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Très belle réflexion sur l'euthanasie considérée comme « une bonne mort »

Sur le site de terredecompassion.com du 3 juillet 2013:

 

(Le Dr Daniel Sulmasy)

 

J’ai assisté à une conférence donnée à l’université catholique de New York, sponsorisée par le Crossroads Cultural Center et intitulée "Briser le mythe d’une bonne mort : discussion sur l’euthanasie et la valeur de la souffrance en fin de vie". C’est un sujet pesant mais les intervenants, le docteur Margaret Somerville et le docteur Daniel Sulmasy étaient passionnants et l’ont rendu attirant.
 
Le docteur Somerville a d'abord fait remarquer que les raisons les plus courantes pour demander l’euthanasie n'étaient pas médicales. En premier lieu figurent la peur de mourir seul et celle d’être un poids pour ses proches. Parce que nous avons perdu, dans notre culture, le sens de la famille et de la communauté, la mort est devenue un événement médical vécu non plus à la maison, entouré par ses proches, mais seul dans un hôpital. La mort est devenue professionnalisée et dépersonnalisée. Une personne mourante peut dès lors se sentir déshumanisée.
 
Les deux médecins ont parlé du caractère universel de la peur de la mort : en tant qu'êtres humains, nous l'expérimentons tous. A la lumière de cette peur, l’euthanasie, par sa promesse d’une souffrance réduite et du contrôle de la personne mourante, est attirante.
 
Le docteur Sulmasy nous a rappelé que le poids que nous attachons à l’autonomie et au contrôle n’était que fiction. Dans les domaines les plus importants de nos vies (la vie, l’amour, la mort) nous n’avons que très peu de contrôle. Nous ne pouvons choisir de naître,  ni qui sont nos parents, nous ne pouvons forcer quelqu’un à nous aimer (si nous le pouvions, ce ne serait pas un amour véritable) et nous ne pouvons choisir de ne pas mourir. Cette idée de contrôle comme base de nos lois et  de nos valeurs est donc un leurre, une tromperie. Toute l’attention portée par notre culture à l’individualisme et au choix nous fait passer à côté du véritable problème. Le fait de tuer intentionnellement un patient, même sur sa demande, est-il un droit pour le médecin ?
 
Le docteur Somerville a souligné que, en moyenne, une personne demandant l’euthanasie change d’opinion toutes les 12 heures. Le docteur Sulmasy est même allé plus loin en disant que nous ne devrions pas tenir compte d’une demande d’euthanasie mais qu'un patient exprimant le fait que sa vie ne valait pas la peine d’être vécue, devait être contredit par son médecin. J’ai tellement l’habitude de penser que le rôle des professions thérapeutiques et médicales est de confirmer le patient que l’audace du docteur Sulmasy m’a tout d’abord surprise. Mais en réalité, une personne mourante qui a l’impression que sa vie n’a pas de valeur cherche à être contredite. Le suicide est même une tentative de communiquer, de susciter une réponse. La réponse appropriée de la part de la profession médicale devrait être de dire : "Votre vie vaut la peine d’être vécue. Vous avez de la valeur, vous êtes aimé".
 
J’espère vraiment avoir un médecin comme lui à mon chevet. Car si un médecin me disait ces mots en réponse à ma souffrance, cela me soulagerait bien plus que s’il me rappelait mon droit à l’euthanasie.
 
La manière d’accompagner les mourants n’est pas si différente de celle d’accompagner les vivants : être une présence aimante pour les malades, les personnes tristes, seules afin que la mort devienne une expérience partagée et non une entreprise solitaire.
 
(...)
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Au Royaume-Uni, une loi pour protéger les enfants à naître trisomiques?

Sur le site de genethique.org  du 29 juillet 2013:

 

 

 

 

Au Royaume-Uni, une commission parlementaire s'est récemment penchée sur la législation actuellement en vigueur dans le pays concernant les conditions dans lesquelles il peut être procédé à un avortement dans le cas où l'enfant serait "gravement handicapé" à la naissance. Son rapport a été rendu la semaine dernière. 
 
Actuellement, un avortement peut-être pratiqué jusqu'à la quarantième semaine de grossesse, si l'enfant à naître souffre d'un handicap lourd. 
 
Selon le rapport, la Commission préconise que la législation actuelle sur l'avortement ne s'applique pas à des enfants présentant des malformations mineures, contrairement aux pratiques dévoilées par diverses enquêtes relayées dans la presse (avortement pour un pied bot par exemple). 
 
(...)
 
A la suite de la publication de ce rapport, Mike Sullivan de l'association Saving Downs, une association qui agit pour la défense des personnes atteintes de trisomie 21 en Nouvelle-Zélande, s'est réjoui de ce rapport: "l'abrogation de cette loi [i.e: la loi actuellement en vigueur] serait l'abrogation de l'avortement eugénique contre [les personnes trisomiques 21 notamment] ". 
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Les Sénateurs irlandais ne veulent pas savoir comment se fait un avortement...

Sur le blog de Jeanne Smits du 28 juillet 2013:

(Le sénateur Jim Walsh)

 

 

Jim Walsh, sénateur irlandais du Fianna Fail, fait partie de ceux qui ont combattu l'adoption de la loi d'avortement irlandaise, et il y a une semaine il a été vivement attaqué pour avoir décrit en détail un avortement de 2e trimestre – envisagé par la loi si la santé de la mère est menacée même par une idée de suicide – en rappelant comment cela peut se faire par démembrement de l'enfant,  le médecin vérifiant le passage des bras, des jambes, du cerveau de l'enfant… Il vient de s'en expliquer dans l'Irish Times, en refusant de se rétracter de quelque manière que ce soit. Voici la traduction de sa lettre ouverte. – J.S.
 
Vu la manière dont le débat sur l'avortement s'est développé ces derniers mois,  je n'ai pas été surpris par la réaction à certains aspects de mon discours devant le Seanad la semaine dernière. 
 
La très grande majorité des commentaires médiatiques ont tout simplement relayé la mise en scène gouvernementale qui présente la loi sur l'avortement comme « très restrictive » et qui a balayé toute argumentation contraire comme relevant d'une tactique d'intimidation.
 
Peu, au sein des médias, semblent vouloir envisager un seul instant la possibilité très concrète de voir la nouvelle loi aboutir, avec le temps, à l'avortement largement accessible. 
Certains commentateurs et parlementaires peuvent sincèrement croire que la loi est strictement limitée aux interventions destinées à sauver la vie de femmes enceintes. Cependant, au fond d'eux-mêmes, beaucoup doivent savoir que la réalité sera très différente. 
 
Je savais que mon discours provoquerait des critiques mais j'ai choisi de le faire parce que le débat a été dominé par des demi-vérités aseptisées et des fictions réconfortantes. L'une de ces fictions est que la loi est « restrictive ». Ceux qui ne sont pas nés n'ont ni voix ni vote, par conséquent, si ceux qui ont une éthique pro-vie n'expriment pas en paroles la protection de leur statut innocent et vulnérable, leur cause est écartée, à la grande honte de l'humanité. 
 
Avortement à la demande 
 
Un coup d'œil sur les juridictions depuis la Californie jusqu'à la Nouvelle-Zélande montre que des lois quasi identiques à celle présentée par le gouvernement ont conduit à l'avortement à la demande. 
 
Voilà pourquoi le parti travailliste a fait aussi intensément campagne, pendant 21 ans, pour qu'une loi soit votée sur la base de l'affaire X. Ses porte-parole, depuis le ministre de l'Education Ruairi Quinn jusqu'à Aodhan O Riordain, ont très clairement fait comprendre qu'ils voient cette loi comme un marche-pied vers l'avortement à la demande. 
 
Je ne présente aucune excuse pour avoir eu recours à des descriptions choquantes d'avortement pendant que la loi était en commission devant le Sénat. Le contexte de cette démarche est dans le fait que je cherchais à savoir quelles méthodes d'avortement seront utilisées dans le cadre de la nouvelle loi. 
 
Les réponses apportées par le ministre de la Santé étaient loin d'être rassurantes. De manière inexcusable, il était incapable de confirmer les types de procédures d'avortement qui seront utilisées. Nous ne savons que ceci : la loi qu'il présente autorise des interruptions de grossesses qui ne sauvent pas la vie : elles mettent un terme à la vie. En fait la procédure d'avortement n'est d'aucune manière circonscrite. 
 
Si mes descriptions étaient horrifiques et « écœurantes », qu'est-ce que cela dit par rapport à la procédure elle-même, que nous sommes en passe de légaliser ? 
 
J'ai eu à cœur de ne pas ajouter à l'expérience déchirante de femmes qui ont vécu cette procédure.  J'ai rencontré des femmes de groupes comme Women Hurt (« Les femmes ont mal ») qui ont supplié les membres de l'Oreichtas (Assemblée) de parler haut et fort des conséquences dévastatrices de l'avortement et d'aider à mettre un terme à la spirale du silence qui dissimule sa brutalité et cache ce qu'il inflige à un enfant innocent qui n'est pas encore né. 
 
(...)
 
Alors que le gouvernement s'apprête à légaliser l'avortement déguisé sous forme d'intervention médicale, je crois que le temps est venu de décrire la réalité de ce qui est proposé.
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Des pro-«choix» vandalisent la cathédrale du Chili et attaquent les fidèles

Sur le site de Radinrue.com du 27 juillet 2013  (pour plus de détails et photos, voir le blog de Jeanne Smits du 27 juillet 2013):

(Les « pro-choix » lors de la manifestation à l'extérieur de la cathédrale)

 

L’Archevêque de Santiago, S.Exc. Mgr Ricardo Ezzati, a condamné l’attaque qu’a subi la Cathédrale de la ville de la part des manifestants en faveur de l’avortement et a fait état de « sa consternation face à ceux qui ont l’obligation de garantir la sécurité des personnes ».
 
La note envoyée à Fides par l’Archidiocèse de Santiago fait état de ce que Mgr Ezzati a écrit dans la lettre adressée à la communauté nationale à propos des faits intervenus dans la Cathédrale métropolitaine, le jour même de la fête patronale de la ville, Saint Jacques (25 juillet). « L’entrée violente d’un groupe d’anarchistes qui a pris d’assaut l’église avec des slogans contre la vie et pour l’avortement, l’intolérance des fanatiques et leur irrationalité violente ont constitué une grave offense envers Dieu et la communauté des croyants dans le Christ. Elle a laissé des empreintes douloureuses au travers des agressions et des mauvais traitements (infligés) à différentes personnes et de la destruction et des dommages faits au patrimoine artistique et religieux de la principale église du pays ».
 
(...)
 
Par ailleurs, l’agence de presse Fides annonce que le Président chilien, Sebastián Piniera, a condamné l’attaque menée contre la Cathédrale de Santiago, qui a eu lieu jeudi 25 juillet au cours de la célébration de la fête patronale de la ville, en la fête de l’Apôtre Saint Jacques. « Je désire exprimer notre condamnation absolue et le refus de tels actes, dans la mesure où cela signifie ne pas respecter les droits des autres » a déclaré le Président.
 
Jeudi soir, environ 5.000 personnes ont manifesté dans le centre de Santiago afin de demander « l’avortement libre ».
 
Un groupe de manifestants est entré dans la Cathédrale métropolitaine, a interrompu la Messe provoquant le chaos, détruisant une partie de l’église, barbouillant de peinture des autels latéraux et tentant d’incendier les bancs de l’église.
 
« J’ai parlé avec l’Archevêque de Santiago afin de lui exprimer notre complète solidarité et de ratifier l’engagement de ce gouvernement en faveur de la liberté religieuse, de la liberté de culte et de la sauvegarde de la vie de l’enfant à naître » a ajouté le Président chilien.
 
Le Maire de Santiago, Carolina Toha, a indiqué aux journalistes qu’elle « n’est pas croyante » mais qu’elle considère que « les personnes qui se trouvaient dans la cathédrale à ce moment-là ont été agressées de manière gratuite, ce qui est inacceptable ». Mme Toha faisait partie de ceux qui assistaient à la Messe célébrée par l’Archevêque métropolitain de Santiago, S.Exc. Mgr Ricardo Ezzati, à l’occasion de la fête de Saint Jacques, patron de la ville.
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Radio-Canada tente de semer la confusion sur l'intersexualité (hermaphrodisme)

Dans une entrevue à l’émission de Johane Despins du 28 juillet 2013 sur les ondes de Radio-Canada. l'auteur et professeur de service social à l'Université Laval, Michel Dorais, qui offre un cours sur la diversité sexuelle, avance sans citer ses sources que l’hermaphrodisme toucherait de 1 à 4 % de la population. Il y aurait donc au Québec de 70 000 à 280 000 hermaphrodites, rien de moins.

La technique est bien connue. Pour imposer l’acceptation de changements aux normes sociales, il faut parvenir à faire croire à la population qu’un phénomène en fait particulièrement marginal est très répandu. On l’a vu dans l’imposition du changement de définition du mariage pour que les personnes homosexuelles puissent se prévaloir de ce titre, comme de l’adoption d’enfants. Les lobbys gais répètent à plus soif que 10 % de la population serait homosexuelle, ce que Statistiques Canada n'a jamais confirmé, au contraire! (Statistiques Canada parle plutôt 1 % de tous les «couples» qui seraient formés de partenaires de même sexe, ainsi qu'environ 1 % de la population canadienne se définissant comme personne homosexuelle, soit 10 fois moins que le discours des lobbys gais!)

Quelle est la véritable proportion des personnes intersexuées? Et que sait-on jusqu’à présent de l’intersexualité. Difficile au Canada de ne pas trouver un discours politiquement correct voulant, parce que cela se trouve dans la nature comme le dit Michel Dorais, faire changer les structures pour les « 1 à 4 % » de la population qui serait intersexuelle…

Trouvons plutôt un spécialiste qui n’est pas tenu au discours politiquement correct, en dehors du Canada par conséquent. Le professeur Omar Sefriouri, professeur agrégé en gynécologie obstétrique. L’article suivant paru sur l’observateurdumaroc. Info du 3 juin 2012 nous apporte sa pensée sur le sujet :

Anomalie congénitale de la différenciation sexuelle, l’hermaphrodisme reste très rare chez la race humaine avec une incidence de 1 sur 100.000 individus. C’est ce que nous confirme docteur Omar Sefrioui, Professeur agrégé en gynécologie obstétrique et auteur d’une cinquantaine de travaux de recherche sur la chirurgie gynécologique, la cancérologie et la stérilité. Désignant un phénomène biologique dans lequel l’individu est morphologiquement mâle et femelle, soit alternativement soit simultanément, l’hermaphrodisme intervient à chaque fois qu’il y a un retard dans le développement des organes génitaux. «Si à un stade embryonnaire précoce l’évolution vers le phénotype masculin ou féminin se fait de manière incomplète, il en résulte un «état intersexué» dans lequel l’histologie des gonades et l’anatomie des organes génitaux externes sera ambigüe», explique Pr Sefrioui, précisant qu’il existe trois types distincts d’hermaphrodisme, à savoir l’hermaphrodisme vrai, le pseudo hermaphrodisme féminin et le pseudo hermaphrodisme masculin.

D’après le spécialiste, chacun de ces types présente des caractéristiques particulières. «Il faut dire qu’en vingt ans d’exercice avec des milliers d’accouchements accomplis, je n’ai jamais rencontré de cas d’hermaphrodisme vrai. C’est un cas qui reste très rare et au Maroc, nous n’avons pas de chiffres officiels pour le quantifier», tient à noter le praticien avant de nous expliquer ce «phénomène particulier».

En effet, les individus touchés par l’hermaphrodisme vrai possèdent à la fois un tissu testiculaire et un tissu ovarien. «Le caryotype des hermaphrodites résulte d’altérations au niveau des chromosomes sexuels pouvant donner des mosaïques (environ 30 %) à deux populations cellulaires résultant de la fusion de deux zygotes de sexe différent. Environ 60 % des patients ont un caryotype 46, XX, alors que 10 % ont un caryotype 46, XY», ajoute Sefrioui. Chez les hermaphrodites vrais le phénotype est dépendant de l’importance de l’impact du chromosome Y qui déterminera le degré de différenciation des organes génitaux externes dans le sens masculin ou féminin. «Ainsi, chaque individu est un cas particulier », nous confirme le spécialiste.

(…)

Interrogé sur les causes de l’hermaphrodisme, le praticien nous avoue que plusieurs mécanismes sont probablement impliqués dans cette pathologie et restent encore mal identifiés actuellement. Toutefois, il évoque une exposition précoce aux androgènes liée notamment à une tumeur des surrénales de la mère ou encore à un traitement hormonal inapproprié chez la femme enceinte. Pour conclure, Professeur Sefrioui insiste sur l’importance d’un suivi psychologique en parallèle avec le traitement médical de cette anomalie lourde de conséquences sur le psychique des personnes touchées.

Des 70 000 à 280 000 Québécois qui seraient hermaphrodites, on passe au nombre de ... 70! Qui pourrait accepter des changements importants et coûteux pour accomoder 70 personnes sur 7 millions? Probablement pas les auditeurs nombreux de Radio-Canada...

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Ne pas juger les personnes homosexuelles et reproches aux lobbys gais et franç-maçons par le pape François

Sur le site du Journal La Presse du 29 juillet 2013:

 

 

 

Le pape François a condamné le «lobby gai», mais a affirmé ne pas juger les homosexuels, y compris dans l'Église, dans une conférence de presse tenue dans la nuit de dimanche à lundi dans l'avion entre Rio et Rome.
 
«Le problème n'est pas d'avoir cette tendance, c'est de faire du lobbying. C'est le problème le plus grave selon moi. Si une personne est gaie et cherche le Seigneur avec bonne volonté, qui suis-je pour la juger ?» a-t-il demandé.
 
(...)
 
«Je n'ai encore vu personne au Vatican sur la carte d'identité duquel est inscrit gai. On affirme qu'il y en a. Le catéchisme de l'Église catholique dit très bien qu'on ne doit pas marginaliser ces personnes qui doivent être intégrées dans la société».
 
«Sur le lobby gai, je n'ai rien trouvé. Les lobbies ne sont pas bons», a-t-il dit citant en exemple les lobbies politiques ou francs-maçons.
 
Évoquant plus largement la sexualité dans l'Église, il a distingué «les délits» comme «les abus sur mineurs» et les «péchés», notamment les «péchés de jeunesse». «Des laïcs, des prêtres, des soeurs ont fait des péchés et se sont convertis. Quand le Seigneur pardonne, il oublie tout».
 
Interrogé sur le mariage gai et sur l'avortement, auxquels l'Église est fermement opposée, le pape a répondu: «Vous savez parfaitement la position de l'Église». Pour la seule fois, il a répondu brièvement, sèchement.
 
(...) 
 

Certains se dépêcheront de conclure, dans nos si honnêtes médias de masse, que le pape prêche l'acceptation de la pratique homosexuelle... Mais il est clair, dans ses paroles présentes et encore plus, passées, que le pape ne déroge pas à la doctrine de l'amour des personnes et du refus du péché. Les personnes homosexuelles « doivent être accueills avec respect, compassion et délicatesse. » Mais les actes d'homosexualités « ne sauraient recevoir d'approbation en aucun cas. » (CEC no 2357-2358)

« Le problème n'est pas d'avoir cette tendance, c'est de faire du lobbying » pour promouvoir un mode de vie, une pratique homosexuelle qui elle, ne peut recevoir d'approbation.

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Un premier bébé génétiquement parfait sélectionné pour naître

Sur le site de topsante.com du 26 juillet 2013:

(Seuls les parfaits survivront. Parions qu'Hitler aurait  versé une larme devant de tels «progrès scientifiques»...)

 

Marybeth Scheidts, 36 ans, et son époux David Levy, 41 ans, est un couple américain de Philadelphie qui désespérait d’avoir un enfant. Ils se sont donc tournés vers la FIV mais les tentatives de fécondation n’ont rien donné. Le problème venait apparemment des embryons, leur ont dit les spécialistes de la clinique Main Line Fertility de Pennsylvanie.
 
Pour en être sûrs, treize embryons ont été envoyés et analysés à l’université d’Oxford pour repérer les gènes défectueux. Un séquençage génétique complet des différents embryons a été réalisé. Les tests ont déterminé que seuls trois embryons avaient un nombre correct de chromosomes. Les médecins ont donc implanté un de ces embryons "sains" chez Marybeth et les deux autres ont été congelés.  C’est ainsi qu’est né le 18 mai dernier Connor, le premier bébé "génétiquement parfait".
 
Sélectionner les bébés pour éviter les complications futures
 
Cette naissance démontre comment le "séquençage génétique nouvelle génération" (NGS) du nom de cette technique, développé pour déchiffrer rapidement des génomes entiers, peut aider à sélectionner des embryons. (...)
 
Une technique à terme moins coûteuse
 
A l’université d’Oxford, où ont été analysés les embryons de Connor, on vante aussi cette technique de "next-generation sequencing" (NGS)  jugée moins coûteuse. "Il s’agit d’une méthode très puissante, observe le Dr Dagan Wells, auteur de l’étude, cité par The Telegraph. Nous pouvons vérifier tous les chromosomes et obtenir un résultat en 24 heures, pour un coût quasiment moitié moins cher que les techniques de sélection actuelles".
Cette "sélection génétique", aussi révolutionnaire qu’elle puisse paraître, soulève déjà les inquiétudes des opposants à la FIV quant à l’avenir des embryons non choisis et des questions éthiques liées à l’eugénisme.
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Le commerce des enfants à naître en vue de les utiliser à des fins... esthétiques

Sur le site de french.ruvr.ru du 26 juillet 2013, ce rappel de pratiques anciennes et actuelles:

 

(Neocutis a besoin de cellules d'enfants à naître avortés pour fabriquer ces produits miracles...)

 

 

Malgré la crise, le commerce du luxe et du culte de l’apparat ne s’est jamais aussi bien porté. Ainsi, l’ultra-capitalisme dominé par une oligarchie cosmopolite sans plus aucun sens de la morale ne recule même plus devant l’utilisation à des fins cosmétiques de bébés avortés ou de peaux de prisonniers exécutés. Mais cette élite de l’argent encourage aussi des trafics d’embryons à des fins « esthétiques ». Quand la beauté de quelques-uns repose sur la mort des autres.
 
Jusqu’à peu, les informations sur l’utilisation de fœtus dans l’industrie cosmétique et dans la recherche alimentaire avaient été cantonnées aux associations « pro-life » américaines ou a des groupements européens anti-avortement qui fustigeaient des pratiques totalement méconnues du grand public.
 
Rares sont les médias qui osent aborder un domaine aussi scandaleux et répugnant de peur d’être critiqués de faire le jeu de ce milieu très politiquement incorrect des partisans de la révision des lois autorisant le recours à l’avortement. Ce droit faisant désormais partie des législations protégeant le « droit des femmes à disposer librement de leurs corps ». Il paraît cependant nécessaire d’éclairer le public sur des pratiques commerciales stupéfiantes et inadmissibles qui font de la tragédie humaine une source de plantureux bénéfices. Une information ne peut être dissimulée sous prétexte qu’elle donnerait des arguments à des mouvements anti-avortement.
 
En 2005, Le journal britannique The Gardian avait déjà dévoilé la vente par des sociétés de biotechnologies chinoises de collagène provenant de prisonniers exécutés ainsi que sur des fœtus avortés. Le collagène, une protéine fibreuse que l’on retrouve en abondance dans la peau, les tendons et les os, était donc prélevé sur les morts et les embryons et exportés via Hong-Kong au Royaume-Uni. Certaines sociétés de cosmétiques commercialisaient le collagène de la Mort dans toutes l’Europe. Ce n’est que l’an dernier que la Commission européenne (soit plus de sept ans après avoir été avertie de ce problème) a légiféré sur le commerce du collagène en seringue provenant des industries du collagène fœtal.
 
Bien qu’apparemment interdite en Europe, la crème anti-ride au fœtus n’en reste pas moins disponible via le net ou en dehors de l’U.E. Ainsi, après avoir démontré le pouvoir régénérant du collagène humain, des chercheurs suisses de l’Hôpital universitaire de Lausanne se sont associés à une firme basée aux Etats-Unis, Neocutis. Elle est devenue la première compagnie à commercialiser la crème à base partiellement de fœtus humain (appelé désormais « molécule PSP ») et propose par exemple son produit « contour des yeux » au prix de 85 $. Du cadavre sous l’œil en quelque sorte…. A noter pour la petite histoire que la mention « n’a pas été testé sur les animaux » figure sur la crème d’embryon mort…
(...)
 Malheureusement, il semble que ce commerce de peaux et de bébés avortés n’ait plus aucune limite géographique et traverse les frontières de l’imaginable.
 
En Ukraine, des cliniques des régions pauvres de Donetsk et de Kharkiv exploitent depuis au moins une dizaine d’années un commerce illégal de fœtus vers des salons de beauté moscovites. Les cliniques ukrainiennes incriminées n’hésitent pas à payer environ 150 € des mères porteuses qui seront avortées sans aucun contrôle sanitaire ni dépistage de maladie tel que le SIDA ou l’hépatite. Dans un second temps, ces cliniques vendraient les fœtus 7500 € à des salons promouvant une « thérapie fœtale » pour oligarques vieillissants prêts à payer 20 000 $ pour un tel traitement.
 
Dans la région de Sverdlovsk (Oural), c’était la découverte fortuite par un pêcheur, en juillet 2012, du corps de 248 fœtus issus apparemment d’avortements déposés dans quatre barils en plastique de 50 litres qui suscitait des questions sur ce business de la Mort et la potentielle utilisation de ces petits cadavres dans une quarantaine de cliniques de beauté .
 
Evidemment, ce commerce est totalement illégal et combattu mais pour qui l’argent pleut a verse, tout peut se négocier à l’ombre.
 
Oui, l’horreur n’a pas de nationalité et n’a pas de culture. Tous les cas évoqués ont au moins un point commun : l’utilisation de la misère humaine la plus épouvantable par de dévoués dévoyés. Ces intermédiaires payés par cette classe de ploutocrates, d’oligarques et de riches profiteurs de tous bords. Cette classe d’élites économiques et de parvenus qui n’hésitent pas à financer l’immonde pour combler leurs rides et aller montrer leur nouveaux visages aux extraits de morts dans les dîners mondains et les réceptions prestigieuses. Loin de la réalité des populations qu’ils exploitent désormais même post mortem.
(...)

Imaginer? Non, il y a des horreurs auxquelles il ne vaut mieux pas penser... 

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Un petit kit bioéthique fourni aux jeunes participants des Journées Mondiales de la Jeunesse

Sur le site du Salon Beige du 26 juillet 2013:

 

 

 

 

 

En partenariat avec l’archevêché de Rio de Janeiro (Brésil), organisateur des JMJ 2013, la Fondation Jérôme Lejeune a réalisé, avec la Jérôme Lejeune Foundation (USA), la Commission nationale de la Pastorale familiale de la Conférence des évêques du Brésil et le Centro de Estudios Biosanitarios (Espagne), une édition spéciale JMJ du Manuel de bioéthique des Jeunes.
 
Ce livret, intitulé KEYS TO BIOETHICS, traduit en 4 langues (portugais, anglais, français et espagnol) a été distribué aux 2 millions de participants des Journées Mondiales de la Jeunesse. KEYS TO BIOETHICS vise à former les jeunes sur le respect de la vie humaine. Il s’agit de :
 
Leur faire découvrir qu’ils sont, comme chacun de nous, concernés par les questions de bioéthique.
 
Leur expliquer les enjeux qui constituent autant de thèmes organisés par chapitre: interruption volontaire de grossesse, diagnostic prénatal et interruption « médicale » de grossesse, recherche sur l’embryon, euthanasie et soins palliatifs, etc.
 
Les aider au discernement, sachant qu’ils seront tous confrontés à la possibilité de faire appel à telle ou telle de ces pratiques au cours de leur vie.
 
Décrypter les termes, cerner les ambigüités.
 
Leur faire découvrir l’Evangile de la Vie et sa cohérence avec la science et la raison.
 
Comme pour l’édition initiale du Manuel bioéthique des jeunes de la Fondation Jérôme Lejeune (lancée en 2006 et imprimée à plus de 350 000 exemplaires), KEYS TO BIOETHICS propose pour chaque thème des informations scientifiques, claires et factuelles et développe à la fin de chaque chapitre un décryptage éthique. La partie originale de cette édition spéciale JMJ 2013 réside dans l’éclairage apporté par des textes de référence de l’Eglise sur le respect de la vie humaine vulnérable (notamment l’Evangile de la Vie).
 
Des jeunes du monde entier rassemblés à Rio font face dans leur pays à l’effondrement des principes fondamentaux de respect de la vie et de la dignité de l’homme. La France fait figure d’exemple malheureux à l’heure où le Parlement vient de libéraliser la recherche utilisant l’embryon humain, que des sénateurs proposent une loi pour ouvrir la PMA et de la GPA aux couples de même sexe et qu’une nouvelle technique de diagnostic prénatal de la trisomie 21 est sur le point d’inonder le marché. Au-delà des combats nationaux, la formation des jeunes aux enjeux bioéthique est aujourd’hui plus que jamais fondamentale pour la défense des plus pauvres.
 
(...)
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Des féministes souhaitent au bébé de Kate et William d'être transgenre...