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Débrancher un patient? La Cour suprême donne ce droit à un comité d'experts et non aux médecins

Sur le site de Radio-Canada du 18 octobre 2013 :

Qui a le dernier mot lorsque vient le temps de décider s'il faut débrancher un patient du respirateur qui le maintient en vie? Le plus haut tribunal au pays a statué, vendredi, dans le cas d'un Torontois qui est plongé dans un coma depuis près de trois ans, qu'il revenait à un groupe d'experts de trancher.

Dans une décision partagée (5 contre 2), les juges de la Cour suprême ont référé le litige à la Commission ontarienne du consentement et de la capacité, rejetant l'appel des médecins d'Hassan Rasouli qui voulaient le débrancher immédiatement. 

La cause pourrait servir de précédent au pays dans les litiges sur l'acharnement thérapeutique et le droit à la vie.

La famille d'Hassan Rasouli s'oppose à l'opinion de ses médecins qui soutiennent que l'état végétatif dans lequel l'homme de 61 ans se trouve est permanent et sans espoir. Ce dernier est maintenu en vie artificiellement à l'Hôpital Sunnybrook de Toronto depuis qu'il a contracté une infection postopératoire en octobre 2010.

« Je suis heureuse pour Hassan et pour tous les êtres humains, parce que l'esprit de Dieu est en chacun de nous. » — Parichehr Salasel, femme d'Hassan Rasouli

Les proches de M. Rasouli affirmaient que leurs croyances religieuses musulmanes les empêchaient de mettre fin à sa vie. Ils avançaient également qu'il était « conscient », sans pouvoir répondre. « Je sais qu'il m'écoute, je sens qu'il réagit », a raconté Mme Salasel, qui a affirmé qu'il lui serrait parfois la main. Sa fille et elle le visitent chaque jour, convaincues que son état s'améliore. 

« Les souhaits médicaux d'une famille, basés sur la religion ou toute autre valeur, ne doivent pas dicter le niveau de soins requis », a plaidé l'avocat de l'un des médecins d'Hassan Rasouli, Harry C. G. Underwood, devant la Cour suprême l'an dernier.

La juge en chef de la Cour suprême, Beverley McLachlin, a commenté dans le jugement rendu vendredi qu'il s'agissait d'un « contentieux tragique qui devient néanmoins de plus en plus fréquent ».

« Permettre aux médecins de déterminer unilatéralement si le consentement est nécessaire dans un cas donné va à l'encontre de l'autonomie du patient et de l'objet de la Loi visant à prévoir des règles en matière de consentement qui s'appliquent de façon uniforme dans tous les milieux. » — Décision de la Cour suprême

(...)

Paul Brunet du Conseil pour la protection des malades maintenait, en revanche, que c'était aux patients ou à leur substitut de décider du moment de mourir et non pas aux médecins.

La question du niveau de soins à fournir à des patients comme Hassan Rasouli dans un contexte budgétaire serré interpelle également les gouvernements. Il en coûte de 500 $ à 1500 $ par jour pour maintenir Hassan Rasouli en vie.
 

 

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Lettre d'un médecin soupçonnant le gouvernement québécois de choisir l'euthanasie par refus de payer pour les soins palliatifs

Sur le site du journal La Presse du 18 octobre 2013, cette lettre du Dr Paul Lefort :

 

 

 

(...)Mais dans un contexte où 80% des patients n'ont pas accès aux soins palliatifs, l'échec du traitement ne reflète pas une impuissance médicale, mais un refus de soutien financier privant quatre malades sur cinq de l'accès aux soins palliatifs.

(...)
Certains diront que les coûts des services de santé ont atteint un plafond. Avons-nous les ressources financières pour permettre un accès aux soins palliatifs à tous ceux qui en ont besoin? On considère souvent la procédure de l'euthanasie beaucoup plus économique que les services de soins palliatifs.

On oublie que les patients ayant fait la demande de mort assistée doivent être évalués par au moins deux médecins, que des formulaires doivent être remplis et remis à un organisme de contrôle, qu'une bureaucratie de surveillance devra être mise en place et que plusieurs cas de dérapages inévitables vont exiger des expertises médicales et légales risquant de faire grimper les coûts de manière inattendue.

De plus, on exige un délai d'un mois au minimum entre la demande de la procédure et son exécution. Combien de patients qui seraient éligibles à l'euthanasie peuvent demeurer à la maison en attendant que l'on décide pour eux du moment de mettre fin à leurs jours? Si la plupart d'entre eux sont hospitalisés, où donc se situe l'économie, sachant que, de toute manière, la durée de vie d'un patient en phase terminale se calcule en terme de semaines?

Il serait intéressant de faire une étude comparative entre les coûts d'hospitalisation moyens d'un patient en attente d'une procédure d'euthanasie et ceux d'un patient hospitalisé en attente du jour où la maladie causera son décès.

La véritable question devrait être la suivante: l'euthanasie est-elle une procédure acceptable pour résoudre le problème du sous-financement et du manque d'accès aux soins palliatifs? Je vous laisse le soin de répondre à cette question.
 

 

 

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Manifestation conjointe de bouddhistes et de chrétiens contre l'avortement à Taiwan

Sur le site de mepasie.org du 17 octobre 2013 :

 

 

 

 

Un millier de chrétiens ainsi que de nombreux bouddhistes (1) ont participé lundi 14 octobre à Taipei, à une journée anti-avortement organisée par les militants pro-vie de Ray of Hope, une ONG taiwanaise, Stand for Life, une association établie aux Etats-Unis, ainsi que différents groupes religieux.

Scandant « l’avortement est un meurtre ! » et d’autres slogans pro-vie, les manifestants ont terminé leur marche de protestation par une veillée de prière sur Ketagalan Boulevard où se trouvent les bâtiments du gouvernement (présidence, Parlement et administration centrale). La manifestation Stand for Life, qui en est à sa cinquième édition ce mois d’octobre 2013, avait lieu pour la première fois à Taipei.

Selon des statistiques récentes, il y aurait entre 500 et 800 avortements à Taiwan par jour, alors que la République de Chine est l’un des pays ayant un taux de natalité parmi les plus bas du monde, rappelle le Christian Tribune dans son compte-rendu de la manifestation le 15 octobre dernier.

Les participants à la Journée pro-vie ont également transmis une pétition au Parlement, réclamant l’amendement du Genetic Health Act, qu’ils dénoncent comme étant à l’origine de l’augmentation des avortements à Taiwan.

Selon cette loi votée en 1985, une femme enceinte peut en effet légalement avorter si « sa grossesse ou son futur accouchement peuvent affecter son équilibre psychologique ou sa vie familiale ». Une définition aux termes flous, qui « ouvre la porte à toutes les interprétations et abus possibles », a souligné lors de la manifestation le Rév. Tang Chong-yong, de la Tainan Haian Christian Church.

Quant à la Révérende Juanita Hebard, à la tête de Ray of Hope, association taïwanaise spécialisée dans l'accueil des mères-célibataires, elle a rapporté que l’on demandait parfois aux femmes enceintes si elles voulaient avorter, « de la même façon qu’on leur aurait demandé si elles voulaient une tasse de thé, comme s’il ne s’agissait pas d’une chose importante ».

(...)

Sur leur page Facebook, les Women of the World (WOW) Taiwan, membres d’une association féminine chrétienne participant à l’événement du 14 octobre, ont expliqué le but visé par les militants du Stand of Life. « Nous ne condamnons pas les femmes qui avortent mais la loi qui le permet », précisent les administrateurs de la page, mettant en avant une action « fondée sur l’enseignement du Christ ». Très présentes à Taiwan, les membres du WOW se sont fixé pour objectif d’être « la voix des non-nés », en sensibilisant la population au « drame de l’avortement et de ses conséquences », et en créant des « groupes de soutien » pour les filles-mères ou les femmes ayant déjà pratiqué un avortement.

(...)

(1) Selon des études récentes, la demande de pratique de rituels bouddhistes pour apaiser les esprits des enfants avortés (cérémonies appelées yingling gongyang) est en constante augmentation depuis la fin des années 1980, soit l’époque où l’avortement a été légalisé à Taiwan (1985).

 
 
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À voir : un reportage sur le racisme et l'eugénisme du mouvement « pro-choix »

Il y a eu une longue évolution depuis les débuts du mouvement eugénique aux États-Unis jusqu'à ce jour où au Canada, Morgentaler affirmait vouloir faire des avortements pour éviter la naissance de criminels. Ce qu'il n'osa jamais dire, mais que le gouvernement américain a reconnu dans les faits, c'est qu'il y avait un préjugé selon lequel les populations noires étaient les populations les plus à risques. En Amérique les cliniques d'avortements fondées et dirigées par des eugénistes, viseront spécifiquement les populations noires. Jusqu'à aujourd'hui.

Voici la bande annonce de ce reportage extrêmement fouillée, malheureusement seulement en anglais :

//www.youtube.com/embed/zLnNi_qb7nY

Et voici le reportage, à faire connaître, sur les origines du mouvement pour l'avortement, sur nos Morgentaler actuels, ces « bienfaiteurs » de l'humanité qui recherchaient les criminels à éliminer... avant leur naissance.

//www.youtube.com/embed/ZAF2GPT_79Q

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La Commission des droits de la personne critique fortement la « charte des valeurs québécoises »

Sur le site du journal La Presse du 17 octobre 2013 :

 

 

(La protection des droits de tous)

 

(Québec) La Commission des droits de la personne estime que le projet de Charte des valeurs québécoises contrevient à la Charte des droits et libertés de la personne. Le projet de Bernard Drainville va «à l'encontre de l'esprit et de la lettre de la Charte, qui a pour objet la protection des droits de tous et toutes», estime l'organisme dans un avis rendu public jeudi matin.

«Le droit de manifester ses croyances religieuses est protégé par la Charte, qui garantit la liberté de religion et la liberté de conscience», affirme l'organisme dans un commentaire sur le contenu du projet du gouvernement.

Pour la Commission plusieurs propositions du document rendu public le mois dernier par le gouvernement Marois «portent atteintes aux libertés et droits fondamentaux».

«La Commission estime notamment que l'interdiction du port de signes religieux ''ostentatoires'' par les employés de l'État ne passe pas le test de la Charte québécoise et que la proposition de formaliser les accommodements dits ''religieux'' risque de restreindre la portée des accommodements accordés en vertu des autres motifs de discrimination, entre autres pour les personnes en situation de handicap», affirme l'organisme dans son commentaire.

« Les orientations gouvernementales soulèvent de vives inquiétudes. Elles sont en nette rupture avec la Charte, cette loi quasi constitutionnelle adoptée par l'Assemblée nationale en 1975. Il s'agit de la proposition de modification de la Charte la plus radicale depuis son adoption », observe le président de la Commission, Jacques Frémont, qui a aussi été doyen de la Faculté de droit de l'Université de Montréal. Dans une première sortie, il y a quelques semaines M. Frémont avait relevé l'augmentation des frictions entre des représentants des communautés visibles et des Québécois de souche. Il avait dit y voir l'impact des propositions du gouvernement.

«Il n'est pas raisonnable de présumer de la partialité d'un employé de l'État du simple fait qu'il porte un signe religieux.»
 

La Commission des droits de la personne

Pour la Commission, les propositions sur l'interdiction du port de signes religieux « ostentatoires » par les employés des organismes publics, «si elles étaient adoptées, seraient manifestement en violation des dispositions de la Charte et ne résisteraient pas à l'examen des tribunaux dans l'état actuel de la jurisprudence. Elles ne pourraient être valides sans le recours à une clause dérogatoire, un recours qui ne peut se faire sans respecter d'importantes exigences de fond et de forme» poursuit l'organisme.

L'interdiction du port de signes religieux visibles «aurait donc pour effet d'exclure des personnes d'un nombre important d'emplois, en fonction de leurs signes religieux et des perceptions qu'on leur infère, portant ainsi atteinte aux droits à la liberté d'expression et à l'égalité en emploi».

Pour l'organisme, la proposition d'interdiction de signes religieux «témoigne d'une mauvaise conception de la liberté de religion telle que protégée par la Charte ainsi que par le droit international. Elle traduit également de manière erronée l'obligation de neutralité de l'État. En effet, cette obligation s'applique aux institutions de l'État, mais non à ses agents, sinon par un devoir de réserve et d'impartialité».

« Il n'est pas raisonnable de présumer de la partialité d'un employé de l'État du simple fait qu'il porte un signe religieux », explique la Commission dans ses commentaires. Le fait de lier le port de signes religieux « ostentatoires » à la définition du prosélytisme (tenter de convaincre l'autre d'adhérer à sa religion) sans tenir compte du comportement de la personne, fausse de manière importante l'approche développée en matière de protection de la liberté de religion et ouvre la porte à une restriction qui serait contraire à la Charte québécoise».

(...)

 

 

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Des bordels dans les CHSLD? Après tout, c'est vendredi !


Janette Bertrand

L'animatrice vedette de la télévision québécoise, Anne-Marie Dussault, anime maintenant une toute nouvelle émission de la Société Radio-Canada le vendredi soir à 21 heures.

Pour la première émission «Après tout, c'est vendredi» du 11 octobre 2013, Mme Dussault a choisi un sujet «hot» et explosif, les aidants sexuels.

Dans un premier temps nous avons eu droit à des spécialistes européens où, paraît-il, la CHOSE se pratique avec succès et satisfaction depuis quelques années. Dans un deuxième temps, c'était la grande spécialiste et prêtresse de la sexualité québécoise, Janette Bertrand, 88 ans, qui a parlé avec enthousiasme de ce sujet controversé.

Aidants sexuels, assistants sexuels, mais c'est quoi au juste cette nouvelle profession ?

Il paraît, d'après les gourous de la sexualité interviewés lors de cette émission, que le droit à l'orgasme sexuel est un droit fondamental qu'il faut respecter dans notre société postmoderne et très avancée. Il n'y a pas d'âge limite pour être sexuellement actif. Ce serait même un moyen très approprié pour garder sa bonne forme physique et psychologique.

Malheureusement, à un certain âge on a besoin d'aide. Alors, l'aide sexuelle devient un soin de santé normal et acceptable qu'il faut offrir aux personnes malades, handicapées et âgées. Dans ce contexte, les assistants sexuels prennent toute leur importance.

Avec le vieillissement de la population, cette nouvelle profession va, paraît-il, prendre beaucoup d'importance, et c'est déjà en vigueur dans certains pays européens. C'est maintenant socialement accepté. Très souvent, nous ont dit nos spécialistes, les personnes handicapées et les personnes âgées dans les centres d'accueil (CHSLD) ne peuvent vivre une sexualité active pleine et entière faute de partenaires. Les aidants sexuels seront alors sur place pour répondre à leurs besoins sexuels. Voilà la grande conclusion qui s'est dégagée lors de cette première émission de «Après tout, c'est vendredi». Notre société occidentale en pleine décadence morale est rendue là !

Après avoir enseigné aux jeunes à l'école primaire et secondaire tous les supposés «bienfaits» de la mécanique sexuelle (30000 avortements par année au Québec), nous voilà rendus en fin de vie où le party doit continuer pour nos jovialistes personnes âgées et malades, mais toujours très épicuriennes.

Il semble que dans notre monde moderne et hyper sexualisé, le sexe doit avoir la première place de la naissance jusque dans la tombe !

Soyons sérieux. Nous sommes ici en face d'une nouvelle et populaire forme de prostitution socialement acceptée, parce que le bon peuple de plus en plus païen a perdu tous ses repères.

En Occident, la sexualité n'est plus l'expression de l'amour humain entre un homme et une femme ; c'est plutôt devenu un divertissement où la jouissance physiologique est présentée comme un droit fondamental. Quant au véritable AMOUR tel qu'enseigné par le Christ et son Église, cela n'a plus aucun rapport avec la sexualité débridée pratiquée par une très grande partie de la population.

Les baby-boomers du Québec arrivent à la retraite. Les maladies et les handicapes pointent à l'horizon. Débarrassés de la supposée grande noirceur imposée de force par la méchante religion catholique, ils ont vécu dans le concubinage une sexualité égoïste et extrême sans aucune retenue avec un nombre incalculable de partenaires différents utilisant abondamment la pornographie, le cinéma, la télévision et l'internet pour rendre leurs ébats, déviations et perversions sexuels toujours plus piquants et performants. Alors, il faut maintenant que tout cela continue, même si on est seul, vieux, malade ou handicapé, car c'est un droit fondamental.

Ne soyons ni surpris, ni scandalisés de voir bientôt arriver au Québec dans les résidences de personnes âgées, malades et handicapées les aidants sexuels avec leur diplôme universitaire sous le bras et toute la quincaillerie nécessaire pour faire jouir les clients. Voilà une société sans Dieu, "neutre", laïciste et athée.

Avec notre Charte québécoise des valeurs athées, le gouvernement va probablement interdire dans les hôpitaux et les Centres d'accueil pour personnes âgées (CHSLD) les lieux de prières, les aumôniers, les messes, les activités spirituelles, etc. D'un autre côté, ce même gouvernement "neutre" et athée pourrait bien autoriser la prostitution gratuite avec la carte soleil sous prétexte que c'est un droit fondamental.

La chapelle deviendra alors le bordel dans nos établissements de santé. Si les morts ne ressuscitent pas, mangeons et buvons, car demain nous mourrons. APRÈS TOUT, C'EST VENDREDI !

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Les lobbys LGBT de Montréal choqués par des publicités familiales

Sur le site du Journal de Montréal du 16 octobre 2013 :

 

 

 

La présence de publicités de la compagnie Barilla dans les autobus de la Société de transport de Montréal (STM) provoque le mécontentement d’associations lesbienne, gaie, bisexuel et transgenre (LGBT).

Le producteur de pâtes italien avait choqué l’ensemble du monde des affaires il y a quelques semaines, lorsque son président avait soutenu qu’il ne voulait pas d’homosexuels dans ses publicités. Celui-ci a présenté ses excuses le jour même devant l’indignation générale.

Or, quelques affiches de la compagnie ont fait leur apparition dans les autobus de la STM depuis l’incident. Ces annonces représentent des couples hétérosexuels accompagnés leurs enfants et des slogans tels que «Pour les hommes, c’est Barilla ou rien» et «Il aime toujours mes pâtes Barilla», écrit sur l'image d'une femme.

«Après leurs commentaires homophobes ("une famille devrait être composée uniquement d'un homme et d'une femme"), Barilla ne fait que renforcer sa position homophobe en utilisant des propos hétéronormatifs, affirme Éric Pineault, président de Fierté Montréal. Nous condamnons leur manque d'ouverture envers la communauté LGBT et appelons la population à boycotter leur produit.»

Vigilance et éducation

Selon Steve Foster, directeur du Conseil québécois LGBT, le fait que ces publicités se retrouvent dans les autobus montréalais est «déplorable».

«Si les gens de la STM étaient au courant de cette histoire concernant Barilla avant d’avoir accepté de diffuser leur publicité, c’est dommage. Il faudrait que les gens responsables de la publicité à la STM fassent preuve de plus de vigilance», dit M. Foster.

Celui-ci trouve que l’image de la femme véhiculée dans ces affiches est sexiste. «J’en ai presque envie d’en rire de voir cette femme qui a le rôle de cuisinière pour son homme», déclare M. Foster.

«Tout cela prouve qu’il y a encore beaucoup de travail d’éducation à faire chez les gens, affirme Jean-Sébastien Boudreault, vice-président de Fierté Montréal.

(...)

Un lobby qui veut régenter et « éduquer » les québécois. Ce soir, je mange des pâtes Barilla!

 

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Pour la création d'une école qui respecte la responsabilité première des parents?

UN COLLOQUE SUR L’ÉDUCATION CATHOLIQUE 

 

Le Colloque aura lieu : samedi, le 7 décembre 2013 – de 9 h 00 à 17 h 00

 

Endroit : Au Grand Séminaire de Montréal – 2065, rue Sherbrooke  Ouest, Montréal

                                 

            Thème : L’ÉDUCATION, UN PROJET DE FAMILLE ET D’ÉCOLE

                              Sous la présidence  de MGR Christian Lépine

 

                       C’est une belle journée famille et les enfants ont aussi leur place.

 

                     

Ce colloque présentera des conférencières et conférenciers d’une grande expérience au niveau d’éducation.

En autre, une personne très connue en éducation en France, madame Anne Coffinier qui vous partagera une expérience très riche.

                     

Veuillez nous contacter, si vous désirez de plus amples informations et aussi pour réserver votre place.

Nous pouvons vous faire parvenir des copies de l’annonce.

Communiquez avec nous par courriel ou par téléphone 514-276-8068 et 514-279-0670

 

 

Les conférenciers invités et les sujets des conférences seront : 

        

Mgr Christian Lépine
L’éducation de l’enfant: noble mission des parents.

 

Anne Coffinier, de France
présidente et cofondatrice de l'Association Créer son école
Choix parental et liberté en éducation

 

Jean-Yves Côté, avocat
Le droit parental et les choix éducatifs au Québec

 

Paul Donovan, directeur de l'École secondaire Loyola
Le projet scolaire catholique


Inscription: 20$ /adulte

Dîner: 10$

                    

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La pétition contre la pornographie sur internet au Canada atteint déjà 5000 signatures

Sur le site de Radio-Canada du 15 octobre 2013 :

 

 

 

 

Si certains souhaitent toujours un web libéré et autorégulé, le contrôle et la censure semblent vouloir s’y installer pour de bon. La pornographie étant toujours un indicateur sûr des tendances sur le web, il circule en ce moment une pétition sur le site Change.org, qui demande au gouvernement canadien de forcer les fournisseurs web à bloquer par défaut les contenus pornographiques.

Les conditions de la pétition

Peut-être pour éviter de hauts cris de l’industrie, la requête précise que les adultes désirant accéder à ces contenus pourront contacter les fournisseurs, afin que cette option par défaut soit enlevée, et l’accès aux contenus, débloqué. Cette pétition, active depuis un peu plus d’une semaine, a déjà accumulé près de 5000 signatures.

Cette demande survient quelques mois après que le  premier ministre britannique, David Cameron, a annoncé la mise en place de cette mesure d’ici la fin de l’année en Angleterre. Les utilisateurs devront faire une demande explicite, afin que cette barrière soit retirée. La possession de certains types de pornographie, dont celle où le viol est simulé, deviendrait également illégale.

(...)

Réguler le web pour « nos enfants »
 

De telles mesures se fondent toujours sur le discours entourant la protection des enfants. L’argument invoqué en premier pour justifier ce filtrage est souvent la corruption de la jeunesse par l’accès à la pornographie. Or, si cette nouvelle loi surprend peu en Angleterre, un pays qui a la censure facile lorsqu’il est question de cinéma et de jeux vidéo, on peut s’étonner qu’elle trouve un terreau fertile au Canada. Toutefois, certains politiciens prennent ce projet à cœur. C’est le cas de la députée fédérale conservatrice Joy Smith, qui souhaite qu’un tel contrôle soit mis en place. Tom Copeland, de l’Association canadienne des fournisseurs d’accès Internet, quant à lui, souligne les risques de censure et la quasi-impossibilité de mettre en place ce genre de filtre.

(...)

La dépendance à la pornographie, entre autres, est un phénomène bien réel. Il reste à voir quel succès aurait cette mesure, mais la pornographie n’est pas près de disparaître du web. Elle est partie intégrante de son paysage, depuis les débuts d’Internet et continue de se révéler lucrative.

Selon cette infographie publiée en janvier, 12 % du contenu sur Internet est de nature pornographique, soit plus de 24 millions de sites, et 3075 $ y seraient dépensés chaque seconde. De plus, plusieurs avancées sur le web ont d’abord été mises en place par la pornographie.
 

 Pour signer la pétition, cliquez ici.

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L'histoire d'une enfant née d'un viol, aujourd'hui choisie « reine » de son université...

(Molly Anne Dutton, lors de la remise de son prix à l'Université d'Auburn, Alabama)
 
(…)
Il y a quelques décennies, la mère biologique de Dutton, qui vivait en Californie à l'époque, a été victime d'une agression sexuelle dont elle est devenue enceinte. Elle a reçu un ultimatum par son mari : soit avorter, ou divorcer.
Les services de Lifeline enfants, une agence d'adoption chrétienne basée à Birmingham, se sont impliqués et ont aidé la femme à travers sa courageuse décision de garder le bébé et de choisir l’adoption plutôt que d’avorter.
Ce week-end passé, la petite fille née dans ces circonstances difficiles a été élue « reine » de son université après avoir concouru sur une plate-forme entièrement dédiée à la défense de l'adoption.
 « Parce que cette ressource a été mise à la disposition de ma mère, elle a décidé de me donner naissance », a déclaré M. Dutton. « Et là, je m'adresse à vous les gars 22 ans plus tard. »
« Allumez la vie », le slogan de Dutton, résume parfaitement l'objectif de sa campagne pour répandre le mot que l'adoption peut apporter la lumière dans une situation sombre.
(…)
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