

Si nous voulons prendre part au Festin de la vie éternelle qui nous est préparé, par reconnaissance envers ce Dieu qui nous a sauvés, nous devons nous aussi renoncer à nous-mêmes et servir notre prochain jusqu’à l’anéantissement de notre personne.

En 2014, au Québec, quelle voie plus parfaite de renonciation que celle d’être pro-vie ? Qui est plus méprisé et marginal que l’enfant à naître ? Même les lépreux du temps de Jésus étaient tant bien que mal nourris, tandis que l’enfant à naître (et bientôt, les personnes vulnérables, handicapées ou autres, visées par l’euthanasie) n’est même pas reconnu comme une personne à part entière. Pour la société contemporaine, nous associer à lui relève de la folie.

Campagne de définancement de l’avortement

Comme vous pourrez lire dans le bulletin, le lancement de notre campagne de définancement de l’avortement a reçu une bonne couverture médiatique. Maintenant, nous passons à la prochaine étape, celle de la sensibilisation publique. Nous avons besoin de votre collaboration !

Dans cet envoi vous trouverez une pétition que nous présenterons à l’Assemblée nationale et que vous pouvez photocopier au besoin et faire signer par vos connaissances, paroissiens, etc.

Vous trouverez aussi une affiche pour faire la promotion de notre campagne et de la série de « mini-manifs » devant divers bureaux de circonscription du Québec que nous organisons pour le 23 septembre 2014. (Important: les mini-manifs étaient sensé avoir lieu le 10 avril mais ont été reporté au 23 septembre à cause de l'élection.)

Nous vous encourageons à faire connaître autour de vous cette campagne de définancement. Pour ce faire, vous pouvez nous commander des dépliants sur la campagne de définancement que nous vous enverrons gratuitement par la poste. Ces dépliants pourront être placés dans des présentoirs, distribués lors de rencontres, déposés dans des boîtes postales, etc.

Pour plus de renseignements sur notre campagne et sur les mini-manifs, consultez le www.campaignlifecoalition.com/nonFinancementQC

Victoire temporaire contre l’euthanasie

Comme vous pourrez le lire dans le bulletin, la culture de mort a subi un revers le 20 février lorsque le temps a manqué à l’Assemblée nationale pour adopter le projet de loi 52 (euthanasie). Et avec le déclenchement des élections, le projet de loi dans sa mouture courante est mort au feuilleton. Un bonne nouvelle ! Mais ce n’est qu’un revers temporaire, car les pro-euthanasie reviendront à l’assaut dès qu’un nouveau gouvernement sera constitué.

40 jour pour la vie

La vigile des 40 jours pour la vie sera de nouveau présente devant l’avortoir Morgentaler à Montréal du 5 mars au 13 avril. Nous serons campés en face du 30 Saint-Joseph Est de 7h00 à 19h00 durant 40 jours pour prier pour la fin de l’avortement. Si vous êtes à l’extérieur de Montréal, avez-vous pensé faire un « pèlerinage » aux 40 jours pour la vie? D’autres l’on fait. Ils passent quelques journées à Montréal et viennent quotidiennement prier devant l’avortoir. C’est une très belle activité de carême. Pour les femmes, il y a à deux pas les Sœurs franciscaines de Marie qui offrent hébergement et nourriture à prix très raisonnables. Pour les hommes, il y a d’autres possibilités tout aussi bonnes. Vous pouvez nous appeler pour plus de détails.

Congrès de Campagne Québec-Vie – célébration de notre 25e anniversaire

Notre congrès 2014 se tiendra cet automne. En après-midi se tiendra le congrès et en soirée nous aurons un souper pour commémorer 25 ans de combat pour la Vie. J’espère vous voir à cet événement ! Plus de détails à suivre.

Pour la Vie,

Georges Buscemi, Président

P.S. En ce temps de carême, merci de prier et de donner tout ce que vous pouvez pour que nous puissions mener à bien nos campagnes pour le redressement moral et spirituel du Québec !
 

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Votons pour le meilleur candidat pro-vie!

Ça y est, nous sommes en campagne électorale et la première ministre Marois a enfin visité le lieutenant gouverneur pour dissoudre l’assemblée et faire tomber le projet le projet de loi 52, le temps des élections.

Philippe Couillard a promis de reprendre ce projet de loi s’il est élu premier ministre, le Parti Québécois fera certainement de même pour son projet mortifère chéri et François Legaut s’est toujours prononcé pour l’euthanasie.

Il n’est donc pas possible de voter pour un parti susceptible de prendre le pouvoir en tant que tel puisque les trois chefs sont partisans de l’élimination « volontaire » des personnes vulnérables en « fin de vie ». Qui a dit qu’ils ne se préoccupaient pas d’économies à faire?

Il reste les candidats. Malheureusement pour les partisans de l’option souverainiste, option tout aussi respectable et légitime que le fédéralisme, le Parti Québécois a imposé une ligne de parti à ses députés les empêchant de voter contre l’euthanasie. Aucun député du Parti ne s’est opposé à cela et il est fort probable qu’un nouveau candidat du PQ n’osera élever la voix sur le sujet. Le Parti Québécois a l’habitude d’éliminer les candidats à la députation pro-vie au départ.

De même pour Québec Solidaire et Option nationale qui ont des prises de position semblables sur le sujet.

Si vous connaissez des exceptions à ce qui semble être la règle dans ces partis, merci de nous faire parvenir cette information.

Pour un pro-vie, même souverainiste, ce sont au départ trois partis à rejeter.

Il ne reste que le parti conservateur du Québec dont le chef Adrien Pouliot est pro-euthanasie et le parti libéral des trois médecins fervents partisans de l’euthanasie : Philippe Couillard, Yves Bolduc et Gaétan Barrette, trois candidats à faire battre aux élections, et les partis moins connus.

Pour ce qui est du Parti Libéral du Québec et de la CAQ, 20 candidats (Fatima Houda-Pépin est maintenant candidate indépendante) sont officiellement contre l’euthanasie, soit, ces députés qui ont voté contre l’adoption de principe du projet de loi 52 :

CONTRE — 21 Pierre Arcand (PLQ) (Mont-Royal)

Robert  Dutil (PLQ) (Beauce-Sud)

Nicole Ménard (PLQ) (Laporte)  

Norbert  Morin (PLQ) (Côte-du-Sud)

Micheline C. St-Laurent (CAQ) (Montmorency)

Stéphane Billette (PLQ) (Huntingdon)

Sam Hamad (PLQ) (Louis-Hébert) 

Guy Ouellette (PLQ) (Chomedey)

Christine St-Pierre (PLQ) (Acadie)

Marguerite Blais (PLQ) (Saint-Henri-Sainte-Anne)

Fatima Houda-Pepin (Indépendante) (Lapinière)

Pierre  Paradis (PLQ) (Brome-Missisquoi)

Lise Thériault (PLQ) (Anjou-Louis-Riel)

Lucie Charlebois (PLQ) (Soulanges)

Laurent Lessard (PLQ) (Lotbinière-Frontenac)

Robert  Poëti (PLQ) (Marguerite Bourgeois)

 Kathleen Weil (PLQ) (Notre-Dame-de-Grâce)

Jean D'Amour (PLQ) (Rivières-du-Loup-Témiscouata)  

Filomena  Rotiroti (PLQ) (Jeanne-Mance-Viger)

Jean-Paul Diamond (PLQ) (Maskinongé)

Gerry Sklavounos (PLQ) (Laurier-Dorion)

Il nous faut ajouter à ces candidats, les candidats du Parti Unité Nationale qui sont tous de fervents pro-vie :

Andrzej Jastrzebski

Brian Jenkins

Christine Lavoie (Bellechasse)

Daniel Lachance (Charlesbourg)

Gilles Guibord

Gilles Noel (St-Maurice)

Lionel Lambert (St-François)

Lise Gaudette

Oxana Vassiltchenko

Paul Biron (Lévis)

Robert Dufour

N’hésitez pas à nous faire connaître les candidats indépendants pro-vie et des petits partis. Il faut noter que les candidats libéraux contre l’euthanasie s’opposent également à la charte de la laïcité (laïcisme) du parti québécois. Et que Fatima Houda-Pépin a des positions tout aussi fanatiques que le parti québécois sur ce sujet.

Les évêques catholiques du Québec se sont déjà prononcés contre cette charte qui attaque la liberté religieuse des Québécois sous le prétexte non-dit de combattre l’invasion d’un intégrisme musulman ... Si le véritable combat de la charte était de combattre l’intégrisme, il aurait été plus simple de le faire directement, plutôt que de s’attaquer à toutes les religions et à la liberté de conscience. Nous reviendrons sur le combat de la charte dans un texte ultérieur.

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Développement et Paix financerait toujours des groupes faisant la promotion du « droit » à l'avortement...

D'autres organismes d'aide aux pays en développement existent... Le choix ne manque pas en ce temps de carême où les chrétiens sont appelés à encourager des organismes de charité. Aussi bien en choisir un qui ne fait pas de compromis sur la vie! Vous pouvez consulter une liste d'organismes dignes de confiance en cliquant ici.

(Photo : DIGITALAIN sur flickr.comlicence creative commons)

Sur le site LifeSiteNews du 4 mars 2014 (traduction CQV):

PAR PETER BAKLINSKI

4 mars 2014
Coécrit par Patrick Craine

MONTRÉAL, Québec, le 4 mars 2014 (LifeSiteNews.com) — L’organisme de bienfaisance des évêques canadiens Développement et Paix est prêt à lancer son fameux « Carême de partage » mercredi, une campagne servant à amasser des fonds pour des projets humanitaires dans le monde en développement. Parmi les bénéficiaires énumérés sur son site, il y en a un qui milite pour des « services complets d'avortement » en Zambie. Après que LifeSiteNews ait souligné la nature proavortement du groupe aux évêques et aux fonctionnaires de D & P fonctionnaires, la preuve du partenariat a été retirée du site Web de D & P.

D & P continue de présenter son partenariat avec un groupe au Cambodge et un autre en Haïti qui favorisent l'avortement et la contraception, comme révélé par LifeSiteNews dans de précédents rapports.

Le partenaire de la Zambie, les femmes pour le changement, se décrit comme une organisation non gouvernementale « axée sur le genre » (ONG) visant à « parvenir à un développement humain durable et l'éradication de toutes les formes de pauvreté. » Dans le même temps, cependant, le groupe affirme sur son site Web qu'il milite pour « l'accès des femmes à la santé reproductive », déplorant « l'avortement à risque » et d'autres facteurs qui « augmentent le risque de décès maternels » tel que « l'absence de lois et de politiques appropriées qui favorisent l'accès des femmes à la santé reproductive et à de services complets d'avortement, y compris la contraception. »

WFC affirme également avoir un partenariat avec Ipas , l'un des principaux fournisseurs de l'avortement dans les pays en développement, sur un projet de promotion des « droits de la santé sexuelle et reproductive. “L'année dernière, un travailleur de terrain canadien de WFC a blogué sur le travail avec Ipas sur un projet visant à améliorer ce qu'elle appelle ‘l'accès à des droits sexuels de santé de la reproduction’ pour les femmes zambiennes. (...)

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Il sera toujours impossible dans l'Église catholique pour les divorcés remariés de communier

(L'humilité de l'homme et de la femme est importante pour l'unité des époux.)

(Photo : R Neil Marshman sur wikimedia.org, licence creative commons)

Le mariage est le fondement de la famille. Il est indissoluble selon la promesse même des époux qui consentent librement à se donner l’un à l’autre pour la vie.

Il peut arriver (violences) qu’une séparation de corps soit nécessaire sans rupture du lien matrimonial, mais le divorce, lui, n’existe qu’au prix d’un mensonge. Celui de renier sa promesse de se donner pour le meilleur et pour le pire.

Si un mariage est valide, il est intrinsèquement indissoluble.

Depuis des années, les adeptes de la pastorale de la tripe molle font pression pour que l’Église choisisse de se donner une apparence de miséricorde et de bonté en acceptant la communion des divorcés remariés, comme si leur état n’était pas le signe d’un refus de la volonté de Dieu sur le mariage.

Il serait possible aux divorcés remariés de faire semblant d’être en communion avec l’Église malgré leur clair refus d’obéir aux demandes du Christ.

Il faut redire ici que la vérité est le début de la charité et que cette dernière n’est pas possible sans elle.

Que des divorcés remariés se sentent repoussés dans l’Église catholique est inacceptable. Nous sommes tous des pécheurs sauvés par le Christ. Cela ne veut pas dire qu’il faille faire semblant qu’il n’existe aucune demande sérieuse du Christ qui, si refusée, rompe la communion avec le Dieu fait homme.

La pastorale d’accueil doit travailler à ce que soit reconnu le droit pour tous les pécheurs de n’être jugés par personne. Et le droit également de compter sur la prière de toute la communauté chrétienne pour que notre vie soit toujours plus conforme à la volonté de Dieu.

Dans cette pastorale, la vérité permet à chacun de cheminer, non pas en déniant ses péchés, mais en les combattant.

Le couple divorcé remarié, n’ayant pas la force de se séparer, dans des situations combien difficiles lorsqu’il y a de jeunes enfants nés de cette fausse union, doit pouvoir compter sur la prière et le soutien de la communauté chrétienne qui se fera justement rappeler à son devoir par l’impossibilité visible de ce couple de participer à la communion sacramentelle.

L’absence de fausse compassion permet d’apporter le remède de la prière et de la pénitence qui tôt ou tard portera ses fruits de réconciliation et de communion profonde avec le Christ et avec l’Église, corps du Christ.

Il est nécessaire que le couple divorcé remarié participe à la célébration dominicale et soit déjà en communion spirituelle avec le Christ et la communauté par ce désir de communion effective, signe d’une communion de volonté et d’actions.

Et le fait que tant de chrétiens aient délaissé la messe dominicale doit nous questionner sur le jugement ressenti par les chrétiens en état de péché grave. Le jugement porté dans nos cœurs est l’une des premières causes d’éloignement de chrétiens de l’Église. (Tout comme le jugement porté sur les jeunes mères célibataires en Afrique par exemple y est la première cause d’avortement.) Et c’est à cela que nous devons remédier. Et non pas procéder à une caricature de communion des cœurs qui ne serait qu’une hypocrisie.

La pastorale véritablement aimante est intrinsèquement liée à la doctrine.

Par contre, la pastorale de la tripe molle qui se veut une comédie fangeuse d’apparente « compassion » et « miséricorde », servant surtout à renoncer à l’appel à la conversion jugé sévèrement par l’esprit du monde, ne sert justement qu’à offrir une image d’une supposée bonté à cet esprit du monde qui refuse la vérité.

La « théologie de la carpette » comme l’appellent certains : la quête de cette petite tape dans le dos d’un monde qui n’a rien à f… du Christ, de la Vérité, de la loi naturelle qu’Il nous a donnée.

Le cardinal Muller a cru bon de revenir sur cette question dernièrement, qui fait polémique dans les contrées où les chrétiens ne connaissent plus l’enseignement du Christ. Sur le blogue de Jeanne Smits du  27 février 2014 :

Le préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la foi a souligné de nouveau que permettre à des catholiques mariés, divorcés et remariés civilement de s'approcher de la communion porterait gravement atteinte à l'institution du mariage elle-même. « Le dogme de l'Église n'est pas n'importe quelle théorie fabriquée par quelques théologiens, il s'agit de la doctrine de l'Église, rien de moins que la parole de Jésus-Christ, qui est très claire. Je ne peux pas changer la doctrine de l'Église », a déclaré le cardinal Müller.

(…)

« Nous ne pouvons pas amoindrir la révélation et la parole de Jésus-Christ parce que tant de catholiques ne connaissent pas la réalité. » « Nombreux sont ceux qui ne participent pas à la messe dominicale parce qu'ils ne connaissent pas sa valeur pour leurs vies. Nous ne pouvons pas dire, par voie de conséquence, que la messe est moins importante! Ce serait un paradoxe si l'Église disait, parce que tous ne connaissent pas la vérité, que la vérité n'est pas obligatoire pour l'avenir. »

La Vérité nous rendra libre!

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Décriminaliser la drogue ou la combattre toujours plus férocement?

Sur le site du journal La Presse du 3 mars 2014, Patrick Lagacé raconte cette histoire connue, qui se répète inlassablement :

(Photo : Hakim_Bey sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

(...)Martin* est assis devant moi, dans la cafétéria de La Presse. Un père de famille aisé, à l'aube de la cinquantaine.

En deuxième année du cégep, Christophe a organisé une fête à la maison. Martin et sa femme Julie y étaient. Ce soir-là, c'était évident comme le nez au milieu du visage: Christophe était high. Il avait consommé de la drogue. «Il était, dit Martin, anormalement de bonne humeur.»

Qu'avait pris Christophe, ce soir-là?

Pot, speed. Peut-être autre chose.

L'essentiel, c'est que dans les jours qui ont suivi, le comportement de Christophe a changé radicalement.

Problèmes de sommeil. Nuits blanches. Bonne humeur excessive. Propension, dans les conversations, à passer du coq à l'âne.

Puis, un après-midi, deux semaines après ce party fatidique, appel du cégep. Christophe avait volontairement déclenché les systèmes d'alarme de l'édifice.

Martin a rappliqué, en panique. «Christophe n'était pas «là», il n'était pas lui-même.»

Christophe s'est retrouvé dans un hôpital psychiatrique, où on lui a diagnostiqué un syndrome bipolaire. (...)

Un témoignage parmi tant d'autres ou une consommation de drogue suffit pour déclencher psychoses et troubles de la personnalité. Et notre Justin Trudeau national veut décriminaliser la marijuana au pays...

S'il existait un gouvernement qui eut intérêt à corrompre ses gouvernés, il n'aurait qu'à encourager l'usage du Haschich.

Celui qui aura recours à un poison pour penser ne pourra bientôt plus penser sans poison.

Peut-on affirmer qu'un homme incapable d'action, et propre seulement aux rêves, se porterait vraiment bien, quand même tous ses membres seraient en bon état.

Le haschisch,  comme toutes les joies solitaires, rend l'individu inutile aux hommes et la société superflue pour l'individu.

Charles Baudelaire

On ne peut pas jouer avec la santé des gens. Le cannabis est reconnu pour affecter le cerveau et amener des troubles de la mémoire à court terme, de la perception, du jugement et des capacités motrices.

À lire, les nombreux témoignages de lecteurs qui suivent les deux articles de Patrick Lagacé sur le sujet.

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Bonne nouvelle! La campagne électorale débute demain! Confirmation de la mort du projet de loi 52!

(La députée Christine St-Pierre s'est prononcée contre le projet de loi 52.)

(Photo : Simon Villeneuve sur wikimedia.orglicence creative commons)

Sur le site du journal Le Devoir du 4 mars 2014 :

Québec — La première ministre, Pauline Marois, demandera mercredi au lieutenant-gouverneur Pierre Duchesne de dissoudre l’Assemblée nationale du Québec. Les Québécois iront aux urnes le lundi 7 avril. 

La bataille n'est pas finie. Il ne faut rien lâcher. Il faut travailler à faire battre tous les députés actuels du Parti Québécois et de Québec Solidaire, ceux de la CAQ exception faite de Michelyne C. St-Laurent, qui ont endossé l'élimination par euthanasie des personnes vulnérables et qui veulent « ressusciter » ce projet le plus tôt possible, dont Philippe Couillard.

Et il faut soutenir la vingtaine de députés libéraux qui ont  voté contre. Pour consulter cette liste, cliquez ici.

À noter, trois députés contre l'euthanasie ne se représenteront pas, Henri-François Gautrin, Danielle St-Amand et Pierre Marsan.

Aussi, il faut rappeler que les députés libéraux sont contre la charte des valeurs du Parti Québécois.

Il faut également regarder du côté des candidats indépendants s'il y a de meilleurs choix.

Mais le Parti Québécois et Québec Solidaire qui obligent leurs candidats à voter pour l'euthanasie ne peuvent en aucune façon recevoir notre soutien.

Il nous  faut rappeler ici les principes non négociables lors d'une élection :

Parmi ceux-ci, les principes suivants apparaissent aujourd'hui de manière claire :

1 — la protection de la vie à toutes ses étapes, du premier moment de sa conception jusqu'à sa mort naturelle;  

2— la reconnaissance et la promotion de la structure naturelle de la famille — comme union entre un homme et une femme fondée sur le mariage — et sa défense contre des tentatives de la rendre juridiquement équivalente à des formes d'union radicalement différentes qui, en réalité, lui portent préjudice et contribuent à sa déstabilisation, en obscurcissant son caractère spécifique et son rôle social irremplaçable;  

3— la protection du droit des parents d'éduquer leurs enfants.  

Ces principes ne sont pas des vérités de foi, même s'ils reçoivent un éclairage et une confirmation supplémentaires de la foi; ils sont inscrits dans la nature humaine elle-même et ils sont donc communs à toute l'humanité. L'action de l'Église en vue de leur promotion n'est donc pas à caractère confessionnel, mais elle vise toutes les personnes, sans distinction religieuse. Inversement, une telle action est d'autant plus nécessaire que ces principes sont niés ou mal compris, parce que cela constitue une offense contre la vérité de la personne humaine, une blessure grave infligée à la justice elle-même.

Nous devons nous renseigner sur les choix de chacun des candidats de nos circonscriptions.

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