Sur le site de genethique.org du 29 juillet 2013:
Au Royaume-Uni, une commission parlementaire s'est récemment penchée sur la législation actuellement en vigueur dans le pays concernant les conditions dans lesquelles il peut être procédé à un avortement dans le cas où l'enfant serait "gravement handicapé" à la naissance. Son rapport a été rendu la semaine dernière.Actuellement, un avortement peut-être pratiqué jusqu'à la quarantième semaine de grossesse, si l'enfant à naître souffre d'un handicap lourd.Selon le rapport, la Commission préconise que la législation actuelle sur l'avortement ne s'applique pas à des enfants présentant des malformations mineures, contrairement aux pratiques dévoilées par diverses enquêtes relayées dans la presse (avortement pour un pied bot par exemple).(...)A la suite de la publication de ce rapport, Mike Sullivan de l'association Saving Downs, une association qui agit pour la défense des personnes atteintes de trisomie 21 en Nouvelle-Zélande, s'est réjoui de ce rapport: "l'abrogation de cette loi [i.e: la loi actuellement en vigueur] serait l'abrogation de l'avortement eugénique contre [les personnes trisomiques 21 notamment] ".
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