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Le plan de santé maternelle du gouvernement Harper sauve des vies... et n'en tue pas, malgré les pressions

Sur le site de Radio-Canada du 28 mai 2014 :

(Photo : Ibagli sur wikimédia sans copyright)

 

 

 

(...)En 2010, dans le cadre de sa présidence du G8, le Canada a lancé un effort mondial d'une valeur de 2,85 milliards de dollars - l'Initiative de Muskoka - pour mobiliser les efforts internationaux afin de réduire la mortalité maternelle et d'améliorer la santé des mères et des enfants dans les pays les plus pauvres du monde. (...)

Mais d'autres, comme le groupe McLeod, ne prêtent pas du tout les mêmes vertus à Stephen Harper.

Le regroupement d'universitaires, d'anciens diplomates et d'autres employés gouvernementaux reproche notamment à Ottawa son refus de financer les projets liés à l'avortement dans les pays en développement. (...)

Avorter les enfants coûterait moins cher que de devoir soutenir les mères dans leur travail d'éducation... Alors que les politiques d'aide aux mères et aux enfants sont efficaces et sauvent des vies, les universitaires du groupe McLeod déplorent que l'on ait financé aucun avortement. Parce que ces avortements au fond, feraient en sorte que l'on aurait pas à aider et à payer pour ces pauvres que l'on aurait aidé à maintenir en vie...

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Retour sur Justin Trudeau et l'avortement dans le Journal de Montréal et Le Devoir

Le Devoir du 28 mai 2014 apporte des précisions sur le député McKay dénonçant Justin Trudeau :

 

 

 

(...)M. McKay se serait excusé, le chef libéral estime que « le dossier est clos ». Et il ne regrette rien. « La réalité, c’est qu’en tant que chef, je me dois d’être clair avec les Canadiens que le Parti libéral est là pour défendre les droits individuels et le droit de la femme d’avoir un choix », a-t-il défendu.

Mais si M. McKay a d’abord cru à une sortie irréfléchie de son chef, est-ce dire que les députés n’ont pas été avisés de la ligne qu’il allait imposer ? « M. McKay sait très bien — et le sait depuis longtemps — que je suis pro-choix. Il sait que le Parti libéral est pro-choix », a rétorqué M. Trudeau, sans répondre à la question.
(...)

Sur le site du Journal de Montréal du 28 mai 2014, ce commentaire de Christian Dufour :

M. Trudeau donne l’impression de vouloir rejeter hors du PLC non seulement les croisés pro-vie, mais également ceux qui ont des problèmes avec la liberté sans limites d’avorter qui est actuellement la norme au Canada.

Ce n’est pas tout le monde qui est à l’aise avec la banalisation de l’avortement, assimilée parfois à une méthode de contraception, quand elle n’est pas utilisée pour favoriser la naissance de garçons dans certaines communautés.

Il est encore temps pour le Parti Libéral du Canada de se trouver un adulte réfléchi comme chef politique.

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Euthanasie : Une Requête en Jugement Déclaratoire est en voie d'être déposée à la Cour Supérieure du district de Montréal.

Sur le site de newswire.ca du 27 mai 2014 :

(Photo : Jean-Marie HUET sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Les requérants sont Mme Lisa D'Amico, citoyenne handicapée, et le Dr. Paul J. Saba, médecin de famille. Cette requête les oppose au Procureur Général du Québec et met en cause le Procureur Général du Canada, afin de faire déclarer que :

(1). L'euthanasie d'un être humain par son médecin, notion plus connue au Québec sous l'euphémisme «d'aide médicale à mourir», n'est pas un soin;

(2). Le Québec n'a donc pas compétence pour légiférer en la matière;

(3). L'euthanasie est contraire aux Chartes canadienne et québécoise des droits fondamentaux, au Code criminel canadien, au Code Civil du Québec, à la Loi sur les services de santé et les services sociaux du Québec, ainsi qu'au Code de déontologie des médecins du Québec et à la Loi Constitutionnelle de 1867;

(4). Il est impossible de constater au Québec un consentement libre et éclairé des patients concernés par l'euthanasie en raison de leur vulnérabilité accentuée découlant du manque de ressources en matière de soins appropriés, en raison de leur état de santé et du manquement à l'accès universel aux soins palliatifs à toutes les personnes qui en ont besoin, notamment pour apaiser les souffrances;

(5). Il est impossible et incompatible de confier la vérification des conditions de l'euthanasie et le geste létal aux seuls médecins, qui transgresseraient leur code  déontologie et la loi criminelle fédérale. (...)

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« Un député libéral rabroue Trudeau sur l’avortement », ce que devrait faire tout bon député libéral...

Sur le site du journal Métro du 27 mai 2014 :

(Justin trudeau veut interdire tout candidat pro-vie, reconnaît l'avortement sélectif et les avortements tardifs comme un « droit » des femmes, et fait confiance au bon jugement des médecins qui laissent mourir des centaines d'enfants à naître par année, abandonnés sur une plaque de métal, pas étonnant que les critiques fusent de partout...)

Le député libéral John McKay a été enregistré à son insu critiquant son chef, Justin Trudeau, (...)

Dans un enregistrement obtenu par le réseau CTV, M. McKay, lui-même opposé à l’avortement, dit croire que Justin Trudeau n’a pas réfléchi à ce qu’il disait («bozo eruption»)  (...)

Il se dit «effrayé» à l’idée que l’entourage de M. Trudeau ait pu évaluer cette prise de position sans réaliser à quel point il s’agit d’un enjeu «explosif». (...)

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Dans 20 ans, un déficit annuel de 35 milliards de dollars si l'on ne coupe pas dans le système de santé...

(Photo : Raymond Bachand en compagnie de ses anciens collègues du Parti libéral du Québec)

(Photo : poupig sur wikimédia.org, licence creative commons)

Sur le site du Journal de Montréal du 26 mai 2014, un article choc de Michel Girard sur les prévisions budgétaires catastrophiques causées par le vieillissement de la population, selon l’étude de l’Institut du Québec «Choc démographique et finances publiques» par l’ancien ministre des Finances, Raymond Bachand et le directeur de la recherche, le professeur Robert Gagné des HEC :

À cause du choc démographique du vieillissement de la population québécoise, la faible croissance économique du Québec au cours des 20 prochaines années aura pour conséquences de limiter à environ 3,2% l’augmentation annuelle des revenus budgétaires. (...)

Cette hausse annuelle des revenus sera nettement inférieure à la croissance des dépenses budgétaires de l’ordre de 4,4%.

Pis encore, la facture des dépenses en santé croîtrait pour sa part à hauteur de 5,2% par année.

Si le gouvernement conservait le statu quo budgétaire, on se retrouverait dans 20 ans avec un déficit annuel de 35 milliards de dollars, soit 10 fois plus que le déficit de l’année 2013-14.

Selon Raymond Bachand et Robert Gagné, il faut couper d'au moins 1% dans les dépenses en santé. Une tentation supplémentaire pour le gouvernement de choisir l'euthanasie plutôt que des soins palliatifs pour tous.

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Une autre stratégie que celle de la contraception pour prévenir l’avortement

L’article L’avortement, trop populaire!, signé par madame Lysiane Gagnon, paru dans le journal La Presse, le 22 mai 2014, met en relief ces paroles : Il faut faciliter au maximum la contraception pour éviter le recours à l’avortement, qui ne devrait être qu’une solution de dernier recours. Cela me ramène aux années 1970 de notre Québec. En ce temps-là, des militant(e)s du monde de la santé et de la sexologie tentaient de nous convaincre d’utiliser l’indispensable contraception afin de prévenir les avortements.

À cette époque, jeune infirmière formée au concept d’intégrité et éduquée au respect de l’être humain conçu, je n’ai pu retenir ces paroles : Quelle grande illusion ! Quel grave mensonge ! Je n’admettais pas que nous, professionnels de la santé, soyons appelés à devenir des dépanneurs sexuels. De plus, je percevais que la pente de la mentalité contraceptive, en imprégnant les esprits et les cœurs des femmes et des hommes, les conduirait inévitablement vers l’ouverture à la mentalité abortive. Je doutais fort que l’avortement ne soit une résultante de la contraception, ce qui est malheureusement devenu aujourd’hui la triste réalité.

Que faire pour prévenir l’avortement si populaire dans notre Québec, qui affiche le taux d’avortement le plus élevé en Occident ? À mon avis, il n’y a qu’une seule véritable stratégie à proposer. C’est celle de revenir aux parents. Eux, parents un jour, parents toujours ! Comment ? En leur enseignant la démarche d’intégration de l’amour et de la sexualité, de la naissance à la maturité. Ils pourront alors, dans l’école de la famille, la transmettre à leurs enfants avec compétence et dynamisme. Ce sont eux, les parents, qui ont la mission d’aider leurs enfants à s’accueillir en vérité pour réaliser leur rôle d’homme ou de femme et à saisir la vérité intérieure de l’amour pour s’engager sur la voie de la maturité.

Il n’y a pas d’autre chemin que cette solide éducation pour favoriser la formation d’un être affectivement et sexuellement harmonieux. Et il n’y a pas d’autre chemin pour prévenir la contraception et l’avortement. Nous devrions tous le savoir après avoir constaté l’impasse contraceptive où nous a entraîné le complot mondial d’une éducation sexuelle scolaire faussée.

L’enjeu de ne pas enrayer le problème de la non-intégration de l’amour et de la sexualité chez nos jeunes est sérieux : la santé et l’avenir de nos jeunes en dépendent et, par ricochet, la santé et l’avenir des familles d’aujourd’hui et de demain. De plus, nous ne pouvons ignorer le coût astronomique d’une pseudo éducation sexuelle entraînant enfants et jeunes vers une sexualité précoce lourde de conséquences.

En ce début du mandat de notre nouveau gouvernement québécois, je suggère à notre premier ministre, monsieur Philippe Couillard, qui a mis l’intimidation à son agenda, d’ajouter celui de la non-intégration affective et sexuelle des enfants et des jeunes. Je souhaite aussi que les ministères de la Famille, de l’Éducation, de la Santé publique, pour ne pas dire tous les autres, accueillent et intériorisent le contenu de mon petit ouvrage : Le témoignage d’une militante — Dans notre société avide de droits sexuels est-ce manquer d’ouverture de promouvoir la belle démarche d’intégration de l’amour et de la sexualité, de la naissance à la maturité ?

Solange Lefebvre-Pageau

Solange Lefebvre-Pageau, M. Sc., infirmière à la retraite
Fondatrice et directrice
Centre international de recherche et d’éducation familiale
209-3500, av. Benny, Montréal, QC H4B 2R8
514.342.0695 [email protected]        www.ciref.ca

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C'est dans cette société, où les personnes âgées sont jetées dans la rue à la sortie de l'hôpital, que l'on veut l'euthanasie...

Sur le site du journal Le Devoir du 27 mai 2014 :

(Photo :  Christian Haugen sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

Des personnes âgées ayant séjourné à l’hôpital et perdu leur logement en cours de traitement se retrouvent contraintes à l’itinérance, déplore Marjolaine Despars, du Réseau d’aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal.

À la Maison Marguerite, un refuge pour femmes sans-abri, on héberge régulièrement des femmes de 71 ans et plus.(...)

Fondée en 1976 par les Soeurs Grises, la Maison Marguerite a un taux d’occupation de plus de 100 %. En 2013, elle a dû refuser 8400 demandes d’hébergement faute de place. (...)

Dans la logique gouvermentale du « mourir dans la dignité », ne serait-il pas plus « digne » de les euthanasier plutôt que de les jeter à la rue, itinérantes âgées?

Le gouvernement cherche à couper, tout en continuant de payer pour les avortements, les fécondations in vitro, etc. Un gouvernement inhumain à l'idéologie inhumaine...

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Branle-bas de combat pour retrouver un enfant qui, quelques heures auparavant, aurait pu être avorté sans problème...

(Photo : wikimédia sans copyright)

La réaction des Québécois face à l'enlèvement d'un bébé à la maternité d'un hôpital de Trois-Rivières est tout à leur honneur. Le kidnapping d'un bébé prématuré né à la 21e semaine de grossesse aurait produit le même effet. Mais pour le meurtre d'un bébé dont le pied serait toujours dans le ventre de sa mère à l'accouchement, vous trouverez des groupes féministes pour défendre sans honte ce « choix » sur la place publique.

Il faut travailler de plus en plus fort pour que chacun prenne conscience de l'humanité de l'enfant à naître.

Et qu'il y ait un grand branle-bas de combat des Québécois pour tous les enfants, y compris les enfants à naître!

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Le Maire du Saguenay, de passage à Ottawa, dénonce Justin Trudeau sur l'avortement

Sur le site de NRJ du 26 mai 2014 :

(Photo : khayman sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

 



 

(...)Dans le cadre de la tournée de promotion de son livre, le maire de Saguenay s'est arrêté dans la capitale fédérale pour donner une conférence sur la foi.

Jean Tremblay en a profité pour dénoncer la ligne de parti imposée par le chef libéral Justin Trudeau dans le dossier de l'avortement.  (...)

Une personnalité politique qui a du courage au Québec, cela existe...

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Article du magazine Time sur les bébés prématurés que l'on sauve...

Sur le site de media-presse.info du 26 mai 2014 :

(photo :  ★keaggy.com sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

 

(...)« Les possibilités de survie sont de 26% à 23 semaines , 56% à 24 semaines, 76% à 25 semaines , et environ 90% à 37 semaines et au-delà .  » (...)

« les Etats-Unis sont l’un des sept pays au monde qui permettent l’IVG au cours des 20 dernières semaines, malgré les exploits médicaux qui sauvent la vie de bébés prématurés d’à peine 22 semaines », comme le constate cet article du Time. (...)

Des bébés ont été sauvés à la 21e semaine de grossesse, alors qu'ailleurs, comme au Canada et au Québec par exemple, on les avorte jusqu'à la fin de la grossesse...

 

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