M'INSCRIRE
DONNER

Joignez-vous au mouvement

CQV défend la personne humaine, de la conception à la mort naturelle.

ou

×

Les "innocentes"

La réalisatrice Sophie Peeters, vient de faire un documentaire sur les commentaires sexistes et déplacés d’hommes face aux femmes qui déambulent sur la rue à Bruxelles. Pour elle, ces commentaires reflètent une attitude machiste et sexiste relevant de l’éducation. C’est certainement vrai. Mais ce qu’elle oublie de dire, c’est qu’ils n’ont pas ce comportement avec toutes les femmes, mais seulement avec certaines, habillées d’une certaine façon…
 
Rien à voir vous répondront les féministes. Les femmes ont le droit de s’habiller comme elles veulent et n’ont pas à subir de commentaires déplacés. Va pour les commentaires déplacés, mais il y a quand même quelque chose à voir, désolé. Si ces hommes font des commentaires déplacés sur certaines femmes, c’est qu’ils jugent que ces femmes, de par leur habillement, ne se respectent pas elles-mêmes et se présentent comme des bouts de chairs offertes à qui aura la chance d’obtenir leur consentement. C’est exactement ce que l’on peut voir dans la vidéo. On voit aussi des hommes traiter ces femmes légèrement vêtues de « salope ». Encore une fois, parions qu’ils ne le disent pas à toutes les femmes…
 
Beaucoup de femmes revendiquent le droit de s’habiller comme elles le veulent, peu importe le message qu’elles transmettent par leur façon de s’habiller. Parce que la façon de s’habiller, qu’on le veuille ou pas, transmet un message. Quand certaines femmes se dévêtent en été de façon à faire de la concurrence déloyale aux « travailleuses » du sexe, qu’elles ne s’étonnent pas d’être sollicitées par des gens sans scrupules…
 
Les ouvriers appelaient ce genre de femmes des « agaces p… » Et avec la montée du discours féministe ambiant, ces « agaces » sont exonérées de toute responsabilité. Seuls les hommes ont à maîtriser leur regard, leurs paroles, leur attitude face à des femmes toujours innocentes, puisqu’elles sont femmes pourraient dire certaines féministes…
 
Entre la mode orientale du tchador et la mode occidentale de l’« agace » de tous les jours, il y a certainement un juste milieu à trouver. Et oui, une femme qui ne se respecte pas à une part de responsabilité si un mal élevé relève ce fait et répond par un manque de respect semblable. L’équilibre n’est pas toujours facile à trouver et le sexisme ne répond pas toujours à un habillement inconvenant, mais il est plus rare qu’une femme qui se respecte sera la source de quolibets.
 
Quant aux discours des « innocentes » qui désirent s’habiller comme elles l’entendent, mais ne veulent pas entendre de réactions à leurs façon de s’habiller, ignorant naïvement ou hypocritement selon les cas, la nature humaine, on pourrait leur attribuer cette phrase de Pascal : « Pures comme des anges, orgueilleuses comme des démons ».
 
Certains répliqueront que la mini-jupe est une mode et que le tchador est une imposition religieuse. C’est très simpliste comme raisonnement de cataloguer religion pour ne pas vouloir comprendre un phénomène. Avant d’être un excès déraisonnable codifié religieusement, le tchador manifeste une réaction déséquilibrée face à une réalité de la nature humaine. Vouloir ne parler que de mode dans le cas de la mini-jupe, c’est réellement, jouer à l’« innocente »…
Laissez un commentaire

Bulletin août 2012 -- Aux urnes bientôt ?

Au moment où vous lirez cette lettre, il est fort probable que le premier ministre Jean Charest ait déclenché des élections pour le début du mois de septembre : nous serions donc en période électorale !

Mais qu’en est-il du rôle de Campagne Québec-Vie – votre rôle – durant cette période ?

Votre but est de nous informer sur l’opinion des candidats quant aux enjeux qui nous sont chers, et de relayer cette information à nos bureaux, pour qu’ensuite nous puissions faire rayonner cette information le plus largement possible. Quelles sont les questions à demander aux candidats ? Les quatres questions principales sont les suivantes :

  1. Êtes vous pour ou contre le financement public de l’avortement au Québec ? Nous appuyerons tout candidat qui est contre ce financement . (Présentement au Québec l’avortement à tout moment de la grossesse et pour toute raison ou aucune raison est financé à 100% à même vos impôts – un scandale pour dire le moins !)
  2. Êtes vous pour ou contre la légalisation de facto (dans les faits) de l’euthanasie au Québec ? (Le procureur général du Québec tente présentement de trouver des moyens de contourner le code criminel canadien pour permettre l’euthanasie au Québec. Nous appuyerons tout candidat qui a à cœur les personnes vulnérables visées par l’euthanasie, donc qui sont contre la légalisation du meurtre « par compassion ».
  3. Croyez-vous que ce soit le droit et le devoir des parents –et non de l’État—de fournir une éducation morale et spirituelle aux enfants et que les parents ont le droit de déléguer cette responsabilité à une école dont les orientations correspondent aux leurs ? (Dès lors que ce droit est reconnu, fini l’obligation de suivre les cours ECR et les cours de perversité sexuelle à l’école…)
  4. Êtes-vous pour le choix des parents de s’occuper eux-mêmes de leurs enfants à la maison, c’est-à-dire de disposer eux-mêmes de l’argent que le gouvernement octroie présentement exclusivement aux fins du placement des enfants dans des garderies publiques ?

Merci de poser ces questions à vos candidats dans votre circonscription et ensuite de nous relayer cette information pour que tous nos membres et nos milliers de lecteurs Internet (sur Facebook et sur notre site) le sachent.

Ensuite, votre devoir est de voter pour le candidat qui suit de plus près vos convictions pro-vie et pro-famille. Si et seulement si l’analyse des candidats est non-concluante, vous devriez alors choisir le meilleur parti (voir le bulletin ci-attaché).

Laissons de côté la partisanerie, et misons sur les enjeux les plus importants, ceux énumérés ci-dessus qui transcendent les clivages habituels. Bonne élection !

Georges Buscemi , président

Laissez un commentaire

Au Pendjab, la méthode forte permet de combattre l'avortement sélectif

Sur le site de msn.com du 31 juillet 2012:

 

(échographie au Pendjab)

 

C'est un spectacle peu commun qu'offre, dans le nord de l'Inde, la maternité rudimentaire de l'hôpital public du district de Nawanshahr: des mères viennent d'accoucher d'une fille et les nouveaux parents la bercent tendrement, un changement radical de comportement dans une région où les filles étaient autrefois victimes d'infanticides.

Jusqu'en 2004, Nawahshahr, dans l'Etat rural du Pendjab, était connu pour son déséquilibre abyssal entre les sexes, avec un ratio annuel de 795 filles pour 1.000 garçons à la naissance.

Mais la situation s'est profondément modifiée ces huit dernières années. En 2011, le ratio s'était redressé à 949 filles pour 1.000 garçons, revenant presque à l'équilibre naturel de 952 pour 1.000.

Ce succès fulgurant dans un pays où les femmes restent soumises à une forte pression sociale pour engendrer des garçons, vus comme une chance pour la famille, s'explique par les vigoureuses méthodes des autorités: elles surveillent les grossesses et font pression sur les parents, quitte à leur faire honte si elles cherchent à supprimer les filles.

Menée conjointement à une campagne de sensibilisation contre le foeticide de filles et l'avortement sélectif, cette stratégie a vite payé.

- Les échographies mises en cause -

En deux ans, près de deux tiers des centres d'échographie de Nawanshahr ont été fermés ou contraints à suspendre leurs activités pour violation de la loi.

Grâce à des femmes enceintes ayant accepté de se faire passer pour des patientes, les autorités ont réussi à piéger en caméra cachée trois médecins qui leur proposaient de choisir le sexe de leur bébé.

Dans cette société conservatrice, la fille représente souvent une charge financière pour les parents, contraints de verser une dot à la belle-famille lors de son mariage. Le garçon est en revanche valorisé car il rapporte une dot à sa famille lors de son mariage et en raison de son rôle primordial lors des cérémonies hindoues pour les crémations.

Lors du dernier recensement en Inde, en 2011, le pays a découvert que l'écart entre le nombre de filles et de garçons à la naissance n'avait jamais été si élevé depuis l'indépendance en 1947.

(...)

Le plus simple serait de fermer les cliniques d'avortements... Pourquoi est-il répréhensible d'avorter une fille et acceptable d'avorter un garçon?

Laissez un commentaire

Espérons que le ministre de la santé Yves Bolduc sera défait dans la circonscription de Jean Talon

Après avoir manifesté son "ouverture" face à l'euthanasie, avoir promis la valse des millions pour les fécondation in vitro, le ministre Bolduc vient de se prononcer pour l'eugénisme et le diagnostic préimplantatoire. Un article paru dans le journal Le Devoir du 31 juillet 2012:

 

L’hôpital Sainte-Justine traitera ses premiers couples infertiles cherchant à concevoir grâce à la procréation assistée dès novembre, a annoncé lundi le ministre de la Santé Yves Bolduc. Un projet de plus de 5 millions de dollars, alors que depuis le 28 juin, le ministère de la Santé et des Services sociaux a annoncé plus de 1,2 milliard d’investissements, au moment où les rumeurs d’élections s’intensifient.
(...)

En conférence de presse, Yves Bolduc n’a pas exclu que, si la demande est au rendez-vous, d’autres montants suivent afin de permettre à l’hôpital de réaliser de 800 à 1200 cycles par an. Ne cédant pas à la déception par rapport aux plans ambitieux de l’hôpital au départ, le directeur des affaires médicales et universitaires de l’hôpital, le Dr Marc Girard, a affirmé que c’était une façon « prudente » d’aborder le projet.
 

Il a par ailleurs confirmé que les futurs parents pourraient avoir recours au diagnostic préimplantatoire, qui permet à des couples porteurs de maladies génétiques graves de choisir les embryons sains.

N'hésitez pas à faire connaître cette déclaration scandaleuse, pour que ce ministre sans conscience soit battu aux prochaines élections.

Laissez un commentaire

Le ministre de la santé Yves Bolduc veut gaspiller 5 autres millions pour la procréation assistée

Plutôt que de financer la recherche pour soigner les causes de l'infertilité, le ministre veut plutôt financer 400 fécondations in vitro, transformant les enfants en produits de laboratoire sur demande. Un article paru dans le journal de Québec du 30 juillet 2012:

Le ministre de la Santé Yves Bolduc a annoncé lundi un investissement de 5,1 millions $ destiné à la procréation assistée à l’hôpital Sainte-Justine de Montréal.

Cette somme servira à la rénovation des bâtiments ainsi qu’au réaménagement des laboratoires et permettra d’offrir 400 cycles de fécondations in vitro.(...)

Le nouveau centre de procréation médicalement assistée ouvrira ses portes au début de 2013. Le but est d’atteindre de 800 à 1000 cycles de fécondation in vitro à Sainte-Justine.

Laissez un commentaire

Le gouvernement espagnol ne recule pas devant les critiques pro-avortements...

Un gouvernement courageux qui refuse de plier devant les critiques répertoriés mondialement par les médias, y compris nos journaux québécois! Sur le site de genethique.org du 30 juillet 2012:

(Alberto Ruiz-Gallardon)

A la suite des déclarations du ministre de la Justice espagnole, Alberto Ruiz-Gallardón, visant à "interdire l’avortement dans les cas de malformations du fœtus" (Cf Synthèse de presse Gènéthique du 24/07/12), de nombreuses associations et personnalités ont réagi.
Alberto Ruiz-Gallardón a déclaré qu’il ne "comprend pas que l’on prive un fœtus de la vie en permettant l’avortement pour le simple fait qu’il souffre de handicaps ou de malformations", s’appuyant sur un texte de l’ONU et plus précisément sur "l’article 10 de la Convention des droits des personnes handicapées qui réaffirme la nécessité ‘d’adopter toutes mesures nécessaires pour garantir leurs droits aux personnes handicapées’ ".
Dans le même temps, "la porte-parole du Gouvernement de droite, Soraya Saenz de Santamaria, a confirmé vendredi qu’une loi serait soumise aux députés ‘à la prochaine session’." Elle a ajouté : "nous allons modifier la loi, fondée sur les délais, au profit d’une loi prenant en compte certains cas", sans donner davantage de précisions.

(...)

Laissez un commentaire

Une première victoire contre le HHS mandate brimant la liberté religieuse aux États-Unis

image_hercules_industries.jpg

Sur le site de Riposte Catholique du 30 juillet 2012:

 

(Hercules Industries et Matt Bowman de l'Alliance Defending Freedom)

 

C’est une entreprise familiale catholique du Colorado qui vient d’obtenir le premier jugement d’un tribunal fédéral statuant que le HHS Mandate était attentatoire à la liberté religieuse et donc anticonstitutionnel. Hercules Industries est une entreprise fondée à Denver (Colorado) en 1962 par William E. Newland, qui fabrique et distribue des matériaux et systèmes de chauffage, de ventilation et de climatisation. C’est l’une des plus grosses entreprises de ce secteur aux États-Unis et elle demeure la propriété de la famille catholique du créateur. Le 30 avril dernier, l’entreprise a décidé de saisir les tribunaux fédéraux car elle doit, à partir du 1er novembre, renouveler tous les contrats d’assurance santé de ces employés et, dès lors que le HHS Mandate entre en vigueur dès le 1er août prochain, elle devrait obligatoirement souscrire et payer la couverture de la contraception, de la pilule abortive et de la stérilisation pour tous ceux qui travaillent chez elle. Ces entrepreneurs catholiques s’y refusent et ont demandé à l’Alliance Defending Freedom (anciennement : Alliance Defense Fund) d’agir pour eux devant les tribunaux aux fins d’obtenir une injonction au gouvernement fédéral à ne pas contraindre cette entreprise à obéir au HHS Mandate – on sait, par ailleurs, que le refus pour une entreprise d’appliquer ce décret fédéral pris en application de l’ObamaCare, entraîne de très lourdes amendes fiscales, dans certains cas suffisamment lourdes pour mener des entreprises à la faillite. Dans son injonction rendue hier, le juge John L. Kane (tribunal fédéral de district, district du Colorado) à jugé les arguments présentés par la défense, c’est-à-dire le gouvernement fédéral, « défaits et tout a fait dépassés par l’intérêt du public en matière de libre exercice de la religion (…) En conséquence, l’intérêt du public exige la promulgation d’une injonction dans cette affaire ». Pour faire simple, un tribunal fédéral autorise une entreprise à s’asseoir sur le HHS Mandate !

(...)

Laissez un commentaire

Punir les familles nombreuses pour atteinte à la vie sociale?

Sur le blogue de Jeanne Smits du 27 juillet 2012:

 

(Louise Casey)

 

 

Louise Casey, responsable d’une agence publique britannique chargée de suivre les familles à problèmes à la suite des émeutes de Londres, a proposé que l’on sanctionne les mères de famille nombreuse si elles retombent enceintes. Elle plaide pour une « ingérence » de l’Etat, qui devrait selon elle faire comprendre à ces femmes qu’elles sont irresponsables et devraient « avoir honte » des dégâts qu’elles causent au sein de la société en ayant « trop d’enfants », rapporte Thaddeus Baklinski, sur LifeSite.

(...)

La mère de Louise Casey devrait-elle avoir honte d'une fille aux propos aussi inhumains?

Laissez un commentaire

Un nouveau livre témoignage sur le combat des pro-vies

Au début des années 1990 était paru en français la traduction du livre de Joan Andrews, le crime étouffé, qui apporta une importante contribution au mouvement pro-vie. Un livre de cette nature, pas encore traduit, serait paru aux États-Unis. Sur le site de Riposte Catholique du 29 juillet 2012:

 

 

 

« Cette histoire commence en 1976, l’année où je pris conscience de cette chose qu’on nommait le “mouvement pro-vie”, et emportera le lecteur jusqu’en 1994, année où le blocage anti-avortement des cliniques cessa pratiquement, une activité dont je fus pionnière et qui me valut de me retrouver devant les tribunaux et souvent derrière les barreaux. Ainsi, cette histoire est une tranche du temps, un épisode important du mouvement contre l’avortement vu avec le microscope de la narration. Vous y serez menés en des endroits obscurs et vous y verrez des choses que peu de gens ont pu apercevoir. Vous y serez aussi transportés vers des hauts lieux, baignés de lumière, quand des bébés furent sauvés et que la vérité sur la dignité de l’être humain fut reconnue. Assurément, je m’attends à ce que ceux qui sont déjà actifs au service de la cause de la vie soient intéressés par cette narration. C’est un des rares ouvrages qui montre la question de l’avortement au travers de l’expérience de ceux qui sont engagés dans le combat contre l’avortement. Mais je crois que cette histoire sera utile à ceux qui sont en dehors de ce mouvement, en leur présentant le monde pro-vie, en leur montrant ce que nous avons fait, comment nous l’avons fait et, peut-être, même s’ils soutiennent la légalisation de l’avortement, ils pourront ressortir de cette lecture avec une compréhension plus profonde de ce qui est en jeu dans cette guerre de l’avortement ».

MIGLIORINO MILLER, Monica. Abandoned, the untold story of the abortion wars. 

Espérons que la traduction française nous parviendra rapidement.

Laissez un commentaire

Le journaliste Mario Roy répète les âneries de Freakonomics, rejoignant les sentences de l'eugéniste Margaret Sanger

Sur le site du journal La Presse du 28 juillet 2012:

 

(les auteurs de Freakonomics)

Depuis l'arrivée de Stephen Harper au pouvoir, le budget alloué aux pénitenciers a doublé et le nombre de détenus a augmenté de près de 20%. Est-ce la bonne solution? Ça ne peut réduire qu'assez peu la criminalité, estiment Steven D. Levitt et Stephen J. Dubner dans Freakonomics.

C'est la même chose pour la peine de mort qui, aux États-Unis, n'a pas d'effet mesurable. Pour un plus grand contrôle des armes à feu qui, aussi dans le contexte américain, se révèle inefficace. Et pour la réduction de la pauvreté, souhaitable pour d'autres raisons, mais qui n'agit que fort peu, et uniquement sur les crimes non violents.

Que reste-t-il d'autre?

Selon les auteurs, c'est l'arrêt Roe v. Wade ayant légalisé l'avortement en 1973 qui, 15 ans plus tard, a largement fait chuter la criminalité. Et ce, en diminuant (1,5 million d'avortements par année aux États-Unis) le nombre d'enfants non désirés, souvent dans des familles dysfonctionnelles, et donc promis à un sombre avenir. C'est une analyse d'une froideur choquante, mais peut-être pas dénuée de vérité.

S'il y a des quartiers où la souffrance engendre la violence, alors pourquoi ne pas empêcher les résidants de se reproduire, en encourageant l'avortement? Vraiment pathétique comme raisonnement.

Il rejoint celui de Margaret Sanger, la raciste et eugéniste fondatrice de Planned Parenthood:

« Combinant les pensées de Malthus et de Galton, elle s’oppose à la charité organisée, qui représente selon elle « le symptôme d’une société gravement malade ». C’est pour elle « l’indice le plus révélateur d’une civilisation qui produit des êtres mauvais, délinquants et dépendants, qui en produit toujours et perpétue leur prolifération. » Plutôt que d’« assumer la charge découlant de la fécondité incontrôlée des autres », la société doit les empêcher de se reproduire. « Davantage d’enfants de responsables et moins d’enfants d’irresponsables. C’est l’objectif essentiel de la régulation des naissances. » (L'Apocalypse démographique n'aura pas lieu, p.63-64)

Personne ne peut prédire l'avenir d'un enfant. Louer les effets bénéfiques de l'avortement pour réduire la criminalité est vraiment, vraiment d'une fatuité inconcevable. Comme si les enfants pauvres, en soi, étaient vecteurs de criminalités et que ce n'étaient pas les conditions sociales qui pouvaient influencer ces enfants vers le bien ou le mal. Devrait-on encourager l'avortement des enfants des intellectuels riches pour éviter la transmission d'un orgueil qui ne s'aperçoit plus de la connerie de ses propos?

Laissez un commentaire