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Euthanasie sans souffrance? Qui peut être certain qu'une injection létale tue rapidement et sans douleur?

Sur le site du journal Le Devoir du 30 avril 2014. Voici le résultat d'une injection létale sur un condamné à mort, cette semaine aux État-Unis :

(Devra-t-on se poser cette question bientôt : chambre d'hôpital ou chambre d'injection létale?)

(Photo : wikimedia.org, sans copyright)

(...)À 18h23, dix minutes après avoir reçu une injection létale, Clayton Lockett a été déclaré inconscient (...)

(...) trois minutes plus tard, sa respiration s'est agitée, ses muscles se sont contractés et il a serré les dents, en tentant de relever sa tête de l'oreiller.

Le directeur de la prison d'État a alors ordonné la fin de la procédure et la fermeture des stores de la salle d'exécution afin que les témoins assis dans une salle voisine ne puissent plus voir l'agonie.  (...)

Le patient est mort 43 minutes après, d'une crise cardiaque, et son avocat affirme que son agonie fut horrible à voir... Heureusement qu'on l'avait déclaré inconscient!

 

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Nouvelles dénonciations de Lise Ravary et Denise Bombardier des Québécois s'achetant des bébés fabriqués en Inde...

Sur le site du Journal de Montréal du 30 avril 2014, l'article de Denise Bombardier « Bébés québécois fabriqués en Inde » dont voici un extrait :

(Photo : Asclepias sur wikimedia.org, licence creative commons)

 

 

 

 ils placent des embryons dans l’utérus de deux ou trois mères porteuses, des couveuses à vrai dire, qui vivent toute leur grossesse dans des centres réservés à cette fin. (...)

Il arrive que toutes les femmes qui ont reçu ces embryons tombent enceintes, auquel cas l’on en avortera une ou deux selon le désir des « clients » d’avoir un ou deux enfants.

De l'esclavage « patenté » au Québec.

Et l'article de Lise Ravary « Qui se tait consent » dont voici un extrait :

Coût de l’opération? Environ 70 000 $ US. La mère porteuse reçoit 4000 $. L’histoire ne dit pas combien sont payées celles qui doivent avorter.

En janvier 2013, le gouvernement indien a interdit le recours aux mères porteuses pour les couples homosexuels, mais la loi, dit-on, est facilement contournée.

(...)

Comme le soulignait le propriétaire d’une agence de Boston qui organise ces voyages au magazine français Le Nouvel Observateur : «Avec 250 millions de pauvres, l’Inde offre un vivier illimité de femmes.» Sans compter toutes celles qui se font bourrer d’hormones pour produire les ovules utilisés par ces cliniques. 

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Quelle est votre décision? Deux anecdotes sous forme de questions...

Deux anecdotes sur le site cai.org

(Ethel Waters)

(Photo : wikimedia sans copyright)

 

 

 

- Le père a la goutte, la mère la tuberculose. Ils ont quatre enfants. Le premier est aveugle, le deuxième est mort, le troisième est sourd et le quatrième a la tuberculose. Elle découvre qu'elle est enceinte à nouveau. Compte tenu de la situation extrême, pourriez-vous envisager de recommander l'avortement ?

- Un homme blanc a violé une fillette noire de treize ans et elle est tombée enceinte. Si vous étiez ses parents, pourriez-vous envisager de recommander l'avortement ?

Les personnes qui ont répondu oui à ces questions ont fait disaparaître Beethoven et la chanteuse de Gospel Ethel Waters qui fait partie du Grammy Hall of Fame Award (1998).

Tout enfant est unique au monde et a autant de valeur que tout autre, mais pour faire comprendre à certains que ces enfants avortés apportaient quelque chose que personne ne pourra remplacer, il est important de raconter ces anecdotes.

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Elle renonce à avorter grâce aux coups de pied ressentis dans son ventre

Sur le site de media-presse.info du 28 avril 2014 :

(Photo : The Daring Librarian sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

Josie Cunningham, la vedette de téléréalité britannique qui allait avorter pour participer à une série d’émissions télévisées, a changé d’avis après avoir ressenti les coups de pied de son enfant dans son ventre. 

« Je pensais vraiment que j’en serais capable, mais je n’ai pas pu. J’ai senti le bébé bouger pour la première fois 24 heures avant et je ne pouvais plus m’ôter cette sensation de la tête  » (...)

«J’étais dans le taxi sur le chemin de la clinique et je me sentais physiquement malade», a déclaré Josie Cunningham. « Lorsque le chauffeur m’a dit que nous étions à environ une minute du centre d’avortement, j’ai commencé à pleurer. Je voulais me jeter hors de la voiture. J’ai mis mes mains sur mon ventre et je me suis senti plus forte, je ne pouvais pas permettre à quiconque de porter atteinte à mon bébé « . (...)

Des photos envoyées à Josie Cunnigham lui ont fait prendre conscience également de la réalité de l'enfant à naître.

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Pays-Bas : des pharmaciens refusent de collaborer avec les médecins euthanasistes.

Sur le site de genethique.org du 28 avril 2014 :

(Photo : flightlog sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Certains pharmaciens s'y refusent parce qu'ils ne connaissent pas le médecin qui a approuvé l'euthanasie, d'autres parce qu'ils ne sont pas favorables à une euthanasie pour démence ou dépression. Le porte-parole de l'Association des pharmaciens précise: "Une pharmacie n'est pas une boutique qui ne fait que délivrer des doses mortelles". 

Tous devront refuser de participer à l'euthanasie des patients si un jour le gouvernement du Québec la permet.

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Quelques réflexions de la chroniqueuse Lysiane Gagnon sur les mères porteuses

Sur le site du Journal La Presse du 29 avril 2014 :

(L'adoption à la naissance est un choix intelligent qu'on semble trouver partout, sauf au Québec.)

(Photo :  hbimedialibrary sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

Le «droit à l'enfant» est une fiction. Ce qui n'en est pas une, c'est le droit de l'enfant de connaître ses origines, (...)

Il y a d'autres façons de combler ses désirs de parentalité que le recours à la fertilisation in vitro. La plus sensée passe par l'adoption - il y a des milliers d'enfants, à travers le monde, qui n'attendent qu'une famille. (...)

Et si l'on cessait les avortements au Québec?

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Excellents textes de Lise Ravary, Mathieu Bock-Côté et autres chroniqueurs aujourd'hui sur les mères porteuses

Sur le site du Journal de Montréal du 28 avril 2014, un texte de Lise Ravary, « Et les droits des enfants, bordel ? », à lire en entier. En voici un extrait :

(Photo : Louperivois sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 

(...)

Une blessure irréparable

Il faut peut-être savoir, d’expérience, à quel point les êtres coupés de leurs origines souffrent de ne pas savoir qui les a conçus, qui sur la planète a les mêmes yeux, la même morphologie, le même tempérament qu’eux, pour savoir que le droit de l’enfant à ses origines passe avant le prétendu droit à l’enfant.

L’identité d’un être humain commence dans les gènes de ses ancêtres. Pour les orphelins génétiques, c’est ainsi qu’on nous appelle, le passé n’est qu’un grand trou noir au fond duquel, trop souvent, ils échouent.

Autrefois, seuls les adoptés cherchaient, souvent avec la force du désespoir, leurs parents biologiques. Mais les adoptés savent que leur vide identitaire résulte d’un accident de la vie dont ils ont été rescapés, dans leur intérêt supérieur. Mais est-il dans l’intérêt supérieur de l’enfant de naître sans héritage biologique et génétique pour satisfaire le désir d’enfant chez l’adulte?

Les êtres humains ne surgissent pas d’une fiole livrée par Fedex et d’un ventre emprunté pour l’occasion.

La société a des devoirs face à ces enfants du «progrès». Il faudra plus qu’une nouvelle Claire Lamarche pour les aider à répondre à la question qui tue en dedans quand la réponse ne vient pas: «Qui suis-je?»

(...)

Sur le site du Journal de Montréal du 28 avril 2014, l'article « Comment fait-on les bébés ? » de Mathieu Bock-Côté :

 Mais qu’en est-il de l’enfant, ici? Doit-on le considérer comme un produit de consommation?

On nous dira aussi: si une femme décide d’être mère porteuse, de quel droit l’en empêcherait-on? En quoi la société pourrait-elle bloquer ses choix? Derrière cela, on retrouve la figure d’un individualisme si radical qu’il en est devenu pathologique. La société doit accommoder ses caprices, quels qu’ils soient. Et ces caprices, on les présentera comme des droits fondamentaux.

Sur les coût exorbitants de la fécondation in vitro, un article d'Esther Bégin, « In vitro : nos impôts servent à « ça » ? », sur le site du Journal de Montréal du 28 avril 2014 :

La fécondation in vitro devait coûter à l’origine aux Trésors publics 63 millions de dollars de 2010 à 2015. Mais ses coûts ont vite explosé. En 2012, trois hôpitaux montréalais réclamaient pour eux seuls 123 millions pour implanter le service.

(...)

On apprenait la semaine dernière que le déficit du Québec pour l’année 2014-2015 sera bien pire que le 1,75 milliard prévu. Pour reprendre le contrôle des dépenses, il faut faire des compressions de 3,7 milliards, maintenant, là, là…

(...)

Alors, bien sûr, vous me voyez venir… Dans un tel contexte budgétaire, avons-nous les moyens de payer pour toute personne ou tout couple –homosexuel ou non- en mal d’enfants à tout prix ? Chaque bébé-éprouvette coûte environ 43 000 dollars à l’État québécois.

Est-ce que nos impôts doivent servir à « ça » ?

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Exemple d'un site internet de sélection d'enfants

Voici le questionnaire à remplir pour choisir le donneur de sperme ou d'ovules pour la fabrication de votre enfant. Sur le site nwcryobank.com :

(Les futurs surhommes « aryens » des Jeunesses Hitlériennes)

(Photo : German Federal Archives, licence creative commons)

 

 
 Sperm  Eggs

Find your Donor:

Eye Color

 

Green

 

Hazel

 

Blue

 

Grey

 

Brown

 

Black

Hair Color

 

Blond

 

Brown

 

Red

 

Black

 

Auburn

Ethnicity

 American Indian
 Asian
 Black or African American
 Caucasian
 East Indian
 Hispanic
 Middle Eastern

Quelle joie cela aurait été pour certains eugénistes de pouvoir enfin se choisir des caucasiens aux yeux bleus et aux cheveux blonds sans remords.

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Le gouvernement du Nouveau-Brunswick n'entend pas changer sa politique sur l'avortement

Excellente nouvelle. Sur le site de Radio-Canada du 28 avril 2014 :

(Photo :  e r j k p r u n c z y k sur flickr.com, licence creative commons)

Pour la première fois, le premier ministre David Alward réagit dans ce débat. « Il y a accessibilité au Nouveau-Brunswick en même temps dans les hôpitaux. Alors, ça, c'est notre position. Il n'y a pas un changement qu'on avance », dit-il.

Et ce malgré le fait que le Parti libéral du Nouveau-Brunswick, lui, va dans la direction opposée. Sur le site de Radio-Canada du 27 avril 2014 :

L'accès à l'avortement a retenu l'attention samedi au congrès des politiques du Parti libéral du Nouveau-Brunswick. (...)

la présidente des jeunes libéraux du Nouveau-Brunswick, Geneviève Gagné, a proposé un amendement qui ouvrirait la porte à un meilleur accès à l'avortement.

Une très forte majorité de délégués l'ont accepté. 

L'avortoir Morgentaler pourra donc fermer ses portes, sans que le gouvernement ne lui vienne en aide financièrement. S'il n'est pas détruit, un jour, il pourra être transformé en musée de l'holocauste des enfants à naître.

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Philippe Couillard enlève le dossier de l'euthanasie à Lucie Charlebois qui avait voté contre l'adoption de principe...

Sur le site du Courrier Parlementaire du 25 avril 2014 :

(Le courage est contagieux... Si un parlementaire s'oppose au projet de loi 52, d'autres suivront

(Photo : emijrp sur wikimédia.org, sans copyright)

 

(...)Le premier ministre a assuré à la sortie de la première réunion de son Conseil des ministres, en fin d’après-midi, que le projet sera réinscrit au feuilleton avant l’ajournement des travaux pour l’été «au stade où il était» le 5 mars dernier, lors de la dissolution de l’Assemblée nationale. Pour réinscrire ce projet de loi, M. Couillard devra pourtant s’assurer de l’appui des 124 autres parlementaires, c’est-à-dire de l’unanimité des élus.  (...)

Le courage d'un seul député est nécessaire pour bloquer la réapparition du projet de loi 52 (euthanasie). Il devra s'opposer au Dr Gaétan Barrette, fervent partisan de l'euthanasie, à qui revient maintenant le dossier.

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