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Une très belle lettre à une femme qui a avorté sous contrainte et qui est malgré tout pour la « liberté » de choix...

Vous pouvez d'abord lire la lettre de cette femme qui s'est sentie obligée d'avorter, parue dans le journal Le Monde du 23 janvier 2014 et qui, étrange paradoxe, milite pour la « liberté » d'avorter. Elle témoigne de la force de l'endoctrinement d'une personne forcée d'agir contre son gré, et qui acquiesce... En voici un extrait :

(Photo : Vanz sur flickr.com, licence creative commons)

(...)Les nausées ne la lâchent pas, du matin au soir, comme si avant de partir, le bébé voulait lui rappeler qu'il est là, dans son ventre, du matin au soir. Elle veut fumer, même si elle a mal au coeur, même si elle a les mains qui tremblent, même si elle a envie de chialer, de hurler, elle veut un café juste pour pouvoir fumer sans vomir.

Lui veut tout ce qu'elle veut, tout ce qui peut lui faire plaisir, tout ce qui peut l'empêcher de pleurer. Sauf le garder. Mais un café, ça, il peut.

Il est près de midi. Ils remontent dans la voiture, il prend le plan, cherche la rue Nicolo, la guide. Elle trouve ça tellement glauque, lui qui la guide vers cette clinique où elle ne veut pas aller, pour avorter de cet enfant qu'il ne veut pas garder. (...)

Puis la réponse de cet homme, cette lettre à Géraldine du 29 janvier 2014 dont voici un extrait :

(...)Pourquoi, Géraldine, ce monde, cette société, ces pouvoirs publics, ne développent-ils pas une vraie politique d'accueil, une politique d'aide aux femmes dans votre situation et aux femmes célibataires ? Pouvez-vous m'expliquer, Géraldine, vous qui avez travaillé au cabinet de Roselyne Bachelot, pourquoi notre État qui affirme vouloir diminuer le nombre d'avortements ne commence-t-il pas par informer les femmes, et lister aux femmes enceintes les aides auxquelles elles ont droit ? Pourquoi le site gouvernemental est-il si unilatéral et ne les mentionne-t-il pas ? Pourquoi le site du Planning Familial n'en fait-il pas état ? Pourquoi l'Etat ne diffuse-t-il pas un de ces fascicules dont il a le secret quand il s'agit de manger moins sucré ? Pourquoi faut-il que ce soit Alliance Vita qui édite le guide des aides publiques pour les femmes enceintes ? Un choix véritable ne suppose-t-il pas une alternative ? (...)

Effectivement, dans le parcours de cette femme, personne ne l'a encouragée à suivre son coeur qui désirait garder l'enfant. C'est cela, le « libre » choix...

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Il n'appartient pas au parlement de fixer ce que l'on peut dire ou ne pas dire...

Petite histoire au Royaume de Navarre. Un cardinal a osé affirmer que l'homosexualité est une « sexualité déficiente qui peut se normaliser grâce à un traitement ». Cela suffit pour que certains parlementaires réclament la censure. Sur le blog de Jeanne Smits du 27 janvier 2014 :

(Photo du Parlement de Navarre par Florent Pécassou sur wikimedia.org, licence creative commons)

Le Bureau et l'union des porte-parole du Parlement de Navarre a approuvé aujourd'hui, avec le concours de tous les groupes sauf ceux de l'UPN et du Partido Popular, une motion de réprobation publique du cardinal élu Fernando Sebastian qui a qualifié l'homosexualité de « sexualité déficiente qui peut se normaliser grâce à un traitement ».

Il va même falloir que le prince de l'Eglise change d'avis : et lui, et les institutions de l'Eglise catholique en Espagne sont invités par la déclaration à « revoir leur position par rapport à des réalités qu'il ne faut pas aborder au travers de discours équivoques et irrespectueux qui, loin d'engendrer l'acceptation engendrent des rejets in utiles parce qu'injustes. » (...)

Heureusement d'autres parlementaires ont rappelé à leurs collègues de tendance totalitaire que le parlement n'a pas à fixer ce qu'il est licite de dire ou pas. Les propos du cardinal émettent une critique respectueuse des personnes homosexuelles, tout en s'interrogeant sur la valeur de l'homosexualité.

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Ils l'ont dit clairement, contrairement à la Ministre Véronique Hivon...

Le terme «aide médicale à mourir » est de la fumisterie... À voir cette vidéo d'une minute qui éclaire ce que certains veulent garder dans l'ombre.

//www.youtube.com/embed/OJMWG-9Wa3I

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Lettre transmise aux médias contre l'euthanasie. Sera-t-elle publiée?

(Les personnes âgées coûtent trop cher en soins de santé et le gouvernement ne veut pas répondre aux nouveaux besoins créés par le vieillissement de la population. Il préfère les « aider à mourir dans la dignité ».)

(Photo : LLudo sur flickr.com, licence creative commons)

Bonjour,

Le vote à l’Assemblée nationale sur le Projet de loi 52, qui permettrait l’euthanasie, se fera le 11 février 2014 ou dans les jours qui suivent.
La commission a terminé jeudi l’étude « article par article » du Projet de loi.

Le gouvernement a refusé toute tentative de définir la « fin de vie ». Ce fait révèle clairement les intentions derrière ce projet.

*On veut permettre l’euthanasie en fin de vie, sans définir ce qu’est la fin de vie : cela ouvre la porte à l’euthanasie sur demande.*

De plus un des nombreux dangers, est celui de l'avis des familles qui pourront, dans plusieurs cas, mettre des pressions sur les personnes âgées affaiblies ou le personnel médical afin qu'ils reçoivent l'injection mortelle pour pouvoir hériter plus rapidement...

Le manque total de contrôle et d'information, les enveloppes brunes que trop nombreuses au Québec qui pourraient circuler aussi dans cet environnement afin d'accélérer le processus des successions, font du projet de l'euthanasie un grave danger pour les personnes âgées, le personnel médical sous serment et notre société.

Les gouvernements ont tout intérêt à l'euthanasie aussi:

1) Le paiement des pensions cesse à la mort.

2) Le système de santé n'est plus embourbé: aucun traitements à payer pour un mort.

3) Les familles héritent et certains patrimoines génèrent une taxe, donc des revenus pour l'État.

4) La liquidation des successions est une activité économique et bénéficie à l'économie et aux familles, le tout vidant les épargnes des comptes bancaires.

Ces quelques exemples prouvent aussi l'aspect tendancieux de ce projet de loi. Le Gouvernement ne peut en aucun cas être impartial puisqu'il en retire un intérêt financier majeur.

Les médecins bien informés sont contre et il faut plus d'argent en soins palliatifs tout simplement.

Je vous demande svp de prendre davantage d'informations sur l'euthanasie et d'informer le plus possible les citoyens de ce danger à leur droit à la vie et si possible vous-même soulever les graves dangers de ce projet qui rappellent en plusieurs points ceux des années 30 en Allemagne.

Veuillez recevoir mes salutations distinguées.

Sébastien Bilodeau
Québec, Qc

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Alain Finkielkraut parle de l'enseignement scolaire, de la théorie du genre au combat contre « l'homophobie »

Une très bonne réflexion sur les dérives scolaires que doivent subir nos enfants.

//www.youtube.com/embed/qEBc6P9BvvE


Rappelons qu'au Québec, les écoliers de 200 écoles primaires et secondaires recevront la propagande du lobby gay.

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Les enfants de 200 écoles primaires et secondaires de Montréal subiront la propagande du mouvement gay

Sur le site de TVA nouvelles du 29 janvier 2014 :

(Pendant que les Français ne cessent de manifester contre le « mariage » gay,  et que les Russes interdisent la propagande auprès des enfants, au Québec...)

(Photo : Claude Truong-Ngdoc sur wikimedia.org, licence creative commons)

L'organisme Gai Écoute fera campagne jusque dans les écoles primaires pour inciter les jeunes à téléphoner ou clavarder avec ses intervenants sur tous les sujets touchant l'homosexualité.

La campagne, qui se tiendra dans près de 200 établissements scolaires de l'île de Montréal, vise entre autres les enfants de 5e et 6e années, ainsi que les élèves des écoles secondaires. (...)

Rappelons que selon Statistiques Canada la proportion de personnes homosexuelles et de « couples » homosexuels se situe entre 1 et 2 % de la population. A-t-on vraiment l'impression que nos médias et téléromans reflètent cette proportion de 1% de personnes homosexuelles dans la population?

De quelle autre problématique ne concernant qu'un étudiant sur cent parle-t-on dans les écoles?

Ces campagnes et cette propagande est l'une des nouvelles fausses-religions étatiques transmises dans nos écoles par un gouvernement qui croit être le propriétaire des enfants...

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Malgré les morts, Santé Canada songe à légaliser la pilule abortive

Sur le site de TVA du 29 janvier 2014 :

(La ministre de la Santé, Rona Ambrose, pourra-t-elle protéger les enfants et les femmes des méfaits de la pilule abortive?)

 

Santé Canada étudie la possibilité d'approuver une pilule abortive qui serait à l'origine de la mort de plusieurs femmes, mais la ministre de la Santé, Rona Ambrose, n'avait que peu de commentaires à émettre sur le sujet.

(...)

Un essai clinique de la pilule au Canada a été stoppé en 2001 à la suite du décès d'une femme qui est morte d'une infection, dix jours après avoir pris la pilule abortive.(...)

Déjà que pour chaque pilule abortive il y a un mort, pourquoi Santé Canada s'inquiéterait-il qu'il y en ait deux?

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Lettre aux députés sur les « amendements » au projet de loi 52 (euthanasie)

Une lettre tres juste sur le sujet :

(Photo : Philippe Couillard en compagnie de Justin Trudeau. Le chef Couillard a accepté le projet de loi sur l'euthanasie sans qu'aucune modification significative n'y soit apporté.)

(Photo : Justin Trudeau sur flickr.com, licence creative commons)

Cher député,

Qu’est-ce qui s’est supposément “amélioré” avec les amendements au projet de loi 52 ?

-          Le mot « terminal » n’y figure toujours pas, seulement « maladie grave et incurable » ; donc « fin de vie » est toujours un concept extrêmement LARGE – où voyez-vous un « rétrécissement » du concept pour maintenant ne s’appliquer qu’à de rarissimes cas confirmés comme  « exceptionnels », « en toute fin de vie » ? Cette soi-disant « amélioration » ne figure nulle part !!!! :

-          Avec les amendements, les médecins et infirmières peuvent maintenant euthanasier les gens à domicile et seulement relater le tout aux autorités 10 jours APRÈS le fait – est-ce là une « amélioration » pour la protection du public ? ;

-          Les soins palliatifs sont toujours renommés « soins de fin de vie indissociables de l’euthanasie », ce qui leur enlève toute leur indépendance et leur force de frappe (qui est déjà très faible) ;

-          Les établissements de santé sont toujours tenus de « publiciser » leur « offre de service d’euthanasie » le plus publiquement possible, tant auprès des soignants que des patients et de leurs proches – ce qui va engendrer des pressions sociales innommables sur les personnes en perte d’autonomie, qui n’auront pas la force de se défendre. Ainsi les gens choisiront l’euthanasie en raison de ces pressions, et ainsi les soins palliatifs régresseront, en fait d’expérience et de formation ; Jusqu’à ce que la seule option qui reste, éventuellement, soit de se faire euthanasier (c’est ce qui est arrivé à l’adoption, qui est pratiquement disparue à la suite de l’introduction de l’avortement).

C’est à se demander si quelqu’un vous ensorcelle ou vous menace en quelque part, pour que vous en soyez rendus à voir des choses où il n’y en a pas, et même de voir des choses contraires à ce qui est écrit noir sur blanc ?????????

Isabelle O’Connor

Gatineau (Québec)

 

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La semaine de prévention du suicide se terminera par un vote pour permettre l'euthanasie?

Prévention du suicide? Oui. Et prévention de l’euthanasie! 

Sur le site de Vivredignite.blogspot.ca :

Montréal, le 27 janvier 2014 – La Semaine nationale de prévention du suicide aura lieu du 2 au 8 février 2014 au Québec. Son thème en dit long et recevra certainement l’appui d’une majorité de citoyens et citoyennes :  « T’es important(e) pour nous. Le suicide n’est pas une option. » Le réseau Vivre dans la Dignité salue cette importante initiative.

(Photo d 'un micro près d'un pont où les gens peuvent demander de l'aide plutôt que de sauter la barrière... https://guillaumepaumier.com/ sur wikimedia.org, licence creative commons)

Par ailleurs,  les membres de l’Assemblée nationale s’apprêtent à  voter sur le Projet de loi 52, Loi concernant les soins de fin de vie.  S’il est adopté, ce projet de loi légalisera l’euthanasie au Québec. Quelle ironie! D’une part, les personnes désespérées se font dire :  « Ne vous tuez pas. Allez chercher de l’aide ». Et d’autre part, elles s’entendent proposer : « Nous vous aiderons à mettre fin à votre vie. »

Un des objectifs de la Semaine de prévention est  de provoquer un « changement de culture face au problème du suicide au Québec ». Excellente idée, puisque la culture actuelle oublie  que l’euthanasie aussi est une idée dangereuse – une pratique qui va main dans la main avec le suicide.

Les causes du suicide sont complexes, mais les personnes qui posent ce geste fatal le font généralement pour mettre un terme à leurs douleurs psychologiques ou physiques. Or, l’un  des critères d’admissibilité à « l’aide médicale à mourir » (l’euphémisme utilisé par le Projet de loi 52 pour déguiser l’euthanasie) est justement que la personne  éprouve des douleurs physiques ou psychiques qu’elle juge intolérables (même si elle refuse tout traitement, y compris pour la dépression). Pourtant,  les médecins spécialisés en soins palliatifs ne cessent de répéter  que la médecine moderne peut soulager toutes les douleurs physiques.

Le Projet de loi 52 n’est pas nécessaire. Il  est dangereux et menace la sécurité des plus vulnérables.

N’oublions pas qu’un jour nous deviendrons tous vulnérables. Prévenons le suicide. Bloquons tout projet d’euthanasie, peu importe le déguisement qu’on lui prête. Insistons auprès de nos députés : ils doivent voter contre le Projet de loi 52.

Sources : Le réseau citoyen Vivre Dans la Dignité. Suivez-nous sur Twitter au @vivredignite

Pour informations supplémentaires ou pour organiser une entrevue, veuillez contacter :

Nicolas Steenhout

Directeur général

Vivre Dans la Dignité

[email protected]

438-931-1233

 

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La chambre des représentants américains veut inciter les compagnies d'assurances à ne pas couvrir les avortements

Sur le site du journal La Presse du 28 janvier 2014 :

(Si seulement le président américain pouvait avoir un minimum de compassion envers les enfants à naître torturés et éliminés sur le territoire américain.)

(Photo : cfishy sur flickr.com, licence creative commons)

L'utilisation de fonds publics fédéraux pour des avortements est déjà interdite aux États-Unis, via des amendements et décrets régulièrement renouvelés, mais le texte républicain entend rendre cette interdiction permanente. (...)

La proposition de loi «libère les contribuables de la charge d'avoir à subventionner la pratique monstrueuse de l'avortement et les couvertures maladies qui incluent l'avortement», expliquait en janvier le représentant républicain Bob Goodlatte. (...)

La chambre des représentants, majoritairement républicaine, peut faire passer ce projet de loi. Mais le président Obama pourra y apposer son veto...

 

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