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Pourquoi certaines se tournent vers l'avortement ? Un témoignage

Sur le site de Jeune Afrique du 15 août 2014 :

(Photo : Tammi Glanzer - Boudreau sur flickr.com, licence creative commons)

 

 

"Je me bats pour mon fils malgré les regards et les jugements impitoyables", lance avec détermination Khadija, une mère célibataire de 27 ans, dans un rare témoignage sur le combat quotidien contre l'exclusion que mènent chaque année des milliers de Marocaines. (...)

On retrouve le même article sur le Huffington Post du 15 août 2014 :

(...)Selon une étude publiée en 2011 par l'association de défense des femmes Insaf et l'ONU, dans le cas de grossesses hors-mariage, plus de 7 futurs pères sur 10 sont informés, mais la plupart refusent de reconnaître l'enfant.

D'après ce même rapport, près de 30.000 accouchements de mères célibataires sont recensés chaque année. Ces mères "sont amenées à vivre l'exclusion, le rejet, la discrimination voire l'exploitation", est-il souligné. (...)

Il y a des mentalités qui doivent changer.

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Au Québec, on ne peut plus faire fi de la douleur et de la détresse... des bêtes, mais pour les enfants à naître, allez-y!

Sur le site du Journal de Montréal, un article de Pierre Trudel du 15 août 2014, un commentaire sur l'intention du Ministre Pierre Paradis de changer le code civil concernant les animaux : 

(Photo : Les chiens sont maintenant mieux protégés au Québec que certains enfants... et en Ontario, hier, « dans un dernier geste d'amour » dit la dépêche, « rien n'aurait pu empêcher » une femme de se précipiter dans une maison en flamme pour sauver son chien. Ils ont été retrouvés « unis dans la mort ».

(Photo : self sur wikipédia.org, licence creative commons)

La modification proposée par M. Paradis marque une réelle évolution dans les mentalités. Faire passer les animaux du statut de «choses» à celui «d’êtres doués de sensibilité» implique que les propriétaires n’auront plus le loisir de faire fi de la douleur et de la détresse des bêtes qu’ils possèdent.

(...)

 les propriétaires d’animaux auront clairement l’obligation, attachée à leur droit de propriété, de se comporter de manière à tenir compte du fait que leur animal est un être doué de sensibilité. (...)

Dans  une société déboussolée, devra-t-on réclamer que les enfants dans le ventre de leur mère aient du moins une reconnaissance semblable aux animaux?

Il est capital de prendre conscience de la réalité de la douleur de l’enfant à naître et je vous invite à lire attentivement ce bref résumé des connaissances scientifiques sur le sujet. Ce résumé a été fait par le néonatologue Carlo Valerio Bellieni, enseignant de la thérapie néonatale à l’école de spécialisation en pédiatrie de l’Université de Sienne, membre de la European Society of Pediatric Research et de la direction nationale du Groupe d’étude sur la douleur de la Société italienne de néonatologie :
 
Anand (ANAND et HICKEY, 1987) et beaucoup d’autres auteurs après lui ont démontré avec évidence que le fœtus ressent la douleur du fait du développement efficace des voies anatomiques de la douleur même dès le stade fœtal. Dès la fin de la septième semaine de gestation, la région péribuccale présente des récepteurs tactiles, et l’on a pu parler d’une avoiding reaction ou réaction de fuite du fœtus quand on le touche (FERRARI et al., 1983).
 
La perception de la douleur suppose des récepteurs, des voies neuronales fonctionnelles et un cortex capable de recevoir et d’intégrer l’information. Or, dès la moitié de la gestation, tout cela est déjà présent. Les récepteurs cutanés couvrent toute la surface du corps à partir de vingt semaines de gestation (ANAND et HICKEY, 1987).
 
Les voies neurologiques efférentes sont en place à la sixième semaine et de nombreux neurotransmetteurs spécifiques apparaissent à partir de treize semaines. Ces voies arrivent au thalamus, à la base du cerveau, à partir de vingt semaines. Elles rejoignent le cortex entre la dix-septième et la vingt-sixième semaine  (LAGERKANTZ et FORSBERG, 1991; FITZGERALD, 1993).
 
Que les fibres ne soient pas encore complètement myélinisées (c’est-à-dire n’aient pas la gaine isolante appelée myéline) n’invalide pas le fait qu’elles peuvent transmettre des stimuli. Il faut noter que, chez le nouveau-né, la densité des réécepteurs et de substance P (substance médiatrice de la douleur) est plus grande que chez l’adulte (MANOLIDIS et al., 1989; CHOONARA, 1998). Ce constat a conduit certains à affirmer que la sensation de douleur est plus grande chez le nouveau-né que chez l’adulte. 1 
Peut-on faire fi de la douleur des enfants à naître? Nous pratiquons malheureusement des avortements tardifs au Québec, sans souci de la vie et de la douleur de ces enfants.
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Dans la tête de Loïc Tassé

(Près d'un million de personnes ont défilé devant le tombeau du Frère André à sa mort. Selon une théorie que certainement M. Tassé trouverait plausible, la peur d'être excommuniés s'ils ne s'étaient pas présentés à ses funérailles serait la raison de leur présence et de leur attente pendant des heures, voire des jours pour dire au revoir au petit frère...)

(Photo : frère Denis sur wikipédia.org, sans copyright)

 

Dans un article paru dans le Journal de Montréal, le « journaliste » se permet de comparer bêtement la foi de nos ancêtres avec l’extrémisme religieux qui tue les « mécréants »…

Les fondamentalistes religieux, nous les connaissons bien. Avant la Révolution tranquille, ils tentaient de contrôler et de terroriser les Québécois avec des histoires de péchés mortels. (...)

La population ne croyait pas à toutes les âneries qu’ils débitaient. Mais discuter avec eux ne servait à rien. Ils étaient persuadés de parler au nom de Dieu. Ceux qui leur tenaient tête risquaient d’être excommuniés. (...)

On ne sait pas quoi répondre devant tant d’ignorance et de bêtise. Rappelons du moins à M.Tassé que chez les musulmans mêmes, l’extrémisme fanatique est minoritaire. Et que le jihad chrétien n’a jamais existé au Québec…

Depuis les débuts de la colonie, personne n’a été pendu parce qu’il n’allait pas à la messe le dimanche et, pour un incroyant, vous pensez vraiment qu’une excommunication fait peur?

Nos ancêtres pratiquaient leur religion non parce qu’ils avaient peur, mais parce qu’ils croyaient en Dieu, en son Amour et, oui, la croyance que l’on peut refuser l’amour de Dieu pour en vivre séparé, l’enfer, est toujours dans la doctrine chrétienne.

M. Tassé ne comprend pas la foi de nos ancêtres, pas plus qu’il ne comprend la doctrine chrétienne, et il croit que nos ancêtres partageaient son ignorance religieuse, d’où la nécessité qu’ils aient été forcés à croire aux balivernes simplistes qu’il s’imagine être la doctrine chrétienne…

Y a-t-il quelqu’un au Journal de Montréal qui pourrait fournir discrètement un catéchisme à M. Tassé, pour ne pas enfoncer le clou sur ses préjugés qu’il déverse à gauche et à droite, sans se rendre compte que tous se demandent autour comment un « journaliste » peut écrire ainsi sur un sujet dont il ne connaît strictement rien… ?

Lorsque M. Tassé aura appris les connaissances de base sur le christianisme, alors il pourra peut-être cesser de voir du fondamentalisme partout où se présente un phénomène qu’il ne comprend pas…

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La mort de l'abbé Gravel illustre que le projet de loi 52 sur l'euthanasie est inutile

Sur le site du journal Le Soleil du 14 août 2014, une lettre à lire en entier du Dr Marc Bergeron, hémato-oncologue, CHU de Québec :

(Photo : geralt sur pixabay, licence creative commons)

 

 

(...)Il est mort dignement, entouré de personnes aimantes et dévouées qui lui ont prodigué de bons soins palliatifs de qualité tout au long de sa maladie qui a duré un an.

Cet exemple illustre bien la situation de milliers de Québécois qui partagent chaque année le même sort que l'abbé Gravel et qui sont soignés de façon exemplaire jusqu'à la mort naturelle, sans nécessité d'accélérer celle-ci. (...)

La seule raison pour promouvoir l'euthanasie au Québec, pardon, « l'aide médicale à mourir » est une raison économique : un patient que l'on tue en cinq minutes coûte moins cher qu'un patient qui meurt confortablement en prenant le temps dont il a besoin pour partir...

 

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La mort de l'abbé Gravel illustre que le projet de loi 52 sur l'euthanasie est inutile

Sur le site du journal Le Soleil du 14 août 2014, une lettre à lire en entier du Dr Marc Bergeron, hémato-oncologue, CHU de Québec :

(Photo : geralt sur pixabay, licence creative commons)

 

 

(...)Il est mort dignement, entouré de personnes aimantes et dévouées qui lui ont prodigué de bons soins palliatifs de qualité tout au long de sa maladie qui a duré un an.

Cet exemple illustre bien la situation de milliers de Québécois qui partagent chaque année le même sort que l'abbé Gravel et qui sont soignés de façon exemplaire jusqu'à la mort naturelle, sans nécessité d'accélérer celle-ci. (...)

La seule raison pour promouvoir l'euthanasie au Québec, pardon, « l'aide médicale à mourir » est une raison économique : un patient que l'on tue en cinq minutes coûte moins cher qu'un patient qui meurt confortablement en prenant le temps dont il a besoin pour partir...

 

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Dans la tête de Loïc Tassé…

(Près d'un million de personnes ont défilé devant le tombeau du Frère André à sa mort. Selon une théorie que certainement M. Tassé trouverait plausible, la peur d'être excommuniés s'ils ne s'étaient pas présentés          à ses funérailles serait la raison de leur présence et de leur attente pendant des heures, voire des jours pour dire au revoir au petit frère...)

(Photo : frère Denis sur wikipédia.org, sans copyright)

 

Dans un article paru dans le Journal de Montréal, le « journaliste » se permet de comparer bêtement la foi de nos ancêtres avec l’extrémisme religieux qui tue les « mécréants »…

Les fondamentalistes religieux, nous les connaissons bien. Avant la Révolution tranquille, ils tentaient de contrôler et de terroriser les Québécois avec des histoires de péchés mortels. (...)

La population ne croyait pas à toutes les âneries qu’ils débitaient. Mais discuter avec eux ne servait à rien. Ils étaient persuadés de parler au nom de Dieu. Ceux qui leur tenaient tête risquaient d’être excommuniés. (...)

On ne sait pas quoi répondre devant tant d’ignorance et de bêtise. Rappelons du moins à M.Tassé que chez les musulmans mêmes, l’extrémisme fanatique est minoritaire. Et que le jihad chrétien n’a jamais existé au Québec…

Depuis les débuts de la colonie, personne n’a été pendu parce qu’il n’allait pas à la messe le dimanche et, pour un incroyant, vous pensez vraiment qu’une excommunication fait peur?

Nos ancêtres pratiquaient leur religion non parce qu’ils avaient peur, mais parce qu’ils croyaient en Dieu, en son Amour et, oui, la croyance que l’on peut refuser l’amour de Dieu pour en vivre séparé, l’enfer, est toujours dans la doctrine chrétienne.

M. Tassé ne comprend pas la foi de nos ancêtres, pas plus qu’il ne comprend la doctrine chrétienne, et il croit que nos ancêtres partageaient son ignorance religieuse, d’où la nécessité qu’ils aient été forcés à croire aux balivernes simplistes qu’il s’imagine être la doctrine chrétienne…

Y a-t-il quelqu’un au Journal de Montréal qui pourrait fournir discrètement un catéchisme à M. Tassé, pour ne pas enfoncer le clou sur ses préjugés qu’il déverse à gauche et à droite, sans se rendre compte que tous se demandent autour comment un « journaliste » peut écrire ainsi sur un sujet dont il ne connaît strictement rien… ?

Lorsque M. Tassé aura appris les connaissances de base sur le christianisme, alors il pourra peut-être cesser de voir du fondamentalisme partout où se présente un phénomène qu’il ne comprend pas…

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Ils ont peur des défenseurs du mariage et de l'enfance! Reportage présentant le peuple de France comme étant des fachos!

À voir, même si le reportage de Canal + tente désesperément de trouver des groupuscules d'extrémistes et de les mettre en évidence, parmi les millions de Français qui ont manifesté pour protéger le mariage, la famille et les enfants :

//www.youtube.com/embed/QGni4NpscHU

La France du 15 août a initié un mouvement mondial de réveil des populations pour que cesse la tentative d'imposition de valeurs anti-familiales, cette volonté de détruire la famille et la civilisation pour les remplacer par un chaos identitaire basé sur une auto-construction des personnes qui n'est en définitive qu'une auto-destruction...

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L'autorité des parents menacée par la DPJ ?

Sur le site du journal de Montréal, un article de Lise Ravary du 13 août 2014 pose de bonnes questions. Elle revient sur le cas de ce jeune de 14 ans, décédé avec sa copine après avoir pris le volant :

(Photo : ALubron sur deviantart.com, licence creative commons)

 

 

 

Mais, m’a rappelé le policier, aujourd’hui, les enfants portent plainte à DPJ et les policiers doivent alors lancer un protocole d’intervention, même si le parent n’a rien fait d’illégal.

Imaginez un instant un parent qui est  interrogé par les policiers et des agents de la DPJ parce que la pression de ses doigts sur le bras de son ado a laissé un petit bleu risque, à la prochaine fugue ou épisode violent de la part de son jeune, de ne pas intervenir. Et de laisser la police faire le parental travail à sa place.

Mieux vaut un petit  bleu que d’être mort, non ?

Beaucoup de parents craignent le pouvoir intrusif de la DPJ...

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« Fils d'homme, écoute ce que je vais te dire. Ne sois pas rebelle comme cette engeance de rebelles. » (Ez 2, 8)

Un article de Stéphane Gendron sur le site du Huffington Post du 11 août 2014 rapporte une conversation qu'il aurait eu avec l'abbé Raymond Gravel :

(Photo : Louperivois sur wikipédia.org, licence creative commons)

 

 

(...) Mais Monsieur l'Abbé, vous êtes au fond comme Lucifer. Un peu comme Satan, celui qui a remis en cause l'Autorité au nom du Bien.». Il a souri spontanément. «Oui, au fond c'est ça. J'essaie de remettre en cause. C'est ça la définition de Lucifer: il s'est rebellé ...» Nous en avons bien ri ensemble. (...)

Que Satan ait « remis en cause l'Autorité au nom du Bien » (!) est effectivement une conception du diviseur que l'on retrouve dans les sectes sataniques et lucifériennes. Stéphane Gendron est l'une des seules personnalités du monde médiatique à n'avoir pas caché son appartenance à la Franc-Maçonnerie.

Le Christ s'est fait obéissant, jusqu'à la mort, sur une croix... Sa révolte ne se fera jamais contre un ordre établi, mais contre un désordre remplaçant cet ordre voulu par Dieu. La mentalité (très conformiste en définitive) d'un adolescent rebelle attardé est encore aujourd'hui prise comme modèle par nombre de nos contemporains. Elle n'a rien à voir avec le Christ, doux et humble de coeur, cherchant à faire la volonté de son Père...

 

 

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Des partenaires de même sexe demandent la rééducation des employés d'un bar de Québec...

William Kelly et son partenaire de même sexe sont outrés de s'être fait montré la porte par le portier du bar Le Boudoir, de Québec. Le propriétaire du bar donne sa version des faits, sur le site du journal Le Soleil du 12 août 2014 :

(Photo : Clock sur wikimédia.org, licence creative commons)

 

Yan Bouchard, dit avoir eu une tout autre version de l'incident en discutant avec ses employés présents ce soir-là.

«Premièrement, il y a eu énormément de démonstrations pendant qu'ils dansaient», explique M. Bouchard. «Mon portier leur a dit de se garder un peu de gêne et l'homme qui les accompagnait a poussé mon portier», continue-t-il, «les policiers sont venus et le conjoint de M. Kelly a été très désobligeant envers eux»

M. Kelly, peu satisfait de la réponse du propriétaire qui ne confirme pas clairement « l'homophobie » du portier, affirme :

«Si c'était arrivé à Ottawa, le bar aurait pris l'affaire beaucoup plus au sérieux. Il y a clairement un besoin de formation de personnel.»

M. Olivier Poulin, directeur général de l'Alliance Arc-en-ciel de Québec, déclare également de son côté :

«Comment gérer la clientèle homosexuelle pourrait faire partie de la formation des portiers.»

Voulant faire cesser toute publicité négative envers son bar, le propriétaire a décidé de congédier son portier (sur le site du journal Le Soleil du 12 août 2014) :

 «C'était la chose à faire», poursuit-il, visiblement déçu des proportions qu'a prises l'incident. «C'est un peu le résultat de tout ça. Je n'avais pas d'autres choix.»

Nouveau commentaire d'Olivier Poulin, concernant ce congédiement :

«L'important, c'est que l'établissement reconnaisse la gravité de la situation et qu'on s'assure que ça n'arrive plus»

La chasse aux sorcières poursuit son cours...

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